Je bascule la tête en arrière et ferme les yeux pour mieux ressentir les mouvements de langue de ma pompeuse sur ma verge raide. Sucé par une couguar : la situation pourrait me faire rire intérieurement si je n’étais pas aussi chaleureusement et bien tété. Je suis dans les chiottes du club, et je suis aux anges. Je ne pense même plus à mes potes qui se sont foutus de ma gueule quand elle a commencé à me draguer.
Elle : une mère de famille a priori respectable venue s’encanailler le temps d’une soirée avec quelques copines de son âge. Elle doit avoir quarante-cinq ans, soit vingt de plus que moi. Je pourrais presque être son fils ! Un cul bien rond, à peine flasque, des grosses mamelles légèrement tombantes, un sourire qui dit braguette.
Moi, c’est bien simple, elle m’a fait bander immédiatement. Je ne cours pas spécialement après les vieilles cochonnes, mais celle-ci a du talent pour la pipe, c’est le moins qu’on puisse dire. Et peu importe si ça fait marrer la bande, moi, au moins, je vais prendre mon pied ce soir. Pas comme certains.
Pendant que la couguar me suce, je fléchis un peu les genoux pour avoir les mains à portée de ses grosses doudounes. Sa peau est élastique et plutôt douce. J’introduit mes doigts dans son chemisier. Ses seins pointent dangereusement. Elle en veut la coquine, et elle fait un bruit d’enfer en se gavant de ma bite.
Etre sucé par une couguar présente un autre avantage : les années aidant, elle sait y faire, et elle se montre très gourmande de mon vit vigoureux. Et que je salive sur ton gland, et que je te prends en fond de gorge, et que je te titille les couilles avec la main. Je peux vous dire que c’est autre chose que les pompiers par les greluches étudiantes dont j’ai l’habitude.
A tel point que, si elle continue, je ne vais pas tarder à décharger dans sa bouche sans autre forme de procès. Mais la belle couguar mature a de l’expérience. Elle a senti que j’allais rendre les armes. La voici qui recrache ma bite et lève des yeux suppliants vers moi. Elle a tiré un étui de capote de son sac à main. Je lui souris, en essayant de paraître aussi gentil qu’il est possible quand on a la bite à l’air, trempée de salive.
C’est parti, la mère au foyer infidèle déroule le préservatif sur mon membre. Elle semble ravie. Je n’ai plus qu’à m’asseoir sur la lunette des chiottes rabaissée, et à attendre que ma chaude couguar ne vienne s’empaler sur mon chibre. Et elle a tôt fait de se jeter sur mon pieu. Sa chatte est dégoulinante de cyprine, l’introduction se déroule sans problème. Me voilà maintenant avec ses énormes loches à hauteur de visage.
Autant en profiter. Et, tandis qu’elle s’agite comme une nonne qui aurait découvert la bite sur ma queue bandée au maximum, je gode ses deux gros mamelons à tour de rôle, les aspirant bien au fond de ma bouche, tout en glissant ma main jusqu’à sa fente, pour en caresser vigoureusement le petit bouton.
Elle est épilée de près : la couguar est sortie pour tromper son mari, elle s’est préparée comme il se devait. Elle braille à en ameuter toute la discothèque et réclame que je lui suce encore les seins. Je ne me prive pas, jusqu’à ce que les mouvements du bassin de ma couguar ne s’accélère, m’arrachant un orgasme dévastateur.
Elle jouit, en même temps que moi, et me hurle des mots d’amour tout en plaquant sa poitrine contre mon visage. Je suis tremblant de plaisir, et la couguar aussi.