Dans mon immeuble, il y a une étudiante, une petite blackette qui suit des cours de médecine, qui me fait totalement fantasmer. Elle un de ces culs, je ne vous dis que ça. Le genre petite meuf, avec des belles rondeurs, des gros seins, et surtout des fesses super rebondies. Un vrai cul de blackette, quoi.
Pendant un temps, l’ascenseur a été en panne. Comme on rentrait de la fac autour des mêmes heures, je m’arrangeais toujours pour la suivre dans les escaliers. Ses fesses, toujours moulées dans un pantalon hyper serré, roulaient devant moi, un vrai bonheur !
Mais, maintenant que l’ascenseur est réparé, j’y trouve quelques avantages aussi. Ne serait-ce que les moments passés dans la même cabine qu’elle, presque corps contre corps. Vendredi dernier, nous sommes arrivés dans l’immeuble. Elle m’a fait un grand bonjour, sourire aux lèvres, limite à me taper la bise.
De la bombe, cette nana, je vous jure ! On a donc pris l’ascenseur en même temps et là, comme un signe du destin, la panne ! Elle était toute paniquée, elle m’a dit qu’elle était claustro, qu’elle suffoquait. Moi, pas con, je l’ai réconfortée en la prenant dans mes bras, en lui tenant des propos apaisants, en lui disant de respirer bien profondément.
J’avais sa poitrine presque à hauteur de ma braguette et, malgré la situation délicate, je n’arrivais pas à m’empêcher de bander. Je ne sais pas si elle l’a senti, toujours est-il qu’elle m’a roulé une pelle en me disant : » t’es gentil, toi… « . Tu parles que j’étais gentil, j’avais surtout envie de me la faire !
Les secours sont arrivés, nous avons été sortis de là. Elle m’a invité à prendre un verre chez elle, » pour me remercier « . J’ai sauté sur l’occasion, à défaut de pouvoir sauter sur autre chose. Bam ! Un rhum arrangé, puis un autre. L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, il est surtout dangereux pour les petits culs de blackettes !
Après avoir vidé presque à elle seule la bouteille et s’être remise de ses émotions, elle s’est mise à m’allumer, tant et si bien que je me suis vite retrouvé derrière elle, à la niquer en levrette. Je reluquais ses magnifiques fesses rondes et charnues tout en lui faisant du bien. Elle tortillait du fion comme une reine, elle me massait la tige avec sa chatte et m’offrait un spectacle fabuleux, en prime !
Au bout d’un quart d’heure de limage, elle a planté sa tête dans l’oreiller, a pris chacun des deux globes de son cul dans ses mains et m’a supplié, d’une voix à la fois plaintive et excitée : » tu veux bien me prendre par là, s’il te plaît ? « . Tu parles qu’il me » plaisait « . J’ai craché un coup sur sa rondelle, pour lubrifier son petit trou, et j’ai massé un peu.
Je craignais de lui faire mal, d’autant que je ne suis pas trop mal monté, mais j’ai posé mon gland sur son anus. J’ai fait coulisser un peu ma tige entre ses deux énormes fesses, puis j’ai tenté la pénétration. Elle a gueulé de douleur. J’ai arrêté. » Non, vas-y, continue, j’ai envie « .
J’ai retenté ma chance et là, ma bite a été comme engloutie par le petit trou de la blackette, qui haletait maintenant comme une petite chienne. Je me suis planté au fond de son cul, et j’ai arrêté de bouger. C’est elle qui a finalement repris les mouvements de bassin, comme pour sentir encore mieux mon sexe en elle.
De mon côté, j’avais la bite comme enveloppée d’un écrin de soie. J’étais bien serré dans son cul. En plus de la vue imprenable que j’avais sur son popotin, je vivais ma toute première sodomie, mon premier enculage, dans les plus belles fesses que je n’avais jamais vues, ces fesses sur lesquelles je fantasmais depuis près d’un an !
Au bout d’un moment, la blackette s’est retournée. J’étais un peu déçu. J’avais encore envie de l’enculer. Mais, ni une, ni deux, elle a basculé ses genoux au dessus de ses épaules, m’ouvrant à nouveau la voie de son anus. Je m’y suis replongé avec délectation. La vue avait changé, mais ses nichons aussi valaient le coup d’œil.
Après une nuit de baise intense, nous avons pris le café ensemble. Elle m’a alors avoué qu’elle avait un mec, et qu’il la tannait pour pouvoir la sodomiser, mais qu’elle n’osait pas, vu la taille de l’engin du gars en question. En gros, je lui avais dépucelé le cul pour ouvrir le passage à son fiancé.
Moi, dès qu’il s’agit de rendre service aux amoureux…