Dans le cul de la jeune libertine

Quiconque n’a jamais mis les pieds au Cap d’Agde, dans le quartier naturiste fermé où se tiennent la plupart des clubs échangistes et de la vie libertine, n’a pas idée du festival de débauche sexuelle qui l’attend là-bas. C’est bien simple, il suffit de prendre mon cas. J’ai 53 ans, je suis petit, gros, bedonnant et chauve. Autant vous dire que, toute l’année, je galère pour me trouver des plans cul.

C’est la raison première pour laquelle je passe une bonne partie de mes journées de vacances sur la plage naturiste du Cap, côté Marseillan, où se retrouvent les couples libertins et exhibitionnistes. Là, même si je ne peux pas baiser, je trouve toujours de quoi jouer les voyeurs, comme d’ailleurs des tas d’autres mecs qui se branlent en regardant les couples amateurs qui font leur show.

Il y a de tout à reluquer sur cette partie de la plage. Des couples, plutôt sage, qui baisent à deux, des super nanas, jeunes et belles, qui vont se masturber devant vous et, bien entendu, les partouzes et gangbangs qui ont fait la réputation du lieu.

Habituellement, je pars assez tôt de la plage, pour rejoindre ma chère moitié, qui n’a plus d’envies sexuelles depuis un bail, et qui ne comprendrait pas que je squatte un tel lieu de débauche pendant mes journées de congés. Il faut vous dire que je n’habite qu’à quelques kilomètres, mais, franchement, ça vaut le coup de faire des bornes pour assister à ce spectacle.

Donc, ce jour-là, je savais que mon épouse ne rentrerait pas à la maison avant une heure tardive. J’avais donc tout mon temps pour profiter. C’est là que je me suis aperçu que quand le poste de secours fermait, les choses devenaient encore plus chaudes et plus libertines, si c’était possible.

J’ai vu une grosse allemande libertine se faire tringler à la chaîne par un beau black, un jeune minet et un homme d’âge mûr, tout en suçant son mari. J’ai vu trois couples, de 25 à 50 ans, partouzer ensemble dans l’eau, puis sur le sable, devant un attroupement gigantesque de voyeurs. J’ai vu aussi une femme de la quarantaine sucer toutes les bites qui se présentaient à elle, y compris la mienne.

Puis la plage s’est dépeuplée. Les libertins partaient se préparer pour leur soirée en club. Je me suis dirigé vers les dunes, qui étaient presque désertes à cette heure de la journée. Derrière un arbuste, j’ai entendu des cris. C’était un couple, italien ou espagnol, je n’ai jamais su, qui s’envoyait en l’air. Ils étaient jeunes et beaux, et avaient l’air ravis de me voir.

Je les ai regardés en train de baiser en levrette pendant quelques minutes, tout en me paluchant, quand monsieur m’a fait signe de m’approcher. Ni une ni deux, la demoiselle a pris ma bite en bouche et m’a sucé pendant qu’elle se faisait tirer par son petit ami. Ça a duré un certain temps, pendant lequel d’autres voyeurs se sont approchés. Mais la place était prise, et c’est moi qui y était  !

Dans le cul de cette libertine !

Le couple s’est interrompu. Le jeune libertin m’a filé une capote, que j’ai ajustée tant bien que mal, malgré le sable et la moiteur ambiante, et la jeune libertine a repris sa position, à quatre pattes, à même le sol. C’est lui qui a écarté ses petites fesses rondes, en m’indiquant du doigt son œillet. Il voulait que j’encule sa femme devant lui  ! Il a même craché dans sa raie pour lubrifier le passage  !

Vous pensez bien que je ne me suis pas fait prier longtemps  ! J’ai appuyé mon gland contre l’anus de la demoiselle libertine, avec quand même la peur de lui faire mal, vu son jeune âge. Mais c’est rentré tout seul. Son cul était à la fois étroit et souple, serré et disponible. Il ne me restait plus qu’à me laisser aller au plaisir.

Devant les autres voyeurs, jaloux comme des poux de la chance que j’avais (pour une fois!), j’ai saisi la petite nana par les épaules, puis par les seins, et j’ai commencé à besogner son cul. Son mec a pris ma place dans sa bouche et m’a encouragé à la piner. Je ne comprenais pas un mot de ce qu’il disait, dans un anglais tout «  méditerranéen  », mais je saisissais ce qu’il voulait. Et il voulait que je défonce le cul de sa copine  !

Je ne connaissais ni son prénom, ni sa nationalité, j’avais à peine vu son visage et j’étais en train d’enculer une fille de la moitié de mon âge, devant plusieurs voyeurs, dont des femmes, qui nous ont applaudis quand nous avons joui tous les trois  !

Paysan pervers pour couple exhib

A l’époque, j’étais en couple avec une meuf qui répondait au doux prénom de Natacha ! Ah, Natacha ! Jolie comme un cœur, gentille et douce ! Et surtout, salope comme on ne peut pas l’imaginer !

C’est bien simple, avec elle, il y avait toujours une nouvelle idée ! Un plan cul dont vous n’auriez osé rêver si elle ne vous l’avait pas proposé. Dans la vie quotidienne, elle avait l’air sage, mais quand il s’agissait de sexe, quelle libertine c’était ! Son imagination érotique était sans bornes, et, surtout, elle ne se refusait rien.

Un week-end, elle m’a parlé d’une clairière, pas très loin d’un parking sauvage, où elle avait entendu dire que des couples exhibitionnistes venaient baiser devant des voyeurs. Bien entendu, elle voulait s’y rendre. On programma le plan pour le samedi suivant : la météo s’annonçait bonne.

La météo, oui, mais pas les règles de ma Natacha, qui tombèrent pile poil ce jour-là. Sauf que la coquine avait tout prévu. Elle avait acheté en ligne des tampons spécial sexe, des trucs qui vous permettent de baiser même quand vous êtes indisposée.

Du coup, on a filé vers la fameuse clairière. Sur place, personne. Natacha était déçue, moi plutôt soulagé. Je pouvais la baiser sans la gêne de quelques voyeurs. Et c’est ce que j’ai fait. Elle s’est appuyée sur le capot de la bagnole, je l’ai troussée et pan ! Dans le minou. Au passage, je tiens à vous dire que son gadget anti-ragnagna était très au point. Comme si de rien n’était…

C’était trop beau. J’étais en train de besogner ma copine tout en matant son joli popotin quand un vieux gars tout moisi a débarqué, la bite à la main. Il s’est approché de nous. Il faisait des commentaires paillards pendant que je tronchais Natacha et qu’il branlait sa demi-molle.

Tripoté par le paysan pervers !

J’ai essayé de continuer, comme s’il n’était pas là, mais il était tellement proche que sa présence me gênait vraiment ! Alors, forcément, quand il a commencé à vouloir peloter le joli cul de ma libertine, ça m’a gonflé. J’ai repoussé sa main, en lui disant de rester à sa place.

Natacha s’est retournée et m’a dit : « mais non, chéri, laisse faire monsieur, il a bien droit à un petit plaisir ». Elle a retiré son t-shirt, dévoilant sa poitrine nue, généreuse, magnifique. Elle a tendu un nichon au papy qui s’est mis à lui téter. Le paysan grognait, Natacha était aux anges. L’air de rien, cette salope m’avait fait rebander, avec ses idées cochonnes.

Natacha s’est assise au milieu du sentier et s’est mise à nous sucer tous les deux. Le paysan faisait de plus en plus de commentaires graveleux, mais ça semblait plaire à la coquine. Elle suçait tant et si bien que, non seulement elle m’a rendue une gaule plus qu’honorable, mais le papy aussi s’est mis à bander raide.

On a changé de position. Moi par terre, à la tringler en levrette, elle qui pompait le dard du vieux, debout devant elle. Je voyais tout ce qu’elle lui faisait, comment elle creusait les joues, comment elle faisait coulisser la petite bite entre ses lèvres, comment elle lui suçait les burnes.

Et plus elle était vicieuse, plus je la tringlais comme un forcené. Et plus je la tronchais, plus elle devenait perverse. Le cercle vicieux, c’est le cas de le dire.

Là, le paysan s’est mis à grogner de plus en plus fort. Puis a gueulé comme un dingue « salope ! salope ! petite pute ! ». Il a déchargé à gros jets sur le visage d’ange de Natacha, jusque dans ses cheveux. Elle s’est retournée vers moi, la face pleine de foutre et m’a souri. J’étais estomaqué.

Mais le papy n’en avait pas fini. Il s’est essuyé la pine et a recommencé à se branler. Il s’est placé à côté de moi pour voir en gros plan la pénétration : « elle est bonne ta salope, tu l’encules, des fois ? ». Je me cherchais une contenance, mais le type n’arrêtait pas. A un moment, alors que ma queue ressortait de la chatte dégoulinante de mouille de Natacha, il a carrément pris mon sexe dans sa main, et l’a dirigé vers la rondelle de ma libertine. Elle, elle s’est contentée d’écarter les fesses et je me suis introduit dans l’anus de la belle.

Sans réfléchir, je lui ai déglingué le cul, jusqu’à gicler à mon tour dans son dos, jusqu’à ses cheveux, qui étaient maintenant trempés de sperme.

Je me masturbe devant un inconnu

Par Agnès, 29 ans.

Je venais tout juste de recevoir un nouveau vibromasseur, commandé en ligne, avec lequel je comptais bien m’amuser : plusieurs vitesses, de petits picots sur la verge pour plus de sensations et un second appendice pour jouer avec mon clito pendant la pénétration. Un grand moment en perspective !

J’adore l’instant où je me fais livrer, le plus souvent par un grand black plutôt mignon, que j’imagine très bien membré. Il me tend le paquet – un nouveau par mois, à peu près – avec un grand sourire et me demande de signer sur sa tablette de livraison. S’il savait ce qu’il y a dans le colis…. j’en mouille de joie !

Et, comme très souvent quand je me fais livrer un nouveau sextoy, je le déballe précipitamment et je m’installe devant mon ordi. Et oui, j’aime m’exhiber, et le test d’un nouveau godemichet est, le plus souvent, ponctué par une petite séance de cam to cam avec un inconnu. Je vais sur mon tchat préféré, je cherche un mec qui m’excite et je branche ma webcam pur faire une petite démo de mon nouveau jouet.

L’heureux vainqueur du jour s’appelle François, il a 25 ans, et est étudiant dans ma ville. C’est une grande ville, peu de risques que ça me pose des problèmes par la suite. C’est un beau mec, plutôt du genre minet et il se paluche déjà pour moi. Il a une belle bite, bien droite et j’imagine que c’est lui qui me pénètre quand j’introduis finalement le vibromasseur en moi.

Je suis en nuisette, sans culotte, les cuisses bien écartées en face de mon écran d’ordinateur. Les vibrations de l’engin me procurent des sensations incroyables, d’autant que j’ai une belle vue sur un joli gars, plus jeune que moi, qui se branle en rythme avec moi. Je caresse mes seins, qui dépassent maintenant du haut de la nuisette, ce qui a pour effet de le rendre fou.

Il me dit des mots d’amour, m’encourage à enfoncer plus avant le vibro, et se paluche de plus belle. Il est aussi excité que moi, et moi, ça me fait mouiller. J’augmente la vitesse des vibrations et je sens que je vais bientôt partir. Une, deux, trois, ça monte. Quatre, cinq, six, je fais tout pour me retenir, que l’orgasme soit le plus fort possible. Sept, huit, neuf, c’est parti.

J’espère qu’il n’a pas mis le son de son PC trop fort, parce que je hurle littéralement sous l’effet de la jouissance. Lui, il n’en rate pas une miette. Je ferme les yeux, profitant au maximum de cet orgasme salvateur. Quand j’ouvre à nouveau les paupières, il est toujours là, le sourire aux lèvres et la gaule à la main.

Je ne sais pas ce qui me prend. J’ai envie de lui faire plaisir, j’ai envie de faire, en fait, exactement ce qu’il veut. « Vas-y François, traite-moi comme une salope, s’il te plaît ». Il ne se le fait pas dire deux fois. Le voilà qui me soumet à tous ses délires, à toutes ses envies, et moi j’obéis, trop chaude pour lui refuser quoi que ce soit.

Ma collection de jouets érotiques y passe presque toute entière, jusqu’à ce que je me retrouve, moi qui n’aime pas le sexe anal, avec un énorme godemichet noir planté entre les fesses, face à lui. Cette fois, il jouit, il me dit qu’il crache son foutre dans mon petit trou, et ça me fait partir moi aussi.

Je suis un peu honteuse quand je me retourne. François a effectivement giclé, il en a un peu partout sur lui. Il me dit bonsoir et raccroche la communication. Je me sens un peu gênée, mais, après tout, je ne risque pas grand chose. Un gars que je ne verrai sans doute jamais me prend pour une salope. Ou plutôt, il sait quelle chienne je peux être quand je ne me contrôle plus.

Je pars prendre une douche, puis je remballe mes petites affaires. Une bonne nuit de sommeil par là-dessus, et demain, boulot… Mais attendez, sa tête ne m’est pas totalement inconnue. C’est vrai que beaucoup de gars lui ressemblent plus ou moins. Mais quand même…

Je retourne sur le site, je retrouve sa fiche. Il faut que je vois sa photo, pour en avoir le cœur net. Pas de doute, je le connais, je le croise dans la rue… ou ailleurs. Oh putain ! C’est mon voisin de palier ! Comment ais-je fait pour ne pas le reconnaître ? Quelle conne ! La honte !

Le lendemain, je me reconnecte au site, pour lui parler. Lui dire de se taire, de ne surtout pas raconter ce qu’on a fait ensemble à tout le monde. Il est là, toujours la bite à la main. Il me dit « déshabille-toi, maintenant, tu veux être ma petite salope, tu vas l’être ».

Et moi, je m’exécute. Je sais qu’il n’est qu’à quelques mètres de moi, de l’autre côté du mur. Et j’ai réellement envie de faire tout ce qu’il voudra.

Ma voisine laide et soumise

Ma voisine est laide. Je suis désolé pour elle de dire ça comme ça, mais elle le sait, elle est vraiment moche. Laide, c’est vrai, mais assez bien gaulée, malgré ses 40 ans passés. Mais sa principale qualité, c’est d’être une vraie nympho, prête à tout pour un coup de bite.

Tout a commencé un soir où je regardais un film de boules sur internet. J’ai su plus tard que j’avais mis le son trop fort, et qu’elle entendait tout. A l’heure où l’héroïne se fait péter le cul par un hardeur, on a sonné à la porte. C’était elle, ma voisine. Elle était fringuée de façon très provocante, le genre de tenues libertines qu’on trouve dans les sexshops.

Elle me dit : « excusez-moi, mais on entend tout de chez moi ». Je pique un fard, je me noie en excuses, ce genre de truc ne m’était jamais arrivé.  » Non, mais, c’est pas grave  » dit-elle,  » si vous voulez, je vous aide un peu, je n’arrive pas à dormir de toute façon « .

Laide mais avec de gros lolos !

Je la regarde de la tête aux pieds. Elle est vraiment vilaine de visage, mais elle a une sacrée paire de lolos et moi, je bande encore d’avoir été interrompu comme ça en pleine branlette. Je m’entends répondre :  » ok, alors tu me pompes, tu me fais gicler dans ta bouche et tu te casses, ça te va ? « . Je ne me reconnais pas, ce n’est pas mon genre de parler aux femmes sur ce ton.

Elle ne prend même pas la peine de répondre. Elle entre dans mon appartement, va vers l’ordinateur et se fout à poil. La vache, cette chienne est vraiment gaulée ! Elle est presque bandante ! Je me remets à l’ordi et relance le film. Une bimbo se fait enculer par un gros zob. La voisine, elle, se plante devant moi et me suce.

Je lui baise littéralement la bouche. Elle, elle fait de son mieux pour encaisser les coups que donne mon gland à sa gorge, elle continue même à pomper et à jouer de la langue. Au bout de cinq minutes, peut-être même moins, je me vide les couilles dans sa glotte.

Putain, je me sens mal d’avoir abusé de cette nympho laide. Je m’apprête à m’excuser, mais elle ramasse déjà ses frusques et prend la direction de la porte. Elle sort et traverse à poil le palier. Moi, je ne me sens pas très bien, mais, au moins, j’ai bien giclé.

Depuis, à chaque fois que j’ai envie d’une bonne baise facile, je sonne chez la voisine moche. C’est pas compliqué, elle fait absolument tout ce que je veux. Elle me pompe, je la saute, je l’encule même parfois. J’ai fait des photos d’elle en train de me sucer, juste pour l’humilier. Et elle adore ça.

Une fois, un pote de passage en a aussi profité. On l’a niquée tous les deux et elle s’est laissée faire avec, manifestement, beaucoup de plaisir. Elle a souvent des penchants et des envies SM. Elle aime que je lui fasse honte, parfois, elle demande que je lui crache au visage pendant qu’on baise.

Le pire, c’est que je commence à la trouver vraiment excitante. Elle a une drôle de tête, honnêtement, elle est laide, mais vu comme elle est foutue, elle doit faire bander pas mal de mecs. En tout cas, mon pote ne s’est pas fait prier pour lui casser l’anus ! Il m’est alors venu une idée : lui organiser un gangbang. En plus, j’ai des photos d’elle pour aguicher les volontaires. Je suis sûr qu’elle accueillera tous les gars que je lui présenterai.

La dernière fois, j’ai sonné sa porte, je lui ai demandé de mettre la tenue coquine qu’elle avait quand elle m’a proposé la première pipe. Là, je lui ai ordonné de me suivre. Direction, le sexshop du coin. Je vous dis pas l’effet sur les clients de la boutique, un vieux machin mal entretenu et surtout très mal famé. Je lui ai payé une tenue de catin et je l’ai entraînée dans une cabine pour la sauter.

On a laissé le rideau ouvert et tous les vicelards du quartier sont venus la voir se faire dérouiller la chatte et le cul. Je crois qu’elle a encore plus morflé que d’habitude, mais elle a surtout encore plus joui.

Du coup, je pense qu’elle sera partante pour mon idée de gangbang. Je vais lui demander quand même, au cas où. Ça se fait, non ?




 

Ma première sodomie

Il y avait dans l’atmosphère de la chambre quelque chose de troublant, un parfum d’interdit, qui me mettait dans tous mes états. Je sentais son souffle court qui sifflait à mes oreilles. Il a saisi mes petits tétons entre ses pouces et, de l’autre main, a bloqué mon épaule pour la ramener vers lui. Je ne sentais plus que sa bite, qui me paraissait tout à coup énorme, glisser le long de ma raie culière.
J’allais vivre ma première sodomie. J’étais à la fois morte de peur et terriblement excitée à cette idée. Toujours aussi brusque, il me fit basculer en avant, lui tendant ainsi mes deux fesses, offertes, femelles, fragiles, prêtes à la sodomie…

Il ne se départait jamais de cette froideur, que ne trahissait que sa respiration mal maîtrisée, excité qu’il devait être à l’idée de dépuceler un jeune anus. Je sentis un doigt humide s’insinuer dans ma raie, pour venir masser mon petit trou en guise de préparatif à la sodomie. Il m’ouvrait un peu, et surtout il lubrifiait mon cul. Il me fit mettre à quatre pattes et posa sa longue queue sur mon boule. D’une main, il la dirigea vers l’entrée de mon cul. La brûlure fut intense, brutale, insupportable. J’avais l’impression qu’il me déchirait, que je ne m’appartenais plus à moi-même. Mais cette sensation ne dura pas bien longtemps.

Il s’enfonça d’une traite jusqu’à la garde, jusqu’à ce que ses testicules viennent buter contre les globes de mes fesses. La douleur avait disparu. Elle avait été remplacée par une impression de plénitude, une sensation d’absolu. Je me sentais bien. Mieux que bien, j’avais le sentiment d’avoir attendu ce moment toute ma vie.
Il resta un long moment fiché en moi, n’esquissant pas le moindre geste, sans doute pour que je m’habitue progressivement à sa pine dans mon cul. Pas de doute, cet inconnu qui me faisait vivre ma première sodomie n’en était pas, lui, à sa première expérience anale. Il savait y faire. Et quand il commença ses mouvements de piston entre mes fesses, ce fut presque un soulagement pour moi. J’en avais envie. J’en avais besoin. Tout en me niquant, avec des mouvements amples – et profonds – de ses reins, il me saisit par les fesses, pelotant, malaxant et caressant mes deux doudounes.

Puis il accéléra le rythme, m’arrachant de petits gémissements incontrôlables, qui s’échappaient de ma gorge par à-coup, et qui couvraient ses propres râles de bête en rut. Il revint à une sodomie plus lente, plus profonde. Puis accéléra de nouveau. Jusqu’à ce que lui prenne l’idée de se retirer de mon cul.
Il me fit me retourner. Là, il avait pleine vue sur mes petits seins, qu’il tritura un long moment avant de planter à nouveau sa queue entre mes fesses. J’appréhendais cette nouvelle intromission, je craignais qu’elle ne me déchire à nouveau. Mais l’inconnu savait ce qu’il faisait. Il entra dans mon anus sans coup férir.

Une fois bien au fond de moi, il saisit mes jambes, pour les placer au dessus de ses épaules. Dans cette position, l’angle ouvert, sa sodomie se faisait plus profonde encore. Cette fois, il n’était plus question de m’épargner.  L’inconnu se mit à me baiser, comme le rustre qu’il était. Sous lui, je pouvais voir son visage se déformer, je pouvais constater le plaisir qui l’envahissait. J’avais devant moi un animal sauvage venu chercher son du.
Et j’aimais ça. Alors, je fus presque déçue quand il se retira à nouveau. La bite tendue vers moi comme une arme menaçante, il lâcha à longs jets son sperme, qui vint atterrir sur mes seins, et même sur mon visage. Je devais avoir l’air de la pire des garces ainsi maculée, les cuisses ouvertes et le cul béant, dévasté par la sodomie…

Il se releva, s’habilla prestement et s’en alla comme il était venu. Je n’ai plus jamais entendu parler de lui.

Mon mari me demande de l’enculer

La vie sexuelle de notre couple ronronnait doucement. Cela fait 15 ans que nous sommes mariés, Yves et moi. Nous étions encore tout jeunes quand nous nous sommes unis, jeunes et plein de fougue. Avec les années, la fougue s’est transformée en habitude et la passion qui rendait nos nuits chaudes et intenses a peu à peu laissé place à des étreintes répétitives et de moins en moins troublantes. Il m’arrivait fréquemment de m’ennuyer en faisant l’amour et, même si nous n’en parlions jamais ouvertement, je sentais bien que c’était la même chose pour mon époux. Un jour, j’ai pris mon courage à deux mains et nous avons abordé le sujet de nos fantasmes respectifs puis pris la décision de nous montrer enfin plus inventifs en amour. A ce moment là, je ne pensais pas me retrouver si vite en train d’enculer mon mari.

Nous avons fait chacun de notre côté des emplettes dans le catalogue d’un sex-shop en ligne. Je suis restée très raisonnable, achetant principalement de la lingerie (pour exciter mon homme) et un ou deux sex-toys bien innocents (plutôt pour moi, je l’avoue). Nous avons expérimenté assez rapidement les quelques fantaisies nouvelles offertes par mes achats, puis ce fut au tour d’Yves de révéler sa surprise. Celle-ci était de taille. Je ne compris pas tout de suite où mon mari voulait en venir quand il sorti de sous le lit un gode-ceinture de belle facture. Je m’attendais presque à voir entrer dans notre chambre une autre femme et je trouvais que c’était pousser le bouchon un peu loin que de vouloir m’imposer une relation bisexuelle trioliste.

Mais ce n’était pas ce qu’attendait mon mari, il m’expliqua que d’avoir parlé ensemble de nos difficultés lui avait permis de franchir enfin les limites qui l’empêchaient de me demander ce qu’il attendait de moi depuis des années. Pour finir, il me dit simplement  « Chérie, je voudrais que tu me prennes comme si j’étais ta petite femme. Encule-moi s’il te plaît ! ».

Vidéo porno du récit Mon mari me demande de l’enculer

A cet instant, tout aurait pu arriver. L’espace d’une seconde, j’ai hésité, j’étais sur le point de tout foutre en l’air et de me fâcher pour de bon. Mais devant le regard implorant qu’il me lançait, je compris qu’il avait eu bien du mal à exprimer ses pulsions les plus intimes. Je le trouvais aussi un peu pitoyable et c’est ce qui me décida à m’emparer de l’engin pour me harnacher. De me voir dans le miroir du placard qui faisait face à notre lit, montée comme un homme, mon mari attendant en haletant que je le fourre, à quatre pattes sur le pieu, me donna l’élan nécessaire.

Quelques instants plus tard, je me retrouvai en train de limer les fesses de mon époux. Celui-ci haletait et gémissait effectivement comme une petite pute. Je me sentais forte, dominatrice et perverse. Yves avait pensé à moi et il avait choisi un modèle muni d’une double bite. L’une était fichée dans son cul et le ramonait allègrement, l’autre remplissait ma chatte et me donnait beaucoup de plaisir à chaque fois que mon ventre venait buter contre le cul de mon mari.

Nous avons joui ensemble comme des fous. Je bénis encore aujourd’hui le jour où nous avons décidé de prendre en main le destin sexuel de notre couple. Cela nous a complètement libérés et  nous sommes aujourd’hui redevenus les jeunes amants  insouciants que nous étions à nos débuts.

Prends-moi par le cul !

Chéri fais-moi jouir ce soir ! Je t’écris du magasin et j’espère que tu liras mon mail avant de rentrer. J’ai trop envie de baiser depuis que tu m’as caressée ce matin, avant de partir au travail. Tu m’as laissée toute mouillée et j’ai dû me toucher avant de quitter la maison. J’ai joui en pensant à tes doigts, à ta langue, à ta queue et à tes grosses bourses bien pleines que j’adore vider.

Fais-moi plaisir ce soir, prends-moi par le cul ! Défonce-moi le derrière, mon gros cul bien bandant que tu aimes tellement caresser, lécher, doigter…  J’ai envie de te sentir dans moi, d’avaler ta bite avec mes fesses et de te faire jouir en serrant ta queue avec mes globes si charnus.

D’abord tu me prépareras, longtemps, très lentement. Tu caresseras mes seins, tu suceras mes bouts. Pendant ce temps je te tripoterai la verge et les couilles comme tu aimes, je glisserai mes doigts dans ta raie et tu banderas comme un dieu. Moi, je mouillerai, je coulerai comme une fontaine. Un peu de mon jus ira beurrer mon trou du cul, ce sera une bonne mise en condition.

Tu me toucheras aussi la chatte, je guiderai ta main pour que tu prennes de ma mouille et que tu m’en tartines l’œillet. Si tu fais ça bien, je te sucerai jusqu’à ce que tu jouisses dans ma bouche. Ne te méprends pas, si je le fait, c’est d’abord pour te purger, pour vider tes couilles du trop plein de ton foutre et te libérer d’une excitation trop forte qui te ferai jouir trop vite dans mon ventre une fois que tu m’auras prise comme je le veux. Une fois vidangé, tu tiendras plus longtemps dans mon cul. Ça n’en sera que meilleur.

Vidéo porno du récit Prends-moi par le cul

Il  te faudra un peu de temps pour te remettre, tu en profiteras pour me préparer avec ta langue et tes doigts. Tu m’ouvriras, tu me lubrifieras de ta salive. Mon trou sera bien dilaté pour t’accueillir, pour prendre ton membre redevenu dur et chaud.

Je m’installerai alors sur le lit, à genoux, la tête sur mon oreiller, le ventre posé sur le tien, les fesses bien remontées et les genoux écartés. Tu ne pourras pas résister et tu glisseras ton vit dans mon fourreau douillet, celui qui te fera tellement jouir.

Je jouirai aussi sous tes assauts, sous les coups de boutoir de ton dard. Ton ventre claquera contre mon gros cul, la chambre résonnera du bruit de nos ébats et des gémissements que je pousserai pour t’exciter. Tu caresseras mon gros clito, tu le trairas comme une petite bite, tu malaxeras mes nichons pendants de grosse salope.

Quand tu seras prêt, tu te videras en moi. Je serrerai mon anneau autour de ton manche en jouissant, en te gueulant des obscénités comme tu aimes que je le fasse en jouissant. Les contractions de ta bite me feront redoubler de plaisir et tu t’affaleras sur moi, vaincu par le cul délicieux de ta petite pute.

Rentre-vite et prends-moi par le cul !

Sodomisée pour la première fois

Hier soir, j’ai vécu un grand moment dans ma vie sexuelle pourtant déjà longue. J’ai été sodomisée pour la première fois, prise, par le cul, enculée si vous préférez. Et je peux dire que j’ai adoré ça, me sentir remplie par un gros chibre bien gorgé de foutre, les fesses ouvertes par ce mandrin, le ventre plein du gros gland qui me pistonnait.
C’est Aldo, un collège de boulot qui m’a fait ce cadeau. Ça faisait un moment que je le voyais lorgner sur mon cul quand je passais devant lui. Je suis secrétaire dans le grand garage où nous travaillons tous les deux, comme une quinzaine de collègues. J’ai 23 ans et je ne suis plus pucelle depuis longtemps. J’aime le sexe et de voir les yeux du mécano se poser si souvent sur mes fesses me faisait toujours beaucoup d’effet.
C’est moi qui ai fait comprendre à Aldo que je voulais être prise. Il m’a suivie dans les toilettes juste après la pause de midi. J’ai fermé derrière nous pour que nous ne soyons pas dérangés. De toute manière, les autres étaient déjà repartis au travail. Nous n’avions pas beaucoup de temps devant nous mais ça suffisait pour assouvir le besoin qui me tenaillait le bas du ventre. J’avais dans l’idée de me faire baiser tout à fait classiquement, vite fait, bien fait, mais les évènements se sont déroulés d’une façon imprévue.
Dès que nous nous sommes retrouvés dans les toilettes, je me suis jetée sur le sexe d’Aldo. J’ai ouvert sa braguette et descendu son pantalon puis son caleçon. Son engin est apparu devant moi, déjà suffisamment gros pour me pénétrer, sans que je l’aide à forcir avec ma bouche ou mes doigts. De mon côté, je mouillais déjà comme une vraie chienne en chaleur. J’ai rarement été aussi excitée. J’avais envie d’être prise par derrière et je me suis donc retournée contre le mur de faïence sur lequel j’ai plaqué mes mains.
Vidéo porno du récit Sodomisée pour la première fois
Très vite, j’ai senti le gland du sexe d’Aldo qui est venu se frotter entre mes cuisses et taper contre ma chatte. Mais ce salaud là n’est pas entré en moi. Il s’est contenté de tremper son nœud juste à l’orée de ma foune. J’ai compris ensuite que c’était pour bien l’humidifier. Puis il est venu tartiner mon œillet avec le bout de sa bite. Il a aussi pris un peu de mouille avec ses doigts, par devant, puis les a fait glisser entre les globes de mon cul, jusqu’à mon petit trou. Quand je compris où il voulait en venir, c’était presque déjà fait.
Je ne ressentis aucune douleur particulière lorsque le champignon rose se fraya un passage dans mon orifice anal. J’avais déjà lu tant d’histoires de sodomies et vu tant de films avec des rapports anaux que je savais comment réagir. Je poussai sur mon sphincter comme pour chier et cela facilita grandement l’intromission du membre noueux jusqu’au fond de mon ventre.
Aldo se mit rapidement à faire des allers et retours dans mon rectum. En même temps, il me malaxait la chatte d’une main. Moi, vicieuse jusqu’au bout, je lui ai tâté les bourses pendant tout le temps que dura ce coït anal mémorable et jusqu’à ce que ses couilles se libèrent en moi.
L’expérience fut un peu courte car Aldo jouit brutalement dans mon cul, mais cette première sodomie laissera néanmoins un souvenir impérissable dans ma mémoire. J’ai hâte de recommencer.

Il s’est trompé de trou

C’est la première fois que ça lui arrive et pour moi aussi ça a été une première. Hier soir, mon mari s’est trompé de trou et je l’ai laissé faire.
Nous étions au lit depuis quelques minutes. Mon mari, Thibaut, est venu se serrer contre moi comme il le fait presque chaque soir. Je dors sur le côté, tournée vers l’extérieur du lit. Thibaut s’est collé contre mon dos et m’a prise dans ses bras. J’aime sentir son large torse derrière moi et ses bras qui me protègent. Nous nous endormons souvent dans cette position. Ce soir là les choses se sont passées un peu différemment.
Thibaut ne tenait pas en place. Ses mains posées sur ma poitrine jouaient négligemment avec mes seins mais ça suffisait à me faire de l’effet. Peu à peu, j’ai commencé à sentir des frissons courir sous ma peau. J’ai posé ma main sur sa cuisse et je me suis mise à la caresser, d’abord sur le dessus, puis à l’intérieur. Imperceptiblement, il a écarté ses jambes. En même temps, je sentais sa queue qui durcissait contre mes fesses.
Il jouait maintenant ostensiblement avec mes nichons. Je n’ai pas de très gros seins mais de belles pointes qui raidissent bien quand on les tripote. Thibaut passait aussi ses doigts sur mon ventre et descendait de plus en plus bas vers ma fourche. De mon côté, je lui caressais les couilles. Je sais qu’il adore ça.
Nous commencions à haleter tous les deux. La bite de mon mari s’était logée entre mes fesses. Je passai alors la main entre mes cuisses pour la guider vers mon entrejambe. C’est là que tout a basculé. Notre position ne devait pas être idéale pour une baise classique et Thibaut se trompa de trou.
Au début, je fus surprise de sentir son gland appuyer sur mon petit anus. S’il nous arrivait à tous les deux de pratiquer des caresses anales sur le trou du cul de l’autre, jamais nous n’avions abordé la question de la sodomie et il ne me semblait pas que mon mari était tenté par cette pratique.
Vidéo porno du récit Il s’est trompé de trou
Pourtant, il fallait que je me rende à l’évidence, Thibaut était en train d’entrer dans mes fesses. Il poussait, poussait et peu à peu son gland perforait ma rondelle. J’étais trop excitée pour le détromper et, d’ailleurs, je ne trouvais pas ça désagréable. Le pauvre devait penser que ma position, couchée contre lui, rendait ma petite chatte plus serrée que jamais.
Il me prit comme un fou et je crois qu’il ne réalisa être dans mon cul que lorsque je me redressai et me mit à quatre pattes sur le lit. En fait, je ne suis même pas sûre qu’il s’en est rendu compte car il n’en parla pas, ni pendant ni après notre cavalcade. Pour ma part, je connus l’un des orgasmes les plus violents de ma vie sexuelle. Je fus même traversée d’une seconde série de spasmes lorsque Thibaut décula lentement.
Aujourd’hui je ne sais que penser. Dois-je aborder le sujet avec mon mari ou, au contraire, me taire à tout jamais ? J’avoue avoir pris beaucoup de plaisir à cette expérience et j’aimerais la renouveler, mais je n’ose le lui dire ouvertement. Dans notre couple, il est des discussions encore largement taboues.

Enculé par ma maîtresse

Ça fait longtemps que je trompe ma femme avec des maîtresses de passage. Je n’ai jamais voulu me lier véritablement avec l’une d’entre elles, préférant expérimenter avec chacune des sensations nouvelles. J’en change à peu près tous les 6 mois, quand j’ai fait le tour de leurs possibilités. Ça fait partie du « contrat » dès le départ. Je ne cherche pas le grand amour, que je connais déjà  avec mon épouse, juste des moments d’une rare intensité sexuelle, ceux qu’elle ne peut pas me donner, la faute sans doute à son éducation. Les femmes que je déniche par petites annonces ou sur des sites de rencontre le savent et, croyez-moi, ça me permet de vivre des expériences inoubliables.

Sandrine a 42 ans, dix ans de plus que mes 32 ans. J’aime les femmes plus âgées que moi car elles sont sexuellement épanouies, surtout celles que je vise. Avec Sandrine j’ai été gâté. L’autre jour, grâce à elle, j’ai pu découvrir combien j’aimais jouir par le cul, bien rempli par le gode fixé à ses hanches.

Je savais déjà que j’étais sensible de l’anus car j’adore quand une femme y fait passer le bout de ses doigts, voire y entre une ou deux phalanges. J’aime aussi quand les plus perverses me lèchent le trou avec leur langue douce et vicieuse. Mais avec Sandrine j’ai franchi un nouveau palier.

Elle m’a fait jouir comme jamais en me prenant par derrière. Non contente de me pistonner à grands coups de gode-ceinture, elle m’insultait, me traitant d’enculé et de petite pute. Je ne sais pas des mouvements coulissants du manche de plastique dans mon rectum ou des mots orduriers qu’elle prononçait ce qui m’a le plus fait jouir.

Déjà en la voyant se préparer, ferme et déterminée, je bandais comme un âne. Elle m’avait prévenu que j’aurais droit à un traitement de faveur ce jour là. J’ignorais de quoi elle voulait parler jusqu’au moment où elle a sorti la bite artificielle du petit sac de cuir où elle se trouvait. Ma queue s’est redressée en un éclair. Il faut dire qu’elle m’avait longuement préparé le cul avant ça et que je n’avais pas complètement débandé en attendant qu’elle recommence à s’occuper de moi.

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D’un geste autoritaire elle m’a fait comprendre que je devais m’agenouiller devant le lit de la petite chambre d’hôtel que nous occupions. Elle a glissé un coussin sous mes genoux, s’est mise devant moi pour me faire sucer la queue qui allait me prendre.  Revenue derrière moi, elle a vérifié avec ses doigts si mon petit trou était encore assez humide des caresses buccales qu’elle lui avait prodiguées juste avant.  Puis elle a posé le gland factice sur mon œillet et s’est mise à pousser lentement mais fermement pour m’ouvrir.

L’introduction du gode a pris quelques instants. Ça n’a pas été aussi douloureux que je le craignais. Pour me détendre, Sandrine flattait ma queue qui était toujours plus raide sous mon ventre. J’avais l’impression d’être une chienne prise par son mâle.  Ce sentiment troublant devint encore plus fort quand le membre de plastique fut tout entier logé en moi et que ma maîtresses entama le long mouvement de va-et-vient qui me fit tant jouir.

Je suis maintenant devenu un adepte convaincu de la sodomie passive. A tel point que je suis prêt à satisfaire tous les caprices de mon amante. Demain, je dois être offert à son mari et, pour ma plus grande honte, je bande rien que d’y penser.