Levrette violente en ascenseur

Toujours en retard, comme d’habitude! Je suis bien une femme… Je devais me rendre à un entretien important et je n’imaginais pas du tout qu’il pouvait se passer quelque chose d’intéressant en cours de route. J’ai vite saisi mon sac à main et je me suis dirigée sur le pas de la porte. J’aurai dû prendre les escaliers pour aller plus vite, mais trop la flemme, et puis je ne voulais pas transpirer et risquer de faire couler mon maquillage. L’ascenseur arrive, la porte s’ouvre, et un beau jeune homme est déjà présent à l’intérieur.

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Quel canon, je suis presque gênée de monter avec lui. Je ne peux pas m’empêcher de jeter un coup d’oeil à son entre-jambes. Sacré paquet! Ça doit faire une semaine que je n’ai pas baisé un coup, et je commence à être en manque. Je suis une petite salope, dès que l’occasion se présente de se prendre une bonne queue, je n’hésite pas une seule seconde. J’ai déjà des idées coquines qui me traversent l’esprit. Je n’ai jamais baisé dans un ascenseur en plus, ça doit être excitant. Le mec à l’air un peu timide, il ne me lâche pas un mot et je n’imagine pas qu’il ose tenter un truc. Pourtant, vers la moitié de la descente, le jeune homme appuie fermement sur le bouton d’arrêt d’urgence. L’ascenseur se bloque, ça secoue un peu, et une petite alarme se met à sonner. Je le regarde avec un air de stupeur, et le mec me prend tout de suite les hanches et m’embrasse à pleine bouche. Sa langue se fraye un chemin jusqu’au fond de ma cavité buccale. Au lieu de le repousser, je me mets moi aussi à lui sucer la langue.

Nous nous roulons des patins comme deux pervers. Ses mains glissent sur mon corps pour se fixer sur mon cul. Il commence à me malaxer les fesses comme un boulanger qui pétrit son pain. Il lève ma jupe et passe sous le tissu. Il se rend compte que je ne porte pas de culotte et je sens tout de suite son engin tripler de volume. Il se frotte sur ma cuisse comme un animal. Je ne peux pas le laisser dans cet état. Je me tourne, finis de lever ma jupe pour bien dévoiler mon cul et je tends la croupe comme une chienne. Je le fixe et lui dis « Prends-moi bien fort, fais ce que tu veux de moi ». Je n’ai même pas le temps de finir ma phrase que le salaud à déjà son gland collé sur l’entrée de mon petit trou du cul innocent, en levrette. Le fumier a choisi l’orifice le plus étroit, et vu la taille de son engin, il va me démonter. Je serre les dents et encaisse la première pénétration. Ouch! C’est dur mais ça passe. Il est déjà calé au fond de mes entrailles et commence à me bourriner le fion comme un goujat.

Enculée en levrette dans l’ascenseur !

C’est rare que je mouille du cul, mais la je suis trempée. Il y va si fort que ses couilles claquent sur mes fesses. J’ai l’impression de me faire enculer et fesser en même temps. Je ne vais pas tarder à jouir. Je lui dis, et le bel inconnu se met à gémir comme un porc tout en me remplissant le fondement d’une dose impressionnante de foutre tiède. J’en ai plein le rectum et je vais devoir remonter chez moi pour essuyer tout ça. Finalement, je suis bien arrivée en retard!

Convaincu par six putes de luxe…

Monsieur Gérard président d’une multinationale évoluant dans le domaine informatique souhaitait racheter ma start-up à quelques millions d’euros. Je refusais sa première offre, il fit une contre-proposition et m’accorda une semaine pour y réfléchir. Une semaine plus tard je campais toujours sur mes positions, et je me rendais pour le lui faire savoir une fois de plus. Je ne le savais pas encore mais il allait sortir le grand jeu : les putes de luxe…
Ce rendez-vous avait lieu sur un terrain de golf, où il m’invita gentiment à faire une partie avec ses amis, des personnalités influentes, charismatiques et passionnantes pour la plupart. Pendant que nous jouions chacun me parla sympathiquement du secret de sa réussite. Ils me racontèrent des anecdotes au goût de leçons de vie. J’en appris beaucoup de ces rencontres.
La partie de golf terminée, nous prîmes un verre avant que Gérard et moi allions à sa résidence secondaire où disait-il m’attendait une petite surprise.

Je précise que de tout le temps que nous passâmes ensemble, à aucun moment on ne parlait affaire, à chaque fois que j’entamais le sujet, il me disait toujours :
– Joël chaque chose en son temps. Ne gâchons pas le plaisir du moment présent.
Je n’avais plus qu’à attendre qu’il amorce le sujet. Nous arrivions enfin à sa résidence secondaire, un château impressionnant de plusieurs milliers de mètres carrés et très bien emménagé. Il me fît, personnellement, visiter les pièces principales du domaine. Je voyais bien qu’il essayait de m’en mettre plein la vue et créer subtilement un lien affectif qui me pousserait à accepter son offre. J’étais résolu à me montrer ferme dans mon refus.
La visite de la maison allait s’achever sur, selon ses dires :  » sa pièce préférée « .

Pris au piège des putes de luxe…

En l’ouvrant, je vis six jeunes femmes nues dans un jacuzzi. Elles étaient magnifiques, que dis-je parfaites et puaient la pute de luxe.
A côté du Jacuzzi, il y avait un très grand lit, sur lequel Monsieur Gérard s’assied pour se faire défringuer par les six coquines à la fois. Moi, je choisissais de m’installer sur le canapé en les regardants timidement faire.
– Allez Joël, t’attends quoi pour nous rejoindre, l’eau est bonne et les nanas aussi. Ou bien, elles ne sont pas assez à ton goût.
– En fait, je voudrais plutôt que nous parlions affaire…
– Ne cherche pas d’excuse et ramène toi…
Pendant que je me déshabillais, Monsieur était déjà en train de rouler des pelles à deux coquines.
Une bimbo aux gros nibards me fit un massage des épaules en se servant de ses miches et mains. Pendant que je me délectais de ces soins relaxants, j’entendis des gémissements, Monsieur Gérard, un brin dominateur était en train de foutre sa main dans la chatte de la meuf couineuse.
Deux autres minettes se joignirent à la bimbo pour m’offrir un passe direct pour le septième ciel, selon l’une d’elle. L’une me massait la tête et les épaules, une autre me taillait une pipe et la troisième se chargeait de me lécher le torse et les tétons tout en me caressant.

Baisées par des putes de luxe

Ensuite la bimbo pris ma bite entre ses grosses miches, déversa une grande quantité de lubrifiant et me fit une pipe espagnole. Elle m’enfila une capote sur la trique avant de s’y empaler de tout son poids.
Elle passa la main à une autre coquine qui vint aussi me faire vibrer la teub avec une ardeur explosive, enfin la troisième cochonne vint réclamer son tour. Cette gymnastique de chatte m’excitait au maximum. La bimbo revint plus tard, cette fois, elle me présentait son cul à ramollir. Voilà une proposition que je ne pouvais refuser. Je lui mis ma bite bien au fond du croupion avec vivacité au point où j’en transpirais.
C’est au moment où je me délectais du cul étroit de cette salope que Monsieur Gérard me dit :
– Alors Joël et si on parlait affaire maintenant.
– Croyez-vous vraiment que le moment est à approprié ?
– Oui. Quelle est ta décision ?
A l’ instant où il me questionna, la truie sodomite que je dézinguais se mit à me donner des coups de reins d’une forte jouissance. Dans cette posture j’avais beaucoup de mal à lui dire non, ça aurait paru ingrat de ma part.
– J’accepte votre offre.
– Très bien, qu’on m’apporte le contrat et un stylo.
J’ai signé ce contrat avec ma bite encastrée dans le cul d’une bimbo siliconée et bonne comme tout.
Voilà comment je me suis fait manipuler, et comment j’ai pris le pied de ma vie. A vrai dire si c’était à refaire, je le referais.
6 Putes de luxe, qui refuserait ?

Prise comme une chienne dans le train

Je dois dire que je n’ai pas choisi la voie de la facilité. Je suis chef de projet dans une grosse société de marketing, et mon lieu de travail se trouve à 100 bornes de chez-moi. C’est donc en train que je me rends au boulot tous les matins. Au début, j’avais du mal à supporter les autres voyageurs ainsi que l’ambiance générale d’une rame de TER.

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Mais au bout du compte, je me suis aperçu que c’était bourré de petites meufs bien gaulées. Pour la plupart étudiante, elles suivaient une partie du trajet avec moi, et à force de les voir, il y a une belle petite brunette qui m’a tapé dans l’oeil. Au fil des voyages, j’ai remarqué que cette jeune salope me lançait des regards assez appuyés. A force de la voir me reluquer ainsi, je ne me suis pas non plus gêné pour le faire, et c’est avec délectation que je posais mon regard sur son putain de boule. Un cul d’enfer, bien rond et ferme, légèrement sortant, tout juste de quoi faire bander un impuissant. La chienne portait uniquement des leggings ultras moulants, et c’était aisé pour moi de deviner qu’elle ne portait que des strings. Je pouvais également imaginer sa raie étroite séparant ses deux grosses fesses de jeunette. Elle devait avoir le cul tout blanc avec un trou bien foncé en arrière-plan. J’adore ce type de fion, et à force de la mater, j’ai commencé à avoir envie d’y foutre mon nez.

Un jour, elle était debout juste devant moi, se tenant à une barre, coincée entre deux voyageurs. Son fiacre bien tendu était juste à quelques mètres de moi, et je pouvais presque sentir son odeur. Une trique d’enfer me fila une crampe à la queue. La belle s’est retournée en jetant un regard vers mon entre-jambes. Elle a fait les gros yeux en voyant ma bosse devenir une vraie montagne. Je suis devenu rouge comme une pivoine et me suis rendu illico aux chiottes pour me soulager. Je ne pouvais plus tenir.
J’ai déballé le matos pour me masturber, mais la brune m’avait audacieusement suivi. Elle toqua à la porte, et sans réfléchir, j’ai ouvert. Elle se jeta immédiatement sur ma béquille pour me prodiguer une grosse pipe dégueulasse et baveuse. Putain qu’est-ce qu’elle pompait bien. Mon gland lui chatouillait le fond du gosier, mais elle avalait encore plus loin, presque jusqu’aux burnes. Une pulsion bestiale a pris le contrôle de mon corps, et j’ai relevé la belle pour la retourner et la plaquer fermement contre la paroi. J’ai saisi l’élastique de son legging et de son string en même temps pour les baisser jusqu’aux genoux.

Prise comme une chienne

Son boule était tendu devant moi, et j’y ai plongé ma teube sans ménagement. Je voulais simplement l’enculer, la souiller et lui détruire le fion. Elle était prise comme une pute. Mon gros gland violacé se fraya un chemin jusqu’au fond de son rectum, et une fois bien fiché dedans, j’ai commencé à la limer comme un ramoneur professionnel. Je donnais de grands coups, du plus fort que je pouvais, et la petite étudiante salope couinait faiblement. Le chiotte a vite commencé à sentir le cul. Toute cette ambiance salace ainsi que cette sodomie brutale sur une jeune fille eurent raison de moi, et après quelques va-et-vients en profondeur, j’ai senti l’orgasme monté à pleine puissance. Je suis sorti de son étui pour me finir sur ses magnifiques fesses bien lisses. J’ai tartiné sa raie avec du foutre bien chaud, et j’étais assez fier de moi. Je ne sais pas si la salope a eu le temps de jouir, mais son trou du cul était béant comme un gouffre sans fond…
Nous avons repris nos places l’air de rien, et depuis ce jour, il m’arrive de l’enculer dans les chiottes avant d’arriver au bureau de bonne humeur.

J’encule une bourgeoise

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Bonjour à toutes et tous ! Je m’appelle Momo, je suis maghrébin et je vis en banlieue proche de Paris, où je viens de passer mon bac. Depuis, je suis inscrit en fac de sociologie, à l’autre bout de la ville et je passe énormément de temps dans les transports en commun. Je ne vais pas jouer au jeune de banlieue qui se galère, je dis juste que ce serait plus pratique pour moi d’habiter dans le cinquième arrondissement !

N’empêche que cette situation m’a valu de vivre une drôle d’aventure, avec une femme bien plus âgée que moi. Elle devait avoir au moins 45 ans, peut-être même 50 ans. En sortant de la fac, je suis allé boire un verre avec quelques copains. Une chose en entraînant une autre, j’ai finalement pris le dernier métro pour rentrer chez mes parents.

La rame était vide, jusqu’à cette station, où une belle dame bourgeoise est entrée dans le métro et est venue s’asseoir en face de moi. Une belle femme, vêtue de façon chic et sexy. Et plutôt que de détourner le regard comme le font tous les gens à Paris, elle m’a salué d’un « bonsoir » en me souriant. Puis nous avons discuté, notamment de ma situation par rapport aux transports.

Allumeuse, Christine m’a lancé « et pourquoi tu ne viendrais pas dormir chez moi, au moins cette nuit ? ». J’étais sur le cul. Mais vous savez ce que c’est : un mec de mon âge ne refuse jamais un plan cul, même avec une vieille ! J’ai donc suivi la couguar, qui en a profité pour tortiller du boule dans l’escalier qui menait à son appartement.

A peine arrivé chez elle, je me suis retrouvé avec la bite dans sa bouche. La diablesse essayait de me prendre en fond de gorge, jusqu’à s’étouffer elle-même. Quand j’ai été bien chaud – et elle aussi – elle m’a fait un petit strip-tease, assez hardcore, en se masturbant en même temps qu’elle se déshabillait.

A mon grand étonnement, elle était très bien gaulée. Mis à part le fait qu’elle marchait bizarrement, elle avait tout d’une pro : la technique, le style, deux beaux gros seins qui semblaient encore assez fermes, le cul haut et la chatte entièrement épilée.

La chatte étroite de la bourgeoise

J’avais encore la teub raide, sortie de la braguette. Christine est partie, à poil, fouiller dans son sac à main et en a sorti une pleine boite de capotes. Elle m’en a passé une sur le membre et est venue s’enfiler sur moi, toujours assis sur le canapé.

A voir l’âge de la libertine, et en supposant que j’étais loin d’être le premier à rentrer ainsi dans sa chatte, je n’aurais pas pensé une seconde qu’elle allait être aussi serrée. Elle était pourtant trempée de mouille, mais j’ai même eu du mal à rentrer entièrement.

Une fois dedans, par contre, quel pied ! Sa chatte me massait la queue, même à travers la capote, tandis que Christine semblait sur le point de s’évanouir, à force de plaisir. Elle était en transe, et ne fut pas longue à jouir une première fois.

Après ça, elle s’est relevée. Elle m’a tendu la main pour que je la suive jusque dans sa chambre. Elle tordait toujours autant du cul et je ne comprenais pas pour moi. Une fois dans son intimité, elle s’est mise à quatre pattes sur le lit et a commencé à écarter ses fesses devant moi. Sous mes yeux incrédules, elle a retiré de son anus un plug qui devait y être depuis le début de la journée.

bourgeoise veut que je l’encule !

Elle a fourré sa tête dans l’oreiller et m’a quasiment supplié : « encule-moi, maintenant ». Je dois bien avouer que je n’avais jamais sodomisé une femme avant cela. J’ai réajusté une nouvelle capote sur mon zob, toujours tendu comme un arc, et je me suis approché du boule en question.

Le sextoy avait fait son office. L’anus de Christine était béant, en forme de O. J’ai posé mon gland sur l’orifice et j’ai poussé. C’était comme si ma bite avait été aspirée. Je suis rentrer d’un coup, faisant gueuler ma couguar comme une bête. Un temps, j’ai cru lui avoir fait mal, mais en la voyant dandiner du fion comme elle le faisait, j’ai vite été rassuré.

J’ai enculé Christine – que dis-je ? Je l’ai chevauchée – comme un salaud. Son trou du cul était plus ample que sa chatte quand elle était comprimée par le plug anal. Et moi, je m’étais planté jusqu’aux couilles dedans, j’encule une bourgeoise, putain !!

Au bout d’un moment, en me demandant de la traiter de salope, de pute et de vide-couilles, Christine a commencé à se masturber, allant même jusqu’à planter quatre doigts dans sa moule dégoulinante de cyprine. Du coup, son anus s’est resserré autour de ma pine, et j’ai joui une première fois, sans sortir de son cul.

Chinoise et bonne baiseuse !

Rencontre une asiatique bien coquine…

La saison touristique chinoise ouverte, je me munissais d’un écriteau pour accueillir un groupe de touristes chinois à Roissy. Parlant correctement Mandarin, nous communiquions sans aucune difficulté et je puis me rendre compte que le groupe n’était constitué que de jeunes femmes au nombre de 8. Je les conduisais à leur hôtel, en compagnie du chauffeur.

Pendant tout le trajet qui mène à l’hôtel, elles étaient émerveillée par le paysage, les édifices, et prenaient des photos à tout bout de champs. Plus tard, nous fîmes un briefing du parcours touristique que nous ferions durant leur séjour d’une semaine. Dès le lendemain, nous allions donc entamer la visite de la capitale de l’Hexagone en commençant par la très célèbre Tour Eiffel.

Quatre jours avant leur départ, alors que nous avions bouclé notre parcours touristique, les jolies demoiselles désiraient à présent connaître les coins les plus festifs de Paris, pour s’y amuser et rencontrer si possible des mecs. Nous allions dans une discothèque très prisée dans le 11ème arrondissement le premier soir, puis dans une autre le jour d’après. Tous s’amusaient sans complexe, certaines c’étaient même envoyées en l’air avec des dragueurs subversifs, mais une seule d’entre elles, ne semblait pas vouloir s’amuser, elle me paraissait bien coincée du cul et triste.
Essayant de comprendre ce qui lui arrivait ce soir en boite, je l’invitais à me rejoindre à l’extérieur pour que nous puissions discuter une minute au calme. Elle me confiait qu’elle était hyper timide et qu’elle avait honte de danser en public, avant d’ajouter qu’elle aimerait comme les autres faire un plan sexe avec un jeune français avant de partir mais elle n’a malheureusement pas le courage qu’elles ont. Elle ajouta d’autres trucs qui me mirent dans un état de profonde empathie, d’autant plus qu’elle pleurait. Je la pris dans mes bras pour la consoler et à ma grande surprise, elle m’embrassa sur la bouche.

Sucé en boite par cette chinoise !

J’étais mal à l’aise, elle avait très mal interprété mon geste, mais je ne voulais pas non plus la mettre encore plus mal qu’elle ne l’était déjà. Alors je répondais favorablement à son baiser. Au passage, elle embrassait tellement bien qu’elle avait réussie à m’exciter et à me chauffer la bite. A la suite de cet échange langoureux, elle arborait un sourire extrêmement joyeux, comme d’une personne qui avait gagné au loto. Et moi, j’avais maintenant envie de lui casser la chatte, de lâcher les chiens, bref, la baiser quoi ! Les toilettes hommes me semblaient parfaites pour cette expérience.
Assis sur une lunette de toilette rabaissées, elle se mit à me sucer le manche, et aussi étonnant que cela puisse paraître, sa timidité s’était envolé, j’avais en face de moi une nana totalement déchaînées et chaude comme la braise. Elle s’empala ensuite sur mon zob avant de se mettre à me chevaucher. Cette baise était plutôt rapide, moins de dix minutes au chrono. J’étais plus ou moins resté sur ma faim et ma baiseuse chinoise aussi.

La chinoise s’en prend plein le cul

En fin de soirée, je la déposais avec les autres à l’hôtel lorsqu’elle m’invitait à la rejoindre dans sa chambre. C’était reparti pour un second round ! D’une voie douce, elle me demanda ce qui me plairait. Sans hésiter je lui dis une sodomie, sur le coup, elle farfouille dans un de ses sacs et sort des boules de geisha qu’elle se fourre dans le fion pour bien le préparer à la tempête anale que je lui réserve. Avant que sa rondelle ne soit prête, j’enfile une capote et me mets à lui défoncer la chatte au quart de tour. Cette nana est tellement souple qu’elle me propose des positions de contorsionnistes. Peu après, elle retire les boules de geisha laissant un gros cratère dans son cul, je me mets alors à la pénétrer et bon sang que c’était agréable. J’avais la sensation de planer, son cul était doux, si bon…Nous passâmes la nuit à avoir un enchaînement d’orgasmes.
Le jour de leur départ, je les raccompagnais à l’aéroport, elle me fit un baiser d’adieu en présence du reste du groupe. Après cela, ces compagnons de groupe s’exaltait puis Ly leur dit en mandarin :  » je vous avais bien dit que je réussirais à me le faire « … Je m’étais bien fait avoir.

 

Une jumelle prête à tout pour saboter le couple de sa sœur

Depuis que Vanessa s’était mise en couple avec un charmant jeune homme, Jessica, sa sœur jumelle (monozygote), en était jalouse. Car, cela signifiait qu’elle devait se séparer de son binôme avec qui elle partageait tout, même des moments d’intimités incestueux !
Décidée à ne pas laisser partir son âme sœur, Jessica, se lança dans une vaste campagne visant à faire rompre le couple qui semblait vraiment heureux. Elle commença par persuader Vanessa mais, visiblement amoureuse, elle n’accorda aucun crédit à son discours de désunion.
Vanessa, pourquoi vouloir vivre avec cet idiot de Tom ? Tu m’avais pourtant promis qu’entre vous ce n’était qu’une affaire de plan cul.
C’était vraiment un plan cul mais sans le vouloir je suis tombée amoureuse de lui. Et j’ai vraiment envie de construire ma vie avec lui, c’est très sérieux.
Alors que fais tu de moi. Ce que nous vivions n’était pas assez bien pour toi, c’est ça ?
Non ça n’a rien à voir, nous sommes avant tout sœur, et une liaison incestueuse ne nous mènera nulle part et tu le sais très bien. Il est temps de mettre fin à ce petit jeu et de construire nos vies…regarde nous, nous avons déjà 26 ans…
Moi, je voudrai encore qu’on s’amuse…et puis t’aurais dû m’en parler. Tom n’est qu’un salaud qui veux juste te fourrer, il n’est pas bon pour toi, j’ai le sentiment qu’il te fera souffrir.

J’en doute, il est trop gentil pour me faire le moindre mal.
Nous verrons bien !
Dans un dernier geste de désespoir, Jessica tenta d’embrasser sur la bouche celle qu’elle appelait tendrement sa jumelle Vanou, mais elle la repoussa.
Ce râteau fut de très mauvais goût pour Jess qui allait ainsi passer à la vitesse supérieure pour saboter au mieux cette relation qu’elle méprisait désormais de toutes ces forces.
Un samedi matin, soit deux jours après leur petite conversation, alors que la jolie Vanessa s’apprêtait à sortir faire son shopping habituel, sa sœur dissimula son téléphone portable sans qu’elle n’ait le temps de s’en rendre compte.

Il encule la jumelle de sa copine !

Une fois partie, Jessica écrivit un message MMS ultra coquin à Tom en se faisant, bien évidemment, passer pour Vanessa :
– Mon chéri, j’ai une folle envie de toi maintenant, je voudrai que tu m’encules profondément, et je ne cache pas que je suis en train de me masturber… regarde ces images pour t’en convaincre… rejoins moi rapidement, je t’attends à la maison et je suis toute seule. 
– waouh, c’est incroyablement excitant de voir ta chatte si pleine de cyprine et ton fion dilatée… Je pensais que tu n’aimais pas la sodomie, j’espère que tu ne plaisante pas
– Je suis prête, si tu veux me la mettre en pleine lucarne, c’est maintenant ou jamais !
– Donne-moi une demi-heure et je suis à toi.
Involontairement, Jessica venait de découvrir que Tom aimait la sodomie, tout comme elle, mais que Vanessa, fleur bleue, ne l’appréciait pas du tout. De son côté, Tom enthousiasmé par cette rondelle dilatée qu’il avait vu en image, fit aussi vite qu’il put pour rejoindre celle qu’il croyait être sa dulcinée.
Arrivée à la maison, Jessica l’accueillait directement à poil en lui roulant une pelle bien goulue et, pressé de satisfaire sa libido, il ne se rendit même pas compte de l’usurpation.
Jessica s’agenouilla au pied de Tom, et commença à lui sucer la bite intensément en gorge profonde.
Oh oui, chérie ! C’est tellement bon, va s’y, Oh, j’adore !
La cochonne, interrompit cette fellation torride pour présenter en levrette son fion au chaud lapin. Le gaillard s’y enfonça à sec comme un taureau avant d’activer des coups de butoirs d’une brutalité mêlant excitation et ardeur.
Vas-y coquin, plus fort ! Défonce-moi comme une chienne !
Jessica glissa son index gauche sur son clitoris pendant que son fion se faisait dévaster par la grosse trique de Tom.
Puis, Tom s’allongea sur le dos, et Jessica vint s’empaler par le trou du cul sur sa bite pour la chevaucher avec frénésie. Les positions lascives s’enchaînaient intensifiant davantage le plaisir.
Au cœur de ce moment sexe hard, Tom, suant à grosse goutte, avec la bite entièrement enfoncée dans le cul de Jessica, sentit la présence d’une personne dans la pièce, lorsqu’il leva les yeux en direction de la porte, il vit Vanessa en larme… A cet instant, il comprit qu’il c’était fait avoir comme un débutant. Il courut auprès de Vanessa pour lui expliquer… mais elle lui assénait une belle claque qui avait plus de sens que des mots….Jessica, sa salope de jumelle,  avait enfin obtenu sa vengeance !

Gang-banguée dans une secte naturiste

Ma meilleure amie m’avait convaincue d’intégrer sa meute de naturiste. C’était une femme d’une trentaine d’années comme moi, et nous partagions tellement de choses sauf sa passion pour le naturiste. Pudique, je n’osais pas franchir le cap, pourtant ça m’attirait vraiment. Surtout que je ne suis pas du genre à garder mes fringues quand je suis seule chez moi.
Elle me présentait à sa meute constituée d’une dizaine de personnes de tout âge confondu. La plus jeune personne avait 22 ans et le plus vieux, 60 ans.
Ils trouvèrent les mots juste pour me mettre à l’aise et leur accueil fut si chaleureux que ma timidité disparu spontanément.

Je faisais à présent partie de la meute mais il ne me restait plus qu’à rencontrer le mâle alpha qui était absent pour des raisons professionnelles. J’allais finalement faire sa rencontre quelques jours plus tard à la plage, nous étions tous réunis à poil. Lorsque je le vis, je compris pourquoi il était l’alpha, d’abord, il avait la plus grosse teub de tous les mecs, elle faisait au moins 15 cm au repos, ensuite, il était charismatique et séduisant.
Sur le coup j’ai été séduite par sa personnalité. Ce jour là, il m’accorda une attention toute particulière, étant donné que j’étais à l’honneur. Il tenait un discours doux et attentionné à mon égard, sa voix me charmait autant que ces paroles. Je me sentais acceptée et désirée. Ce beau gosse avait trouvé les mots justes pour me mettre sous son emprise. Si bien que lorsqu’il commença à me caresser, je le laissai faire, puis il me déposa un baisé sur le cou, me doigta avant de me faire un cunnilingus.
Quand je me mis à lui pomper le zob, il doublait de volume en quelques secondes pour se transformer en une bite imposante de 25 cm environ.
La teub monstrueuse allait quitter ma bouche pour se rabattre sur mon minou. J’ai eu chaud à la pénétration, car c’est bien la première fois que ma chatte recevait une telle décharge. Une fois bien dilatée, je ne ressentais plus que du plaisir qui allait me garantir des orgasmes bien fort.
Pendant que je me faisais lustrer sur la plage, les autres membres du groupe, eux s’était aussi mis à s’envoyer en l’air. C’était une grosse orgie. J’aperçus mon amie entre deux gaillards à leur tailler des pipes.

Baisée puis gang-banguée !

Un autre mâle vint me donner sa trique à pomper pendant que le master me refaisait le portrait vaginale. Sans me demander mon avis, ce dernier me pénétra au cul à sec. Je ne vous raconte pas la douleur ! Son gros pénis dans mon cul m’arracha de vigoureux cris. Très vite tous mes trous se bouchèrent de bites, une dans le cul, une dans la chatte et une dans la bouche. Tous les mecs vinrent tour à tour me fourrer comme une catin.
Il pleuvait des bites de partout au point où j’arrivais plus à me concentrer sur ce qui se passait réellement autour de moi. Mais encaisser tous ces glands me fit avoir plusieurs orgasmes.
A mesure que cette baise se prolongeait, mon corps recevait de plus en plus de sperme. J’en avais partout et même dans les cheveux.
Lorsque les mecs se retirèrent tous, les femmes y compris mon amie vinrent me lécher le clitoris et les seins. Comme c’était bon. Gang-banguée par tous ces chauds lapins…
Tous se mirent à me féliciter, le mâle alpha en premier car j’avais réussi mon rite initiatique, je faisais à présent parti de la famille. Il me rappela que le credo du groupe était : « partage, sans tabou ». L’orgie se poursuivit avec les autres nanas, moi, j’avais besoin d’un peu de repos pour récupérer.

Musulmane qui cachait bien son jeu

Yann, 29 ans se tape une musulmane voilée qui cache bien son jeu…

A l’époque, j’étais en fac de droit. C’est un cursus sympa, avec de bons débouchés, et surtout autant de filles que de mecs, contrairement à la médecine. Et je dois bien avouer – ne dites rien à mes parents – que ça a fait partie de mes critères pour choisir ces études. Oui, je le reconnais, je suis un vrai obsédé sexuel.

Premier jour, je débarque comme une fleur, à l’heure précise du début des cours. Et évidemment, l’amphi est déjà plein comme un œuf. Pas de veine pour moi, il ne reste plus de place. Ah si, je vois une place libre, à côté d’une nana, en plus. Sauf que, on est chanceux ou on ne l’est pas, la dite nana est voilée de la tête aux pieds. Pas une façon de parler : réellement de la tête aux pieds.

Je ne me déballonne pas, je m’assois à côté d’elle et je lui tends la main : « enchanté, moi c’est Yann ». Pas bégueule non plus, ma musulmane de choc me serre la pogne : « Laïla, enchantée également ». Wow, elle a la peau super douce, cette meuf. Dommage que ce soit une coincée du cul !

Au fil du temps, Laïla et moi avons sympathisé. Rien que de très platonique, je vous l’accorde, mais elle s’est révélée plus ouverte et moins idiote que sa tenue ne le laissait penser. Jusqu’à ce jour de février où, devant tous les deux rendre un exposé de droit public, elle m’invite à venir chez elle. Première surprise.

Seconde surprise, Laïla habite seul. Pas de mariage forcé, pas de parents traditionalistes et encombrants, ma beurette religieuse est une fille indépendante. J’arrive donc chez elle. Elle me fait retirer mes grolles. Normal. Et là, troisième surprise, elle retire le voile qu’elle a sur la tête. « J’espère que ça ne te dérange pas, c’est juste pour l’extérieur. Entre nous, on est suffisamment intimes ».

Je ne vous explique pas le canon ! Ou plutôt si. J’avais bien deviné de jolis yeux noirs derrière son déguisement, mais là je découvre une nana super belle, maquillée comme il faut, bref, super jolie. Elle s’absente pendant que je prépare les bouquins dont nous avons besoin pour l’exposé.

Et paf ! La voici qui revient en jean t-shirt. En plus, elle est gaulée comme une déesse ! Et, elle, toute décontractée, s’assied à côté de moi. Pour de la confiance, c’est de la confiance ! Sauf qu’elle ne sait pas quel obsédé sexuel je suis en fait. C’est bien simple, au lieu de me concentrer sur l’exposé, je suis subjugué par ses nibards !

On parvient tout de même à boucler le boulot (plus grâce à elle qu’à moi, je vous l’accorde) et Laïla m’offre un thé à la menthe, avant d’aller se coucher. C’est sûr, en rentrant, je vais me branler en pensant à elle ! Faut que je me calme !

Sauf que non, c’est elle qui devrait se calmer. Qu’est-ce qu’elle a à me coller comme ça ? Elle veut que je lui saute dessus ou quoi ? Oh pis, tant pis, je tente ma chance. Je lui roule une pelle. Hmmm, elle a la bouche encore chaude du thé qu’elle vient d’ingurgiter. Et elle se laisse faire. Mieux, elle en redemande !

En deux temps, trois mouvements, la voilà à poil. Elle est gaulée ! Je ne vous dis que ça. Le pubis touffu, certes, mais une poitrine géniale, un petit cul à faire bander n’importe quel fou de Dieu ! Allez, je lui fait une minette. Elle est chaude comme la braise. En moins de cinq minutes, elle a un orgasme.

Je sodomise ma musulmane

Ensuite, elle me suce, en montrant un certain talent pour la gorge profonde et pour la cravate de notaire. C’est le pied ! Puis, elle m’enfile une capote et me dit, le plus sérieusement du monde : « je veux rester vierge en tant que musulmane, tu sais ? Ça ne te gêne pas de passer par derrière ? ». L’hallu ! Elle me demande de l’enculer.

Et là, joignant le geste à la parole, elle se retourne et retire de son anus un gros plug anal, genre rosebud et elle se met à quatre pattes, en écartant les fesses. Son petit trou est tout palpitant, tout lisse, tout propre et j’ai une furieuse envie de le lui défoncer.

Le rosebud a fait son office. Elle est prête pour la sodomie. Je rentre d’une traite entre ses fesses et je commence à limer. Et elle ma cochonne de musulmane , à couiner. Au bout de quelques va-et-vient, ma beurette me réclame de grands coups de bite. Elle tortille du cul pour se faire bien comprendre.

Je l’ai baisée toute la nuit. Le lendemain matin, elle m’a juste demandé de ne jamais rien révéler à personne. C’est pour ça que j’ai changé son prénom. Et puis elle m’a sucé jusqu’au bout, en avalant tout mon foutre. Juré, craché !

Gang bang entre une couguar et des jeunes étudiants

A la suite de mes deux mariages ratés à cause de problèmes d’infidélités de mes ex époux, j’ai fini par faire le choix de vivre en célibat, tout en ayant une vie sexuelle libre. C’est ainsi que je devins, à 42 ans, libertine. C’est un mode de vie qui me convient largement car je n’ai pas à m’angoisser de problèmes de couples. Maintenant, je ne me prends pas la tête, quand je le désire, je me chope un inconnu, de préférence jeune, pour des aventures sans lendemain. Et pourquoi pas, un gang bang !?

Les hommes, de moins de 32 ans, sont de véritables étalons. La vigueur de leur jeunesse couplée à leur créativité ouvre un champ de possibilités sexuelles multiples. Pour faire simple, avec eux je ne m’ennuie jamais. Je pense, cela n’engage que moi, qu’ils sont largement meilleurs baiseurs que des adultes sensés être plus expérimentés. Ils sont moins monotones, moins égoïstes, très à l’écoute et orientés vers la performance sexuelle.
Depuis mon initiation au libertinage, j’ai vécu de belles aventures, notamment dans des lieux insolites comme : baiser avec un stagiaire dans mon bureau aux heures creuses de travail, niquer dans un espace public, me faire défoncer par un serveur dans les toilettes d’un restaurant, me faire sucer la chatte par un commercial dans une cabine d’essayage, me faire lustrer dans un ascenseur bloqué volontairement, entres autres…

Ce fameux soir de mon premier gang bang…

Malgré ces expériences, pour le moins enrichissantes, j’avais encore des envies à satisfaire comme avoir une expérience lesbienne et faire une partouze. Si cela n’avait pas encore été fait c’est parce que l’occasion ne m’était pas offerte. Jusqu’au jour où il eut cette fête d’étudiants à côté de chez moi !
Un vendredi soir, en rentrant aux alentours de 23 h, je remarquais que le fils ainé de ma voisine directe avait organisé une fête, avec de nombreux étudiants de fac, en l’absence de sa maman partit pour deux jours en voyage d’affaires.

je me prépare pour un gang bang !

Il y avait une vingtaine de jeunes à cette fête, ce qui multipliait par vingt le vacarme. En tant normal, j’allais remonter les bretelles à l’instigateur de ce boucan pour le dérangement occasionné mais, je voyais ça plutôt comme un cadeau du ciel qui m’offrait une occasion en or pour me taper une partouze.
Pour appâter ma proie, j’allais mettre en avant mes talents de séductrice exhibitionniste. Je revêtis une chemise de nuit transparente sans sous-vêtements et fis appel à deux jeunes fêtards que j’avais identifié en train de fumer quasiment à l’entrée de ma concession.
Je récupérais la clope, j’en prenais une bouffée et leur demandais leur âge.
– J’ai 22 ans, dit l’un
– Et moi j’en ai 23.
– Avez-vous baisé de toute la soirée ? Leur dis-je.
L’air gêné par la question, ils sourirent sans dire mot. Je n’allais pas me contenter de ce silence : « Avez-vous déjà niqué une femme mature ?». Ils répondent unanimement par la négative. « Voulez-vous que je vous apprenne à niquer une femme mûre ? ». Ils donnèrent leur approbation par un hochement de tête. Après cette petite mise au point, nous allions passer aux choses sérieuses.
Je m’assis sur une chaise, écarta les jambes, exhibant ainsi ma chatte, et de l’index je leur fis signe de me la lécher. Ils coulissèrent leur langue à tour de rôle sur ma vulve, et cette attention dura une vingtaine de minutes, au bout duquel j’eus un orgasme. Les choses sérieuses ne faisaient que commencer. Je pris l’un d’eux en fellation tandis que l’autre s’encastrait dans ma chatte. Ce dernier avait une belle verge. Ils alternaient les rôles et s’appliquaient à me fourrer délicatement.

Enfilée par 9 mecs !

Pendant que je faisais le plein de plaisir avec mes deux nouveaux partenaires, j’entendis un bruit de porte, en levant les yeux en direction de l’entrée principale, je vis des silhouettes de 9 jeunes hommes. Ils se joignirent à nous sans même que je les invite. J’avais alors 11 bites à satisfaire !
L’ambiance était animale, j’encaissais incessamment des coups de bites par la chatte et par la bouche. Jusque là mon fion était épargné, lorsque je sentis une queue bien dure me le défoncer d’un trait. Je n’aime pas trop la sodomie mais ces jeunes lascars ne m’ont laissé aucune alternative. J’ai été jusqu’à encaisser deux bites à la fois dans le cul, ainsi que dans la chatte. J’enchaînais les orgasmes !
Qui dit gang bang, dit torrent d’éjaculation. Je me suis fait gicler sur le visage, dans la bouche, le minou, le cul, les fesses, le dos et sur le ventre.
Cette expérience était vraiment forte, je l’ai adorée d’autant que je n’avais jamais eu autant d’orgasmes en un seul rapport. Mais je ne suis pas sûr de la refaire car il m’a fallut trois jours, et une bonne quantité d’antalgiques, pour calmer les douleurs du bas ventre et du rectum.

Ma petite amie m’initie au triolisme !

Amanda est ma petite amie depuis bientôt six mois, avec elle je suis épanoui, surtout sexuellement ! Je l’ai rencontrée à la suite d’une déception amoureuse qui m’avait complètement anéantie et fais perdre toute considération en l’amour. Mais elle m’a permis d’y croire à nouveau et je ne le regrette aucunement car, je découvre le meilleur du sexe dans ces bras. Oh putain qu’est-ce qu’elle baise bien ! En plus de ça, elle aime les jeux de rôle où elle incarne très souvent celui de la femme soumise à la perfection. J’adore particulièrement ce moment de docilité.
Entre Amanda et moi il n’existe aucun tabou. On s’encourage à exprimer nos désirs et à ne pas les juger. J’avoue que c’est elle qui en a eu l’idée. En plus, elle ne se contente pas que de m’écouter, elle se donne la peine de réaliser les fantasmes que je lui exprime dans la mesure du possible (le triolisme en fait partie !). Moi j’en fais autant pour elle.

Le jour de mon anniversaire, je fis une virée en boite de nuit avec Amanda et des amis. Au beau milieu de la soirée, Amanda me fit part d’un malaise. Elle ne se sentait pas bien du tout et souhaitait rentrer. Je me proposais de rentrer avec elle, mais elle refusa catégoriquement car ne voulant pas que je mette prématurément fin à cette belle fête réalisée en mon honneur. C’est contre mon gré que je la laissais partir…
Deux heures plus tard, la fête pris fin, j’avais hâte de retrouver ma chérie dont je me faisais tellement de soucis. Je rentre à la maison, tout est calme, je pense qu’elle dort. Alors, je monte en chambre, j’ouvre la porte et je trouve Amanda enlacée dans les bras d’une nana. Je n’en crois pas mes yeux ! C’est donc pour se farcir cette salope qu’elle avait feint d’être malade. Amanda, sans dire mot, s’approche de moi et m’embrasse, me défringue et m’installe sur le canapé. Puis, elle invite sa copine nous rejoindre. Je suis subjugué par le physique de cette parfaite inconnue, elle a une paire de nichons volumineuse et un cul rebondi qui me perturbent l’esprit. Je la regarde me pomper la queue de concert avec ma groupie de meuf. C’est divin ! Je ne rate pas une seule miette de ce tandem de feu.
Peu de temps après le début des hostilités, notre invité au regard de tigresse prend le contrôle des opérations et botte Amanda en touche. Elle vint me servir ses lolos en pleine gueule comme pour me faire comprendre qu’ils sont naturels. Je les prends en bouche avant de me mettre à les peloter. Puis, elle redescend sur ma bite et m’offre une merveilleuse branlette espagnole.
Après cette entrée en matière très chaude, les deux gouinasses me laissent en plan sur le canapé en me demandant de profiter sagement du spectacle. Je les regarde galocher tout en se servant de leurs mains baladeuses pour se caresser. Amanda est très entreprenante, elle glisse sensuellement son index dans le trou de balle de sa partenaire, tout en lui broutant l’abricot, puis elle empoigne un plug anal qui était dissimulé sous les draps, y répand de la salive, et l’enfonce dans le cul de cette greluche aux gros nibards.
Affalé sur mon siège, je bande comme un étalon en rut, le spectacle est trop intense, et l’attente m’est insupportable. Je me lève alors pour investir la chatte d’Amanda qui se dressait droit devant moi, en levrette. J’enclenche des coups de bites avec agressivité qui la font immédiatement hurler de jouissance. Je m’assure de bien engloutir ma bite dans les profondeurs de sa chatte, et je sais combien elle adore ça.

1ère expérience de triolisme, wouahh !

Au bout d’un moment, Amanda retire le plug anal du fion de notre invité et m’invite à l’assaillir. Je prends mon gourdin, marque la cible et m’encastre brutalement dans son fion. Ma réputation étant en jeu, je ne m’autorise aucune douceur avec cette coquine, elle n’a droit qu’à mon côté hardcore. Après de longues minutes passées à l’enculer dans tous les sens, Amanda m’interrompt pour me demander sa part de défonce anal. Je change de trou de balle mais la sensation est toujours la même.
Mes deux coquines se mettent en position de levrette sur le canapé, j’ai une belle vue sur leurs chattes et fions. Je m’attelle à passer une à deux minutes dans la touffe de chacune pour les contenter jusqu’à éjaculation.
Je leur distribue mon foutre sur la poire. Elle se le partage goulûment, en s’embrassant avant de s’envoyer à nouveau en l’air. Moi je suis ému d’avoir été initié au triolisme, je suis aussi épuisé et je ne tarde pas à m’endormir. Au réveil, la nana était déjà partie. Je n’ai même pas eu le temps de faire sa connaissance. Amanda me rassura qu’on se ferait une autre partouze bientôt. Quel beau cadeau d’anniversaire et vive le triolisme !