Musulmane qui cachait bien son jeu

Yann, 29 ans se tape une musulmane voilée qui cache bien son jeu…

A l’époque, j’étais en fac de droit. C’est un cursus sympa, avec de bons débouchés, et surtout autant de filles que de mecs, contrairement à la médecine. Et je dois bien avouer – ne dites rien à mes parents – que ça a fait partie de mes critères pour choisir ces études. Oui, je le reconnais, je suis un vrai obsédé sexuel.

Premier jour, je débarque comme une fleur, à l’heure précise du début des cours. Et évidemment, l’amphi est déjà plein comme un œuf. Pas de veine pour moi, il ne reste plus de place. Ah si, je vois une place libre, à côté d’une nana, en plus. Sauf que, on est chanceux ou on ne l’est pas, la dite nana est voilée de la tête aux pieds. Pas une façon de parler : réellement de la tête aux pieds.

Je ne me déballonne pas, je m’assois à côté d’elle et je lui tends la main : « enchanté, moi c’est Yann ». Pas bégueule non plus, ma musulmane de choc me serre la pogne : « Laïla, enchantée également ». Wow, elle a la peau super douce, cette meuf. Dommage que ce soit une coincée du cul !

Au fil du temps, Laïla et moi avons sympathisé. Rien que de très platonique, je vous l’accorde, mais elle s’est révélée plus ouverte et moins idiote que sa tenue ne le laissait penser. Jusqu’à ce jour de février où, devant tous les deux rendre un exposé de droit public, elle m’invite à venir chez elle. Première surprise.

Seconde surprise, Laïla habite seul. Pas de mariage forcé, pas de parents traditionalistes et encombrants, ma beurette religieuse est une fille indépendante. J’arrive donc chez elle. Elle me fait retirer mes grolles. Normal. Et là, troisième surprise, elle retire le voile qu’elle a sur la tête. « J’espère que ça ne te dérange pas, c’est juste pour l’extérieur. Entre nous, on est suffisamment intimes ».

Je ne vous explique pas le canon ! Ou plutôt si. J’avais bien deviné de jolis yeux noirs derrière son déguisement, mais là je découvre une nana super belle, maquillée comme il faut, bref, super jolie. Elle s’absente pendant que je prépare les bouquins dont nous avons besoin pour l’exposé.

Et paf ! La voici qui revient en jean t-shirt. En plus, elle est gaulée comme une déesse ! Et, elle, toute décontractée, s’assied à côté de moi. Pour de la confiance, c’est de la confiance ! Sauf qu’elle ne sait pas quel obsédé sexuel je suis en fait. C’est bien simple, au lieu de me concentrer sur l’exposé, je suis subjugué par ses nibards !

On parvient tout de même à boucler le boulot (plus grâce à elle qu’à moi, je vous l’accorde) et Laïla m’offre un thé à la menthe, avant d’aller se coucher. C’est sûr, en rentrant, je vais me branler en pensant à elle ! Faut que je me calme !

Sauf que non, c’est elle qui devrait se calmer. Qu’est-ce qu’elle a à me coller comme ça ? Elle veut que je lui saute dessus ou quoi ? Oh pis, tant pis, je tente ma chance. Je lui roule une pelle. Hmmm, elle a la bouche encore chaude du thé qu’elle vient d’ingurgiter. Et elle se laisse faire. Mieux, elle en redemande !

En deux temps, trois mouvements, la voilà à poil. Elle est gaulée ! Je ne vous dis que ça. Le pubis touffu, certes, mais une poitrine géniale, un petit cul à faire bander n’importe quel fou de Dieu ! Allez, je lui fait une minette. Elle est chaude comme la braise. En moins de cinq minutes, elle a un orgasme.

Je sodomise ma musulmane

Ensuite, elle me suce, en montrant un certain talent pour la gorge profonde et pour la cravate de notaire. C’est le pied ! Puis, elle m’enfile une capote et me dit, le plus sérieusement du monde : « je veux rester vierge en tant que musulmane, tu sais ? Ça ne te gêne pas de passer par derrière ? ». L’hallu ! Elle me demande de l’enculer.

Et là, joignant le geste à la parole, elle se retourne et retire de son anus un gros plug anal, genre rosebud et elle se met à quatre pattes, en écartant les fesses. Son petit trou est tout palpitant, tout lisse, tout propre et j’ai une furieuse envie de le lui défoncer.

Le rosebud a fait son office. Elle est prête pour la sodomie. Je rentre d’une traite entre ses fesses et je commence à limer. Et elle ma cochonne de musulmane , à couiner. Au bout de quelques va-et-vient, ma beurette me réclame de grands coups de bite. Elle tortille du cul pour se faire bien comprendre.

Je l’ai baisée toute la nuit. Le lendemain matin, elle m’a juste demandé de ne jamais rien révéler à personne. C’est pour ça que j’ai changé son prénom. Et puis elle m’a sucé jusqu’au bout, en avalant tout mon foutre. Juré, craché !

Ma petite amie m’initie au triolisme !

Amanda est ma petite amie depuis bientôt six mois, avec elle je suis épanoui, surtout sexuellement ! Je l’ai rencontrée à la suite d’une déception amoureuse qui m’avait complètement anéantie et fais perdre toute considération en l’amour. Mais elle m’a permis d’y croire à nouveau et je ne le regrette aucunement car, je découvre le meilleur du sexe dans ces bras. Oh putain qu’est-ce qu’elle baise bien ! En plus de ça, elle aime les jeux de rôle où elle incarne très souvent celui de la femme soumise à la perfection. J’adore particulièrement ce moment de docilité.
Entre Amanda et moi il n’existe aucun tabou. On s’encourage à exprimer nos désirs et à ne pas les juger. J’avoue que c’est elle qui en a eu l’idée. En plus, elle ne se contente pas que de m’écouter, elle se donne la peine de réaliser les fantasmes que je lui exprime dans la mesure du possible (le triolisme en fait partie !). Moi j’en fais autant pour elle.

Le jour de mon anniversaire, je fis une virée en boite de nuit avec Amanda et des amis. Au beau milieu de la soirée, Amanda me fit part d’un malaise. Elle ne se sentait pas bien du tout et souhaitait rentrer. Je me proposais de rentrer avec elle, mais elle refusa catégoriquement car ne voulant pas que je mette prématurément fin à cette belle fête réalisée en mon honneur. C’est contre mon gré que je la laissais partir…
Deux heures plus tard, la fête pris fin, j’avais hâte de retrouver ma chérie dont je me faisais tellement de soucis. Je rentre à la maison, tout est calme, je pense qu’elle dort. Alors, je monte en chambre, j’ouvre la porte et je trouve Amanda enlacée dans les bras d’une nana. Je n’en crois pas mes yeux ! C’est donc pour se farcir cette salope qu’elle avait feint d’être malade. Amanda, sans dire mot, s’approche de moi et m’embrasse, me défringue et m’installe sur le canapé. Puis, elle invite sa copine nous rejoindre. Je suis subjugué par le physique de cette parfaite inconnue, elle a une paire de nichons volumineuse et un cul rebondi qui me perturbent l’esprit. Je la regarde me pomper la queue de concert avec ma groupie de meuf. C’est divin ! Je ne rate pas une seule miette de ce tandem de feu.
Peu de temps après le début des hostilités, notre invité au regard de tigresse prend le contrôle des opérations et botte Amanda en touche. Elle vint me servir ses lolos en pleine gueule comme pour me faire comprendre qu’ils sont naturels. Je les prends en bouche avant de me mettre à les peloter. Puis, elle redescend sur ma bite et m’offre une merveilleuse branlette espagnole.
Après cette entrée en matière très chaude, les deux gouinasses me laissent en plan sur le canapé en me demandant de profiter sagement du spectacle. Je les regarde galocher tout en se servant de leurs mains baladeuses pour se caresser. Amanda est très entreprenante, elle glisse sensuellement son index dans le trou de balle de sa partenaire, tout en lui broutant l’abricot, puis elle empoigne un plug anal qui était dissimulé sous les draps, y répand de la salive, et l’enfonce dans le cul de cette greluche aux gros nibards.
Affalé sur mon siège, je bande comme un étalon en rut, le spectacle est trop intense, et l’attente m’est insupportable. Je me lève alors pour investir la chatte d’Amanda qui se dressait droit devant moi, en levrette. J’enclenche des coups de bites avec agressivité qui la font immédiatement hurler de jouissance. Je m’assure de bien engloutir ma bite dans les profondeurs de sa chatte, et je sais combien elle adore ça.

1ère expérience de triolisme, wouahh !

Au bout d’un moment, Amanda retire le plug anal du fion de notre invité et m’invite à l’assaillir. Je prends mon gourdin, marque la cible et m’encastre brutalement dans son fion. Ma réputation étant en jeu, je ne m’autorise aucune douceur avec cette coquine, elle n’a droit qu’à mon côté hardcore. Après de longues minutes passées à l’enculer dans tous les sens, Amanda m’interrompt pour me demander sa part de défonce anal. Je change de trou de balle mais la sensation est toujours la même.
Mes deux coquines se mettent en position de levrette sur le canapé, j’ai une belle vue sur leurs chattes et fions. Je m’attelle à passer une à deux minutes dans la touffe de chacune pour les contenter jusqu’à éjaculation.
Je leur distribue mon foutre sur la poire. Elle se le partage goulûment, en s’embrassant avant de s’envoyer à nouveau en l’air. Moi je suis ému d’avoir été initié au triolisme, je suis aussi épuisé et je ne tarde pas à m’endormir. Au réveil, la nana était déjà partie. Je n’ai même pas eu le temps de faire sa connaissance. Amanda me rassura qu’on se ferait une autre partouze bientôt. Quel beau cadeau d’anniversaire et vive le triolisme !