Une Africaine me vide les couilles.

Je n’aime pas du tout sortir de ma zone de confort. Je bosse dans la finance, j’ai de l’argent, et j’aime fréquenter toujours les mêmes endroits nocturnes. Je suis un fêtard qui aime picoler. J’ai l’habitude d’aller dans des bars assez posés, avec de la musique électro et branchée, et lorsqu’un pote me demande de l’accompagner dans une soirée reggaeton, je ne suis pas du tout chaud. Il me promet que si je viens, je vais forcément faire craquer une black avec ma belle gueule de blanc-bec.

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J’accepte donc de le suivre, car j’ai super envie de niquer en ce moment. Ma meuf a ses règles, et elle refuse tout contact. Je ne tiens pas plus de deux jours sans baiser… On se rend donc dans cette boîte spécialisée, et il faut bien le dire, je suis quasiment le seul blanc de la salle. Autant dire que sur la piste de danse, je me fais vite alpaguer par deux ou trois Africaines. J’en choisi une et je la prends par la main. Je l’emmène dans les chiottes. J’ai envie de niquer là, tout de suite. Je sens déjà ma queue se durcir. Il y a un peu plus de lumière dans les toilettes et je me rends compte que cette black est loin d’être dégueulasse. Elle a un corps magnifique, une grosse bouche et des yeux de chipie. Elle se met à genoux toute seule, comme une grande, sans que je n’ai rien à demander.

Sa peau est d’un noir profond, c’est assez excitant de se taper une Africaine, une vraie, et pas une métisse comme d’habitude.
Elle me prend la queue dans sa bouche, et je la vois complètement disparaître derrière ses grosses lèvres pleines de rouge à lèvres. Je ne pensais pas qu’une blackette pouvait sucer aussi bien. A vrai dire, pour être franc avec vous, c’est la meilleure fellation de ma vie. Je vous conseille vraiment de vous taper une noire. Bref, cette black me suce comme une déesse dans les chiottes tamisées d’une boîte de nuit. Nous nous cachons à peine, la porte est entrouverte, et des fêtard passent par-là et nous voient. Certains mecs me lancent même des encouragements, car apparemment, c’est un peu la pute de la boîte. Il paraît qu’elle adore se la prendre dans le cul, alors je lui demande de se lever et de me présenter sa rondelle.

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C’est moi qui me mets à genoux et je commence à lui lustrer le trou de balle avec la langue. Y a pas à dire, une black, ça sent fort du cul. Mais c’est trop bon de pouvoir lui lécher la raie. Son cul est vraiment tout noir, c’est impressionnant. Il n’y a qu’au goût que je peux localiser son petit trou. Cette odeur de cul finit de me faire bander, je me lève et décide de lui enfoncer mon dard au plus profond de sa boîte à caca. Je n’ai malheureusement pas bu assez de verres pour tenir assez longtemps, et l’étroitesse de son cul a raison de mon endurance. Au bout de quelques coups de bite dans ses fesses noires d’Africaine, je commence à gicler. Elle pousse un petit cri « Non pas dans le cul », et je sors vite pour me finir sur ses fesses sombres et dodues. Je me souviendrai longtemps de cette sortie nocturne, et je remercie encore mon pote de m’avoir fait découvrir les charmes de l’Afrique!

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