« Avance, rampe à nos pieds ! Oui, comme ça, c’est bien. Si tu te voyais ma pauvre, comme tu fais chienne soumise, une bonne gouine soumise. »
Ma maîtresse me parlait toujours comme ça devant ses amies. Elles étaient trois avec elle aujourd’hui. Trois de ses camarades de jeu, une rouquine aux formes rebondies, une blonde élancée et une brune pulpeuse avec de très gros nichons. Ma maîtresse est brune aussi mais son point fort c’est son cul, un cul à damner un saint, ou une sainte en l’occurrence.
« Elle est à vous, prenez-la comme elle le mérite ! »
Les trois femmes se sont approchées de moi. Ma maîtresse était assise dans un fauteuil large et confortable, complètement nue, les jambes posées sur les accoudoirs, une main plongée dans sa chatte, l’autre jouant avec ses seins.
J’étais à quatre pattes, à même le sol, sur un épais tapis persan. La blonde a tendu sa main vers mon derrière pour me flatter l’entre fesses, glissant ses doigts dans mon sillon, jusqu’à ma chatte. La brune gironde s’est couchée devant moi, prenant appui sur ses avant-bras. Je savais ce qu’elle attendait de moi et j’ai devancé son appel en allant coller mes lèvres à la fente juteuse de son sexe. La rousse à la peau laiteuse s’est glissée sous moi et a commencé à me sucer les seins alternativement. Je crois que la blonde, de sa main demeurée libre, lui fouillait la vulve car j’entendais des clapotis obscènes dans mon dos.
« C’est bien, qu’elle vous fasse jouir, c’est pour ça que je l’entretiens. Et faites-moi jouir aussi avec votre spectacle excitant de gouines en chaleur. Ca me fait couler entre les cuisses. »
Ma maîtresse aimait bien dire des saletés en se branlant. J’en rajoutai un peu de mon côté, contente de lui faire plaisir avec mes mots crus :
« Ah maîtresse, merci de me donner ainsi à vos amies. J’aime qu’elles se servent de mon gros cul de gouine, qu’elles touchent ma chatte et mes seins. Mais ce que j’aime le plus, c’est goûter ce bon jus chaud qui me coule dans la gueule. »
Je ne mentais pas, j’adorais sentir sous ma langue et sur mes lèvres la mouille de la brune. Celle-ci avait pris ma tête entre ses mains et tirait dessus comme si elle avait voulu se l’entrer toute entière dans le vagin.
Tout à coup, j’ai senti quelque chose d’humide se poser entre mes fesses. C’était la langue de la blonde qui me lapait tout le long de la fente. De mon clito jusqu’à mon petit anneau. Un peu plus tard, elle s’est concentrée sur mon cul en me fourrant un godemichet dans la chatte puis, peu après, elle a fait l’inverse. Ça me rendait folle.
Pendant qu’elle me taraudait la vulve, la rousse y a mis sa bouche. Le gode me pistonnait, m’écartait les lèvres et les lèvres de la rouquine me tétaient le bouton. C’était divin.
Quand ma maîtresse a joui la première fois, ça a été le signal de l’orgasme pour tout le monde. Le salon était empli de gémissements et de petits cris plaintifs mais ce n’était qu’un début, une sorte de mise en condition. Ma maîtresse reprit rapidement ses esprits et la maîtrise de la situation :
« Bon, maintenant qu’elle a joui une première fois, cette gouinasse va pouvoir s’occuper de nous correctement. Il faut quand même qu’elle sache qui est le chef ici. Attachez-la aux barreaux du lit par les quatre membres, elle n’en a pas fini avec nous… »