La femme de mon collègue

Jacques, mon collègue de bureau, ne pouvait pas ignorer que je bandais pour Sonia, sa femme, une superbe brune à la peau mate et pour ses incroyables nibards, qu’elle exhibait toujours fièrement grâce à des pulls moulants ou de plongeants décolletés. De dix ans mon aîné, il m’avait pris sous son aile à mon entrée dans la boîte, à a fin de mes études et, depuis, nous étions devenus très amis.

Une passion pour la jeunesse, chez lui, sans doute, car Sonia, quant à elle, n’avait pas trente ans quand cette aventure m’est arrivée. J’étais invité à dîner chez eux. Célibataire depuis un an, je partageais avec Jacques mes aventures d’un soir, et lui se régalait de mes exploits horizontaux. Il faut dire qu’il avait l’air d’être un chaud lapin, même s’il ne m’avait jamais avoué quelque infidélité que ce soit vis-à-vis de sa jeune épouse.

Quelle ne fut pas ma surprise quand je me suis aperçu que nos conversations paillardes étaient arrivés aux oreilles de Sonia, qui en a rigolé avec nous durant tout le repas. Elle était splendide, le sourire aux lèvres, les dents blanches, la bouche pulpeuse, les seins comprimés et saillants dans un petit haut dont je ne saurais dire la matière.

Une fois au dessert, un peu gêné de voir étaler ma vie privée devant la jeune femme, j’ai essayé de renverser un peu la situation, en leur demandant à leur tour, de me raconter les détails de leur vie érotique. « Oh, non, on ne peut pas, tu serais choqué ! » me répondit de but en blanc Sonia, avec un air vicieux dans le regard. Jacques eut l’air un peu gêné, et il parvint à reprendre le contrôle de la conversation.

J’étais tout de même un peu troublé par l’assertion de la belle brune. Jacques m’aurait-il caché des choses ? Je les imaginais déjà baisant dans les bois, dans des toilettes d’un restaurant ou où sais-je encore ? Avec ces idées me vinrent quelques images fantasmées de la poitrine de Sonia, nue dans une cabine d’essayage, en train de pomper la bite de son homme.

Je suis donc revenu à la charge. Et, très vite, le vin aidant, les langues se sont déliées. J’ai été estomaqué d’apprendre que Sonia et Jacques fréquentaient le milieu échangiste de la région. Ils connaissaient tous les clubs, et pouvaient dire quelle vendeuse, quelle boulangère et même quelle fliquette « en était ».

Jacques ne m’avait pas raconté tout ça . Mon esprit s’est mis à vagabonder, je me voyais en train de prendre sauvagement le beau cul de Sonia sur la piste de danse. Les yeux troublés par l’alcool, Jacques semblait lui aussi à ses rêveries. D’un ton provocateur, il me lança : « et encore, collègue, tu ne sais pas tout ! ».

Il avait su retenir mon attention. De quoi parlait-il ? Je devais en apprendre d’avantage. « Je suis bi, et il n’y a pas que Sonia qui suce des bites ! ». Ça y était, j’avais compris, ils me faisaient tous les deux une blague, depuis le début ! Je suis alors parti dans un éclat de rire.

Un peu vexé, Jacques insista, mais je ne voulais pas le croire. Il s’est alors levé, s’est approché de moi, m’a caressé la joue, puis l’épaule, puis le torse… Oh ! Où est-ce qu’il croit aller comme ça ? Je ne savais pas comment me comporter, surtout que Sonia se levait à son tour. Et alors que la main de Jacques approchait dangereusement mes parties intimes, je me suis retrouvé avec la poitrine de sa femme juste à hauteur de mon nez.

Elle a retiré son haut, dévoilant ses seins nus. Elle me les a carrément collés dans la bouche. Plus bas, Jacques s’évertuait à sortir ma bite de ma braguette, mais je bandais déjà tellement dur qu’il eut tout le mal du monde à extraire l’objet de sa convoitise de sa cachette. Une minute passa et je me suis retrouvé la tête entre les gros seins ronds de Sonia et la bite dans la bouche de Jacques !

Baise avec mon collègue et sa femme !

Le pire, c’est qu’il suçait vachement bien ! A croire que ce n’était pas la première queue qu’il fourrait dans sa bouche ! Ils ne m’avaient donc pas menti, ces deux cochons là ! En deux temps, trois mouvements, nous nous sommes retrouvés tous les trois au lit, en train de nous lécher et de nous sucer les uns les autres. J’ai même pris le membre de Jacques -mon collègue !- en bouche !

Ils m’ont expliqué qu’ils ne pratiquaient pas la pénétration, anale ou vaginale, pendant leurs jeux libertins. Ils gardaient ça pour leurs jeux amoureux plus classiques. Mais ils m’ont proposé de sortir un de ces soirs, tous les trois ensemble, en club échangiste. Depuis, nous y allons souvent, en trio.

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