Mon meilleur ami est bi !

La nouvelle nous a fait l’effet d’une bombe. A Sandra comme à moi. Félix, mon meilleur ami, le pote viril et même un peu macho, fan de rugby et de jolies meufs, était bisexuel. Il était assis là, devant moi, devant Sandra, et il nous racontait comment il avait découvert les plaisirs entre mecs.

Je jetais un regard à ma chérie, qui restait stupéfaite. Elle qui ne m’avait jamais caché son attirance pour Félix, son corps d’athlète de haut niveau, ses beaux yeux noirs et profonds, son sourire de séducteur, elle devait avoir autant de mal que moi à l’imaginer en train de pomper la bite d’un autre homme.

Puis, elle se reprit. D’un ton enjoué, elle lui demanda des détails croustillants sur cette première aventure bisexuelle. Tout cela semblait l’exciter. Et puis, elle lâcha : « oh, tu sais, Pierre aussi va de temps en temps sur des sites homos ». Je piquais un fard.

Félix prit la balle au bond. Je le reconnaissais bien là : peur de rien, toujours l’esprit provocateur au coin du sourire. Il nous raconta comment il avait aimé les caresses entre hommes, comment il avait apprécié de sentir une bite dure et raide dans sa bouche.

Sandra ne cachait rien de son excitation. Elle m’avait toujours dit qu’elle voulait vivre un trio entre nous et un mec, et me voir sucer une bite à mon tour. Choisir une nana plutôt libertine a ses avantages, et aussi ses inconvénients.

Et Félix avait bien noté l’excitation de ma petite amie. Ils avaient toujours été complices ces deux là, surtout pour me faire tourner en bourrique. Sandra s’est penchée vers moi : « moi, ça me fait mouiller ces histoires de pipes entre mecs, pas toi, mon chéri ? ».

Je bredouillais, guettant l’air amusé de Félix, qui était au spectacle. Sandra posa sa main sur ma braguette : « mais oui, ça te fait bander, mon cochon ! ». Et c’était vrai : l’attitude de Sandra, comme le récit de Félix, m’avait excité, et je bandais. Mais ma petite amie ne comptait pas en rester là. Tout en descendant mon zip, elle demanda à Félix : « toi qui aime les belles bites, tu as déjà vu celle de Pierre ? Elle est magnifique ».

J’étais comme paralysé. Sandra profita de mon absence passagère pour extraire ma queue de son antre, et commença à me branler, là, devant Félix, qui n’en perdait pas une miette. Elle me prit même en bouche, faisant glisser ma bite entre ses lèvres, exactement comme j’aimais. Puis elle se redressa et retira son haut, dévoilant ses seins nus : « mais tu aimes encore les filles, Félix, rassure-moi ? ».

Mon meilleur ami se leva et fit mine de s’approcher de nous. Un court instant, il chercha dans mon regard une marque de désapprobation. Un signe, un mot de moi, et tout se serait arrêté net. Mais j’en étais incapable. La queue entre les doigts fins et habiles de Sandra, j’allais me laisser faire.

Félix se trouva à notre hauteur et sortit à son tour sa bite, que Sandra prit entre ses lèvres, avant de me la tendre : « viens Pierre, viens goûter la bite de Félix, elle est très bonne ».

Trois lesbiennes en chaleur

« Oh, viens là, approche de ma chatte, je veux sentir ta langue dessus, dedans, partout ! »

J’obéis, je m’avance vers Mathilde, ma gouine préférée, sous le regard excité de notre amie Laurine qui serre sa main entre ses cuisses, debout dans le séjour. Cet après-midi, nous baisons entre filles.

« Mets ta langue ici, là où je coule, lape ma mouille. Je suis trempée pour toi, profites-en ! »

Je ne me fais pas prier. J’aime la mouille de Mathilde, elle a bon goût, légèrement forte mais un peu sucrée. Mon visage s’insère entre ses cuisses musclées et la pointe de ma langue se pose sur sa fente huileuse.

« Pas comme ça, embrasse ma moule, baise-la avec tes lèvres et ta langue, comme si tu m’embrassais la bouche. »

Elle m’excite avec ses mots crus. Je coule aussi, j’appelle Laurine.

« Laurine, ne me laisse pas comme ça, viens sous moi et bouffe-moi la chatte. »

La petite gouine se glisse entre mes cuisses et la ventouse de sa bouche se colle à mon abricot complètement imberbe. C’est une bonne bouffeuse de con, elle sait faire jouir une femme comme personne. Je me régale d’avance de ses caresses.

Vidéo porno du récit Trois lesbiennes en chaleur

Mathilde ouvre très largement ses cuisses puis se ravise. Elle se lève du canapé où elle était allongée sur le dos, se retourne et me présente sa croupe. Elle pose sa tête sur un coussin, cambre ses reins et m’implore de lui manger le cul.

« Prends toute ma fente, lape bien d’un bout à l’autre, je veux sentir ta langue sur ma rondelle, tes lèvres sur mon clito ! Ne néglige aucune partie de ma raie. Oui, là, c’est bon, tu es une bonne gouine !»

J’ai le nez dans son trou, la bouche sur son calice. Ma salive se mêle à sa mouille et ma langue entre dans ses trous comme un rien. Je fouille ses chairs intimes au plus profond, écarte les babines de son sexe. J’aimerais entrer toute entière à l’intérieur.

Laurine me fait de l’effet. Elle a compris ce que j’attends d’elle et me prodigue avec ferveur les mêmes caresses que Mathilde a déjà exigées de moi. La pointe de son muscle lingual me rentre dans les entrailles, elle masse l’intérieur de ma chatte et le pourtour de ma rosette. C’est délicieusement bon. De temps en temps, elle entre un doigt dans ma vulve ou le passe sur les bourrelets de mon anus. Je l’encourage dans un gémissement :

« Ah, oui, oui, continue comme ça, encule-moi avec ta langue et tes doigts, c’est trop bon. Tu vas me faire jouir ma petite gouine. »

Plus haut, sous l’action de ma bouche, Mathilde est en train d’exploser, elle lâche un flot de cyprine sur mon visage. Pourtant, d’habitude, de nous trois c’est elle qui tient le plus longtemps. Je bois toute sa jute de femme avec délectation et cette dernière perversion m’entraîne à mon tour sur les cimes du plaisir, suivie bientôt par Laurine qui se tripotait la foune en me mangeant le cul.

Pompé par deux suceuses

Les deux filles sont agenouillées devant moi. Je suis encore debout mais ça ne va sans doute pas pouvoir durer bien longtemps car je suis de plus en plus excité. L’une des filles, la blonde qui doit avoir une vingtaine d’années tout au plus a sorti ma queue de mon slip après que l’autre, une brune plus âgée m’ait enlevé mon pantalon. J’ai trouvé ces deux nanas en boîte et je les ai ramenées chez moi à leur demande, une véritable aubaine que j’aurais regretté de laisser passer. Surtout maintenant que je vois combien elles sont vicieuses.

La blonde me soupèse les couilles, jette un œil complice et satisfait vers sa copine. Elle les lui présente et la brune passe sa langue dessus, dessous, partout. Elle avance ses lèvres, les gobe l’une après l’autre. C’est une belle entrée en matière qui laisse bien augurer de la suite.

Maintenant la blonde fait un peu aller et venir sa main sur la colonne de chair de ma bite. Mon sexe est tout gros, bien noueux, gorgé de sang par le désir. La fille me décalotte le gland et approche sa bouche, elle pose ses lèvres dessus et c’est parti. Ses caresses se cantonnent pour le moment à l’extrême pointe de ma queue. C’est bon, c’est chaud.

Pendant ce temps, la brune me mange carrément les boules, les fait rouler dans sa bouche l’une contre l’autre. C’est une sensation étrange mais pas désagréable. Ce que j’aime beaucoup aussi, c’est lorsqu’elle lâche un peu mes bourses pour aventurer sa langue vers mon intimité la plus secrète, juste à l’orée de mon trou du cul. Je suis si sensible à cet endroit là…

Vidéo porno du récit Pompé par deux suceuses

La jeune suceuse me pompe maintenant littéralement le dard. Sa bouche est toute entière remplie de ma queue. En fait, je lui baise la gueule. Mon bassin va et vient d’avant en arrière et vice-versa. Ça me rappelle ce film « Gorge profonde » que j’ai vu, tout jeune, mon premier film porno.

Ca y est, elles changent de position et moi aussi. Les nanas me repoussent vers le canapé. La brune prend mes jambes et les fait passer sur les accoudoirs. J’aime être pris en main de la sorte par les deux pompeuses.  Je suis complètement offert à leurs caresses.

Elles se refilent ma bite maintenant. Chacune me suce alternativement avec sa copine. La bouche de la blonde est plus vorace, celle de la brune plus pulpeuse. Ses lèvres font comme une ventouse sur mon gland. Je pistonne la plus jeune, l’autre se fait enveloppante. Ce mélange des genres est génial et me fait bander toujours plus. Ma bite est prête à éclater et je sens que le plaisir monte dans mes couilles pourtant habituées à des parties de baise longues et intenses. Sans mon entraînement, j’aurais déjà joui trois fois. Pourtant, je ne vais pas pouvoir tenir encore très longtemps.

La blonde le sent. Soudain, elle sort ma queue de sa gueule et tire la tête de sa copine vers elle. Elles sont joue contre joue lorsque mon foutre jaillit enfin.  Elles en prennent autant sur le visage l’une que l’autre. Puis, une fois la dernière goutte extraite de ma verge, elles se tournent face à face et se mettent à se nettoyer mutuellement avec la langue. Quelque chose me dit que la soirée n’est pas terminée.

Prise au gode-ceinture en public

Ma maîtresse a enfilé son engin. Elle s’est mise devant moi pour bien me montrer ce qui m’attendait. Il faut dire que c’est une première pour moi. Jamais encore je n’ai été prise au gode-ceinture et encore moins en public. Il y a 6 femmes en chaleur autour de nous, toutes lesbiennes comme moi et ma maîtresse Jasmine. J’ai confiance en cette dernière et je sais que j’ai tout à gagner à me montrer coopérative.

Je suis à quatre pattes comme elle me l’a ordonné. Devant moi, elle se harnache avec le sexe factice; celui-ci est fixé sur une culotte en latex. Jasmine m’a montré l’intérieur, il y a aussi une petite bite qu’elle s’enfilera dans la chatte. Ainsi elle pourra jouir en me fourrant. Je suis contente pour elle.

Une fois équipée, ma maîtresse vient se placer derrière moi. Avant, elle a demandé à l’une des femmes du public de venir me caresser un peu l’entrecuisse jusqu’à la chatte. Je suis déjà mouillée. La femme, une petite rousse gironde, est une vicieuse car elle a profité de la situation pour me tripoter aussi le trou du cul.

Jasmine est en place. Elle vérifie que je suis bien lubrifiée. Satisfaite par la quantité de jus qui s’écoule de mon sexe,  elle passe le bout du gland de plastique entre mes cuisses et vient le frotter contre ma vulve. Les mouvements involontaires de mon bassin trahissent mon désir. Je me mets en position d’être fourrée. Mes lèvres vaginales s’entrouvrent et laissent passer le gros membre qui met quelques secondes à entrer totalement en moi. Ma maîtresse fait durer le plaisir de l’intromission, comme pour mieux solliciter mes sens.

Je finis par m’enfiler moi-même sur le pal qui vient buter au fond de ma caverne d’amour. Puis j’entame un va-et-vient lent mais déterminé, aidé par Jasmine qui me tient les hanches.

Vidéo porno du récit Prise au gode-ceinture en public

Les femmes se sont levées puis se sont approchées de nous. Je peux presque sentir leur souffle sur ma peau. Leurs mains se posent sur mon corps, partout. Elles caressent mon dos et mon ventre, mes cuisses. Les plus vicieuses s’aventurent sur mes seins, tirent sur mes tétons, laissent filer leurs doigts sur mon cul, jusque dans la raie de mes fesses.

L’une d’elles, la plus déterminée ou la plus excitée, se poste devant mon visage et m’offre sa fente à laper. J’y mets la langue avec délectation car je suis une grande amatrice de mouille féminine. Et puis je mordille ses grandes lèvres, écarte les petites pour dénicher son clito. Je suis surprise par sa taille et l’enfourne entre mes lèvres pour mieux le sucer.

Maîtresse Jasmine me claque le cul et me dit des insanités en me baisant. A sa voix, j’entends qu’elle prend elle aussi beaucoup de plaisir en me pinant. La petite queue qui lui remplit le vagin doit faire son redoutable effet. Je gigote de plus en plus sur le gode qui me comble de bonheur et quand une des lesbiennes se colle sous moi pour me sucer le bourgeon à son tour, j’explose en vol. Pourtant, je ne suis pas au bout de mes peines, au début de la soirée, ma maîtresse m’a dit qu’elle se réjouissait de prendre aussi mon cul avec son jouet.

Prise par un trio de vicieux

« Oh les gars, ce que vous me faites jouir ! Allez-y, prenez-moi, tous les trois, maintenant ! »
Je ne sais plus ce que je dis, je ne me retiens plus, je n’ai plus aucune pudeur. Depuis que j’ai rencontré ces trois salopards dans cette soirée, je ne suis plus moi-même. Ou plutôt, je suis celle que j’ai toujours rêvé d’être, une bonne cochonne qui se donne sans limite et sans tabou.
Peut-être bien que j’ai pris un ou deux verres de trop mais je ne suis pas saoule, juste complètement désinhibée. Les trois mecs s’en rendent compte. Mes mains touchent leurs bites, soupèsent leurs couilles, caressent leurs culs. Ils m’excitent grave. Ils sont jeunes, plus jeunes que moi et qu’est-ce qu’ils sont bien montés. Ma main a du mal à faire le tour de la queue que je branle. Ma bouche est complètement distendue par celle que je suce et je n’ose imaginer comment mon cul va bientôt être rempli.
Je suis à quatre pattes maintenant. Je pompe toujours le dard qui me fouille la gueule. Je m’arrête seulement pour laper les couilles bien rondes du gars qui me fait face. Il en profite pour me matraquer le visage avec son gourdin. Les deux autres types ont répondu à mon appel.
Vidéo porno du récit Prise par un trio de vicieux
L’un des deux est passé sous moi. J’ai écarté les genoux pour le laisser s’installer. Il m’a saisie par les hanches et m’a fait descendre sur sa verge où ma petite chatte est venue s’empaler vicieusement. J’ai tout de suite commencé à onduler dans tous les sens pour bien le sentir.
L’autre mec, un solide gaillard d’une vingtaine d’années s’est glissé derrière moi. Derrière mon cul plus précisément. Je le sens qui écarte mes fesses. Il crache sur mon trou puis le prépare avec ses doigts sans délicatesse excessive ni brutalité exagérée. Il a déjà de l’expérience, tant mieux. Quand il pose son gland sur mon œillet brun, c’est moi qui pousse mes fesses en arrière pour le prendre. Sa bite est longue et forte, elle met un peu de temps à passer entièrement. Je ne m’étais pas trompée en m’imaginant être enculée peu auparavant.
Nous bougeons en cadence, nous ne faisons plus qu’un tous les quatre. Je suis la chose des trois queutards et ça me plaît, leur objet sexuel, leur petite pute docile et perverse. Ils me laminent, me bourrent bien à fond, me tringlent la vulve, me ramonent le cul. C’est bon, terriblement bon.
Quand le premier sort de ma bouche pour me juter sur la figure, c’en est trop pour moi. Je jouis en gueulant comme une traînée. Je n’ai pas besoin de simuler, tant mon orgasme est intense. Mes genoux se dérobent sous mon corps mais heureusement les deux obsédés qui me remplissent sont là pour me retenir, je ne touche plus le sol, au propre comme au figuré. Lorsque je pense avoir fini de jouir, une deuxième salve se déclenche car les grosses bites qui me prennent se contractent pour lâcher deux flots de sperme dans mes entrailles de femelle en chaleur.

Ivre, nue et partouzée

Je savais que ne devais pas boire autant, ça finit toujours par me jouer des tours. Mais c’est plus fort que moi, je me laisse aller et je dois ensuite en supporter les conséquences. Allez savoir, au fond, c’est peut-être que je les apprécie ?
Par exemple, là, je suis en train de baiser avec tout un groupe de personnes. La soirée était sympa jusque là, et plutôt clean. Je crois que ça va rester sympa mais bien moins clean. En fait j’en suis sûre, malgré les vapeurs d’alcool qui embrument un peu mon cerveau et qui ne m’empêchent pas de prendre du plaisir, au contraire.

>> Plan X avec salope bien chaudasse <<

Une femme est sous moi et me mange la chatte en me caressant le cul. Sa langue est douce et ses lèvres avides de mon sexe. Elle boit ma mouille qui s’écoule lentement dans sa bouche. C’est une petite blonde un peu boulotte d’environ 45 ans. Ca doit lui paraître bizarre et excitant de faire un cuni à une jeune étudiante comme moi.
Devant moi, deux queues se présentent. Deux belles queues vraiment surdimensionnées, bien noueuses et le gland tendu à l’extrême. Je les lèche comme des boules de glace, c’est un peu amusant et l’alcool me fait rire à cette idée. Je reprends mes esprits quand les deux beaux nœuds forcent le passage de mes lèvres en même temps. Je dois ouvrir la bouche en grand mais j’arrive finalement à prendre les deux engins ensemble. Leurs propriétaires respectifs se mettent à me limer. Ils doivent être un peu bisexuels car ils semblent apprécier de frotter ainsi leurs membres l’un contre l’autre. Moi, je me contente de servir de réceptacle à leurs envies et de passer la langue sur leurs bouts.
Un autre homme s’est placé sous moi et me suce les seins comme un enfant tèterait les nichons de sa mère. On m’a rarement fait ça aussi bien. Il tire avec ses lèvres sur mes belles tétines brunes et longues qui pendent un peu dans cette position. Sa langue agace mes pointes. En tournant la tête, je peux voir une grosse femme aux fesses mafflues qui monte et descend sur sa bite, prise par le cul, tout en suçant la queue d’un gars bien plus jeune qu’elle, lui-même sodomisé par un vieux type. Je crois me souvenir qu’il s’agit du mari de la grosse femme.

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Subitement, je sens qu’on essaye de s’introduire dans mon cul. Ce n’est ni la langue ni la main de ma suceuse de chatte. Je lâche un moment les deux queues que je pompais pour jeter un œil en arrière. Un black viril avec un énorme membre s’apprête à m’enculer. Excitée comme une puce, je lui tends mon cul, je lui offre ma raie et il s’enfonce en moi comme dans une motte de beurre. Il faut dire que j’ai été bien préparée par les caresses de la gouine qui s’est occupée de moi.
Râles et gémissements remplissent la grande pièce qui respire le sexe et la baise. Je suis bien, ivre, complètement nue et partouzée comme une chienne. J’adore !

Mon premier plan bisexuel

Je vais vous raconter une expérience qui pour moi a constitué un tournant de ma vie : mon premier plan bisexuel, ma première pipe de bi, la révélation de ma bisexualité sans doute latente. Je suis un homme marié de 42 ans et j’aime ma femme comme au premier jour. Nous avions jusque là une vie sexuelle épanouie mais uniquement centrée sur notre couple. J’ai toujours été fidèle à mon épouse, Sylvie et je croyais jusqu’à aujourd’hui qu’il en était de même pour elle. Visiblement je me suis trompé et j’ai été trompé.

Quand je suis rentré du travail l’autre soir, un peu plus tôt que d’habitude et un bouquet de fleurs à la main, j’ai eu la désagréable surprise de trouver Sylvie dans notre chambre, avec un gars de son âge, la trentaine. Si j’avais entendu leurs gémissements un peu plus tôt qu’après avoir la porte de la chambre, j’aurais sans doute rebroussé chemin mais il était trop tard. Aujourd’hui je ne le regrette pas.

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Sylvie n’a pas eu l’air gêné de me voir sur le pas de la porte, mon bouquet ridicule tombé au sol.  Au contraire, elle s’est approchée de moi et m’a poussé vers le lit. Entre nous, c’est toujours elle qui a été la plus entreprenante, la plus directive. Je ne sais pas pourquoi, je me suis laissé faire.

Ma femme a passé sa main entre mes jambes et s’est mise à me caresser la queue à travers mon pantalon, avant de l’en extraire. Je bandais malgré l’incongruité de la situation, allongé juste à côté de l’amant de Sylvie. J’étais terriblement excité, presque entièrement soumis par les caresses de ma femme qui annihilaient toute volonté de révolte en moi.

Je n’ai même pas réagi quand d’autres mains que celles de Sylvie sont venues déboutonner ma chemise et caresser mon torse. Pas non plus lorsqu’elles se sont aventurées plus bas pour tripoter mon sexe. Ca ne pouvait être que celles de l’homme qui partageait notre couche.

De fil en aiguille, je me suis retrouvé tout près de celui-ci, entièrement nu. A un moment, J’ai senti la main de Sylvie qui appuyait sur ma tête. Elle me guidait vers le membre raide de l’homme. C’est la seule fois où j’ai manifesté une légère réticence. Mais quand Sylvie a menacé d’arrêter de me branler si je ne me montrais pas coopératif, la mince digue qui m’empêchait encore de passer à l’acte à lâché.

J’ai  entrouvert les lèvres et j’ai pris dans ma bouche le gros gland mouillé du gars. J’ai trouvé ça plutôt agréable. La troublante sensation de me sentir soumis et la chaleur du membre au fond de ma bouche se mélangeaient pour augmenter encore mon excitation. J’ai pompé ainsi le chibre du mieux que je pouvais  pendant plusieurs minutes, essayant de reproduire avec application les caresses si douces que ma femme s’était mise à prodiguer à ma propre queue.

>>Plan cul entre bisexuels <<

Nous nous sommes sucés mutuellement pendant un long moment. Je crois bien que la bouche du type était collée au sexe de ma femme. Je suis le premier à avoir joui mais l’amant de Sylvie n’a pas tardé à me suivre, puis ce fut à son tour d’avoir un orgasme comme je ne lui en avais jamais connu jusque là. Je n’ai pas pu garder le foutre chaud qui est monté très vite des couilles de l’homme pour ce premier plan bisexuel. Le premier d’une longue série ? Sans aucun doute…