Chinoise et bonne baiseuse !

Rencontre une asiatique bien coquine…

La saison touristique chinoise ouverte, je me munissais d’un écriteau pour accueillir un groupe de touristes chinois à Roissy. Parlant correctement Mandarin, nous communiquions sans aucune difficulté et je puis me rendre compte que le groupe n’était constitué que de jeunes femmes au nombre de 8. Je les conduisais à leur hôtel, en compagnie du chauffeur.

Pendant tout le trajet qui mène à l’hôtel, elles étaient émerveillée par le paysage, les édifices, et prenaient des photos à tout bout de champs. Plus tard, nous fîmes un briefing du parcours touristique que nous ferions durant leur séjour d’une semaine. Dès le lendemain, nous allions donc entamer la visite de la capitale de l’Hexagone en commençant par la très célèbre Tour Eiffel.

Quatre jours avant leur départ, alors que nous avions bouclé notre parcours touristique, les jolies demoiselles désiraient à présent connaître les coins les plus festifs de Paris, pour s’y amuser et rencontrer si possible des mecs. Nous allions dans une discothèque très prisée dans le 11ème arrondissement le premier soir, puis dans une autre le jour d’après. Tous s’amusaient sans complexe, certaines c’étaient même envoyées en l’air avec des dragueurs subversifs, mais une seule d’entre elles, ne semblait pas vouloir s’amuser, elle me paraissait bien coincée du cul et triste.
Essayant de comprendre ce qui lui arrivait ce soir en boite, je l’invitais à me rejoindre à l’extérieur pour que nous puissions discuter une minute au calme. Elle me confiait qu’elle était hyper timide et qu’elle avait honte de danser en public, avant d’ajouter qu’elle aimerait comme les autres faire un plan sexe avec un jeune français avant de partir mais elle n’a malheureusement pas le courage qu’elles ont. Elle ajouta d’autres trucs qui me mirent dans un état de profonde empathie, d’autant plus qu’elle pleurait. Je la pris dans mes bras pour la consoler et à ma grande surprise, elle m’embrassa sur la bouche.

Sucé en boite par cette chinoise !

J’étais mal à l’aise, elle avait très mal interprété mon geste, mais je ne voulais pas non plus la mettre encore plus mal qu’elle ne l’était déjà. Alors je répondais favorablement à son baiser. Au passage, elle embrassait tellement bien qu’elle avait réussie à m’exciter et à me chauffer la bite. A la suite de cet échange langoureux, elle arborait un sourire extrêmement joyeux, comme d’une personne qui avait gagné au loto. Et moi, j’avais maintenant envie de lui casser la chatte, de lâcher les chiens, bref, la baiser quoi ! Les toilettes hommes me semblaient parfaites pour cette expérience.
Assis sur une lunette de toilette rabaissées, elle se mit à me sucer le manche, et aussi étonnant que cela puisse paraître, sa timidité s’était envolé, j’avais en face de moi une nana totalement déchaînées et chaude comme la braise. Elle s’empala ensuite sur mon zob avant de se mettre à me chevaucher. Cette baise était plutôt rapide, moins de dix minutes au chrono. J’étais plus ou moins resté sur ma faim et ma baiseuse chinoise aussi.

La chinoise s’en prend plein le cul

En fin de soirée, je la déposais avec les autres à l’hôtel lorsqu’elle m’invitait à la rejoindre dans sa chambre. C’était reparti pour un second round ! D’une voie douce, elle me demanda ce qui me plairait. Sans hésiter je lui dis une sodomie, sur le coup, elle farfouille dans un de ses sacs et sort des boules de geisha qu’elle se fourre dans le fion pour bien le préparer à la tempête anale que je lui réserve. Avant que sa rondelle ne soit prête, j’enfile une capote et me mets à lui défoncer la chatte au quart de tour. Cette nana est tellement souple qu’elle me propose des positions de contorsionnistes. Peu après, elle retire les boules de geisha laissant un gros cratère dans son cul, je me mets alors à la pénétrer et bon sang que c’était agréable. J’avais la sensation de planer, son cul était doux, si bon…Nous passâmes la nuit à avoir un enchaînement d’orgasmes.
Le jour de leur départ, je les raccompagnais à l’aéroport, elle me fit un baiser d’adieu en présence du reste du groupe. Après cela, ces compagnons de groupe s’exaltait puis Ly leur dit en mandarin :  » je vous avais bien dit que je réussirais à me le faire « … Je m’étais bien fait avoir.

 

Coup de foudre pendant une partouze

Par Axel, 25 ans – Peut-on tomber amoureux pendant une partouze ? A priori, non, c’est même très fortement déconseillé. C’est pourtant bien ce qui m’est arrivé, l’été dernier, au Cap d’Agde, dans le quartier naturiste de tous les vices.

J’étais en goguette dans la capitale de l’échangisme avec  » ma pote de partouzes  » – nous aimons nous appeler ainsi – la jolie Salima, une copine de fac avec qui je traîne les clubs échangistes. Rien de sérieux entre nous : elle n’aime pas aller en club libertin seule, je préfère y aller accompagné d’une demoiselle. A vrai dire, c’est elle qui freine des quatre fers pour que notre relation ne prenne pas un tour trop sérieux.

Donc, disais-je, au Cap d’Agde, le club le plus célèbre organise tout l’été des après-midis  » mousse « . Imaginez un peu : des couples entièrement nus, tous libertins, se trémoussent au son de la techno dans de la mousse. Vous voyez un peu l’ambiance que ça peut donner ?

Nous étions donc là, Salima et moi, à fricoter avec tout ceux et toutes celles qui voulaient s’échanger quelques caresses, quelques baisers et un peu de volupté. Debout, sous le cagnard, le corps plein de mousse, j’ai caressé des seins, des fesses, des minous, on m’a branlé la bite de toutes les façons imaginables. Quand Salima et moi allons à cette fête, nous ne  » trions  » pas. Les jeunes, les vieux, les moches et les beaux couples, peu importe, du moment qu’on s’amuse et qu’on se fait du bien.

Sauf que, au bout d’une heure de ce traitement, je suis épuisé. Contrairement à d’autres mecs, je peux bander longtemps, mais une fois que j’ai joui, c’est fini pour moi pour quelques heures. On alterne donc entre le bain de mousse et de sexe et le repos au bar du club.

C’est là que l’événement s’est produit. Je venais de me faire sucer en gorge profonde par une belle plante suédoise ou danoise – je ne sais pas – et j’ai proposé à Salima de faire une pause. Nous étions donc en train de quitter la piste de danse pleine de mousse quand, tout à coup, une main s’est agrippée à la mienne. Je me suis retourné, sûr et certain de reconnaître une ancienne camarade de jeux érotiques.

Elle se tenait là, nue comme un ver, belle comme le jour, plus jeune que moi sans doute, avec un serre-tête en forme de lapin playboy dans les cheveux. Elle m’a roulé une pelle langoureuse. Je l’ai regardé dans les yeux. Elle avait un air heureux sur le visage, un bonheur mêlé de timidité. Elle m’a embrassé à nouveau, m’a caressé le dos et le torse, d’une manière plus tendre que sexuelle.

Je me suis collé à elle, à sa jolie poitrine plutôt menue. Elle m’a parlé à l’oreille, en français, mais avec un fort accent. Elle m’a dit qu’elle s’appelait Kristina, qu’elle était venue seule et qu’elle m’avait repéré depuis longtemps dans la mousse. Salima nous a rejoint, a commencé à caresser les seins de la donzelle, qui lui a rendu sa caresse.

Tous les trois, nous nous sommes longuement embrassés dans la mousse. Nous sommes pelotés, masturbés réciproquement, avec une fougue qui contrastait avec la lascivité ambiante. Puis nous sommes sortis de la mousse pour nous rendre sur un des lits où partouzait une bonne demi-douzaine de couples.

L’amour dans la partouze !

Malgré la promiscuité de la partouze, nous étions comme dans une sorte de bulle, isolés tous les trois du reste du monde. A trois, on le sait, les possibilités sont multiples, mais je crois bien que nous les avons toutes épuisées – ou presque – cet après-midi là. Salima a tout de même profité d’un moment de répit pour me demander si je connaissais déjà Kristina avant. Je lui ai dit ce qu’il en était, elle n’a pas eu l’air de mon croire.

Car ma complicité érotique avec la jolie libertine était évidente, comme naturelle. Je savais quand elle avait envie que je la prenne, quand elle voulait plutôt des caresses joueurs ou tendres. De toute façon, j’avais envie des mêmes choses qu’elle au même moment. Tant et si bien que Salima a fini par se sentir de trop et est partie coquiner avec un autre couple, non loin de là.

Lors d’un orgasme, Kristina a lâché un « je t’aime », dans un français approximatif. Mais j’avais bien compris, et j’étais d’accord. Toute la semaine suivante, nous sommes restés tous les trois, Salima qui s’amusait de notre idylle et en profitait pour partouzer avec des hommes seuls et d’autres couples.

Me voilà maintenant comme un ado attardé qui attend l’été suivant dans l’impatience de revoir son amour de vacances. Elle reviendra en août. Et partouze ou pas, j’y serai !