Chatte serrée pour une asiatique bourrée

Salut, je suis Tom, marié, deux enfants et a priori heureux en couple. Mais bon, il y a des fantasmes qu’il faut parfois se résoudre à concrétiser pour être en paix avec soi-même. Le mien, c’est celui de me faire une petite asiatique. Chinoise, Thaï, Coréenne, Japonaise, je m’en fiche, du moment que ça a les yeux bridés et une petite chatte serrée. Ma femme est assez cool et il m’arrive de partir seul en virée avec mes potes.

Ce soir-là, on se retrouve dans un petit bar sympathique du centre-ville. C’est le milieu de l’été, il fait chaud et lourd. Je porte un marcel et un jeans, histoire de flamber un peu. Les filles aussi sont en chaleur, et il n’y en a pas une qui ne porte pas une petite jupe moulante. Je sirote tranquillement mon verre en parlant de cul avec mes collègues lorsque mon regard croise celui de mon fantasme, une vraie petite asiatique bien bandante. Elle devait mesurer 1m50 à tout casser. Je m’imaginais déjà l’étroitesse de sa mini chatte et mon engin se mit à gonfler malgré moi. J’ai pris mon courage à deux mains et je suis allé la voir pour tenter d’obtenir un truc. Ni une ni deux, je l’ai emmené sur le parking pour lui faire visiter mon 4×4. Pas cinq minutes se sont écoulées que la petite chinoise était déjà en train de me grignoter le bout de la queue. Sa langue humide parcourait ma tige de mes couilles jusqu’au bout de mon casque. Elle passait doucement son doigt entre mon trou de balle et mes burnes, tout le long de la couture, putain j’adore ça.

Rencontre une asiatique bien coquine…

Mon barreau est devenu encore plus dur, et j’ai invité la petite bridée à se mettre sur la banquette arrière pour recevoir sa saucée. N’importe qui pouvait nous surprendre, mais je crois que ça m’excitait encore plus. La chinoise était un peu bourrée et a facilement écarté les gigots. J’ai découvert sa petite chatoune que je me suis empressé de bouffer longuement tout en me branlant avec frénésie. Je pouvais à peine rentrer un doigt en elle tellement son trou était serré. Ce n’est pas une légende… Après lui avoir encore sucé le clito et constatant que sa fente était bien trempée, je me suis mis sur elle en position de pompe, j’ai collé mon gros gland à l’entrée de sa chatte et j’ai poussé un grand coup. L’asiatique s’est mise à crier avec son petit accent de geisha. Je l’ai tamponné longuement, sans prendre la moindre précaution pour ne pas lui faire mal.

Une asiatique à la chatte serrée !

De toute façon, elle avait l’air d’aimer sentir mon gros rondin lui élargir les parois de sa petite chatte serrée… Je voyais ses petits yeux bridés me fixer pendant que je faisais de grosses accélérations. Je ralentissais un peu pour lui rouler des pelles avant de bourrer à nouveau sa motte avec force. Son vagin humide entourait toute ma queue. Les vagues de plaisir lui serraient la chatte encore plus, augmentant ainsi l’étreinte exercée sur ma verge tendue. Je comptais la niquer violemment dans d’autres positions, mais je voulais rejoindre mes potes. L’envie de lui lâcher mon sperme dans la chagoune était présente, mais je me suis juste assez retenu pour m’extraire de son minuscule orifice afin de décharger toute ma purée sur son ventre bronzé. J’ai pris mon pied avec cette petite asiatique, je vous conseille d’essayer vous aussi les gars!

Les touristes japonaises sont bandantes, la preuve !

Les touristes japonaises sont bandantes

C’est un des avantages à vivre dans une ville comme Paris. On y voit des filles de toute nationalité. Entre les étudiantes Erasmus et les touristes, on peut niquer des nanas de toute l’Europe, et du monde entier, quand on s’y prend bien ! De mon côté, après avoir fait l’union européenne avec ma bite, je me suis attaqué aux touristes japonaises, sans trop y croire au début, mais avec une certaine obstination.

J’avais essayé d’apprendre, pour le boulot, à la fin de mes études, quelques rudiments de japonais. En vain. Il faut croire que ma libido est toujours la plus forte car le projet d’aborder quelques touristes nipponnes dans les coins les plus fréquentés par elles dans la capitale m’a beaucoup plus motivé.

J’ai donc appris à dire « bonjour », « bonsoir », « merci », « je vous en prie », « bon appétit » et même « vous êtes très jolie, pourrais-je connaître votre prénom ? » et pas mal de niaiseries dans le genre. Pas de quoi tenir une conversation, je vous l’accorde, mais assez pour éveiller la curiosité des donzelles en goguette à Paris.

Ensuite, je suis parti sur les Champs-Elysées, puis au pied de la Tour Eiffel, sur la Butte Montmartre… et rien. Les Japonaises étaient amusées de mes tentatives, sans plus. J’allais presque abandonner quand je me suis retrouvé un soir, en rentrant du boulot, dans la même rame de métro qu’une bonne vingtaine de nippones.

Ah ! Avec leurs jupes plissées, leurs appareils photos toujours sur la qui-vive et leurs sourires émerveillés ! Elles étaient trop bandantes ! Et comme le métro était bondé, à cette heure de pointe, je me suis retrouvé coincé au beau milieu du groupe, frottant bien involontairement les cuisses nues, frôlant les seins. Je n’ai pas pu résister, j’ai tenté ma chance.

Et comme pour multiplier celle-ci, j’ai essayé d’aborder trois petites meufs, au lieu d’une seule, comme à mon habitude. Elles ont du se sentir plus en confiance, par effet de groupe, mais toujours est-il que deux d’entre elles ont accepté de me suivre dans un café aux allures très françaises pour boire un dernier verre.

Nozomi, grande bringue élancée au joli cul ferme et aux petits nichons était la meneuse. Plus timide, et plus ronde, avec deux beaux gros seins, Haruna semblait plutôt suivre son aînée. Je leur ai fait goûté au pastis, la boisson de ma région d’origine, qu’elles ont adoré. Au point d’être un peu pompettes, sans être non plus complètement bourrées.

L’heure avançait, et je ne savais pas avec laquelle tenter vraiment le coup. Pris d’un élan de témérité que l’alcool avait accentué, j’ai essayé d’avoir les deux, en leur proposant de découvrir d’autres spécialités françaises inconnues des Japonais… chez moi !

Ni une, ni deux, les deux copines ont accepté. Dans un premier temps, je me suis dit que c’était dans la poche. Puis je me suis rappelé des différences culturelles entre nos deux pays. Peut-être que d’accepter de suivre un garçon inconnu chez lui ne voulait rien dire, au Japon ?

Deux japonaises très bandantes !

Tu parles ! Je n’ai rien eu le temps de leur faire goûter, comme spécialité française. Mise à part ma bite… Je me suis retrouvé en moins d’une demi-heure entièrement nu sur mon lit, avec mes deux japonaises topless qui s’occupait de me tailler une turlutte à deux bouches rien moins que prodigieuse. De temps à autre, Nozomi lâchait un peu ma verge pour laisser sa copine Haruna m’offrir une branlette espagnole. Ou hispano-nipponne, devrais-je dire.

A ce stade, je veux évoquer la vieille légende selon laquelle les femmes japonaises ont un savoir-faire sexuel que devraient leur envier les Occidentales. Et bien : je confirme ! Alors, bien sûr, ce n’est pas bien difficile de faire grimper aux rideaux un queutard dans mon genre quand on lui offre un trio avec deux nanas, mais tout de même !

Pas bisexuelles pour deux sous (mon seul regret), les deux Japonaises ne se sont occupées que de moi, prenant manifestement leur plaisir à rivaliser de caresses avec leurs doigts, leurs bouches et même leurs vagins. Quand l’une me tendait son cul en levrette, la seconde prenait le relais en s’asseyant sur ma queue et en tortillant du cul pour me faire prendre un maximum de plaisir.

Et puis, tout à coup, sans prévenir, toutes les deux se sont mises à se masturber devant moi, réclamant par des mimiques que je leur colle ma bite dans la bouche. L’une a pris ma hampe entre ses lèvres, l’autre mes couilles, et elles ont sucé jusqu’à ce que je jouisse sur leurs visages, déclenchant chez elle un orgasme simultané.

Je ne sais pas si elles ont appris ça dans un livre ou dans un film porno, mais aucune nana européenne ne m’avait jamais fait ce coup là !