Je pompe un voyeur sur un parking

J’étais pourtant assez pressée ce jour-là ; un rendez-vous assez important pour le travail. Je suis commerciale, je suis sur la route toute la journée pour enchaîner les visites. Parfois, il faut savoir se poser et apprécier la vie. C’est ce que j’ai décidé de faire pendant cette pause de midi. Je mangeais un sandwich triangle dans ma voiture, sur une aire de repos au bord de la nationale. C’est un axe peu fréquenté, et il y avait juste un camion de garé, un peu derrière moi.

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Alors que je mangeais, je me suis rendue compte dans le rétroviseur qu’un homme était posté là, avec sa bite en main, en train de se branler. Je pense sur le moment qu’il s’agit d’un simple voyeur. Le mec était assez moche et bedonnant, un physique de chauffeur de camion. J’ai un peu peur sur le moment, puis je décide de lui offrir un peu de plaisir. J’ouvre la fenêtre et indique au voyeur de se rapprocher, ce qu’il fait, la queue toujours en main.

Un voyeur bien chanceux !

Je lui ordonne qu’il continue sa besogne, et moi, pendant ce temps-là, je déballe ma poitrine et je commence à me presser les nibards l’un contre l’autre. Il est très étonné le petit voyeur. Il ne pensait certainement pas tomber sur une femme aussi salope que moi. C’est le genre de mec qui se branle devant des filles et qui prend son plaisir lorsqu’il voit la peur dans leurs yeux juste avant qu’elles ne fuient. Moi je reste et je vais lui vider les couilles. Je lui indique de s’approcher encore plus, et de passer sa queue par la fenêtre ouverte.

Je saisis sans ménagement la bite du voyeur et je commence à le masturber moi-même. Il est choqué, il me fixe avec des gros yeux, au moins aussi gros que ses burnes. Bientôt, elles seront vides, car je vais les purger jusqu’à la dernière goutte de foutre. J’écarte les cuisses et me frotte le clitoris tout en branlant la bite poilue de cet inconnu. C’est glauque mais ça me fait mouiller. Je sens que ce mec ne me fera rien de mal, il a l’air trop bête, mais sa bite est appétissante. Je la goûte du bout des lèvres.

Des salopes aux gros seins en manque de queue, ça existe !!

Une odeur de queue pas très bien lavée se dégage de son gland, mais ça va pour un chauffeur qui se douche tous les quatre matins, j’ai connu pire. Je commence à lui lécher la hampe, en insistant bien sur ses boules qui se contractent sous ma langue douce et tiède. Ma salive lui recouvre entièrement le fourreau, c’est à cet instant que je décide de me la caler bien entière dans la bouche. Je la pompe comme une vraie sucette, ne lui laissant aucun temps de repos pour tenter de reculer son éjaculation. Durant de longues minutes, j’alterne mon jeu de langue entre ses couilles et son gland violacé. Je le sens d’un coup se crisper, je sais qu’il ne va pas tarder à cracher.  Vite, hors de ma bouche, je dirige son missile vers mes nichons, et je commence à le branler le plus fort que je puisse.

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Après quelques mouvements de masturbation, il pousse un cri digne d’une bête sauvage, et se décharge complètement sur ma poitrine. J’ai les miches pleines du foutre d’un inconnu, et je ne peux m’empêcher d’en prendre une goutte du bout du doigt pour la porter à ma bouche. Mince, je suis en retard maintenant!

Ma voisine est une femme fontaine

Le soleil cognait fort en ce début d’après-midi, et j’ai décidé d’aller faire bronzette sur mon balcon avant de retourner au bureau. Je vis dans une maison assez reculée, mais j’ai des voisins juste à côté. Nous n’avons pas encore construit de séparation entre les deux propriétés, mais la nôtre surplombe légèrement le quartier, et je peux voir le jardin des voisins sans être forcément vu moi-même.

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J’ai donc jeté un petit coup d’oeil en bas car j’entendais quelqu’un parler au téléphone. En effet, c’était ma voisine, une belle quadragénaire aux cheveux courts, dans le même style que Christina Cordulla sur m6. Le plus hallucinant, c’est qu’elle était toute nue et se baladait totalement à poil dans son jardin. Je pouvais voir ses formes exquises. Je ne l’aurais jamais cru, mais sa moule était toute velue. Ses nichons tenaient bien en place, ils étaient petits et sans aucun ride. Tout ça a suffi pour me filer une trique monumentale. J’étais seul chez-moi, et j’ai donc décidé de jouer les voyeurs et de me masturber la chique. Elle continuait de circuler sur son terrain, le fessier et les miches à l’air. Elle était sublime, la peau légèrement teintée et sans imperfection, une voix douce, des tétons fermement dressés vers l’avant.


Et que dire de son troufion, une raie parfaite, je n’avais qu’une envie, y mettre ma tête et lui dévorer le cul. Je me suis encore un peu approché, et j’ai trouvé une bonne planque derrière un buisson, à une dizaine de mètres de la belle voisine nudiste. Je la voyais bien de cet endroit et je me branlais lourdement le noeud en la matant. Je pouvais presque sentir son odeur ce qui me faisait triquer encore plus violemment. Un moment, je l’ai vu se mettre à quatre pattes. Je pouvais bien distinguer son cul, je voyais même son petit trou et sa moule un peu gonflée. Ça me rendait complètement dingue d’avoir un fion si exquis tout proche de moi et ne pouvoir rien faire d’autre que de me branler.
Mais c’était déjà pas mal et j’en profitais bien en me tirant de plus en plus fort sur la nouille. Elle parlait toujours au téléphone, mais elle est allé se poser sur une chaise longue face à moi. Elle me fixa alors des yeux tout en passant une main sur sa touffe.

Ma voisine ? Une femme fontaine !!

Que faisait-elle? ELLE M’AVAIT VU! C’est MOI qu’elle regardait. Putain de merde, j’étais grillé. Mais ça n’avait pas l’air de la déranger, bien au contraire, elle commençait même à se caresser la chatte. Je pensais bander juste avant, mais en fait non, car ma pine a triplé de volume en l’espace de deux minutes. Trop excité par cette situation. La brune quadra se mettait maintenant des doigts dans l’oignon… J’avais tellement envie de venir la baiser avec ma langue, de lui cracher ma salive dans le trou de balle avant de venir la sodomiser. Mais nous étions mariés tous les deux, et je ne pouvais pas faire ça à Magalie. En tout cas, la voisine savait très bien que j’étais derrière le buisson, et ça ne l’empêchait pas de s’enfoncer toute la main dans la chagoune. Elle se fistait comme une folle et moi j’hallucinais de voir ça. Elle avait tout le poing dans le trou, putain qu’elle salope! Elle s’est ensuite acharnée sur son clito que j’avais du mal à voir dans cette toison fournie, puis elle s’est mise à gicler de grands jets de mouille par le vagin. En plus d’adorer le fist et d’être une pute classieuse, c’était une femme fontaine. Il n’en fallait pas plus pour sentir la jouissance monter dans mon tronc. Ma sève sorti par grandes lampées et se répandit sur le gazon fraîchement tondu. Superbe après-midi, j’ai hâte de recommencer!

Voyeur mis sur le fait accompli

Un dimanche d’été, un camion de déménagement stationnait devant la maison voisine à la nôtre, inhabitée depuis plusieurs semaines. Sa nouvelle occupante était une mère célibataire de la quarantaine, s’appelant Monique. Je me proposais de mobiliser ma force de jeune homme de 26 ans pour lui donner un coup de main et en profiter pour faire sa connaissance. Plus tard elle me confia qu’elle sortait fraîchement d’un divorce.
Environ deux à trois semaines plus tard, je me rendais chez Monique pour je ne sais plus quelle raison, lorsque je l’aperçu à travers une fenêtre mal couverte par un rideau se promener complètement nue dans le salon. Elle était bien moulée pour une quarantenaire, je me rinçais les yeux ainsi pendant une vingtaine de minutes. En rentrant chez moi, j’avais encore l’image de son corps nue à l’esprit, j’en étais si excité que je dû me branler.
Le jour suivant, à la même heure approximativement, je fis encore le voyeur et par chance, elle était à poil. C’était visiblement une habitude pour elle. Mais cette fois, je voulais voir les choses de plus près, alors je décidais de m’introduire en douce par une fenêtre entrouverte. De l’intérieur, je la matais et c’était dément.

Voyeur ? C’était quasiment devenue un passe temps favori, jusqu’au jour où elle me convoqua chez elle sur un ton impératif. Ça n’augurait rien de bon ! Je sentais bien qu’il y avait un truc qui clochait. Elle m’installa sur un canapé situé en face de celui sur lequel elle était assise, une tablette nous séparait et dessus était posé un ordinateur.
– Mathieu, ça fait combien de temps que tu m’espionne ?
A l’écoute de cette question, je tremblais de peur. En me demandant comment elle a pu le savoir, moi qui prenais toujours soin de n’être vu par personne quand j’accomplissais ma basse besogne.
– Moi, vous espionner, jamais ! Je ne vois pas de quoi vous parlez.
– T’en es sûr ?!
– Oui
– Si tu me dis la vérité, je ne dirais rien à tes parents.
Malgré cela, je décidais de nier tout en bloc. C’est alors qu’elle prit son ordinateur, et me montra plusieurs vidéos de moi en œuvre, filmé par ces caméras de surveillance. Le con, je m’étais fait avoir comme un rat ! Et dire que je n’avais même pas remarqué la présence des caméras. Ces preuves étaient irréfutables, il ne me restait plus qu’à tout avouer et à la supplier de ne le dire à personne.
– Je vous demande pardon de vous avoir reluqué, je ferai tout ce que vous voudrez mais je vous en supplie, ne le dites à personne.
– Tu as bien dit tout ce que je veux ?
– Oui, tout.
– D’abord, j’exige que tu te mettes à poil.

Voyeur pris au piège…

Je m’exécutais sans dire mot, et puis j’estimais que c’était légitime, j’étais le voyeur pris au piège.

– Hum bel engin ! Maintenant, je veux que tu foutes ce sextoy dans le cul.
– Quoi, je trouve que c’est exagéré pour un simple voyeurisme.
– Ok dans ce cas, il ne me reste plus qu’allez montrer les vidéos à tes parents et à quelques voisins.
– D’accord, je vais le faire.

Oh putain, ce gode était énorme et me faisait flipper. Je ne savais pas par où commencer. Mon cul était si petit qu’il n’arrivait pas à se prendre ne fut-ce que le gland. Pendant ce temps, la bonne dame rigolait à pleine dent avant de me dire qu’elle me faisait marcher. Quel soulagement, par contre, elle ôta la robe qu’elle porte, enleva sa petite culotte et m’invita à lui lécher la chatte.
Je me précipitais de lui brouter son minou truffé de poil ; elle en jouissait et hurlait de plaisir. Ces gémissements étaient si audibles que je craignais qu’une personne vienne s’en plaindre. Après cette mise en bouche, je la dézinguais exactement comme je me l’étais imaginé quand je fantasmais sur elle, en la renversant dans tous les sens. Ma queue explorait tous ces orifices sauf son cul, et c’est sur ces mamelles que mon jus de couille finissait sa course.
Depuis cette expérience coquine, Monique et moi sommes ensemble officieusement. C’est ma cougar !

Dans le cul de la jeune libertine

Quiconque n’a jamais mis les pieds au Cap d’Agde, dans le quartier naturiste fermé où se tiennent la plupart des clubs échangistes et de la vie libertine, n’a pas idée du festival de débauche sexuelle qui l’attend là-bas. C’est bien simple, il suffit de prendre mon cas. J’ai 53 ans, je suis petit, gros, bedonnant et chauve. Autant vous dire que, toute l’année, je galère pour me trouver des plans cul.

C’est la raison première pour laquelle je passe une bonne partie de mes journées de vacances sur la plage naturiste du Cap, côté Marseillan, où se retrouvent les couples libertins et exhibitionnistes. Là, même si je ne peux pas baiser, je trouve toujours de quoi jouer les voyeurs, comme d’ailleurs des tas d’autres mecs qui se branlent en regardant les couples amateurs qui font leur show.

Il y a de tout à reluquer sur cette partie de la plage. Des couples, plutôt sage, qui baisent à deux, des super nanas, jeunes et belles, qui vont se masturber devant vous et, bien entendu, les partouzes et gangbangs qui ont fait la réputation du lieu.

Habituellement, je pars assez tôt de la plage, pour rejoindre ma chère moitié, qui n’a plus d’envies sexuelles depuis un bail, et qui ne comprendrait pas que je squatte un tel lieu de débauche pendant mes journées de congés. Il faut vous dire que je n’habite qu’à quelques kilomètres, mais, franchement, ça vaut le coup de faire des bornes pour assister à ce spectacle.

Donc, ce jour-là, je savais que mon épouse ne rentrerait pas à la maison avant une heure tardive. J’avais donc tout mon temps pour profiter. C’est là que je me suis aperçu que quand le poste de secours fermait, les choses devenaient encore plus chaudes et plus libertines, si c’était possible.

J’ai vu une grosse allemande libertine se faire tringler à la chaîne par un beau black, un jeune minet et un homme d’âge mûr, tout en suçant son mari. J’ai vu trois couples, de 25 à 50 ans, partouzer ensemble dans l’eau, puis sur le sable, devant un attroupement gigantesque de voyeurs. J’ai vu aussi une femme de la quarantaine sucer toutes les bites qui se présentaient à elle, y compris la mienne.

Puis la plage s’est dépeuplée. Les libertins partaient se préparer pour leur soirée en club. Je me suis dirigé vers les dunes, qui étaient presque désertes à cette heure de la journée. Derrière un arbuste, j’ai entendu des cris. C’était un couple, italien ou espagnol, je n’ai jamais su, qui s’envoyait en l’air. Ils étaient jeunes et beaux, et avaient l’air ravis de me voir.

Je les ai regardés en train de baiser en levrette pendant quelques minutes, tout en me paluchant, quand monsieur m’a fait signe de m’approcher. Ni une ni deux, la demoiselle a pris ma bite en bouche et m’a sucé pendant qu’elle se faisait tirer par son petit ami. Ça a duré un certain temps, pendant lequel d’autres voyeurs se sont approchés. Mais la place était prise, et c’est moi qui y était  !

Dans le cul de cette libertine !

Le couple s’est interrompu. Le jeune libertin m’a filé une capote, que j’ai ajustée tant bien que mal, malgré le sable et la moiteur ambiante, et la jeune libertine a repris sa position, à quatre pattes, à même le sol. C’est lui qui a écarté ses petites fesses rondes, en m’indiquant du doigt son œillet. Il voulait que j’encule sa femme devant lui  ! Il a même craché dans sa raie pour lubrifier le passage  !

Vous pensez bien que je ne me suis pas fait prier longtemps  ! J’ai appuyé mon gland contre l’anus de la demoiselle libertine, avec quand même la peur de lui faire mal, vu son jeune âge. Mais c’est rentré tout seul. Son cul était à la fois étroit et souple, serré et disponible. Il ne me restait plus qu’à me laisser aller au plaisir.

Devant les autres voyeurs, jaloux comme des poux de la chance que j’avais (pour une fois!), j’ai saisi la petite nana par les épaules, puis par les seins, et j’ai commencé à besogner son cul. Son mec a pris ma place dans sa bouche et m’a encouragé à la piner. Je ne comprenais pas un mot de ce qu’il disait, dans un anglais tout «  méditerranéen  », mais je saisissais ce qu’il voulait. Et il voulait que je défonce le cul de sa copine  !

Je ne connaissais ni son prénom, ni sa nationalité, j’avais à peine vu son visage et j’étais en train d’enculer une fille de la moitié de mon âge, devant plusieurs voyeurs, dont des femmes, qui nous ont applaudis quand nous avons joui tous les trois  !