Un sextoy m’a rendu infidèle…

Par Céline, 33 ans

Je crois que je suis devenue une vraie salope infidèle, de ces filles que je n’ai jamais comprises, auparavant. Je vous écris ce texte pour avoir votre avis sur la question. Mais une chose est sûre : je suis devenue totalement infidèle à mon compagnon. C’est de sa faute aussi ! Un jour, il m’a offert un drôle de jouet pour la Saint-Valentin. Il a du croire que ça allait réveiller ma libido, quelque peu endormie, depuis la naissance de notre petite fille.

Un mini-vibro Bonnie, ils appellent ça. Tu parles que ça a réveillé ma libido ! Je n’arrête pas avec ça. La partie large me remplit bien le vagin pendant que la plus fine me travaille le clito divinement. Je suis devenue totalement dingue avec ça ! Au point que, un jour, je me suis connectée sur un site de rencontres coquines. J’y ai trouvé un homme, de passage dans ma ville pour le boulot. Mon chéri était au taf, j’ai invité l’inconnu à venir me rejoindre.

Il m’a trouvée allongée sur lit, les cuisses écartées, mon sextoy fiché dans mon sexe. Il m’a rejointe et nous avons baisé comme des beaux diables pendant plus d’une heure. Quand il est parti, je suis allée prendre une douche. J’avais bien joui, mais j’avais le ventre tordu par le sentiment de culpabilité. Plus jamais je ne ferais ça, c’était certain !

Le jeudi après-midi suivant (alors que je suis en RTT et que mon compagnon est au travail), j’ai recommencé à me masturber avec mon Bonnie. Prise d’une pulsion incontrôlable, je suis retournée sur le site de rencontre. Je me suis faite draguée par un jeune marocain de 20 ans. Ça m’a flattée. Il est venu chez moi, et il m’a sautée.

Le truc, c’est que je suis dans un état tellement étrange quand je me branle avec mon sextoy, que je ne me rends plus compte de rien. A vrai dire, je n’ai même pas le sentiment de tromper mon homme, en tout cas pas plus que si je fantasmais sur un autre en pleine masturbation.

J’ai essayé ensuite de contourner le problème. De n’utiliser mon vibromasseur que quand mon compagnon était là. Nous avons eu des moments de sexe incroyables grâce à ça. Mais non, tous les jeudis, un nouvel amant venait me visiter, comme si une force surhumaine prenait le contrôle de mon corps et de ma volonté.

Je suis certaine qu’il ne se doute de rien. Il est même plutôt ravi de voir que mon désir sexuel est redevenu normal. Que j’éprouve, à nouveau, des besoins érotiques. Mais le pire, c’est que c’est un plaisir à accoutumance. J’en veux toujours plus.

Un après-midi, un des mecs contactés m’a posé un lapin. Je suis donc restée seule, avec mon Bonnie, frustrée de n’avoir pas une bite pour finir le travail engagé par la masturbation. Alors, le jeudi suivant, j’ai pris mes précautions : j’ai invité deux hommes à venir me baiser.

Le problème, c’est qu’ils sont venus tous les deux. Plus grave, je les ai laissés me prendre chacun leur tour, puis ensemble, en double-pénétration vaginale. Ça a été le début d’une escalade. Et d’un rituel : je commence à me faire du bien avec mon sextoy, puis, bien chaude, je m’installe à l’ordinateur pour trouver des amants. J’accepte tout ceux qui se proposent et qui sont disponibles dans l’heure.

Ma chambre à coucher est devenu le théâtre de partouzes incroyables où je baise avec parfois une demi-douzaine d’inconnus. Je ne vous raconte pas le temps que je passe, ensuite, à effacer toutes les preuves de mon forfait ! Non seulement je suis infidèle, mais je suis devenue une véritable partouzeuse, un bon plan cul que certains hommes du réseau où je suis inscrite se refilent.

Suis-je devenue une salope infidèle ?

Mais il n’y a rien à faire : quand je baise avec ces hommes, je ne me contrôle plus. Une fois, l’un d’entre eux a même pris des photos de moi dans des positions salaces, et je l’ai laissé faire. Pour moi, c’est comme si tout cela appartenait à un autre monde. Rien à voir avec mon couple, rien à voir avec mon amour pour lui.

Ce sextoy a pris possession de mon âme, je suis comme ensorcelée. J’ai bien pensé m’en débarrasser, mais c’est un cadeau de mon compagnon, comment lui expliquer ? Mais est-ce vraiment le sextoy qui est en cause, où suis-je, moi, une salope infidèle par nature ?

Je suis obsédée par les vieux

Je fantasme sur les vieux. Je suis même obsédée par les vieux. Les mecs de 60 ans, parfois plus, me font mouiller ma culotte. Je suis pourtant mariée, et fidèle depuis plus de dix ans. Mais, depuis quelques temps, je joue à un jeu que je trouve très érotique, et dont mon mari ignore bien entendu tout.

La journée, quand il est au travail (je suis salariée à mi-temps), je drague sur internet des messieurs de plus de 60 ans, et je les invite à me rejoindre chez moi. Mais attention, ils n’ont pas le droit de me prendre. Ce que j’aime, c’est les recevoir, nue, chez moi, et ils me surprennent en pleine masturbation avec un gros gode que je me suis acheté en cachette de mon homme.

Je suis nue sur le canapé, offerte, mon sextoy planté entre mes cuisses quand ils entrent chez moi. Je tripote mes gros seins, et j’aime quand ils se débraguettent et qu’ils se branlent à leur tout devant moi. Ils me regardent, je les regarde.

Parfois, quand l’un d’entre eux m’excite plus que les autres – je les aime poilus, un peu bedonnants, avec un regard vicieux, voire malsain – je le branle moi-même. Il m’est même arrivé d’en sucer un ou deux.

Je me fais jouir comme ça, les yeux rivés sur leur sexe, le plus souvent petit, et un peu mou. Eux ne me lâchent pas du regard, et quand ils sont sur le point d’éjaculer, je leur fais comprendre que j’aimerais recevoir leur sperme sur mes gros seins.

La sensation du sperme chaud de ces vieux salauds sur ma peau me procure une joie, un sentiment de plénitude que je n’avais jamais connu avant, même quand je fais l’amour avec mon mari qui, je dois le dire, un très bon coup au lit, comme on dit.

Une fois, j’ai reçu un monsieur qui devait avoir au moins 70 ans. Il avait un sexe énorme, très raide, très dur ! La vue de cet énorme membre m’a donné des envies encore plus perverses que d’habitude. Je me suis face à lui, et je l’ai branlé entre mes seins.

Ça a duré comme ça un long moment, moi plantée sur mon gode, lui se faisant plaisir en coulissant sa verge entre mes deux mamelles. Il grognait, me traitait de tous les noms, et ça m’a fait jouir. Puis il s’est répandu sur ma poitrine, et la giclée de son sperme a atteint mon menton.

J’ai récolté sa semence avec le bout de on doigt, et je l’ai portée à ma bouche. J’avais l’impression d’être une pute et ça m’excitait terriblement. Et voilà que, il y a une semaine, j’ai de nouveau croisé sa route dans la rue. Je l’ai reconnu, je suis certaine que lui aussi. J’ai cru jouir rien que de l’apercevoir, surtout que j’étais accompagnée de mon mari.

Bien sûr, j’ai eu peur qu’il ne vienne me parler de notre aventure, là, devant mon homme, mais cette peur a été plus excitante qu’autre chose. Bien entendu, il a passé son chemin, sans mot dire. De toute façon, je sais quel site il fréquente, je sais comment le retrouver.

Je crois que, très bientôt, je vais l’inviter à nouveau chez moi. Mais cette fois, il aura le droit de faire tout ce qu’il voudra de moi et de mon corps. Je rêve de sa longue bite presque toutes les nuits, je n’y tiens plus !

Comme d’habitude, je l’accueillerai chez moi, je serai totalement à poil. Mais, cette fois, je voudrais qu’il me baise, qu’il me fasse sentir sa longue verge au fond de mon vagin, au fond de ma gorge et – pourquoi pas ? – au fond de mon anus. Ce monsieur m’obsède, je veux être à lui, je veux qu’il me traite comme une salope en chaleur.

Mais, j’y pense, à me comporter ainsi, à m’exhiber devant tous ses vieux cochons, ne serais-je pas déjà devenue une salope en chaleur ? Oui, c’est vrai, j’ai honte de mon comportement. Mais dès que des envies salaces envahissent mon ventre, picotent mon entrejambe, remontent le long de mes cuisses, je ne suis plus tout à fait la même, je ne me contrôle plus.

Je ne sais pas si je dois voir un psy. Ou simplement tenter d’arrêter tout ça par mes propres moyens. Parfois, je me dis que, tout simplement, c’est ma nature de faire des choses semblables, et que je ne peux pas lutter contre mes instincts les plus bas.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

Par Andréa, 39 ans

Candaulisme hardcore avec ma femme

Ça faisait un moment que je tannais ma femme pour essayer avec elle le candaulisme. Elle a beau être plutôt coquine, elle ne se voyait pas baiser avec un mec devant moi. Des années que nous regardons des films pornographiques ensemble, que nous reluquons les mecs et les filles dans la rue en partageant nos impressions, que nous cherchons des endroits originaux pour faire l’amour (forêt, stade de foot et même une fois dans un sexshop), bref, que nous partageons vraiment nos délires érotiques. Mais elle ne voulait pas franchir le pas du libertinage.


Moi, mon trip, c’était surtout de jouer les cocus, de la regarder baiser avec un autre gars. Mais elle ne voulait pas en entendre parler. Jusqu’à ce jour. C’était mon anniversaire. Un colis était arrivé quelques jours plus tôt par voie postale, j’avais interdiction de l’ouvrir. Je savais bien que c’était mon cadeau.

Petit dîner aux chandelles, elle a revêtu une tenue sexy en diable, je sens que ça va être la fête ce soir. Arrive le dessert, un truc à base de gingembre qui promet vraiment. Estelle me tend mon cadeau. Vu tout le mystère qui a entouré l’arrivée du colis, c’est fiévreusement que j’ouvre mon paquet. Là, je tombe sur une boîte et je ne comprends pas bien.

Il est écrit dessus :  » Male Chastity Device « . Je regarde ma femme, elle me sourit, avec un air interrogateur dans les yeux :  » Maintenant, déshabille-toi entièrement « . J’aurais préféré plus de préliminaires, mais son air décidé m’excite. Je bande déjà. Je me retrouve donc nu comme un ver, la gaule tendue vers Estelle.

Elle ouvre la boite, et en sort un objet étrange, transparent. Je viens de comprendre. C’est une cage de chasteté. Elle l’ajuste tant bien que mal sur ma pine raide. Elle me fait me mettre à genoux devant elle. Elle remonte sa jupe et je m’aperçois qu’elle n’a pas de culotte :  » lèche-moi, maintenant ! « .

Très bien, elle veut jouer à la dominatrice, ça me plaît bien. Je passe ma langue entre ses lèvres du bas, je joue avec son clitoris qui est déjà tout gonflé. Elle me tient la tête pour presque m’étouffer entre ses cuisses. Là, les choses deviennent plus étranges.

Elle prend son portable, cherche dans son répertoire et appelle quelqu’un. Elle dit à son interlocuteur :  » tu peux venir maintenant « . Je cherche à comprendre, à lui poser une question, mais elle pousse mon visage contre son sexe dégoulinant de mouille. Alors je lèche. Puis j’entends la porte de la maison s’ouvrir et se refermer.

Candaulisme complice…

Estelle relâche son étreinte. Pour que je puisse voir qui arrive dans notre salon. Je ne connais pas cet homme. C’est un grand noir, plutôt baraqué, sans doute d’origine antillaise.  » Je te présente Sammy, mon prof de gym. Voilà des mois qu’il me drague, alors, si tu es toujours d’accord pour le candaulisme, Sammy va pouvoir jouer avec moi, là, ce soir. « .

Je fais oui de la tête. Le gaillard, un peu intimidé, se déshabille à son tour. Il dévoile un torse puissant, des tablettes de chocolat d’un noir ébène et une bite, je ne vous dis pas ! Un énorme mandrin déjà gonflé, qui doit faire le double de la taille du mien. Je ne suis pourtant pas si mal monté ! Ma femme aussi a l’air d’être surprise par le gabarit exceptionnel de la bite de son prof de gym.

Il s’approche d’elle. Il a presque sa pine a hauteur de mes yeux. Il la fout à poil devant moi. Elle est superbe, ses tétons tendus vers la poitrine musculeuse du gars. Ils se roulent des pelles, puis elle se met à genoux pour le pomper. Elle m’attire vers elle, pour que je vois bien comme elle le suce.

Je bande toujours, je caresse son dos. Elle repousse ma main. Elle me fait m’allonger sur le sol, toujours contraint par la cage de chasteté, puis elle s’assied mon visage ? Je lèche tant et plus, mais je peux toujours voir au dessus de moi, le visage de ma femme, qui reprend en bouche l’énorme sexe noir qui lui est tendu. Ma langue tourne autour de son clito, s’insinue dans son sexe et je vois ses joues se creuser sur la hampe de l’Antillais.

Il grogne de plaisir. Il va jouir. Ma femme recrache la bite et la branle de la main. Pour peu, l’éjaculation du black a failli me couler sur le visage. Mais c’est au tour de ma femme de jouir. Elle tortille du cul comme une dingue. Son orgasme est violent. Le type se rhabille et part. Ma femme se redresse, me fait me relever :  » bon anniversaire, mon chéri ! « .




 

Une étudiante perverse dans les toilettes d’un train

Moi qui suis un homme marié – et habituellement fidèle – j’ai très envie de coucher sur le papier cette aventure qui m’est arrivée avec une étudiante perverse dans les toilettes du train, un jour où je me rendais à Paris pour mon travail.

Nous étions lundi matin. Un lundi comme les autres et rien ne me préparait à vivre une telle aventure érotique. Il faut vous dire que j’ai passé depuis un moment le cap de la quarantaine, et que ma vie sexuelle me va très bien comme elle est.

Elle n’avait pas vingt ans. Elle devait être étudiante, sans doute en classe prépa, à voir l’application qu’elle mettait à prendre des notes quant à l’épais bouquin qu’elle compulsait studieusement. Sa tenue n’avait rien de particulier, en ce début d’automne, mais je l’ai remarquée tout de suite, à ses gros nichons que moulait parfaitement un petit pull trop serré pour sa formidable poitrine. On a beau être fidèle, on a tout le même le droit de voir les belles choses de la vie, non ?

Quoi qu’il en fut, je suis retourné à mon ordinateur portable, et à la préparation de ma réunion de l’après-midi, sans faire plus attention que ça à la jeune femme. Au bout d’un moment, j’ai laissé mon travail, pour m’assoupir un instant.

Quand je me suis réveillé, l’étudiante avait toujours le nez plongé dans un bouquin, mais d’un tout autre genre celui là. Elle lisait du Sade. « Certainement pour la fac », pensais-je alors. Mais à voir la précipitation avec laquelle elle a dissimulé l’ouvrage pour reprendre son vieux manuel d’économie, je me suis dit que j’avais à faire à une étudiante perverse, une vraie coquine, comme on l’est d’ailleurs souvent à cet âge là.

L’étudiante studieuse devient perverse…

La demoiselle piquait un fard. Elle était rouge pivoine, gênée d’avoir été ainsi surprise dans ses lectures lubriques. Je l’ai regardée longuement, m’amusant de sa gêne, faisant mine d’être choqué, quoiqu’un peu bienveillant, de ses lectures perverses.

Après une minute d’hésitations, la jeunette décida de rentrer dans mon jeu, et planta son regard noir au fond de mes yeux. Elle me défiait littéralement, et je n’eus pas la force de soutenir son regard. Je fus vite debout, en partance pour les toilettes du train.

Quand je fus arrivé au bout du couloir, je m’aperçus que mon étudiante perverse m’avait emboîté le pas. Elle voulait sans doute pousser le jeu jusqu’au bout. Alors, plutôt que de refermer la porte immédiatement, je l’ai laissée entrebâillée quelques secondes, laissant à l’étudiante perverse l’occasion de me rejoindre dans cet espace clos.

Elle n’hésita pas une seconde et pénétra dans les toilettes du train, claquant la porte derrière elle. J’étais vaincu, elle triomphait. Mais elle ne comptait pas s’arrêter en si bon chemin. Elle se colla à moi, appuyant sa lourde poitrine contre mon torse, et me vola un baiser langoureux. Sans avoir eu le temps de réaliser ce qui m’arrivait, j’eus la bite sortie de sa cachette.

Mon étudiante perverse s’était mise à genoux, me pompant comme une affamée. Je pouvais glisser une main sous son pull, tandis qu’elle me turlutait, saisissant l’un de ses gros nibards et la pelotant, porté par l’excitation du moment. Elle faisait de petits bruits de déglutition tout en creusant les joues, mêlés de quelques soupirs de plaisir qui m’excitaient encore davantage.

Je ne fus pas long à jouir à grands traits au fond de la gorge de mon étudiante perverse. La gourgandine se releva alors, recracha mon sperme dans la cuvette des toilettes du train. Le reste du voyage se passa tranquillement, l’étudiante perverse s’appliquant à finir consciencieusement ses devoirs, comme si de rien n’était.







Epouse modèle pour mari infidèle

Ma meilleur amie m’a avoué que mon mari n’arrêtait pas, en soirée, de lui faire du plat, moi, son épouse modèle… Pire ! Elle m’a dit aussi, les yeux dans les yeux, qu’elle lui avait fixé un rendez-vous chez elle, pour le vendredi suivant, à 18h, à l’heure où je vais à ma séance de yoga. Mon sang n’a fait qu’un tour. Mais elle m’a vite rassurée : c’était pour tendre un piège au coquin, qui, décidément, a bien du mal à garder son pénis dans sa braguette !

Le jour dit, j’ai donc annulé le prof de yoga, et je suis allée, vers 17h, chez elle, pour préparer le guet-apens en sa compagnie. Il faut dire, à ce stade, que Danièle est une bombe sexuelle. Belle brune, grande, élancée, mais avec des formes généreuses, alors que je suis plutôt jolie, blonde, fine, mais pas très « sexe ». Comment cela allait-il se dérouler ? Danièle avait un plan : « je le reçois, je le laisse me draguer, je l’entraine jusque dans ma chambre, où tu attendras tranquillement sur le lit ».

Je tenais ma revanche, même si j’espérais, en mon for intérieur, qu’il ne vienne pas. Mais à 18h pétantes, la sonnette de l’appartement de mon amie a retenti. Je me suis dissimulée dans la chambre. C’était bien lui. J’entendais sa voix, mais je ne parvenais pas à savoir ce qu’ils se disaient. Quand ils ont fait irruption dans la pièce, ils se roulaient des pelles à pleine bouche, tant et si bien qu’il a mis bien du temps à s’apercevoir de ma présence sur le lit.

Danièle était déjà seins nus. J’étais fascinée par l’opulence de sa poitrine, lourde, brune, appétissante. J’en oubliais presque la raison de ma présence. Au détour d’un baiser dans le cou de ma meilleure amie, mon homme m’a vue. Il s’est figé instantanément. Danièle est partie dans un fou-rire : « tu verrais ta tête, petit cochon ! Tu ne croyais quand même pas que j’allais faire cocu ma meilleure amie avec toi ? ».

Là, j’ai eu presque pitié de lui. Il était livide, ses genoux tremblaient. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je me suis levée du lit, j’ai adressé un tendre sourire à mon mari et je me suis blottie dans les bras de Danièle. Au début, elle a du croire que j’étais morte de tristesse, qu’il fallait me consoler. Mais je me suis mise à caresser son dos nu, puis à embrasser ses épaules.

Moi l’épouse modèle, je deviens complètemement sexe…

Mon mari a regardé la scène, incrédule. Danièle, elle aussi, a eu bien du mal à comprendre de quoi il retournait, jusqu’à ce que je l’embrasse à mon tour à pleine bouche. Je me suis retournée vers lui : « la prochaine fois que tu as envie d’une femme, préviens-moi… et on partage ! ». Mon mari est resté coit, comme s’il n’était pas certain d’avoir bien entendu. Danièle, elle, est devenue comme folle. Elle m’a embrassée à nouveau, sensuellement, fougueusement, et avant d’avoir eu le temps de réagir, je me suis retrouvée à mon tour seins nus.

Nous étions là, poitrine contre poitrine, à nous gouiner devant lui. Il ne bougeait pas. Quand il a voulu nous rejoindre, Danièle l’a arrêté d’un simple geste de la main, plein d’autorité : « non, aujourd’hui, tu ne fais que regarder. Ça t’apprendra à vouloir être infidèle. La prochaine fois, tu joueras avec nous, si tu es très sage ».

Danièle a retiré ma jupe, puis ma culotte, et m’a fait m’allonger sur lit. Elle a embrassé l’intérieur de mes cuisses, puis m’a léché carrément le sexe. J’ai joui en moins d’une minute. J’ai alors tété ses beaux gros seins, puis je lui ai rendu la pareille. Sans expérience, j’ai été longue à obtenir son orgasme, mais, quand il est venu, quel festival ça a été !

Mon mari est resté là, sagement, à nous regarder. Je le devinais ivre de désir pour chacune d’entre nous. J’étais ravie. La vengeance ne pouvait être plus douce. Depuis, nous nous sommes revus tous les trois. Parfois, un amant de passage de Danièle nous rejoint pour une partie à quatre, et ma meilleure amie adore me voir me faire pénétrer par un autre homme devant mon mari infidèle. Il serait bien mal placé pour protester.

Ce jour-là, nos relations ont changé du tout au tout. Avec ma meilleure amie, bien sûr, qui est devenue mon amante, mais surtout avec mon mari. Il me fait partager tous ses plans cul. Quant à lui, il préfère ignorer mes amants, puisque maintenant, je m’autorise quelques extras. Mais tout de même, ne suis-je pas une épouse exemplaire mais d’un nouveau modèle ?







Baise particulière un soir de féria…

C’était un peu comme dans la chanson. Il était mince, il était beau… Encore aujourd’hui, dix ans après, le souvenir de notre étreinte, de cette baise particulière me réveille parfois la nuit. C’était en plein été, à Béziers, la feria battait son plein. J’étais en instance de divorce et ma meilleure amie m’avait proposé de descendre dans le sud pour me changer les idées.

Sangria après sangria, bodega après bodega, nous déambulions toutes les deux dans les rues biterroises, draguées ici ou là par des hommes de nos âges, la quarantaine, ou même la cinquantaine.

Et puis, je l’ai remarqué : très grand, très fin, de longs cheveux bruns, partout où nous allions, il n’était pas bien loin. Je n’ai jamais eu l’âme d’une couguar, mais là, c’était moi, la proie. Ou peut-être mon amie.

Car, pas de doute, le jeune homme nous suivait. A y regarder de plus près, c’était même sans doute moi, sa cible. Il me dévorait littéralement des yeux. Peu habituée à ce genre de comportements de la part d’un si jeune homme – il devait avoir 20 ans – je finissais même par être gênée par son attitude, et je cachais mon décolleté.

Séduite et… branlée ! C’est de la baise ?

Vers 3 heures du matin, il m’a abordée. Sans me demander mon avis, il s’est mis à danser avec moi, m’entraînant sur la piste de la bodega comme si nous nous connaissions depuis toujours. Quand il a pris ma main, j’ai remarqué immédiatement la douceur de sa peau.

Nous avons dansé tant et si bien que j’ai fini par perdre mon amie de vue. Le jeune homme m’a entraînée dans une ruelle, sous un porche. Là, il m’a embrassée fougueusement. En moins de temps qu’il n’a fallu pour le dire, je me suis retrouvée avec un sein dehors. Ou plus exactement, dans sa bouche.

Il a glissé sa main sous ma jupe. Il a du sentir la moiteur de mes cuisses, faite de transpiration et d’excitation. Contournant le tissu de ma culotte, il s’est littéralement emparé de mon clitoris et s’est mis à le branler.

Je n’avais rien demandé, rien sollicité. Je me laissais tout simplement faire, une baise manuelle terriblement excitante, et j’aimais ça. Quand l’orgasme s’est emparé de mon bassin, il a de nouveau posé ses lèvres sur les miennes. J’ai joui en mêlant ma langue à la sienne et seul notre baiser m’a empêché d’ameuter la foule qui dansait et chantait à seulement quelques mètres de nous.

Puis, j’ai repris mes esprits. Enfin, pas vraiment. Sans y réfléchir, je me suis baissée. J’ai ouvert le zip du jeune homme, pour en faire jaillir un membre fin et long, très doux, que j’ai pris en bouche.

Je l’ai sucé, passant ma langue sur son frein, sur sa hampe, jusqu’à ce qu’il se répande au fond de ma gorge. Ses jambes flageolaient, j’ai du le retenir pour qu’il ne tombe pas. Nous avons échangé un dernier baiser et je me suis enfuie dans les rues de Béziers à la recherche de mon amie.

C’est la première fois que je raconte cette aventure et, rien qu’à y repenser, je sens un fourmillement entre mes cuisses. La baise à Béziers, un soir de féria, on dirait une blague…






La stagiaire, ma femme et moi, 3ème partie

Le lendemain matin – on était un samedi – je me suis senti morveux. Bien entendu, ma femme a gobé sans mot dire mon histoire de travail de dernière minute, pour expliquer mon arrivée tardive, la veille. Pas une seconde elle n’aurait pu s’imaginer que j’avais couché avec la jeune stagiaire gironde de 20 ans et demi qui hantait mon lieu de travail.

Ce samedi là, j’ai trouvé mon épouse encore plus belle qu’avant. La grande brune, fine, mature, contrastait tant avec la volupté de Lydie. Elle était élégance là où la bimbo respirait le vice.

Pour la soirée, Patricia m’avait promis un dîner en amoureux, qu’elle allait confectionner elle-même. J’étais ravi. Elle avait même ajouté, en me demandant d’aller acheter un magnum de champagne, qu’elle me réservait une surprise, ce soir même. Ma curiosité était piquée au vif.


Le soir venu, donc, elle me demanda de nous servir une coupe à chacun, quand la sonnette de l’entrée retentit. Mince, un gêneur, ce n’était pas le moment de venir nous importuner. Patricia avait revêtu sa longue robe noire, fendue jusqu’en haut de la cuisse et je m’étais déjà promis un dessert coquin à la hauteur de la beauté de mon épouse.

Quand elle fit rentrer notre visiteuse impromptue, je crus que mon cœur allait me lâcher. C’était Lydie, en tenue élégante et sexy, un large sourire aux lèvres. « Je crois que vous vous connaissez » me lança ma femme dans un petit rire. J’étais éberlué, interdit. « Voilà la surprise, mon chéri ».

Les souvenirs me sont revenus, en flash. Le pot de départ d’un collègue, la longue conversation entre ma femme et la stagiaire, qui semblaient s’être entendues comme larronne en foire, ce jour-là. J’ignorais tout du piège dans lequel j’étais tombé, manifestement, à pieds joints.

Patricia sortit du vaisselier une troisième coupe, la remplit de champagne et la tendit à la jeune stagiaire. Elle me donna la mienne et leva la dernière au ciel en criant : « à l’amour ! ». Je n’avais pas prononcé un mot depuis l’arrivée de Lydie dans notre maison, alors, Patricia m’expliqua de quoi il retournait.

Mon épouse s’était inquiétée de me voir aussi fidèle, même en pensées et avait mijoté ce scénario pervers avec la bimbo blonde. Elle était heureuse de savoir que j’avais cédé à ses avances, elle trouvait qu’une nouvelle page de notre histoire d’amour venait de s’ouvrir.

Joignant le geste à la parole, Patricia s’approcha de Lydie et déposa un baiser doux sur ses lèvres. Les deux femmes s’enlacèrent, et mon épouse tendit la main vers moi, me faisant signe de les rejoindre. Après de longues caresses à trois, elle posa une règle : la pénétration lui était réservée.

Quand j’en aurai le temps, je vous raconterai peut-être cette première nuit de sexe à trois, entre un couple de quadragénaires amoureux et une jeune bimbo de vingt ans, douée pour l’amour comme d’autres sont douées pour les mathématiques ou la littérature.

Je vous raconterai cette nuit là, et peut-être même aussi les nombreuses nuits qui ont suivi, avec Lydie, bien sûr, mais aussi avec des tas de jeunes femmes de moins de trente ans que ma chérie prend tant de plaisir à débaucher avec moi.

La stagiaire, ma femme et moi, 2ème partie

Je ne vous explique pas à quel point ce fut chaud, dans le tout petit appartement de la stagiaire. Ou plutôt si, bien sûr, je vais vous l’expliquer : Lydie m’a donc roulé une pelle langoureuse sur son palier, puis m’a attiré chez elle et a refermé violemment la porte derrière nous.

En moins de temps qu’il n’a fallu pour le dire – et pour moi de me rendre compte de ce qui m’arrivait – elle s’est retrouvée les seins nus, collés à mon torse, nos bouches encore lovées l’une contre l’autre. Puis, la bimbo s’est reculée et j’ai pu admirer sa formidable poitrine, ferme, gigantesque, avec de très gros bouts roses et fermes, qui pointaient comme des menaces sur mon mariage, vers moi.

Après une courte hésitation, je me suis précipité vers la jeune femme et, comme un adolescent en rut, je me suis mis à téter et à suçoter les mamelons de la stagiaire, qui couinait de plaisir sous mes coups de langue.

Nous avions beau être dans son entrée, son lit était à deux pas et, après en avoir retiré quelques peluches qui trainaient là, Lydie m’y fit basculer et, les seins luisants de ma salive, elle entreprit de me déshabiller.

Sucé par la stagiaire !

Moi-même, je ne me souvenais pas d’être capable de bander aussi dur. Alors, imaginez un peu, quand ma bite toute entière disparut entre les lèvres gourmandes de Lydie ! J’ai cru que je n’allais pas pouvoir me retenir, et que j’allais inonder séance tenante la gorge de la blondinette.

J’ai finalement réussi à me calmer et, tandis qu’elle me pompait avec une science qui n’était pas de son âge, je me suis mis à peloter ses gros seins, puis son gros cul, qu’elle avait libéré prestement de sa petite jupe et de son mini-string. Je regardais autour de moi, tout en appréciant la turlutte magique que me prodiguait le stagiaire.

C’était là une chambre de post-ado : des posters sur tous les murs, des peluches sur tous les meubles et des CDs qui trainaient un peu partout sur le sol. J’eus un mouvement de recul. Intriguée, Lydie lâcha un instant ma bite enflée et comprit ce qui se jouait dans ma tête de quadragénaire coupable. Elle vint étaler tout son corps sur le mien, et se fit plus douce, plus tendre et moins salope.

Après tout, c’est elle qui m’avait sauté dessus, et si je lui faisais du bien, je n’avais pas à me poser de questions vis-à-vis d’elle. Nous avons recommencé à nous embrasser comme deux lycéens, pendant qu’elle frottait sur mon érection sa vulve épilée intégralement.

Nous avons fait l’amour comme ça pendant près d’une heure, sans pénétration, jusqu’à ce qu’elle ait raison de moi grâce à une cravate de notaire aussi savante que sa pipe. Mon gland coulissait entre ses deux formidables globes, et se trouvait titillé à chaque passage par le bout de sa langue.

J’ai joui à grands jets sur le visage de Lydie, qui ne chercha même pas à éviter mes éjaculations sur elle. Il fallait que je rentre, vite, ma femme m’attendait à la maison.

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La stagiaire, ma femme et moi, 1ère partie

Lydie la stagiaire promenait ses grosses fesses rondes et sa lourde poitrine dans tout le bureau depuis déjà un mois, et tous mes collègues continuaient à se retourner sur son passage comme si elle venait d’arriver. Moi, en mec marié, amoureux et fidèle, je m’efforçais de ne pas (trop) remarquer la jupe courte et le décolleté plongeant de notre stagiaire.

Je n’avais absolument pas à rougir devant ma femme. Je me tenais à l’écart de toutes les conversations scabreuses et souvent salaces de mes collègues à propos de la bimbo de service qui, de toute façon, avait sans doute 25 ans de moins que moi, normal pour une stagiaire… Dire qu’elle me laissait de marbre aurait été exagéré, c’est certain, mais je résistais dignement et fermement à la tentation.

Ce que je ne pouvais pas savoir, c’est que Lydie allait me harceler sexuellement. Pourquoi moi ? Je l’ignore. Toujours est-il qu’un soir, dans le parking de la boite, ma vie sexuelle allait basculer du tout au tout.

J’étais en train de rentrer, quand une petite voix m’interpella : « Serge, attends-moi s’il te plait ». C’était Lydie. Je ne pus m’empêcher de remarquer, sous la boucle blonde qui descendait jusqu’à sa poitrine que ses tétons pointaient. « Les bus sont en grève, tu pourrais me ramener chez moi, s’il te plait ? ».

 

Comment refuser ce petit service à une collègue, à une jeune femme en détresse et de surcroît, à une telle charmeuse ? Je lui fis signe de s’installer à droite et je pris la direction de la sortie. Après m’avoir indiqué le chemin à emprunter, la jeune blonde s’ouvrit à moi des commentaires qu’elle avait surpris à son sujet, alors qu’elle était aux toilettes.

Elle semblait vraiment peinée par le fait que tous nos collègues rêvaient de la baiser. Je lui dis la vérité : que si elle ne voulait pas faire bander tout le monde, il lui fallait adopter une tenue, si ce n’est plus stricte, en tout cas plus classique. Là, la conversation prit un tour nouveau : « mais toi, je ne vois bien que tu ne me regardes pas comme un morceau de viande, tu n’es pas gay pourtant ? ».

La stagiaire me brancherait-elle ?!?

Non, je n’étais pas gay. Et sa main gauche, qui venait de se poser sur ma cuisse, tout prêt de ma queue, pouvait s’en apercevoir. Je venais d’avoir une érection automatique, le genre de bandaison incontrôlable qui survient sans crier gare. J’ai retiré sa main, gentiment mais fermement.

Lydie n’osa plus rien dire pendant le reste du trajet. Mais, une fois arrivés en bas de chez elle, elle tenta quand même de me proposer de monter boire un verre. Fou que j’étais. J’ai accepté. J’ai garé ma voiture devant chez elle et j’ai emboîté le pas de ma stagiaire dans les longs escaliers qui conduisaient à sa chambrette du septième étage.

Comme hypnotisé par son cul rebondi, mais pas trop large, qui balançait devant moi à chaque marche d’escalier, j’ai suivi la stagiaire jusque devant sa porte. Je ne m’obéissais plus à moi-même. Pourtant, dans un dernier sursaut, juste sur son palier, je lui dis : « non, c’est pas une bonne idée, je vais rentrer ».

La bimbo-stagiaire m’a alors retenu par la main et m’attiré tout contre son corps et a posé ses lèvres sur les miennes…

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Une couguar très chaude me suce en boite

Je bascule la tête en arrière et ferme les yeux pour mieux ressentir les mouvements de langue de ma pompeuse sur ma verge raide. Sucé par une couguar : la situation pourrait me faire rire intérieurement si je n’étais pas aussi chaleureusement et bien tété. Je suis dans les chiottes du club, et je suis aux anges. Je ne pense même plus à mes potes qui se sont foutus de ma gueule quand elle a commencé à me draguer.

Elle : une mère de famille a priori respectable venue s’encanailler le temps d’une soirée avec quelques copines de son âge. Elle doit avoir quarante-cinq ans, soit vingt de plus que moi. Je pourrais presque être son fils ! Un cul bien rond, à peine flasque, des grosses mamelles légèrement tombantes, un sourire qui dit braguette.

Moi, c’est bien simple, elle m’a fait bander immédiatement. Je ne cours pas spécialement après les vieilles cochonnes, mais celle-ci a du talent pour la pipe, c’est le moins qu’on puisse dire. Et peu importe si ça fait marrer la bande, moi, au moins, je vais prendre mon pied ce soir. Pas comme certains.

Pendant que la couguar me suce, je fléchis un peu les genoux pour avoir les mains à portée de ses grosses doudounes. Sa peau est élastique et plutôt douce. J’introduit mes doigts dans son chemisier. Ses seins pointent dangereusement. Elle en veut la coquine, et elle fait un bruit d’enfer en se gavant de ma bite.

Etre sucé par une couguar présente un autre avantage : les années aidant, elle sait y faire, et elle se montre très gourmande de mon vit vigoureux. Et que je salive sur ton gland, et que je te prends en fond de gorge, et que je te titille les couilles avec la main. Je peux vous dire que c’est autre chose que les pompiers par les greluches étudiantes dont j’ai l’habitude.

A tel point que, si elle continue, je ne vais pas tarder à décharger dans sa bouche sans autre forme de procès. Mais la belle couguar mature a de l’expérience. Elle a senti que j’allais rendre les armes. La voici qui recrache ma bite et lève des yeux suppliants vers moi. Elle a tiré un étui de capote de son sac à main. Je lui souris, en essayant de paraître aussi gentil qu’il est possible quand on a la bite à l’air, trempée de salive.

C’est parti, la mère au foyer infidèle déroule le préservatif sur mon membre. Elle semble ravie. Je n’ai plus qu’à m’asseoir sur la lunette des chiottes rabaissée, et à attendre que ma chaude couguar ne vienne s’empaler sur mon chibre. Et elle a tôt fait de se jeter sur mon pieu. Sa chatte est dégoulinante de cyprine, l’introduction se déroule sans problème. Me voilà maintenant avec ses énormes loches à hauteur de visage.

Autant en profiter. Et, tandis qu’elle s’agite comme une nonne qui aurait découvert la bite sur ma queue bandée au maximum, je gode ses deux gros mamelons à tour de rôle, les aspirant bien au fond de ma bouche, tout en glissant ma main jusqu’à sa fente, pour en caresser vigoureusement le petit bouton.

Elle est épilée de près : la couguar est sortie pour tromper son mari, elle s’est préparée comme il se devait. Elle braille à en ameuter toute la discothèque et réclame que je lui suce encore les seins. Je ne me prive pas, jusqu’à ce que les mouvements du bassin de ma couguar ne s’accélère, m’arrachant un orgasme dévastateur.

Elle jouit, en même temps que moi, et me hurle des mots d’amour tout en plaquant sa poitrine contre mon visage. Je suis tremblant de plaisir, et la couguar aussi.