Convaincu par six putes de luxe…

Monsieur Gérard président d’une multinationale évoluant dans le domaine informatique souhaitait racheter ma start-up à quelques millions d’euros. Je refusais sa première offre, il fit une contre-proposition et m’accorda une semaine pour y réfléchir. Une semaine plus tard je campais toujours sur mes positions, et je me rendais pour le lui faire savoir une fois de plus. Je ne le savais pas encore mais il allait sortir le grand jeu : les putes de luxe…
Ce rendez-vous avait lieu sur un terrain de golf, où il m’invita gentiment à faire une partie avec ses amis, des personnalités influentes, charismatiques et passionnantes pour la plupart. Pendant que nous jouions chacun me parla sympathiquement du secret de sa réussite. Ils me racontèrent des anecdotes au goût de leçons de vie. J’en appris beaucoup de ces rencontres.
La partie de golf terminée, nous prîmes un verre avant que Gérard et moi allions à sa résidence secondaire où disait-il m’attendait une petite surprise.

Je précise que de tout le temps que nous passâmes ensemble, à aucun moment on ne parlait affaire, à chaque fois que j’entamais le sujet, il me disait toujours :
– Joël chaque chose en son temps. Ne gâchons pas le plaisir du moment présent.
Je n’avais plus qu’à attendre qu’il amorce le sujet. Nous arrivions enfin à sa résidence secondaire, un château impressionnant de plusieurs milliers de mètres carrés et très bien emménagé. Il me fît, personnellement, visiter les pièces principales du domaine. Je voyais bien qu’il essayait de m’en mettre plein la vue et créer subtilement un lien affectif qui me pousserait à accepter son offre. J’étais résolu à me montrer ferme dans mon refus.
La visite de la maison allait s’achever sur, selon ses dires :  » sa pièce préférée « .

Pris au piège des putes de luxe…

En l’ouvrant, je vis six jeunes femmes nues dans un jacuzzi. Elles étaient magnifiques, que dis-je parfaites et puaient la pute de luxe.
A côté du Jacuzzi, il y avait un très grand lit, sur lequel Monsieur Gérard s’assied pour se faire défringuer par les six coquines à la fois. Moi, je choisissais de m’installer sur le canapé en les regardants timidement faire.
– Allez Joël, t’attends quoi pour nous rejoindre, l’eau est bonne et les nanas aussi. Ou bien, elles ne sont pas assez à ton goût.
– En fait, je voudrais plutôt que nous parlions affaire…
– Ne cherche pas d’excuse et ramène toi…
Pendant que je me déshabillais, Monsieur était déjà en train de rouler des pelles à deux coquines.
Une bimbo aux gros nibards me fit un massage des épaules en se servant de ses miches et mains. Pendant que je me délectais de ces soins relaxants, j’entendis des gémissements, Monsieur Gérard, un brin dominateur était en train de foutre sa main dans la chatte de la meuf couineuse.
Deux autres minettes se joignirent à la bimbo pour m’offrir un passe direct pour le septième ciel, selon l’une d’elle. L’une me massait la tête et les épaules, une autre me taillait une pipe et la troisième se chargeait de me lécher le torse et les tétons tout en me caressant.

Baisées par des putes de luxe

Ensuite la bimbo pris ma bite entre ses grosses miches, déversa une grande quantité de lubrifiant et me fit une pipe espagnole. Elle m’enfila une capote sur la trique avant de s’y empaler de tout son poids.
Elle passa la main à une autre coquine qui vint aussi me faire vibrer la teub avec une ardeur explosive, enfin la troisième cochonne vint réclamer son tour. Cette gymnastique de chatte m’excitait au maximum. La bimbo revint plus tard, cette fois, elle me présentait son cul à ramollir. Voilà une proposition que je ne pouvais refuser. Je lui mis ma bite bien au fond du croupion avec vivacité au point où j’en transpirais.
C’est au moment où je me délectais du cul étroit de cette salope que Monsieur Gérard me dit :
– Alors Joël et si on parlait affaire maintenant.
– Croyez-vous vraiment que le moment est à approprié ?
– Oui. Quelle est ta décision ?
A l’ instant où il me questionna, la truie sodomite que je dézinguais se mit à me donner des coups de reins d’une forte jouissance. Dans cette posture j’avais beaucoup de mal à lui dire non, ça aurait paru ingrat de ma part.
– J’accepte votre offre.
– Très bien, qu’on m’apporte le contrat et un stylo.
J’ai signé ce contrat avec ma bite encastrée dans le cul d’une bimbo siliconée et bonne comme tout.
Voilà comment je me suis fait manipuler, et comment j’ai pris le pied de ma vie. A vrai dire si c’était à refaire, je le referais.
6 Putes de luxe, qui refuserait ?

Nounou prise pour cible par un papa sadomaso

Tu cherches une rencontre hard avec une JF de ta région ?

A l’époque où j’étais étudiante, j’arrondissais mes fins de mois en faisant du nounou et l’escorte girl quand cela était nécessaire, parfois les deux.
Un soir, je reçus une proposition de nounou d’un père célibataire dans le 16ème arrondissement qui devait s’absenter pour la nuit.
Je prenais mon service de nounou à 20 h et nous avions à peine échangé car il semblait en retard à sa soirée.

En rentrant vers deux heures du matin, son rejeton était endormi, lui était sous l’effet de l’alcool mais conscient de ses actes. Au lieu de rentrer chez moi de suite, je fis le choix de rester pour le séduire histoire de faire d’une pierre deux coups. Je fis exprès d’entamer une discussion sur le sexe qui me révéla qu’il n’avait pas touché de femme depuis au moins quatre mois. Ce qui me laissait penser qu’il devait être en manque.
Telle une fauve à l’affût de sa proie, je m’approchais de lui de sorte à ce qu’il n’y ait plus de distance, je créais ensuite un contact physique avant de l’embrasser.
Ce baiser nous poussa à aller loin, très loin, en moins de cinq minutes, j’avais son pénis au fond de la gorge. Il me demanda réellement si j’avais envie de faire l’amour avec lui avant de m’intimer de le suivre à sa chambre.

De nounou à esclave sexuel

Il sortit d’un placard, un sac de sport dans lequel il y avait un nombre incalculable d’accessoires sadomaso. Et me dit :
– Maintenant nous allons faire les choses à ma façon petite chienne.
Je ne vous cache pas que je flippais un max car si je n’avais que peu d’expériences comme nounou, j’en avais encore moins dans le sexe SM, et l’air autoritaire qu’il arborait me foutait les jetons. Mais ce fût le prix à payer pour ma provocation, il fallait que je l’assume.
Il me fit asseoir sur une chaise, m’attachais les mains dans le dos, et les pieds aux pieds de la chaise. Je ne pouvais pas bouger. Au visage il me porta une sorte de masque qui avait pour but de maintenir ma bouche grande ouverte. Dès qu’il eut terminé, il se branlait la teub pour la faire durcir et quand elle atteignit sa taille maximale, il se mit à me désarçonner la bouche. Son sexe arrivait au fond de ma gorge et je perdais mon souffle à chaque coup de bites violent qu’il me portait. Malgré mes agitations pour lui faire comprendre qu’il allait trop fort, ce gros matons, n’en faisait pas cas, il me mettait bien profond et avec une violence incroyable. A ces yeux, je n’étais désormais qu’une esclave !

La nounou s’en prend plein les trous

Après avoir morflé un max à la pipe sauvage, j’allais ensuite avoir droit à la pluie de cire de bougie sur le torse, c’était une sensation agréable. A la suite de cela, il m’attacha à nouveau d’une manière si compliqué que je ne pourrais correctement la décrire, mais je sais juste que je me suis retrouvé les avant-bras attaché aux cuisses avec les jambes ouvertes de sorte à ne pas pouvoir se fermer même si je le voulais.
Dans cette position de soumission, j’allais encaisser une série de cravache sur le popotin, elle était plus ou moins douloureuse, heureusement qu’il avait pris soin de me bâillonner, car mes hurlements se seraient fait entendre à des kilomètres.
Il m’enfila un plug anal dans le cul et se mit à me l’enfoncer à sa guise. Des minutes plus tard, il me défonçait la chatte avec un vibromasseur, avant de le remplacer par sa bite qui allait me fourrer brutalement au point de m’en laisser des lésions vaginales importantes.
Le traitement infligé par ce bourreau me fit couler des larmes à certain moment, néanmoins j’en éprouvais un plaisir intense. Il me fit ensuite avaler tout son sperme jusqu’à la dernière goutte.
Il me paya généreusement…le corps tout endolori, je me tapais un petit roupillon chez lui avant de m’en aller en douce comme une nounou bien obéissante…