Exhibée comme une pute

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J’étais au cœur des fantasmes de mon homme, comme si j’avais pénétré sa tête, j’avais accès à ses rêves cochons les plus enfouis. Il m’imaginait en femme soumise, exhibée comme une pute, offerte qu’un homme offre à qui la veut.

Après un déjeuner rapide dans une brasserie où tous les poivrots me reluquaient, c’est dans un sex-shop qu’Anthony m’a amenée, toujours docile, toujours habillée comme une véritable putain. Devant les jaquettes de films X, il m’a faite me pencher pour que les hommes derrière moi puissent contempler à loisir mes fesses moulées impudiquement dans le textile, et que ceux devant moi puissent voir ma poitrine débordant du petit haut indécent.

Sentant venir le bon coup, les clients du sex-shop se sont approchés, et leurs mains se sont vite mises à courir sur mon corps tout entier. A un moment, l’un d’eux a même sorti son sexe pour se masturber tout en caressant mes seins et en pinçant légèrement mes tétons durcis d’excitation.

Mon homme m’a alors pris la main et l’a posée sur la demi-molle du pervers, que j’ai caressé jusqu’à le faire jouir entre me doigts. Excités comme des dingues, les hommes se sont faits de plus en plus pressants, et de plus en plus grossiers. Anthony a donc choisi de m’exfiltrer de la boutique, et m’a emmenée avec lui jusqu’à la bouche de métro la plus proche.

Là, le petit manège a recommencé : les passagers mâles ont tout de suite remarqué la façon dont j’étais habillée et se sont collés à moi. J’avais toujours l’interdiction de les repousser. Puis, nous sommes arrivés à une station que je connaissais pas ou peu.

Nous sommes sortis du métro. Il y avait là une foule bigarrée et cosmopolite d’africains, d’antillais, d’indiens et d’arabes. Anthony semblait savoir exactement où il me conduisait. Nous sommes entrés dans une petite épicerie, tenue par un vieux monsieur algérien très sympathique et très souriant. L’homme nous a invités à le suivre dans l’arrière-boutique.

Là, mon homme m’a ordonné de me déshabiller entièrement. Le regard jovial du commerçant arabe s’est fait plus lubrique. Je me suis vite retrouvée entièrement nue devant lui et mon homme, exhibée comme un objet. Le vieux a pris un appareil photo qui restait dans un tiroir. Il m’a mitraillée, me demandant toute sorte de poses toutes plus salaces les unes que les autres.

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Puis je me suis rhabillée et nous sommes finalement rentrés chez nous. J’étais en feu. Mon mari m’avait exhibée, traitée comme une salope soumise durant toute la journée et je n’avais plus qu’une idée en tête : je voulais qu’il me baise ou même qu’il m’offre à un type pour le remplacer, je n’en avais que faire. Je voulais du sexe.

Mais il n’avait rien prévu d’autre que de me faire l’amour, dans notre nid douillet, profitant de mon intense état d’excitation. Il a pu me demander absolument toutes les positions, toutes les pratiques que d’ordinaire je lui refusais. J’avais envie d’aller très loin.

Une semaine plus tard, ça a été son tour de se soumettre à mes fantasmes. Et je vous prie de croire qu’il n’a pas été déçu. Moi aussi je sais être perverse quand l’envie me prend.

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