Les seins de la blackette

C’était au tout début, il y a une dizaine d’années. Ma copine et moi pratiquions l’échangisme et le libertinage depuis quelques mois seulement. Avec, en tête, l’idée d’être ouverts à toute sorte de rencontres. Nous sortions en club, et nous passions pas mal de temps sur les tchats libertins. Madame branchée par les rebeus, moi par le la belle blackette…

Mais, après avoir déménagé dans une petite ville de province, nous avons vite déchanté. Combien de lapins, d’indécis, de faux couples dont madame n’était jamais disponible pour confirmer sa présence, pour quelques rendez-vous un peu sympas ? Alors, quand ils nous ont contactés, en proposant qu’on se voit le soir même, nous avons tout de suite accepté. On verrait bien.

A vrai dire, nous n’avons même pas pris le temps de bien regarder la photo surexposée qu’ils nous avaient envoyée. Une surprise nous attendait : madame était noire. Nous avions déjà coquiné, à Paris, avec des hommes et des femmes noirs, mais dans un coin si reculé, on ne croise pas souvent des blackettes, encore moins libertines.

Et quel canon cette blackette ! Une jolie femme de visage, certes, mais gaulée comme une déesse africaine, avec un beau cul et surtout des seins en obus à faire bander n’importe quel gars hétéro normalement constitué. Il faut dire que, si certains mecs reluquent les fesses avant tout, moi ce sont les seins qui m’excitent le plus.

Et là, j’étais gâté ! Sylvie – c’est son prénom – était habillée d’un grand pardessus, qu’elle a retiré en entrant dans notre maison. Mazette ! Sous le pardessus, une tenue hyper sexy, hyper décolletée, qui mettait en valeur une poitrine formidable. Le genre guêpière pour femme à forte poitrine.

On leur propose un verre et on discute. Ils sont encore plus débutants que nous. Ça met des plombes à décoller. Et moi, je n’en peux plus de loucher sur les seins de Sylvie. Ma chérie est plutôt bien dotée, à ce niveau là, mais là, on se croirait chez Russ Meyer !

Finalement, c’est ma chérie qui donne le signal, en s’approchant dangereusement de Sylvie. Les deux nanas se frottent l’une à l’autre, commencent à se rouler des pelles, puis se retrouvent lovées l’une contre l’autre, nues, leurs quatre nichons frottant l’un contre l’autre dans une scène d’un érotisme torride.

Michel, le mari, n’en rate pas une miette lui non plus. Et, timides mais décidés, nous nous approchons de nos femmes. Sylvie a tôt fait de sortir ma bite de sa braguette, malgré une érection déjà bien prononcée qui gêne un peu la manœuvre. Et hop ! Elle m’engouffre au fond de sa gorge.

Je regarde du côté de ma chérie et de Michel : elle a fait de même avec sa queue qui est, soit dit en passant, énorme ! J’ai la chance d’être plutôt bien monté, mais là, je dois reconnaître que je suis battu à plate couture ! Et nos deux chéries nous pompent joyeusement pendant que nous pelotons leurs nichons.

Les gros seins de la blackette

S’en suit une séance de baise assez hallucinante. Après un bon cunni, je me retrouve avec Sylvie, déchaînée, qui s’est empalée sur ma queue en me donnant ses énormes loches à téter. Je suis aux anges, d’autant que, contrairement à ma copine, la blackette semble aimer qu’on joue avec ses seins de manière un peu brutale.

J’aspire ses gros nibards, je les pelote, je les caresse et je finis, dans l’excitation, par les pincer. La coquine se mord les lèvres de plaisir et en redemande. Je suis comme un môme avec un nouveau jouet et notre partie de jambes en l’air finit par virer au SM, pour la plus grande joie de la blackette, qui semble adorer qu’on lui martyrise les seins !

Finalement, après presque une nuit entière à baiser et à partouzer, on se retrouve tous les quatre peinards autour d’un dernier verre. Sylvie me chuchote qu’on ne lui avait jamais fait ça, qu’elle a adoré. Elle se fait câline, ce qui ne me pose pas de problèmes : j’aime plutôt ça après le sexe.

Michel et ma chérie ont l’air d’être aussi ravis que nous de leurs ébats. Ils restent plus distants l’un de l’autre, mais monsieur enchaîne : « franchement, je crois que tout le monde s’est bien entendu, on se revoit bientôt ? ». Tout le monde acquiesce.

Depuis, nous nous voyons très régulièrement. Nous sortons tous les quatre, ensemble, en club échangiste ou en sauna libertin, pour draguer d’autres couples. Et je peux vous dire que les deux poitrines de ces dames font toujours leur effet ! Ce qui nous permet de draguer des couples, y compris ceux qui ne veulent pas partouzer à plus de quatre (oui, ça existe).

Les messieurs sont toujours partants et quand les dames voient ma bite, et, plus encore, celle de Michel, elles se demandent parfois si ce quatuor là n’est pas sorti d’un drôle de film porno.

Le cul de la petite blackette

Dans mon immeuble, il y a une étudiante, une petite blackette qui suit des cours de médecine, qui me fait totalement fantasmer. Elle un de ces culs, je ne vous dis que ça. Le genre petite meuf, avec des belles rondeurs, des gros seins, et surtout des fesses super rebondies. Un vrai cul de blackette, quoi.

Pendant un temps, l’ascenseur a été en panne. Comme on rentrait de la fac autour des mêmes heures, je m’arrangeais toujours pour la suivre dans les escaliers. Ses fesses, toujours moulées dans un pantalon hyper serré, roulaient devant moi, un vrai bonheur !

Mais, maintenant que l’ascenseur est réparé, j’y trouve quelques avantages aussi. Ne serait-ce que les moments passés dans la même cabine qu’elle, presque corps contre corps. Vendredi dernier, nous sommes arrivés dans l’immeuble. Elle m’a fait un grand bonjour, sourire aux lèvres, limite à me taper la bise.

De la bombe, cette nana, je vous jure ! On a donc pris l’ascenseur en même temps et là, comme un signe du destin, la panne ! Elle était toute paniquée, elle m’a dit qu’elle était claustro, qu’elle suffoquait. Moi, pas con, je l’ai réconfortée en la prenant dans mes bras, en lui tenant des propos apaisants, en lui disant de respirer bien profondément.

J’avais sa poitrine presque à hauteur de ma braguette et, malgré la situation délicate, je n’arrivais pas à m’empêcher de bander. Je ne sais pas si elle l’a senti, toujours est-il qu’elle m’a roulé une pelle en me disant :  » t’es gentil, toi… « . Tu parles que j’étais gentil, j’avais surtout envie de me la faire !


Les secours sont arrivés, nous avons été sortis de là. Elle m’a invité à prendre un verre chez elle,  » pour me remercier « . J’ai sauté sur l’occasion, à défaut de pouvoir sauter sur autre chose. Bam ! Un rhum arrangé, puis un autre. L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, il est surtout dangereux pour les petits culs de blackettes !

Après avoir vidé presque à elle seule la bouteille et s’être remise de ses émotions, elle s’est mise à m’allumer, tant et si bien que je me suis vite retrouvé derrière elle, à la niquer en levrette. Je reluquais ses magnifiques fesses rondes et charnues tout en lui faisant du bien. Elle tortillait du fion comme une reine, elle me massait la tige avec sa chatte et m’offrait un spectacle fabuleux, en prime !

Au bout d’un quart d’heure de limage, elle a planté sa tête dans l’oreiller, a pris chacun des deux globes de son cul dans ses mains et m’a supplié, d’une voix à la fois plaintive et excitée :  » tu veux bien me prendre par là, s’il te plaît ? « . Tu parles qu’il me  » plaisait « . J’ai craché un coup sur sa rondelle, pour lubrifier son petit trou, et j’ai massé un peu.

Je craignais de lui faire mal, d’autant que je ne suis pas trop mal monté, mais j’ai posé mon gland sur son anus. J’ai fait coulisser un peu ma tige entre ses deux énormes fesses, puis j’ai tenté la pénétration. Elle a gueulé de douleur. J’ai arrêté.  » Non, vas-y, continue, j’ai envie « .

J’ai retenté ma chance et là, ma bite a été comme engloutie par le petit trou de la blackette, qui haletait maintenant comme une petite chienne. Je me suis planté au fond de son cul, et j’ai arrêté de bouger. C’est elle qui a finalement repris les mouvements de bassin, comme pour sentir encore mieux mon sexe en elle.

De mon côté, j’avais la bite comme enveloppée d’un écrin de soie. J’étais bien serré dans son cul. En plus de la vue imprenable que j’avais sur son popotin, je vivais ma toute première sodomie, mon premier enculage, dans les plus belles fesses que je n’avais jamais vues, ces fesses sur lesquelles je fantasmais depuis près d’un an !

Au bout d’un moment, la blackette s’est retournée. J’étais un peu déçu. J’avais encore envie de l’enculer. Mais, ni une, ni deux, elle a basculé ses genoux au dessus de ses épaules, m’ouvrant à nouveau la voie de son anus. Je m’y suis replongé avec délectation. La vue avait changé, mais ses nichons aussi valaient le coup d’œil.

Après une nuit de baise intense, nous avons pris le café ensemble. Elle m’a alors avoué qu’elle avait un mec, et qu’il la tannait pour pouvoir la sodomiser, mais qu’elle n’osait pas, vu la taille de l’engin du gars en question. En gros, je lui avais dépucelé le cul pour ouvrir le passage à son fiancé.

Moi, dès qu’il s’agit de rendre service aux amoureux…