Gang bang entre une couguar et des jeunes étudiants

A la suite de mes deux mariages ratés à cause de problèmes d’infidélités de mes ex époux, j’ai fini par faire le choix de vivre en célibat, tout en ayant une vie sexuelle libre. C’est ainsi que je devins, à 42 ans, libertine. C’est un mode de vie qui me convient largement car je n’ai pas à m’angoisser de problèmes de couples. Maintenant, je ne me prends pas la tête, quand je le désire, je me chope un inconnu, de préférence jeune, pour des aventures sans lendemain. Et pourquoi pas, un gang bang !?

Les hommes, de moins de 32 ans, sont de véritables étalons. La vigueur de leur jeunesse couplée à leur créativité ouvre un champ de possibilités sexuelles multiples. Pour faire simple, avec eux je ne m’ennuie jamais. Je pense, cela n’engage que moi, qu’ils sont largement meilleurs baiseurs que des adultes sensés être plus expérimentés. Ils sont moins monotones, moins égoïstes, très à l’écoute et orientés vers la performance sexuelle.
Depuis mon initiation au libertinage, j’ai vécu de belles aventures, notamment dans des lieux insolites comme : baiser avec un stagiaire dans mon bureau aux heures creuses de travail, niquer dans un espace public, me faire défoncer par un serveur dans les toilettes d’un restaurant, me faire sucer la chatte par un commercial dans une cabine d’essayage, me faire lustrer dans un ascenseur bloqué volontairement, entres autres…

Ce fameux soir de mon premier gang bang…

Malgré ces expériences, pour le moins enrichissantes, j’avais encore des envies à satisfaire comme avoir une expérience lesbienne et faire une partouze. Si cela n’avait pas encore été fait c’est parce que l’occasion ne m’était pas offerte. Jusqu’au jour où il eut cette fête d’étudiants à côté de chez moi !
Un vendredi soir, en rentrant aux alentours de 23 h, je remarquais que le fils ainé de ma voisine directe avait organisé une fête, avec de nombreux étudiants de fac, en l’absence de sa maman partit pour deux jours en voyage d’affaires.

je me prépare pour un gang bang !

Il y avait une vingtaine de jeunes à cette fête, ce qui multipliait par vingt le vacarme. En tant normal, j’allais remonter les bretelles à l’instigateur de ce boucan pour le dérangement occasionné mais, je voyais ça plutôt comme un cadeau du ciel qui m’offrait une occasion en or pour me taper une partouze.
Pour appâter ma proie, j’allais mettre en avant mes talents de séductrice exhibitionniste. Je revêtis une chemise de nuit transparente sans sous-vêtements et fis appel à deux jeunes fêtards que j’avais identifié en train de fumer quasiment à l’entrée de ma concession.
Je récupérais la clope, j’en prenais une bouffée et leur demandais leur âge.
– J’ai 22 ans, dit l’un
– Et moi j’en ai 23.
– Avez-vous baisé de toute la soirée ? Leur dis-je.
L’air gêné par la question, ils sourirent sans dire mot. Je n’allais pas me contenter de ce silence : « Avez-vous déjà niqué une femme mature ?». Ils répondent unanimement par la négative. « Voulez-vous que je vous apprenne à niquer une femme mûre ? ». Ils donnèrent leur approbation par un hochement de tête. Après cette petite mise au point, nous allions passer aux choses sérieuses.
Je m’assis sur une chaise, écarta les jambes, exhibant ainsi ma chatte, et de l’index je leur fis signe de me la lécher. Ils coulissèrent leur langue à tour de rôle sur ma vulve, et cette attention dura une vingtaine de minutes, au bout duquel j’eus un orgasme. Les choses sérieuses ne faisaient que commencer. Je pris l’un d’eux en fellation tandis que l’autre s’encastrait dans ma chatte. Ce dernier avait une belle verge. Ils alternaient les rôles et s’appliquaient à me fourrer délicatement.

Enfilée par 9 mecs !

Pendant que je faisais le plein de plaisir avec mes deux nouveaux partenaires, j’entendis un bruit de porte, en levant les yeux en direction de l’entrée principale, je vis des silhouettes de 9 jeunes hommes. Ils se joignirent à nous sans même que je les invite. J’avais alors 11 bites à satisfaire !
L’ambiance était animale, j’encaissais incessamment des coups de bites par la chatte et par la bouche. Jusque là mon fion était épargné, lorsque je sentis une queue bien dure me le défoncer d’un trait. Je n’aime pas trop la sodomie mais ces jeunes lascars ne m’ont laissé aucune alternative. J’ai été jusqu’à encaisser deux bites à la fois dans le cul, ainsi que dans la chatte. J’enchaînais les orgasmes !
Qui dit gang bang, dit torrent d’éjaculation. Je me suis fait gicler sur le visage, dans la bouche, le minou, le cul, les fesses, le dos et sur le ventre.
Cette expérience était vraiment forte, je l’ai adorée d’autant que je n’avais jamais eu autant d’orgasmes en un seul rapport. Mais je ne suis pas sûr de la refaire car il m’a fallut trois jours, et une bonne quantité d’antalgiques, pour calmer les douleurs du bas ventre et du rectum.

Ma belle-soeur est une salope

Par Gérard, 48 ans.

Mon frère cadet a épousé une belle femme, ma belle-soeur donc. Le genre de nana qu’on remarque tout de suite, tant par son physique avantageux que par sa gouaille, qui est devenue légendaire dans la famille. Christine est une grande gueule, pas le genre à se laisser marcher sur les pieds, pas le genre non plus à se laisser impressionner par qui que ce soit.

N’empêche… Un jour que je devais passer apporter pour mon frère un colis qui m’avait été livré par erreur, j’ai frappé à sa porte. Personne n’a répondu. J’ai collé mon oreille, pour entendre si quelqu’un était là. Et j’ai entendu les cris d’une femme – Christine – qui gueulait de plaisir. Mon frère était au boulot, ça ne pouvait pas être lui avec elle.

J’ai décidé d’entrer dans la maison. En montant les escaliers qui conduisent à l’étage, vers la chambre de mon frère et de ma belle-sœur, je me suis tout imaginé : le facteur, un beau black, un petit gros. Tout, sauf ça.

Là, devant mes yeux, se tenait un énorme gangbang. Ils étaient bien une douzaine à sauter Christine, cette salope, qui prenait son pied comme une dingue, un plug anal planté dans le fondement. En me voyant, un des gars a du croire que j’étais un des invités. Il m’a fait signe de rentrer plus avant, en me disant : « mieux vaut un bon coup à dix qu’un mauvais coup tout seul ! ».

J’étais éberlué, d’autant que Christine n’avait toujours pas remarqué ma présence, trop occupée à pomper en fond de gorge une énorme bite tout en se faisant ramoner le vagin – et maintenant le cul – en double-pénétration. J’ai même pu m’éclipser avant qu’elle ne se rende compte de ma présence.

Mais je suis revenu le lendemain. Cette fois, Christine était seule. Sereine, elle m’a invité à rentrer. A peine assis sur le canapé, impatient de triompher de cette salope infidèle, je lui ai tout dit de ce que j’avais vu la veille. Elle eut l’air d’être choquée par mes révélations, mais pas plus que ça, en fait. Elle m’écoutait, en se penchant vers moi, découvrant ses deux appâts à mon regard.

Ni une, ni deux, je lui ai fait comprendre qu’il fallait me faire plaisir si elle ne voulait pas que je raconte tout à mon propre frère. Nous sommes montés à l’étage et là, une partie de baise intense m’attendait.

Je l’ai prise par tous les trous. D’abord la bouche : elle m’a montré ses talents pour la gorge profonde. Ensuite la chatte : elle m’a prouvé qu’elle n’était pas si large que ça, malgré les énormes membres qu’elle engloutissait parfois. Enfin le cul : elle s’est mise à quatre pattes devant moi, en me suppliant de lui faire mal et de la bourrer comme la dernière des putes.

Belle-soeur et véritable chienne de baise

Pour finir, Christine m’a pris en bouche et m’a pompé le dard jusqu’à ce que je lui éjacule au fond de la gorge. Elle a tout avalé. Une vraie traînée… Et puis, on a remis ça, chaque jour, pendant presque une semaine. Jusqu’au jour où je ne l’ai pas trouvée seule. Encore une fois, cette chienne se faisait démonter en gangbang, mais par trois mecs seulement.

Elle a voulu que je participe et j’ai accepté. Elle me faisait tellement bander. Elle a même exigé de moi et d’un de ses amants que nous la baisions en double pénétration anale, son cul étant bien ouvert par le port régulier du plug. Une première pour moi, peut-être pas pour elle.

Quand tous ses amants sont repartis, après s’être vidés les couilles dans la bouche de ma belle-sœur, elle m’a pris à part et a ouvert un petit tiroir de la table de nuit, du côté du lit manifestement dévolu à mon frère. Elle en a sorti une pile de photos de cul, du genre hyper pornographique, qui prouvaient sans l’ombre d’un doute que non seulement son mari savait tout de ses partouzes en pleine journée, mais qu’il y participait lui aussi, parfois.

« Tu vois, nous sommes libertins et ton frère me laisse baiser avec qui je veux, quand je veux… par contre, ce qu’il ne sait pas, c’est que son propre frère essaie d’abuser de sa femme… ». Je fus pris de panique. Elle a continué : « ne t’inquiètes pas comme ça, je ne vais rien lui dire, à condition que, à ton tour, tu fasses tout ce que je te demande. Je te sonne, tu viens, tu me baises quand je veux, dans la position que je veux, et où je veux ! ».

J’étais coincé. Comment avouer à mon frangin que je baisais sa femme ? Comment avouer le chantage que je lui avais fait ? Depuis, j’accepte tout de la part de Christine, les moindres délires, les moindres envies, les pires cochonneries. Voilà comment je suis devenu l’objet sexuel, l’esclave érotique de ma salope de belle-sœur.