19 ans, suceuse de papis dans un bar tabac

Je suis une jeune fille de 19 ans. J’aime la vie, m’amuser, sortir dans les bars, comme toutes les jeunes filles de mon âge. Je vais souvent dans un petit bar tabac PMU du centre du village. Je ne sais pas pourquoi j’aime me rendre dans cet endroit, mais on rigole bien ? Il y a toujours deux habitués, des vieux de 60 ans, qui me regardent avec un peu trop d’insistance. Je vais au bar comme tous les jours après les cours.

Tu veux baiser une jeune salope ?

Il n’y a pas grand monde aujourd’hui, hormis les deux vieux poivrots qui sont en train de siroter un verre de rouge. Ils sont déjà bourrés, et le patron doit quitter les lieux pour chercher une livraison urgente. Il confie les clés à son pote, un des deux bonhommes. Merde, je me retrouve seule avec eux. En même temps, je l’ai bien cherché. Tout de suite, le plus vieux se lève et se dirige vers moi en sortant sa queue. Il a un zizi d’une taille honorable. Il me dit: « maintenant qu’on est seul, tu vas nous sucer et nous vider les couilles petite pute ». Oh, du calme les gars. Ils me regardent méchamment, je ne veux pas de problème, alors je me baisse et j’attrape la pine du gars.

Elle sent fort, mais je dois le sucer, je suis obligée de le faire. Je n’ai que 19 ans, et je suis en train de pomper un vieux gars pendant que son pote nous regarde en se branlant. Je suis tombée bien bas… Sa bite a vraiment un sale goût, j’ai beaucoup du mal à aspirer plus loin que la moitié, mais je fais l’effort d’aller au plus profond de ma gorge.
Je tousse et je me retiens plusieurs fois de gerber. Je décide de prendre ma bouteille de Despé et de la verser sur son gland. Mmmmmmmh, maintenant, c’est bon! Le deuxième bande maintenant et veux aussi que la jeunette lui pompe le bout, ce que je fais tout de suite. Je ne lâche pas la première, je la tiens bien en main, comme le manche d’un avion.

19 ans, et pompeuse de papis !

J’ai les deux vieilles tiges dans mes petites mains, et je les suce à tour de rôle. Les papis m’insultent et me mettent des gifles. Je les regarde avec un air de chienne obéissante. Je sors la langue à fond et je claque les glands dessus, comme dans les films de cul. Je pompe très bien, et le premier ne tient pas le choc et commence à me jouir sur le visage. Il m’en fout partout, même dans les yeux. Son sperme est dégueulasse. Ça me dégoûte d’avoir sa purée de couilles sur ma gueule et dans ma bouche, mais il faut finir le boulot avec le deuxième. Je l’aspire encore plus fort et plus vite. Je ne veux pas trop trainer, je dois faire mes devoirs. Je prends ses vieilles baloches en main et je les presse doucement tout en lui léchant le bout de la queue. Son chibre gonfle d’un coup et il se met à me jouir dessus. Comme son collègue, il me recouvre de liqueur de couilles. Les deux grands-pères sont repus et me demandent de me barrer, ce que je fais aussitôt. Je rentre chez moi et je m’essuie la tronche avant que mon père ne rentre du boulot, je veux rester sa petite princesse de 19 ans, il ne faut pas qu’il me voie comme la pute que je suis réellement…

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