Une beauté indienne en appel une autre !

Tu cherches un plan cul avec une beauté de l’Inde ?

Priyanka 24 ans, était une beauté indienne, brune, à la chevelure soyeuse et aux yeux bleus troublants. Dès l’instant où je posais le regard sur elle, je sentis une alchimie se produire, je crois que ce fut un coup de foudre. Il y avait cette petite étincelle dans ces yeux qui traduisait autant qu’à moi un désir profond.

En quelques deux jours seulement, nous allions avoir notre premier rapport sexuel, chez moi. Ce fût la première fois que je fourrais ma queue dans un minou indien. C’était magique, d’autant plus que sa façon de niquer était au-delà de mes espérances. Comme elle était très calme, je m’attendais à découvrir une partenaire timide au lit, à la place j’eus droit à un cours d’illustration du Kamasoutra, des positions dont je ne soupçonnais pas l’existence m’ont été révélées avec des explications à l’appui. Sérieux, qui mieux des indiens peux maîtriser l’art du Kamasoutra. Toujours est-il que nous avions pris notre pied, moi en particulier.
Le lendemain de cette partie de jambes en l’air merveilleuse, Pry souhaitait me présenter à sa meilleure amie, une certaine Fanny qu’elle connaissait depuis l’Inde puisqu’elle était la fille du plus proche collaborateur de son père. Bref, cette rencontre s’organisait chez moi dans une ambiance très amicale. Fanny était une nana super sympa et surtout aussi belle que Pry sauf qu’elle était du genre très chaude. Peu avant la fin de l’aprèm Pry, prise d’un coup de fatigue alla faire une sieste en chambre et me laissais avec Fanny au salon.
Cette nana culottée me demandait sans gêne les détails du rapport sexuel que j’avais eu avec son amie. C’était complètement déplacé, je me refusais tout commentaire, lorsqu’elle commença à me balancer tout ce que Pry lui avait dit à ce sujet, y compris ma manière de gémir. Elle me confia que Pry, ma beauté indienne, avait kiffé mon pénis et qu’elle aussi voulait goûter à mon nectar. La salope me draguais direct, j’étais mal à l’aise et excité en même temps, elle était bonne et moi j’aimais bien les plans cul risqués. C’est ainsi qu’elle m’empoigna la bite pour la sucer sur le canapé. C’est tout ce que nous fîmes, je n’avais pas assez de courage pour la niquer sous le nez de Pry, alors on se fixait rendez vous pour plus tard dans la soirée aux alentours de 23 H à son appartement.

Pas au bout de mes surprises avec cette beauté indienne !

A 23H tapante, je me retrouvais à malaxer le cul de Fanny dans sa chambre. Je lui dérouillais un cunnilingus bien pimentée qui la fit trépigner de plaisir comme un serpent. Elle me propose qu’on se lèche mutuellement en 69, chose qui me plaît fort bien. Les préliminaires allaient bon train et nous étions sur le point de passer à la vitesse supérieure quand on entendit sonner. Fanny pris un peignoir, me dit alors de rester calme et de ne pas faire de bruit avant de m’inviter à me cacher derrière la porte de sa chambre. Sur le coup, j’ai commencé à imaginer le pire des scénarios… ma pression s’accentua quand j’entendis une voix féminine qui me semblait familière… c’était Pry.
Si elle me voyait là, entre nous c’est serait mort ! Pendant que je réfléchissais à trouver un moyen de me tirer de ce pétrin, je les entendis marcher en direction de la chambre, elles y entrèrent… Pry s’allongea sur le lit, et Fanny monta sur elle pour lui rouler une pelle de malade. Je n’en croyais pas yeux, ces deux là baisaient ensemble ! J’assistais caché à toute la scène lesbienne torride que ces deux indiennes me soumettaient. En plus Pry n’avait rien d’une douce cocotte, elle était active et très salope.
Pendant qu’elle s’éclatait comme des malades, Fanny me fit signe de les rejoindre. Pry ne fut même pas surprise de ma présence, elle et sa perverse de copine me firent une fellation démentielle. Mon excitation n’allait pas tarder à atteindre son apogée, je n’avais plus qu’une seule envie, les enfourner comme si c’était la dernière baise de ma vie. J’allais commencer par Pry, je lui assénais des va-et-vient sauvages pour la sanctionner d’avoir bien cachée son petit jeu de salope. Puis vint le tour de Fanny. Ces deux coquines m’épuisèrent à me faire enchaîner des positions du kamasoutra, j’avais l’impression que le kamasoutra intégrale était imprimé dans leur ADN. Je compris à la fin que ces deux gouinasses ne se cachaient rien, notre triolisme était l’aboutissement d’un plan commun.

Jeune couple africain baise avec leur riche propriétaire

Marleine est une bourgeoise qui a investi dans l’immobilier. Au centre de Paris, elle est propriétaire de plusieurs immeubles de standards différents. Ayant confié la gestion à une agence, elle passe souvent faire des visites pour voir l’état des lieux de ses investissements. À 59 ans, elle est veuve et sa vie sexuelle est un trou noir. Après avoir visité plusieurs plateformes de rencontre, elle n’a jamais trouvé quelqu’un qui correspond à son profil, il faut dire que son rang social ne lui permet pas de voir n’importe qui. Dans un de ses appartements, vit un jeune couple africain. Le mari ayant perdu son job tout récemment, la femme n’a pas un revenu assez conséquent pour supporter la charge locative.

Cela fait donc trois mois qu’ils n’ont pas payé le loyer et, l’agence a décidé de porter plainte. Mais avant, l’avis de la proprio s’impose.

Elle et le couple ce sont donc donnés rendez-vous un samedi matin pour en discuter, sans la présence des agents immobiliers. Un règlement à l’amiable est toujours envisageable car, notre bourgeoise déteste les tribunaux, surtout pour de telles affaires qu’elle considère comme du menu fretin.

Il est 10 heures, toujours aussi ponctuelle, Marleine arrive et sonne au bas de l’immeuble quand elle entend la voix de Fatou l’épouse, qui lui demande de monter.

Quelques minutes plus tard, elle est accueillie par Fatou qui lui offre un café d’entrée de jeu.
Assis tous les deux sur le grand canapé, ce jeune couple africain écoute religieusement la proprio, qui leur fait la génèse de sa fortune. Elle dit avoir travaillé dur avec son époux, qui malheureusement est décédé, pour construire et acheter tous ces biens immobiliers. Le couple africain écoute attentivement…

Marleine : Je suis une femme d’affaire et je ne pourrais accepter un tel comportement de la part de mes locataires. Il faut impérativement que nous trouvions un terrain d’entente car, les tribunaux, j’en ai une sainte horreur !

Le mec, Jean, est un malgache, type métis, 30 ans, bel homme, grand et séducteur et, sa femme est une black d’origine sénégalaise, bien foutue, une belle poitrine et des lèvres pulpeuses. Fatou est agée de 28 ans, elle a acquis la nationalité française et travaille comme assistante de direction dans une petite société de fruits et légumes.

Le couple africain va se taper la mature !

Après plusieurs explications et supplications, la proprio est restée bouche bée pendant quelques minutes.

Avec une voix polissonne, elle rompt le silence :

Marleine : Et si on je vous proposais quelque chose de très inhabituelle ?

Elle fixe Jean qui lui retourne un regard coquin en lui disant :

Jean : Tout ce que vous voudrez madame, nous sommes prêts à tout pour ne pas aller être expulsés.
Marleine : Je vous laisserai encore trois mois à condition que vous me fassiez une petite gâterie.

Alors qu’elle s’apprêtait à opposer un refus, Fatou fit stopper subtilement par son époux qui lui souffla ensuite quelques mots à l’oreille.

Jean : J’ai compris et nous sommes d’accord.
Marleine : Alors, qu’attendez-vous pour commencer ?
Jean : Humm, elle est coquine la proprio ! Ne vous en faites pas, nous sommes sur la même longueur d’onde !

Toute honteuse, Fatou ne comprenait pas ce qui arrivait, elle était obligée de suivre son époux dans tous ses faits et gestes. Un vrai joueur, il a l’air d’avoir l’habitude de ce genre de situation.

Première queue black pour la proprio

Il se mit donc à embrasser sa femme en fixant Marleine des yeux. Le pervers galoche pour rendre la chose un peu plus cochonne. Il glisse ses mains sous la mini-jupe de Fatou puis, la doigte pendant qu’il déboutonne sa chemise. Elle a une grosse poitrine qui fait baver la dame.
Jean tire sa muse par la main afin que tous les deux rejoignent la proprio pour la faire participer.
À son tour, Fatou la franco-sénégalaise se montre libertine, elle galoche avec Marleine pendant que Jean introduit sa tête entre ses cuisses.
Toute mouillée, ça faisait longtemps que cette bourgeoise n’avait joui de la sorte, quel pied !
Jean sort son pénis et le montre à Marleine qui sera tout de suite impressionnée par sa taille et sa grosseur.  » je peux la sucer ? « , demande-t-elle avec excitation.  » elle est à toi « , lui répond Jean.

Avec son accent à la fois africain et français, Fatou dit à Marleine : « Elle est à toi, mais laisse moi prendre les testicules ».
Une double turlutte qui amènera le veinard à baiser sa proprio et sa femme pendant une trentaine de minutes.

Grâce à cette journée, ils ont eu droit à 5 mois gratuit avec une visite mensuelle de Marleine la gourmande. Fatou est devenue moins coincée et… tout le monde est content !

Moi, mariée, devenue femme infidèle lors d’une partouze au bureau

Nous sommes lundi matin et je me trouve dans mon bureau, toute en larme et animée par un sentiment de souillure, de trahison et d’humiliation, moi femme mariée, moi femme infidèle.. Je ferme les yeux et je revois la scène qui s’est passée le vendredi, en fin d’après-midi, alors que je m’apprêtais à rentrer chez moi retrouver ma famille. Mon époux avait réservée une surprise pour mon anniversaire et j’avais hâte de rentrer pour voir ce qu’il avait concocté pour mes 40 ans.

Mariée à l’âge de 25 ans avec Julien, qui en avait 32 à l’époque, je lui avais promis fidélité éternelle, amour et soutien, contre vents et marées, pour le meilleur comme pour le pire. Nous avons toujours vécu dans l’entente et l’amour, nous avions surmonté des hauts et des bas et, il faut souligner que les « bas » étaient bien rares.

Quelques mois après mon mariage, je fus embauchée comme assistance de direction dans la société dirigée par le meilleur ami de mon époux, Henry. Sous sa houlette, j’ai toujours eu des traitements de faveur qui rendaient parfois jaloux mes collègues.

Henry et moi discutions beaucoup, quand on n’est pas planché sur un dossier épineux de l’entreprise où il prêtait toujours une attention particulière aux conseils et suggestions que je lui faisais, nous rigolions, parlions de tout et de rien et surtout, aimions chambrer mon Julien qui est le roi des bourdes.

Cette entente était amicale et courtoise, il m’a fait aimer l’entreprise, mon intégration a été tellement facile que j’ai eu l’impression, dès les premiers mois, d’y avoir toujours travaillée.
Henry n’était pas marié, il était juste en couple avec Mélanie, une fille qui n’aimait que s’amuser, elle ne songeait pas à fonder une famille. Cette situation le rendait instable et, il me demandait conseil à chaque fois, ma réponse était toujours catégorique :  » tu devrais aller voir ailleurs « .

Cependant, Henry ne pouvait pas se passer d’elle, elle était enjouée, belle, avait un humour inégalable et toujours opportune ; sa personnalité attachante et instable était comme une drogue pour ceux qui l’approchaient, elle était une mauvaise  » fréquentation  » mais irrésistible.

Femme infidèle baisée en trio au bureau

Un soir alors qu’on dînait tous les trois ( mon époux étant en voyage ), cette diablesse fit des suggestions qui m’ont gênées au plus haut point, j’étais tellement embarrassée que j’en devenais toute rouge.

En effet, elle suggérait une soirée arrosée qui finirait par une partouze. Diantre! Moi la super catho, moi dont on a toujours enseignée la vertu, comment pouvait-elle oser ?
En face, je voyais le regard tout aussi gêné d’Henry qui a tout fait ensuite pour réinstaurer une ambiance moins crispée.

Cette suggestion déclencha une envie de trahison, mais, je repoussais cette idée qui me hantait désormais mais qui faisait mouiller ma petite culotte. Il suffit que je ferme un oeil pour commencer à penser, à imaginer des scènes horriblement érotiques où Mélanie me caresse la chatte tandis qu’Henry m’embrasse avec ses lèvres fines. Quand je revenais à moi, le sentiment de culpabilité m’envahissait et, je jurais d’éteindre à jamais ce fantasme sordide qu’avait stimulée cette sotte.

Revenons à ce vendredi après-midi en entreprise. Il faisait assez tard, presque tout le monde était parti, Henry et Mélanie m’avaient fait une petite surprise en venant me rejoindre dans mon bureau, une bouteille de champagne et trois verres en mains, pendant que Julien m’attendait à la maison.

Je me laisse aller à une baise en trio

Mélanie fit éclater le champagne, s’approcha de moi et me roula une pelle par surprise. C’était tellement agréable que je l’embrassa aussi, sous le regard coupable et endiablé d’Henry. Me prenaient-ils pour une femme infidèle ?

C’était parti, allais-je atteindre le point du non retour ? Mélanie avait, en tout cas, l’air de s’y connaître. Je ne sais pas comment ses doigts ont fait pour toute atterrir dans mon vagin qu’elle titillait pendant qu’Henry avait déjà déboutonné ma chemise, je sentais ses mains douces sur mes seins qui durcissaient.

Moi, j’ai participé en dézippant la braguette d’Henry pour lui faire une branlette, puis une fellation, pendant que sa copine ne cessait de faire passer sa langue entre mes cuisses.
Nous avons baisé pendant une trentaine de minutes avant qu’ils ne m’abandonnent toute seule au bureau. En larmes, en pensant à mon Julien. J’étais devenue une femme infidèle…

Décoratrice d’intérieur défoncée par un client peu loquace

Tu cherches une rencontre hard avec une JF de ta région ?

Décoratrice d’intérieur défoncée farouchement par un client peu loquace
L’envie d’être autonome financièrement et professionnellement m’emmena à démissionner de mon emploi, généreusement payée, pour me lancer à mon propre compte dans un domaine qui me passionne, la décoration d’intérieur. Hélas, quelques sept mois après avoir créée mon entreprise, j’allais vite faire face aux réalités de entrepreneuriat. En effet, les prévisions escomptées n’étaient pas au rendez vous, il me fallait absolument conquérir une plus large clientèle pour maximiser mon profit, et solder les fournisseurs qui s’impatientaient. Un matin je reçus un coup de fil un monsieur qui avait consulté une de mes annonces et souhaitait en conséquence louer les services d’un décorateur pour l’embellir. Nous prîmes rendez-vous le même jour au alentour de 16 H à son domicile. Cette offre ne pouvait pas mieux tomber, mais bon je ne m’emballais pas tout de même car rien n’était encore conclu.

J’arrive chez lui, je sonne, une domestique vient m’ouvrir et m’installe dans un salon en m’indiquant que son patron prend une douche. Quelques minutes plus tard, le monsieur, d’une cinquantaine d’années se présente en peignoir. Il me propose une tasse de thé et nous rentrons dans le vif du sujet. Je l’écoute religieusement exprimer ces attentes, puis je lui suggère des propositions, croquis à l’appui, et une liste de shopping, bien sûr tout cela après avoir procédé à la visite intégrale de la maison. Mais avant de conclure le contrat il souhaite, dit-il, me poser quelques questions.
– Dites moi, vos affaires marches bien ?
– Honnêtement pas vraiment, je suis dans une phase critique qu’il me faut absolument surmonter en redressant mon chiffre d’affaires sinon, je serai bien contrainte dans cinq mois tout au plus de déposer le bilan.
– Ne vous décourager pas, l’échec et la difficulté sont des passages obligés en matière entrepreneuriat. Moi-même j’ai connu de tels moments dans mes débuts d’entrepreneurs. Aujourd’hui, mes activités génèrent un CA de 15 millions d’euros par an. A ce propos, j’ai acheté un hôtel particulier qui mériterait bien un coup de neuf en terme de déco. Cela vous intéresse ?
– Oh bien sur !!
– En plus de l’hôtel, j’ai d’autres bien immobiliers, que je vous pourriez aussi gérer… mais qu’avez-vous à m’offrir en retour ?
– Mon expertise et un rendu suffisamment qualitatif pour contenter vos exigences…
– C’est tout ?!
– Je ne vous suis pas…
– Dans la vie pour réussir, il faut savoir faire des sacrifices.

Le deal du client vicieux

Avant même que je ne lui demande ce qu’il veut concrètement en retour, il sort son pénis du peignoir. A ce moment, tout est clair dans ma tête, c’était trop beau, trop parfait ! Je panique, sur le fait, j’ai envie de lui mettre un poing dans la figure et dégager en vitesse. Mais, il était ma voie de sortie. J’ai alors laissé l’intérêt l’emporter sur la raison.
– Maintenant que tout est clair, déshabille toi et suce moi la queue.
– Nous n’allons pas en chambre ?
– Non, ici au salon c’est parfait mais…
– Cesse de poser des questions et fais ce que je te dis !

Baise en trio dans l’hotel particulier

C’est ainsi que timidement, je me mettais à poil, m’agenouillais devant le siège sur lequel il était assis pour ensuite lui tailler une turlutte. Pendant que je m’attelais à lui pomper le manche, il fit appel à la domestique, une jeune africaine, sensiblement du même âge que moi, 25 ans, pour se joindre à nous. Elle et moi, étions alors entrain de sucer la queue et les couilles du type en tandem jusqu’à ce qu’il jouisse sur nos visages. Pensant que c’était terminé, je l’entendis dire :  » roulez vous une belle pelle « . Comme des esclaves nous nous exécutâmes. Au bout d’un moment, tout le dégoût qui m’animait au début avait fait place à l’excitation. J’étais excitée par Aline, elle embrassait comme une déesse et ses caresses étaient divines. Sa langue parcourait chaque centimètre de ma peau avant de croiser le chemin de mon clitoris. Elle me fit jouir comme jamais auparavant. C’était bon, c’était fort !
Le type ayant retrouvée son érection après l’éjaculation, vint me défoncer la chatte en levrette pendant que je léchouillais le minou d’Aline. Ces coups de bites étaient puissants et douloureux. Après m’avoir dévissée farouchement la moule, il prit Aline le trou du cul d’Aline en chaud, qu’il défonçait avec la même énergie que ma chatte. Pendant ce temps, je servais à nouveau ma chatte à Aline…
Cette expérience fut la plus improbable de ma vie, en plus à partir de là, je suis devenue bisexuelle et aujourd’hui encore je sors avec Aline ! Et grâce à ce monsieur, ma société est prospère !

Gang-banguée dans une secte naturiste

Ma meilleure amie m’avait convaincue d’intégrer sa meute de naturiste. C’était une femme d’une trentaine d’années comme moi, et nous partagions tellement de choses sauf sa passion pour le naturiste. Pudique, je n’osais pas franchir le cap, pourtant ça m’attirait vraiment. Surtout que je ne suis pas du genre à garder mes fringues quand je suis seule chez moi.
Elle me présentait à sa meute constituée d’une dizaine de personnes de tout âge confondu. La plus jeune personne avait 22 ans et le plus vieux, 60 ans.
Ils trouvèrent les mots juste pour me mettre à l’aise et leur accueil fut si chaleureux que ma timidité disparu spontanément.

Je faisais à présent partie de la meute mais il ne me restait plus qu’à rencontrer le mâle alpha qui était absent pour des raisons professionnelles. J’allais finalement faire sa rencontre quelques jours plus tard à la plage, nous étions tous réunis à poil. Lorsque je le vis, je compris pourquoi il était l’alpha, d’abord, il avait la plus grosse teub de tous les mecs, elle faisait au moins 15 cm au repos, ensuite, il était charismatique et séduisant.
Sur le coup j’ai été séduite par sa personnalité. Ce jour là, il m’accorda une attention toute particulière, étant donné que j’étais à l’honneur. Il tenait un discours doux et attentionné à mon égard, sa voix me charmait autant que ces paroles. Je me sentais acceptée et désirée. Ce beau gosse avait trouvé les mots justes pour me mettre sous son emprise. Si bien que lorsqu’il commença à me caresser, je le laissai faire, puis il me déposa un baisé sur le cou, me doigta avant de me faire un cunnilingus.
Quand je me mis à lui pomper le zob, il doublait de volume en quelques secondes pour se transformer en une bite imposante de 25 cm environ.
La teub monstrueuse allait quitter ma bouche pour se rabattre sur mon minou. J’ai eu chaud à la pénétration, car c’est bien la première fois que ma chatte recevait une telle décharge. Une fois bien dilatée, je ne ressentais plus que du plaisir qui allait me garantir des orgasmes bien fort.
Pendant que je me faisais lustrer sur la plage, les autres membres du groupe, eux s’était aussi mis à s’envoyer en l’air. C’était une grosse orgie. J’aperçus mon amie entre deux gaillards à leur tailler des pipes.

Baisée puis gang-banguée !

Un autre mâle vint me donner sa trique à pomper pendant que le master me refaisait le portrait vaginale. Sans me demander mon avis, ce dernier me pénétra au cul à sec. Je ne vous raconte pas la douleur ! Son gros pénis dans mon cul m’arracha de vigoureux cris. Très vite tous mes trous se bouchèrent de bites, une dans le cul, une dans la chatte et une dans la bouche. Tous les mecs vinrent tour à tour me fourrer comme une catin.
Il pleuvait des bites de partout au point où j’arrivais plus à me concentrer sur ce qui se passait réellement autour de moi. Mais encaisser tous ces glands me fit avoir plusieurs orgasmes.
A mesure que cette baise se prolongeait, mon corps recevait de plus en plus de sperme. J’en avais partout et même dans les cheveux.
Lorsque les mecs se retirèrent tous, les femmes y compris mon amie vinrent me lécher le clitoris et les seins. Comme c’était bon. Gang-banguée par tous ces chauds lapins…
Tous se mirent à me féliciter, le mâle alpha en premier car j’avais réussi mon rite initiatique, je faisais à présent parti de la famille. Il me rappela que le credo du groupe était : « partage, sans tabou ». L’orgie se poursuivit avec les autres nanas, moi, j’avais besoin d’un peu de repos pour récupérer.

Les touristes japonaises sont bandantes, la preuve !

Les touristes japonaises sont bandantes

C’est un des avantages à vivre dans une ville comme Paris. On y voit des filles de toute nationalité. Entre les étudiantes Erasmus et les touristes, on peut niquer des nanas de toute l’Europe, et du monde entier, quand on s’y prend bien ! De mon côté, après avoir fait l’union européenne avec ma bite, je me suis attaqué aux touristes japonaises, sans trop y croire au début, mais avec une certaine obstination.

J’avais essayé d’apprendre, pour le boulot, à la fin de mes études, quelques rudiments de japonais. En vain. Il faut croire que ma libido est toujours la plus forte car le projet d’aborder quelques touristes nipponnes dans les coins les plus fréquentés par elles dans la capitale m’a beaucoup plus motivé.

J’ai donc appris à dire « bonjour », « bonsoir », « merci », « je vous en prie », « bon appétit » et même « vous êtes très jolie, pourrais-je connaître votre prénom ? » et pas mal de niaiseries dans le genre. Pas de quoi tenir une conversation, je vous l’accorde, mais assez pour éveiller la curiosité des donzelles en goguette à Paris.

Ensuite, je suis parti sur les Champs-Elysées, puis au pied de la Tour Eiffel, sur la Butte Montmartre… et rien. Les Japonaises étaient amusées de mes tentatives, sans plus. J’allais presque abandonner quand je me suis retrouvé un soir, en rentrant du boulot, dans la même rame de métro qu’une bonne vingtaine de nippones.

Ah ! Avec leurs jupes plissées, leurs appareils photos toujours sur la qui-vive et leurs sourires émerveillés ! Elles étaient trop bandantes ! Et comme le métro était bondé, à cette heure de pointe, je me suis retrouvé coincé au beau milieu du groupe, frottant bien involontairement les cuisses nues, frôlant les seins. Je n’ai pas pu résister, j’ai tenté ma chance.

Et comme pour multiplier celle-ci, j’ai essayé d’aborder trois petites meufs, au lieu d’une seule, comme à mon habitude. Elles ont du se sentir plus en confiance, par effet de groupe, mais toujours est-il que deux d’entre elles ont accepté de me suivre dans un café aux allures très françaises pour boire un dernier verre.

Nozomi, grande bringue élancée au joli cul ferme et aux petits nichons était la meneuse. Plus timide, et plus ronde, avec deux beaux gros seins, Haruna semblait plutôt suivre son aînée. Je leur ai fait goûté au pastis, la boisson de ma région d’origine, qu’elles ont adoré. Au point d’être un peu pompettes, sans être non plus complètement bourrées.

L’heure avançait, et je ne savais pas avec laquelle tenter vraiment le coup. Pris d’un élan de témérité que l’alcool avait accentué, j’ai essayé d’avoir les deux, en leur proposant de découvrir d’autres spécialités françaises inconnues des Japonais… chez moi !

Ni une, ni deux, les deux copines ont accepté. Dans un premier temps, je me suis dit que c’était dans la poche. Puis je me suis rappelé des différences culturelles entre nos deux pays. Peut-être que d’accepter de suivre un garçon inconnu chez lui ne voulait rien dire, au Japon ?

Deux japonaises très bandantes !

Tu parles ! Je n’ai rien eu le temps de leur faire goûter, comme spécialité française. Mise à part ma bite… Je me suis retrouvé en moins d’une demi-heure entièrement nu sur mon lit, avec mes deux japonaises topless qui s’occupait de me tailler une turlutte à deux bouches rien moins que prodigieuse. De temps à autre, Nozomi lâchait un peu ma verge pour laisser sa copine Haruna m’offrir une branlette espagnole. Ou hispano-nipponne, devrais-je dire.

A ce stade, je veux évoquer la vieille légende selon laquelle les femmes japonaises ont un savoir-faire sexuel que devraient leur envier les Occidentales. Et bien : je confirme ! Alors, bien sûr, ce n’est pas bien difficile de faire grimper aux rideaux un queutard dans mon genre quand on lui offre un trio avec deux nanas, mais tout de même !

Pas bisexuelles pour deux sous (mon seul regret), les deux Japonaises ne se sont occupées que de moi, prenant manifestement leur plaisir à rivaliser de caresses avec leurs doigts, leurs bouches et même leurs vagins. Quand l’une me tendait son cul en levrette, la seconde prenait le relais en s’asseyant sur ma queue et en tortillant du cul pour me faire prendre un maximum de plaisir.

Et puis, tout à coup, sans prévenir, toutes les deux se sont mises à se masturber devant moi, réclamant par des mimiques que je leur colle ma bite dans la bouche. L’une a pris ma hampe entre ses lèvres, l’autre mes couilles, et elles ont sucé jusqu’à ce que je jouisse sur leurs visages, déclenchant chez elle un orgasme simultané.

Je ne sais pas si elles ont appris ça dans un livre ou dans un film porno, mais aucune nana européenne ne m’avait jamais fait ce coup là !

J’aime le sperme et le bukkake

J’ai longtemps hésité avant de raconter ce qu’est ma vie sexuelle. Je sais que beaucoup ne me comprendront pas, mais je suis comme ça, et je jouis je pense bien plus que la moyenne des femmes, y compris des libertines, qui, parfois, sont bien plus coincées qu’on ne l’imagine.

Moi, mon truc, c’est le bukkake. Vous ne savez pas ce que c’est ? Je vous explique. Dans les temps anciens, au Japon, quand une femme était convaincue d’adultère, on la mettait nue sur la place du village, et les hommes venaient se branler sur elle et giclaient leur sperme sur elle. L’humiliation intégrale.

Maintenant, le bukkake, la douche de sperme si vous préférez, est devenue une pratique érotique, porno, si vous préférez. Et bien moi, ça me fait fantasmer. Rien que de vous écrire ces lignes, j’ai la chatte toute trempée.

Déjà, j’adore être le centre des attentions : avoir 10, 20 ou 50 hommes rien que pour moi, ça m’excite terriblement. Ensuite, j’adore sucer des bites. C’est pour moi plus jouissif que de me faire limer le sexe ou l’anus. Enfin, et c’est là la clé, j’aime être humiliée, traitée comme une pute, et servir de vide-couilles à tous les hommes.

Et quand je dis « tous les hommes », ça n’est pas qu’une façon de parler. Je ne fais aucune sélection : les beaux, les jeunes, les noirs, les blancs, les gros et les moches, tous ont droit de se faire sucer, de me peloter, de m’insulter et de gicler sur moi. C’est même ça qui est excitant.

J’aime sucer des bites

Quant aux bites, c’est pareil. J’aime les grosses raides, bien sûr, mais je ne refuse pas non plus de pomper une petite molle, du moment qu’elle est propre. Et que les hygiénistes se rassurent, je n’ai jamais eu le moindre pépin de santé, à part une aphte, un jour.

Je fais ça dans les clubs échangistes, lors des soirées gangbang, dans un cinéma porno vers chez moi ou dans des parkings, des parcs, la nuit. Je m’habille sexy, dans une robe achetée dans un sexshop, avec un large décolleté qui met bien valeur mes gros nibards et je commence à allumer tout le monde.

En général un gars commence à me peloter. Je me mets à genoux, je sors sa bite et je le suce. Très vite, il y a un attroupement. Quand il y a assez de bites autour de moi, je dis : « traitez-moi comme une salope ». Ces quelques mots suffisent à déclencher l’hystérie de ces messieurs. Ils se mettent à me baiser la gorge, à me peloter de façon rude, à m’insulter…

C’est à ce moment là que je commence à me masturber. Et je jouis plusieurs fois pendant une séance. En général, quand un homme plus généreux que les autres en foutre m’arrose les nichons ou le visage. Je ne me fais pas baiser, mais je les branle, je les lèche, je les sucer et je les astique entre mes seins.

Et, parfois, je vais beaucoup plus loin. L’excitation et les orgasmes successifs aidant, je perds totalement le contrôle de moi-même. La dernière fois que je suis allée sur un parking, vers 1 heure du matin, j’ai croisé la route de quelques-uns de mes habitués.

Après le bukkake, ils me pissent dessus !

J’ai pompé des bites pendant des heures. Il en venait de tous les côtés. Certains appelaient des potes depuis leurs portables, d’autres faisaient passer le mot, sur les réseaux sociaux, pour dire qu’une grosse salope suçait gratis sur l’aire d’autoroute.

Je ne sais pas combien j’ai reçu d’éjaculations ce soir-là. Peut-être 50. ce que je sais, c’est que j’ai eu quatre orgasmes. Et, au bout du troisième, j’avais perdu toute retenue. Si bien que je les ai regardés, tous ces mecs autour de moi et je leur ai demandé : « pissez-moi dessus, s’il vous plait ».

Ils n’ont pas hésité longtemps. Et toute cette pisse chaude qui est tombée sur moi m’a lavée du sperme qui commençait à s’agglutiner sur ma peau. Et ces salauds en profitaient, en me traitant de tous les mots. « Salope, vide-couilles, éponge à foutre, chienne ! », j’ai eu droit à tout.

Sauf qu’à la fin, je devais sentir fort le sperme et l’urine, si bien que plus personne ne voulait jouer avec moi. Alors, je me suis masturbée, là, nue, à genoux sur le bitume. C’est là que le quatrième orgasme est venu, violent. J’ai cru que j’allais m’évanouir tellement c’était bon !

Vous pensez que je suis une folle, une tarée incapable de jouir normalement ? Alors demandez-vous si votre femme a autant d’orgasmes qu’elle le prétend. Si c’est aussi bon que ça, le sexe à la papa. Et demandez-vous surtout si mes fantasmes sont si éloignés des siens, quand, dans sa petite tête de femme rangée, elle se rêve entourée d’une forêt de bites à son entière disposition.

Gang bang entre une couguar et des jeunes étudiants

A la suite de mes deux mariages ratés à cause de problèmes d’infidélités de mes ex époux, j’ai fini par faire le choix de vivre en célibat, tout en ayant une vie sexuelle libre. C’est ainsi que je devins, à 42 ans, libertine. C’est un mode de vie qui me convient largement car je n’ai pas à m’angoisser de problèmes de couples. Maintenant, je ne me prends pas la tête, quand je le désire, je me chope un inconnu, de préférence jeune, pour des aventures sans lendemain. Et pourquoi pas, un gang bang !?

Les hommes, de moins de 32 ans, sont de véritables étalons. La vigueur de leur jeunesse couplée à leur créativité ouvre un champ de possibilités sexuelles multiples. Pour faire simple, avec eux je ne m’ennuie jamais. Je pense, cela n’engage que moi, qu’ils sont largement meilleurs baiseurs que des adultes sensés être plus expérimentés. Ils sont moins monotones, moins égoïstes, très à l’écoute et orientés vers la performance sexuelle.
Depuis mon initiation au libertinage, j’ai vécu de belles aventures, notamment dans des lieux insolites comme : baiser avec un stagiaire dans mon bureau aux heures creuses de travail, niquer dans un espace public, me faire défoncer par un serveur dans les toilettes d’un restaurant, me faire sucer la chatte par un commercial dans une cabine d’essayage, me faire lustrer dans un ascenseur bloqué volontairement, entres autres…

Ce fameux soir de mon premier gang bang…

Malgré ces expériences, pour le moins enrichissantes, j’avais encore des envies à satisfaire comme avoir une expérience lesbienne et faire une partouze. Si cela n’avait pas encore été fait c’est parce que l’occasion ne m’était pas offerte. Jusqu’au jour où il eut cette fête d’étudiants à côté de chez moi !
Un vendredi soir, en rentrant aux alentours de 23 h, je remarquais que le fils ainé de ma voisine directe avait organisé une fête, avec de nombreux étudiants de fac, en l’absence de sa maman partit pour deux jours en voyage d’affaires.

je me prépare pour un gang bang !

Il y avait une vingtaine de jeunes à cette fête, ce qui multipliait par vingt le vacarme. En tant normal, j’allais remonter les bretelles à l’instigateur de ce boucan pour le dérangement occasionné mais, je voyais ça plutôt comme un cadeau du ciel qui m’offrait une occasion en or pour me taper une partouze.
Pour appâter ma proie, j’allais mettre en avant mes talents de séductrice exhibitionniste. Je revêtis une chemise de nuit transparente sans sous-vêtements et fis appel à deux jeunes fêtards que j’avais identifié en train de fumer quasiment à l’entrée de ma concession.
Je récupérais la clope, j’en prenais une bouffée et leur demandais leur âge.
– J’ai 22 ans, dit l’un
– Et moi j’en ai 23.
– Avez-vous baisé de toute la soirée ? Leur dis-je.
L’air gêné par la question, ils sourirent sans dire mot. Je n’allais pas me contenter de ce silence : « Avez-vous déjà niqué une femme mature ?». Ils répondent unanimement par la négative. « Voulez-vous que je vous apprenne à niquer une femme mûre ? ». Ils donnèrent leur approbation par un hochement de tête. Après cette petite mise au point, nous allions passer aux choses sérieuses.
Je m’assis sur une chaise, écarta les jambes, exhibant ainsi ma chatte, et de l’index je leur fis signe de me la lécher. Ils coulissèrent leur langue à tour de rôle sur ma vulve, et cette attention dura une vingtaine de minutes, au bout duquel j’eus un orgasme. Les choses sérieuses ne faisaient que commencer. Je pris l’un d’eux en fellation tandis que l’autre s’encastrait dans ma chatte. Ce dernier avait une belle verge. Ils alternaient les rôles et s’appliquaient à me fourrer délicatement.

Enfilée par 9 mecs !

Pendant que je faisais le plein de plaisir avec mes deux nouveaux partenaires, j’entendis un bruit de porte, en levant les yeux en direction de l’entrée principale, je vis des silhouettes de 9 jeunes hommes. Ils se joignirent à nous sans même que je les invite. J’avais alors 11 bites à satisfaire !
L’ambiance était animale, j’encaissais incessamment des coups de bites par la chatte et par la bouche. Jusque là mon fion était épargné, lorsque je sentis une queue bien dure me le défoncer d’un trait. Je n’aime pas trop la sodomie mais ces jeunes lascars ne m’ont laissé aucune alternative. J’ai été jusqu’à encaisser deux bites à la fois dans le cul, ainsi que dans la chatte. J’enchaînais les orgasmes !
Qui dit gang bang, dit torrent d’éjaculation. Je me suis fait gicler sur le visage, dans la bouche, le minou, le cul, les fesses, le dos et sur le ventre.
Cette expérience était vraiment forte, je l’ai adorée d’autant que je n’avais jamais eu autant d’orgasmes en un seul rapport. Mais je ne suis pas sûr de la refaire car il m’a fallut trois jours, et une bonne quantité d’antalgiques, pour calmer les douleurs du bas ventre et du rectum.

Beurette et libertine

En général, quand moi, jeune beurette, j’annonce à des amis ou à des collègues que je suis libertine, tout le monde tombe des nues. Déjà, je pense que ça en étonne plus d’un et plus d’une. D’autre part, les gens ne s’attendent pas à ce qu’une femme « avoue » aimer le sexe, et le sexe en groupe en particulier. Surtout que personne n’imagine réellement ce qui se passe vraiment dans le monde échangiste, à part les libertins eux-mêmes.

Par ailleurs, je dois bien dire que, étant beurette, le fait que ça vienne de moi bouscule pas mal de clichés actuels. Il y a un siècle, tout le monde m’aurait imaginée tortillant du cul en faisant une danse du ventre. Aujourd’hui, on s’imagine qu’une fille arabe et d’origine musulmane, c’est forcément super sage.

Mon mec, Momo, est beur lui aussi. Et comme il a un certain esprit provoc’, il lui arrive de se laisser un peu pousser la barbe. Ça fait parler les cons, qu’il dit. Je ne vous explique pas notre touche quand on part en club libertin, lui avec sa barbe, moi avec une jupe ras la touffe.

Justement, l’histoire que je voulais vous raconter se passe justement en club, lors d’une soirée couples, un samedi soir. On est tranquille au bar, en train de siroter un cocktail et de reluquer les autres couples pour voir avec qui on a envie de partouzer, quand débarque une nana, la quarantaine provocante, flanquée d’un type quelconque.

La vache, mais je la connais cette salope ! Elle bosse dans le bureau à côté du mien ! Une connasse de première : raciste, homophobe, coincée du derche au dernier degré. Et la voilà qui débarque dans une boite à partouzes connue pour être fréquentée par des antillais, des africains, des rebeus ! Je suis morte de rire ! Y en a qui manque pas de culot !

Je raconte tout à Momo, qui me pose une main sur l’épaule. Il me connaît, je suis capable d’aller lui mettre sa misère, à cette pute ! Elle passe devant moi. Elle ne m’a pas reconnue. Pour ces gens-là, une arabe en vaut bien une autre. Le couple part s’asseoir sur un canapé, après avoir fait la bise à un autre duo d’échangistes, blancs de blancs aussi.

Qu’on me comprenne bien : moi, je baise avec tout le monde, pas de racisme chez moi. Mais venir dans une telle boite échangiste pour se taper ses alter-ego, je trouve ça pitoyable. Enfin, bref. J’ai repéré un couple asiatique un peu timide qui me branche bien.

Non, mais j’hallucine ! Le mec de Chantal – appelons la comme ça pour simplifier – n’arrête pas de me reluquer. Moi, je fais mon allumeuse et je fonce sur la piste de danse pour m’exhiber un peu devant lui. Pas de bol pour la connasse, les deux gaulois qui discutaient avec eux se sont fait alpaguer par une belle blackette et son mec et partent avec eux vers les alcôves. Chantal fait la moue : ça doit la débecter.

Moi, j’en rajoute une couche et j’invite carrément le mec de ma collègue à venir danser avec moi, sous l’œil effaré de Momo. Il est subjugué par mon petit haut transparent qui laisse voir mes seins mieux que si j’étais topless. En dix minutes, je le convaincs de me suivre vers les coins-câlins, avec mon mec,… et sa meuf !

Quelle partie de baise ça a été ! Je lui ai fait la totale au gars : branlette, pipe, fond de gorge, branlette espagnole, il a eu droit à tout, une vraie beurette salope ! Et quand il s’est retrouvé sur moi en train de me limer, il avait l’air de ne pas en revenir. Il était au paradis, le gars !

De temps en temps, je jetais un coup d’œil vers Momo et Chantal. C’est qu’elle n’avait pas l’air d’être si dégoûtée que ça, la garce ! Elle s’était empalée sur la bite de mon mec, qui lui palpait ses grosses mamelles comme un petit fou.

Et ma Chantal qui gueulait de plaisir. Elle avait l’air de prendre encore plus son pied que son homme qui, pourtant, me disait des tas de mots doux dans le creux de l’oreille. Lui, il baisait sa première beurette. Elle, elle se faisait limer par la bite d’un arabe !

Pompé par une beurette libertine

Quand il fut bien à point, je me suis mise à pomper la queue de son gaillard, qui a joui à grands flots dans ma bouche. Il est tombé, limite évanouissement. Puis il s’est repris et a voulu me faire un câlin. Pendant que Momo tronchait sa grosse comme un barbare, il m’a dit qu’il n’avait jamais couché avec une fille « comme moi », que ça avait toujours été son fantasme, que j’étais merveilleuse et tout le baratin.

Au total, Chantal a du jouir trois fois entre la langue de Momo et ses coups de queue magiques. Ça valait bien la peine de dire autant de mal des arabes.

Jeunes et chauds du cul !

Il y a quelques mois – en fait pas loin de deux ans – je me suis retrouvé au chômage. Autant vous dire que, à mon âge, j’avais peu de chances de retrouver quelque chose d’aussi motivant que mon précédent poste : bien payé, intéressant avec de vraies possibilités de développement, aussi bien professionnel que personnel.

J’ai finalement décroché un entretien d’embauche dans une start-up. C’est l’une des patronnes qui m’a reçu. Une jeune femme d’à peine 25 ans, dont j’aurais presque pu être le père ! Melinda, belle rousse aux corps gracile et sexy, m’a tutoyé d’emblée. Elle a jeté un coup d’œil rapide à mon CV, puis m’a interrogé sur mes motivations.

Je me suis senti tout de suite mal à l’aise. Apparemment, elle était dans la moyenne d’âge de l’équipe, j’allais vite passer pour le papy de la bande, à condition bien entendu d’être retenu, ce qui n’était pas joué d’avance. Mes motivations ? Quand tu auras 50 berges, une maison à payer, une famille à nourrir, tu ne te poseras plus ce genre de questions, ma belle !

Je la baratine un peu, elle n’est pas dupe et me sourit d’un air moqueur. Elle m’explique sa conception de la vie d’une entreprise : chacun doit se sentir libre, ne doit pas hésiter à prendre l’initiative, se sentir proche de ses collègues, qui ne doivent pas rester de simples collègues… Bref, tout le charabia des nouvelles boites de petits bourges qui pensent devenir les maîtres du monde.

Bref. Je repars avec la certitude d’avoir échoué. Sauf que, cinq jours après, Alex, que je comprends être le petit ami de Melinda, me téléphone et me demande si je suis toujours dispo. Tu parles que je le suis ! Sauf que si je veux le job, il faut que je rapplique dans l’heure et que je me mette au boulot, pour débuguer une de leurs applications.

Quarante minutes plus tard, je suis sur place et je règle le galimatias informatique en quelques clics. Toute l’équipe est aux anges. Il y a là Melinda, Alex et trois autres petites nanas et autant de mecs : Cindy, Samira, Joana, Christophe, Désiré et Jipé. Je comprends assez vite que tous vont par paires, autrement dit par couples.

Je suis embauché, et je m’adapte assez bien à cette bande de jeunes qui, je dois bien le reconnaître, sont hyper brillants et efficaces dans leur boulot. Quand l’un d’eux coince sur un code, il file dans la salle de relaxation, propose un ping-pong à un de ses collègues, ou encore un baby-foot ou une partie de flipper.

Trop chauds les petits jeunes !

Ça a l’air cool, mais on bosse vraiment dur, sans compter les heures. Et, il fallait bien que ça arrive, je coince à mon tour sur un problème posé par la patronne, j’ai nommé la sexy Melinda. A deux jours de la fin de ma période d’essai, avouez que je n’ai pas de bol. La rouquine vient me voir, en me demandant si j’arrive à me dépatouiller avec le code qu’elle m’a demandé.

Je dois bien lui avouer que non. Je cale complètement. La boss doit remarquer ma panique, doit voir le stress et l’angoisse dans mes yeux. Dans un large sourire, elle me propose d’aller me poser quelques minutes dans le canapé de la salle de relaxation. Elle m’y accompagne et s’assure que je suis dans les meilleures conditions pour faire le vide, pour mieux repartie plus tard à l’assaut du bout de code récalcitrant.

Me relaxer, tu parles ! Elle se place à genoux, face à moi et ouvre ma braguette. Je me fais tailler une pipe par une jeunette de 25 piges qui, de surcroît, n’est autre que ma patronne. Merde, Alex débarque dans la salle de repos. Il va me tuer, c’est sûr ! Non, même pas : le jeune entrepreneur plaisante avec nous, pendant que sa femme me suce la bite ! C’est, pour le moins déconcertant !

J’ai trouvé la boite parfaite. Vous avez un problème ? Vous stressez à cause du boulot ? Rien de tel qu’une bonne baise pour vous remettre sur pied et repartir à l’assaut du boulot ! Régulièrement, Samira me demande si je veux bien lui masser les épaules, parce qu’elle s’est coincée le dos en bossant. Et, régulièrement, je me retrouve à la baiser sur le fameux canapé. Elle repart d’attaque pour quelques heures d’encodage.

Et c’est ainsi que tout se règle dans la start-up. Ils auraient du s’appeler les bonobos ! Dans une semaine, Melinda a prévu une soirée intégration pour fêter ma titularisation dans l’équipe. Ça se passera chez elle et Alex, et j’ai cru comprendre que ce genre de soirées se terminait souvent en partouze.

Une seule question se pose à moi : vais-je oser y emmener ma femme ?