Assistante sur un tournage porno

A l’époque, j’étais étudiante à Paris, dans une grande école de cinéma, que certains d’entre vous reconnaîtront sans doute. En dernière année, la direction des études nous imposait un stage d’un mois dans une société de production, ou sur le tournage d’un film. Facile à trouver, pour celles et ceux qui ont du piston. Mais pour moi, rien que la recherche de ce stage s’est avéré une vraie galère.

Finalement, j’ai trouvé quelque chose. Rien de bien intéressant, mais suffisant pour valider mon cursus et obtenir mon diplôme. Quand j’ai parlé de mon stage à mes copains d’école, ils ont bien rigolé. Et pour cause : j’étais embauchée comme assistante sur un tournage porno. Oui, un film x.

Mais attention. Je ne vous parle pas d’un petit film style amateur tourné avec des smartphones. Non. J’allais travailler sur la dernière production porno à gros budget d’un magnat du sexe sur pellicule. Mon stage allait se dérouler dans une immense villa de la côte, où j’allais bien entendue être nourrie, logée et – je ne le savais pas encore – baisée.

Première impression du tournage porno : contrairement aux apparences, les stars du X sont des gens bien élevés, pour la plupart cultivés et qui s’intéressent à autre chose qu’à leur bite. Je parle ici des hommes, car les nanas, venues le plus souvent des pays de l’Est ou d’Amérique latine ne parlaient pas un broc de Français, ou même d’Anglais, ce qui limitait carrément la conversation.

Mon travail consistait à encadrer les équipes, à engueuler les maquilleuses corps qui rechignaient à la tâche, à m’assurer de la luminosité des prises, à recalibrer certains éléments techniques… Finalement, c’était intéressant. Intéressant et sympathique, car j’ai vite sympathisé avec Édouard, un hardeur de la trentaine, avec qui nous discutions cinéma d’auteur entre deux prises.

C’était toujours étrange. Nous parlions des théories de Resnais ou de Truffaut quand débarquait le réalisateur, qui annonçait la prochaine prise dans cinq minutes. Édouard avalait une pilule supposée lui donner le braquemart et se branlait tout en continuant la conversation avec moi. Et la pilule faisait son effet. Quelle gaule ! Belle, bien droite, bien veinée, bref, sans défauts. Et je ne vous parle pas des proportions !

Puis il s’en allait tringler une petite bombe tchèque ou brésilienne, lui éjaculait dessus et revenait discuter avec moi des mérites comparés de chacun des films de la Nouvelle Vague. Au début, ça me laissait un peu de marbre, tout ça. Mais, à force de me rapprocher de mon beau hardeur, j’ai fini par lui trouver beaucoup de charme.

Je flashe sur l’acteur d’un tournage porno

Oui, et alors, me direz-vous ? Son métier consistait à niquer de véritables beautés, des filles gaulées comme des déesses – et jolies, en plus ! – pourquoi se serait-il intéressé à un petit boudin dans mon genre, si ce n’était pour une certaine stimulation intellectuelle ?

N’empêche que, un soir, alors qu’il avait passé presque toute la journée à enculer une splendide blonde hongroise, Édouard est venu frapper à ma porte. Nous n’avions pas pu discuter de toute la journée, la hardeuse ayant accaparé toute son attention. J’ai invité mon ami à entrer. Sans façon, il s’est assis sur le bord de mon lit et nous avons causé un peu.

Une chose en entraînant une autre, nous nous sommes retrouvés à nous rouler des pelles et à nous peloter, allongés tout habillés sur la couverture de mon lit. Quand les choses allaient devenir sérieuses, Édouard a pris congé, manifestement gêné. J’ai du me masturber toute la nuit, pour libérer la tension sexuelle qui s’était accumulée en moi depuis deux semaines.

Le lendemain, nous avons fait comme si de rien n’était. Entre deux relectures de scénario avec Natasha, une poupée russe aux seins naturels et gigantesques, j’ai continué à discuter avec mon hardeur, que je trouvais décidément super beau. Au repas du soir, il m’a glissé à l’oreille : « je peux venir te voir, ce soir ? ». J’ai accepté.

Mais cette fois, pas question de le laisser repartir ! Je me suis habillée (ou déshabillée, c’est selon) d’une nuisette empruntée à une des actrices et je l’ai attendu, allongée là, sur le lit, offerte. Quand il est finalement arrivé, il est venu directement se coucher auprès de moi, m’embrassant fougueusement à pleine bouche.

Jamais je n’aurais pu imaginer qu’un acteur porno savait aussi bien embrasser, caresser, lécher que mon bel Édouard. Une véritable exultation des sens ! Puis, sans toucher à ses fameuses pilules qui le faisaient bander, il a enfilé une capote, et il m’a prise comme dans le tournage porno du matin, mais en douceur, avec tact et toucher. Il s’est insinué en moi. Sa bite était énorme, je n’avais jamais été pénétrée comme ça.

Nous avons fait l’amour toute la nuit. J’avais l’impression d’être devenue une star du X d’un tournage porno. Sans avoir dormi, Édouard a repris son train-train le lendemain, avec une scène où il devait se faire pomper par deux nanas en même temps, puis les baiser à tour de rôle !

J’ai couché avec un hardeur

Je me prénomme Géraldine, je suis étudiante en Droit à Paris. Je suis célibataire, ma plus longue histoire d’amour n’a duré que quelques mois et je suis le genre de filles à vouloir profiter de la vie, et de ma jeunesse. Je ne cours pas plus que ça après les hommes, mais j’ai tout de même un joli tableau de chasse à mon palmarès.

Le garçon que je vais évoquer ici est connu, mais je ne vais pas vous révéler son nom, parce que j’ai appris, depuis notre aventure, qu’il était marié. Marié, et soi disant fidèle, malgré sa profession : Luc, appelons le ainsi, est acteur porno, un « hardeur » comme on dit. Je n’en savais rien quand il m’a abordé, un soir, en discothèque. Ce sont mes copines, avec qui j’étais sortie ce soir-là qui me l’ont dit.

Il faut vous dire à ce stade qu’il s’est montré envers moi aussi timide qu’entreprenant. Timide, dans le bon sens du terme, pas le genre de mec relou qui se la joue, si vous voyez ce que je veux dire. Entreprenant, dans le sens où il m’a clairement fait comprendre qu’il voulait passer du temps avec moi. Moi, et aucune autre fille, en tout cas ce soir-là.

Nous avons dansé, pas mal bu, et un peu discuté. Il m’a dit être comédien, je lui ai parlé de mes études, sans lui laisser penser que mes amies m’avaient, en réalité, tenue au courant de sa réelle activité. Et c’est sans penser à mal – enfin, un petit peu quand même, je l’avoue – que je l’ai laissé me raccompagner chez moi, puis que je l’ai invité à boire un dernier verre.

Je dis « sans penser à mal », parce que je ne regarde pas de porno et que je me suis pas mise à fantasmer au moment où j’ai appris qu’il était hardeur. Pour moi, c’était un coup d’un soir comme les autres. Si vous connaissez un peu le porno gonzo, vous devez vous rendre compte, à ce stade, qu’une grosse, mais alors très grosse surprise, m’attendait.

Nous avons flirté sur mon canapé, nous nous sommes bécotés, il a commencé à caresser mes seins. Une chose en entraînant une autre, je me suis retrouvée en petite culotte et lui en slip. Oui, j’ai bien vu la bosse qui s’était formé sous le tissu, mais je n’en ai rien déduit de spécial. Les caresses se sont faites de plus en plus précises, jusqu’à ce qu’il retire ma culotte.

Je me suis retrouvée assise sur le canapé, lui à genoux devant moi, à me faire un cunnilingus. Rien à voir avec les clichés du porno : il était doux, assez talentueux de sa langue, à l’écoute de mes désirs. J’ai eu un premier orgasme, petit, mais sympathique. Alors, il s’est redressé. Et j’ai retiré son slip.

Hardeur à grosse queue !

Mazette, mes amies, quel engin. Je n’ai pas vraiment le compas dans l’œil, mais je peux vous certifier que sa verge faisait, au bas mot, dans les 25 cm ! Et large, en plus de ça ! J’ai cru tourner de l’œil devant l’engin qu’il me présentait. Luc eut l’air gêné. Je l’ai attiré à moi pour l’embrasser à pleine bouche, pour le rassurer.

Je sentais son membre contre ma peau. Je ne me trompais pas, il était raide comme la justice ! J’avais déjà connu des garçons bien membrés mais, en général, ceux-ci n’avaient pas de si formidables érections. J’ai demandé à Luc de s’installer à son tour sur le canapé et j’ai commencé à le sucer.

Quand il s’est trouvé vraiment bien chaud, j’ai tendu la main jusqu’à mon sac pour en tirer une capote. Il m’a souri, a retenu ma main. Puis il s’est penché vers son pantalon et en a tiré un étui de de préservatif XXL. Oui, évidemment, j’aurais du m’en douter, un hardeur est équipé hors normes.

Tant bien que mal, je me suis acharnée à poser le condom sur sa verge énorme. J’avais un peu peur, c’est vrai, mais j’étais aussi très excitée à l’idée d’essayer un tel membre et de le sentir en moi. Quand il fut équipé, je me suis mise à califourchon sur lui. Et je me suis empalée. J’ai senti chacun des 25 centimètres pénétrer dans mon vagin. Une sensation fabuleuse, d’autant qu’il me laissait faire à ma guise. Habitué qu’il était à son propre corps, il avait peur de me faire mal.

Emportée par mon élan, je me suis mise à faire des mouvements de va-et-vient sur sa verge. Je ne m’en étais pas rendue compte, mais il n’était pas encore entière en moi. D’un coup, son membre s’est fiché jusqu’aux testicules dans mon sexe et là, je dois bien dire que j’ai eu mal.

Mais ça n’a duré qu’un temps. Très vite, le plaisir a repris le dessus et je ne suis pas prête d’oublier ce sentiment de plénitude d’être baisée par une grosse bite. Depuis, il m’arrive de regarder des films de cul, mais uniquement les films de mon hardeur préféré !