J’ai baisé une animatrice télé

Je me prénomme Henri, j’ai 55 balais, je vis à Paris et je ne suis ni moche, ni beau. Disons que l’âge m’a fait pousser une bonne bedaine et ne m’a pas aidé à bander plus dur, si vous voyez ce que je veux dire. J’ai pourtant eu la chance de baiser une vedette de la télévision, une jeune et belle journaliste/animatrice dont je tairai ici le nom mais que vous reconnaîtrez peut-être.

Tout juste ce que je peux vous dire est que cette coquine, sous des faux-airs de sainte-nitouche, s’est faite prendre une fois à jouer plus que de coutume, pour une journaliste, de ses charmes. Bref, maintenant, elle est chroniqueuse dans une émission très regardée, qui bat régulièrement les scores d’audimat.

Donc, à l’époque où ma journaliste officiait sur une grande chaîne d’information, j’avais été invité pour commenter un sujet que je connais, de par ma vie professionnelle. J’ai été très agréablement d’être surpris par L. – appelons-la comme ça – pour préparer l’interview.

Quand je suis arrivé, L. était en train de sa faire maquiller. Elle était très séduisante, d’autant qu’elle portait un petit haut qui lui faisait, dès qu’elle se penchait, un magnifique décolleté. Elle n’a pas pu ne pas voir que je louchais comme un pervers dedans, et je crois même qu’elle m’a souri à ce propos.

Après le maquillage, quelques minutes avant la prise d’antenne, elle m’a donc posé quelques questions sur mon boulot, et sur le fait divers dont il était question. Elle se tenait assise, face à moi et ne cessait de croiser et de décroiser les jambes, me laissant voir subrepticement son entrecuisse. Je me demandais si elle avait une culotte, ce qui ne me paraissait pas certain.

Puis, nous sommes allés en plateau. La journaliste s’est montrée très sérieuse, très à l’écoute, bien que peu informée de la réalité de ce dont elle parlait. Ainsi, elle m’a ensuite demandé de rester un peu après le direct, pour l’éclaircir sur quelques points.

J’ai donc attendu une heure dans sa loge, jusqu’à ce qu’elle rende l’antenne. Elle m’a rejoint dans ce lieu confiné, et pourtant très bien équipé. Elle était en sueur, sa peau brune brillait de transpiration. J’ai même aperçu une goutte qui s’échappait, coulant entre ses deux seins ronds. J’étais toute ouïe et tout disposé à répondre à toutes ses questions.

Elle s’est d’abord plainte d’avoir à animer un débat sur les nouvelles formes de sexualité : « ces salauds, ils me donnent ça à traiter depuis qu’ils savent que je suis un peu cochonne ! ». Je n’en croyais pas mes oreilles. « Un peu cochonne » ! Elle était en train de m’allumer ou quoi ?

Comme si ça ne suffisait pas, elle s’est levée de sa chaise, après s’être déshabillée. « Je n’en peux plus de ces spotlights, regardez-moi ça, je suis en nage… ». Tu parles que je voyais ! Son petit haut, sous l’effet de la transpiration, était tout collé à sa peau, moulant les deux pommes qui lui servaient de seins d’une manière tout à fait indécente.

Et ni une, ni deux, voilà L. qui retire carrément son haut. L’animatrice se retrouve en soutif, là, devant moi ! « Où en étions-nous ? » me demande t-elle, plongeant son regard sombre dans le mien, qui avait bien du mal à ne pas descendre sous la ligne d’épaules. « Ah oui ! » et elle a repris la conversation là où nous l’avions laissée, sans même penser à remettre une tenue plus correcte.

Mon sang n’a fait qu’un tour ! Je me suis précipité sur elle : c’était sûr, elle m’allumait, elle allait voir ce qu’elle allait voir. Loin d’être choquée, la petite salope s’est mise à me susurrer dans l’oreille : « oui, tu vas me baiser vieux salaud, mais ne fais pas trop de bruit, j’ai peur qu’on nous surprenne ». S’il n’y avait que ça pour lui faire plaisir…

L’animatrice est toute chaude !

Son soutien-gorge a volé, découvrant deux jolis nibards tout ronds, assez mats, avec un joli grain de beauté tout en haut. Je les ai pris un par un dans ma bouche, depuis le temps que sa poitrine me faisait bander, tant à la télé que dans la réalité.

Elle s’est posée sur ma bite, qu’elle avait sortie de sa braguette, et l’a enfoncée en elle. Elle n’avait effectivement pas de culotte. C’est ainsi qu’elle s’est mise à bouger en tout sens, jouant avec ma queue au fond de sa chatte, tandis que je tétais avec plaisir et délectation ses deux nibards.

Et elle qui ne voulait pas que je fasse trop de bruit s’est mise à brailler comme une chienne, en tortillant furieusement du cul sur ma bite dressée comme jamais. Bilan, quand je suis ressorti de sa loge, après m’être maladroitement rhabillé, toute la rédaction me regardait avec un drôle de sourire aux lèvres. Tout le monde avait compris que j’avais sauté l’animatrice vedette.

L’ex de mon mec

Avez-vous déjà léché un cul ? Je veux dire lécher vraiment un cul, un anus, pas seulement embrasser vaguement une paire de fesses ? Ça vous dégoûte ? Moi aussi, ça me faisait cet effet là, jusqu’à ce que je rencontre Sophie, l’ex de mon mec, une nana vraiment pas les comme les autres.

Je vis depuis deux ans avec Evan, avec qui je m’entends super bien, sur tous les plans, y compris sexuels. Nous sommes très complices, nous parlons de tout, nous ne sommes jaloux, ni l’un ni l’autre. Enfin moi, si, un peu : de Sophie, son ancienne petite copine qui, apparemment, était encore plus dévergondée que moi. Elle avait surtout un avantage que bien des gars enviaient à Evan : Sophie était bisexuelle, et partageuse !

Combien de fois Evan m’a t-il raconté comment cette vicieuse ramenait ses conquêtes féminines à la maison ? Parfois, il devait rester voyeur. Il m’a souvent parlé d’un double-dong qu’elle utilisait avec ces nanas. D’autres fois, il avait le droit de participer, si l’autre fille était bisexuelle elle aussi. Je veux bien comprendre que ça laisse des souvenirs impérissables chez un gars.


Toujours est-il qu’un soir, alors que je rentrais du taf, voilà qu’Evan m’annonce, tout sourire, que Sophie va nous rendre visite, le lendemain. Il l’a invitée à dîner. Je suis contente, mais aussi un peu méfiante. Comment réagir, cette nana m’impressionne quand même un peu. Je sais, je vais prendre les devants. Evan rêve d’un plan à trois, je vais lui donner ce qu’il veut.

Et voilà comment je me suis retrouvée à quatre pattes sur le lit, la bite de mon mec au fond de la gorge, et la langue de Sophie qui fouille mon anus. Evan est aux anges, Sophie un peu surprise que j’ai été à l’initiative de ce plan cul. N’empêche que sa bouche sur mon cul, ça me procure des sensations assez inespérées.

Evan n’en perd pas une miette. Sa meuf et son ex sont en train de se gouiner pendant que lui se fait pomper la teub. Vous parlez d’un panard ! Mais voici que Sophie entreprend de reprendre les choses en main. Elle me fait m’allonger sur le dos et… mais qu’est-ce qu’elle fout ? Elle vient carrément s’asseoir sur mon visage !

Et moi gentiment, je tire la langue et je lui lèche l’anus à mon tour. Sauf que cette salope tortille du cul comme une dingue, elle m’étouffe à moitié. Et surtout, je ne vois pas ce qu’elle fait avec mon mec ! J’ai l’impression que ces deux-là se roulent des pelles pendant que je suis à l’ouvrage, en train d’offrir une feuille de rose à l’ex de mon mec.

N’empêche que j’aime ça. Je croyais que ça allait être dégueu, mais pas du tout. Son petit trou palpitant est un vrai régal. Ça m’excite même carrément de bouffer le cul d’une fille. Mais qu’est-ce qui se passe ? La voici qui m’écarte les cuisses. Elle se baisse et plonge la tête jusqu’à ma chatte.

Je jouis, le nez dans le cul de l’ex de mon mec !

Waouh ! Mais elle lèche trop bien, cette petite cochonne, elle va me faire grimper aux rideaux en moins de temps qu’il ne faut pour le dire ! C’est incroyable ! Je vais jouir avec son cul au niveau de mon nez ! Oh, putain, l’orgasme part, je ne me contrôle plus, je jouis comme une dingue !

Quand je reprends mes esprits, Sophie s’est à nouveau assise sur ma bouche et moi, je tourne ma langue dans tous les sens pour lui rendre la pareille. Les deux, au dessus de moi, rigolent de la puissance de ma jouissance.

On m’ouvre à nouveau les cuisses. C’est Evan qui se fait sa place. Il me pénètre brutalement, sa longue tige se carre au fond de moi et commence à me limer. Et moi, je continue à bouffer le cul de Sophie, qui, en bougeant un peu, parvient à me donner aussi sa fente à lécher. Et Evan qui lime, qui lime et qui lime encore !

Je devine qu’il lui bouffe les seins tout en me niquant. Rien que l’image que je me fais dans la tête me la fait perdre, la tête. Je jouis encore, puis c’est autour de Sophie qui, prise de spasmes, manque de me péter le nez ! Pour une première fois bisexuelle, je déguste, dans tous les sens du terme.

Je sens Evan prêt à gicler à son tour, je le connais bien ce petit salaud. Il me baise de plus en plus fort, de plus en plus loin, et de plus en plus vite. Un véritable athlète olympique ! Ça y est, cette fois, il jouit. Mais il sort de ma chatte et balance tout son jus sur mon ventre, et sur les nibards de Sophie.

Cette dernière me libère. Elle a du sperme partout sur la poitrine. Ah la salope ! Cette éjaculation était pour moi, je n’ai jamais dit que j’étais prête à la partager avec elle !

Soirée BDSM en club libertin

Par Katia, 29 ans.

Nous avions été engagés par un site de rencontres échangistes pour réaliser des reportages incognitos dans des clubs libertins à travers la France. Nous devions repéré des soirées hors-du-commun et les raconter à nos lecteurs. Seulement, le récit de cette soirée spécifique a été censuré par la direction du site, parce que trop hard : une soirée BDSM en club libertin…

La scène se passe dans un club-sauna du département du Jura, dans une petite ville de Franche-Comté. Là, se tient une fois par mois une soirée à thème BDSM. L’un comme l’autre, nous avions déjà assisté à ce genre de soirées : pas de quoi fouetter un chat, sans mauvais jeux de mots.

Nous sommes venus en respectant le dress-code : tenue vinyle provocante pour moi, vêtements noirs pour lui. Nous avons l’habitude, pour ce genre de missions, d’arriver très tôt, histoire de voir les convives s’installer les uns après les autres. Nous papotons un instant avec la barmaid, une belle plante brune aux formes généreuses, aussi joviale que sexy.

Et le défilé a commencé : là, un homme vêtu d’un superbe T-shirt au milieu duquel étaient floquées les initiales SM, là, une femme qui tenait son mari en laisse, quelques hommes seuls, puis à nouveau des couples, comme on en voit dans tous les clubs échangistes.

Il a fallu attendre un moment avant que les « hostilités » ne démarrent vraiment. Mais quel choc ça a été ! Avant même que nous ayons eu le temps de réaliser, la jolie barmaid avait été remplacée à son poste et était en train de torturer un homme attaché à la croix de Saint-André, tandis qu’un autre des célibataires, entièrement nu, lui servait, selon ses humeurs, de tabouret ou carrément de marche-pied (attention aux talons aiguilles!).

Au bar, justement, un homme avait mis sa compagne cul nu. Il lui avait retiré le rosebud qu’elle portait, planté dans son anus, et il offrait sa soumise à tout ceux qui voulaient la sodomiser. Dans une petite pièce isolée, une maîtresse domina, avait fait s’allonger une femme sur le dos, et deux hommes sur le ventre, sur un lit habituellement utilisé par les couples échangistes pour partouzer.

La dame, une maîtresse-femme de la cinquantaine, jouait comme une diablesse de la cravache sur le dos et les fesses des messieurs ainsi que sur les seins de la soumise, le tout sous le regard incrédule des curieux dont nous faisions parti.

C’est alors qu’un couple nous a approchés. Une belle petite meuf, 1m60 maximum, blonde comme les blés, nous offrait les services « linguistiques » de son soumis. Autrement dit, elle me proposait de me mettre à l’aise pour qu’il me lèche à volonté. Amusée, j’ai accepté. Et l’esclave sexuel savait y faire, je vous prie de me croire. Il m’a fait jouir très vite, sous les insultes et les menaces de sa dominatrice. Puis il est allé s’occuper d’une autre libertine.

J’étais chaude, mon chéri aussi. Quand nous avons remarqué un couple que nous avons déjà croisé dans un autre club coquin, lors d’une soirée plus traditionnelle. Ce soir là, elle était sa chose. Il nous l’a offerte.

Il l’a d’abord attachée à une autre croix de St-André, nue, offerte. Nous avons joué longuement avec ses gros seins. Mon mec était plus timide que moi, puisque je me suis surprise à pincer fortement ses tétons, scrutant son regard pour y déceler les traces de sa douleur. Je n’étais plus moi-même.

Envoutée par le démon du BDSM

La barmaid, voyant la scène, m’a proposé un gode-ceinture, dont elle a ensuite harnaché ma taille nue. Elle y a placé un préservatif et on a fait se mettre à quatre pattes la soumise. C’était la première fois que je baisais une autre femme. Je l’ai tringlée en levrette, tandis que mon homme lui plantait sa tige en fond de gorge.

Prise de je ne sais quelle pulsion sadique, je me suis mise, tout en la baisant, à lui envoyer une volée de claques sur les fesses. Elle hurlait, je ne sais si c’était de douleur, de honte, ou de plaisir tout simplement. Des dizaines de voyeurs, hommes et femmes, regardaient sa déchéance, alors que son homme lui cinglait le dos de coups de martinet aussi précis que cruels.

Rarement, dans ma vie de libertine, je n’ai autant pris mon pied que ce soir-là. Un drôle de sentiment, une étrange sensation. C’était comme si quelque chose remontait en moi, quelque chose d’assez malsain, mais de terriblement jouissif. Je possédais cette femme et je la faisais jouir de ma cruauté. Un démon BDSM s’était emparé de moi.

Mon mari m’offre une expérience lesbienne

Cela faisait trois semaines maintenant qu’il me promettait une surprise pour mon anniversaire. j’avais tout imaginé, sauf cela : un voyage à Venise, un beau bijou, ou encore une très belle robe. Mais là, vraiment, j’étais sur le cul. Pour mon anniversaire, mon mari m’offre une expérience lesbienne.

Elle est exactement comme je l’ai toujours fantasmée : petite, plutôt gironde, une jolie blonde aux yeux clairs dont les seins sont moulés dans un petit haut trop serré pour elle, deux belles grosse ogives appétissantes à souhait. Gilles me connaît bien. Il sait que j’ai eu quelques expériences lesbiennes au lycée, puis à la fac, et que j’ai toujours eu un faible pour ce genre de nana, moi la grande gigue brune, plate, sans formes.

Elle se tient devant moi, un sourire légèrement gêné aux lèvres. Elle me dit :  » il paraît que je suis ton cadeau d’anniversaire ». Elle n’est pas très sûre d’elle. Elle se demande encore si tout cela n’est pas qu’une mauvaise plaisanterie. Un mari qui offre une expérience lesbienne à sa femme, ça ressemble tout de même beaucoup à un plan drague à deux ronds.

Gilles nous touche l’épaule, à chacune d’entre nous, et me dépose un baiser tendre sur les lèvres : « je vous laisse ». Il prend son manteau, et quitte l’appartement. Me voilà seule avec ma jolie blonde lesbienne, qui doit avoir cinq ou six ans de moins que moi. Et pourtant, c’est elle qui prend l’initiative. Il faut dire que je suis comme plantée, là, debout devant elle.

Elle s’approche, passe la main dans mes cheveux, puis sur ma joue. Elle tend les lèvres vers moi. Je lui rends son baiser. J’adore embrasser une autre femme. C’est tellement doux, tellement sensuel. Nos langues de filles se caressent. Un parfum d’interdit flotte dans la pièce. Un parfum qui m’enivre. Je prends maintenant la bouche de la jeune gouine à pleine bouche, et elle me le rend bien.

Elle me prend finalement par la main, et m’attire vers notre chambre à coucher. Elle me fait assoir sur le lit conjugal et, devant moi, entame un strip-tease dont je peux vous garantir que je me souviendrai longtemps. Elle dévoile ses seins insolents qui pointent vers moi, puis son cul ferme, haut et rebondi. Elle vient se coller à moi. Je reste comme interdite.

Alors c’est elle qui me déshabille, elle qui agace doucement mes tétons de sa langue inquisitrice, elle qui retire ma jupe, puis mon string. Nous sommes maintenant toutes les deux, allongées l’une contre l’autre, elle me grimpe dessus. Quel plaisir de sentir ses gros seins glisser contre ma poitrine plus androgyne, de prendre à pleines mains les deux beaux globes de ses fesses tandis qu’elle me roule des pelles.

La voici qui descend le long de mon corps de femme, qui embrasse mon cou, mes épaules, à nouveau mes petits nichons puis mon ventre. Je sais qu’elle va vouloir me lécher. J’ai un peu peur, mais j’en ai très envie. Ça y est, ses lèvres se posent sur mon mont de Vénus, qu’elle embrasse tendrement.

Ma première expérience lesbienne…

Sa langue vient s’insinuer en haut de ma chatte, pour y trouver mon clito. Elle sait y faire, c’est une vraie lesbienne, qui a l’habitude de faire plaisir à une autre femme. Sa langue vicieuse va de mon bouton à ma chatte puis revient à nouveau. Je vais défaillir, vite. Un orgasme puissant me monte du ventre jusqu’à toutes les terminaisons nerveuses de mon corps. Je me cambre, puis je n’arrive plus à me contrôler.

A peine remise, je veux lui rendre la pareille. Mais d’abord goûter à ses beaux seins fermes et ronds. J’ai envie de les téter pendant des heures. Je pose la tête entre ses deux belles doudounes. Il ne me reste plus qu’à me laisser aller, et à profiter de mon cadeau.

Trio sexe en club – 2ème partie

Le temps était comme suspendu à notre trio de sexe… Comme si Alain attendait un geste de ma part. Allais-je refuser ses caresses ou les lui rendre ? J’ai choisi finalement la solution intermédiaire, en me précipitant sur les seins de sa femme, que j’ai embrassés longuement. Très vite, la libertine s’est retrouvée torse nue, avec son mec qui s’occupait de son sein gauche et moi de son sein droit.

Alain s’est alors déshabillé entièrement. Il était très beau, très sculptural et je ne pus m’empêcher de remarquer la longueur de sa tige bandée. Je l’imitais, tout comme Olivia d’ailleurs, et nous nous sommes très vite retrouvés tous les trois totalement nus, allongés les uns contre les autres sur le petit lit de l’alcôve, qu’Alain avait fermée à clé.

Je me mis alors mis en tête de lécher la jolie chatte épilée de près de la brunette, alors qu’elle-même léchait et suçait le vit de son homme. Rapidement, elle fut prise de mouvements incontrôlés du bassin, preuve que je ne m’y prenais pas si mal, pour un quasi-puceau.

Mais alors qu’elle était sur le point de jouir, Alain repartit à l’assaut. Je sentis ses lèvres se poser sur ma bite dure comme de la pierre. Je ne me sentais pas bisexuel mais à qui voulais-je mentir ? J’avais envie d’Alain autant que d’Olivia et, après tout, personne n’en saurait jamais rien, à part nous trois.

Sexe trio

Olivia eu un premier orgasme sous l’effet de ma langue sur son clitoris. L’occasion pour tous les trois de reprendre un court instant nos esprits. Puis, je fus celui qui reprit l’initiative. J’ai pris la longue verge d’Alain entre mes doigts et me suis mis à le caresser lentement. Il était tout sourire et se pencha vers moi pour m’embrasser à mon tour.

Je n’eus ni la force, ni l’envie de refuser ce premier baiser entre hommes, d’autant moins qu’Olivia en profitait pour me prendre en bouche. Ce fut alors un festival de sexe oral : moi qui léchait Olivia, la brunette qui suçait son mari, Alain qui me suçait et, pour finir ce cercle infernal, moi qui suçais le libertin.

Oui, j’ai pris la bite de ce mec dans ma bouche. Pas juste pour lui rendre la pareille mais parce que j’en avais envie, là, sur l’instant et je ne regrette absolument pas de l’avoir fait. Pendant de longues heures, nous nous sommes caressés dans cette alcôve de club libertin, tous les trois et nous nous sommes donnés du plaisir. Pendant de longues heures, j’ai été au bord de la jouissance.

Cette expérience bisexuelle a été non seulement l’une des plus érotiques de toute ma vie, mais elle a aussi changé mon rapport au sexe. Aujourd’hui, je me définis toujours comme hétéro, mais je ne me refuse rien. Si jamais un mec venait à me plaire comme Alain ce soir-là, je ne vois aucune raison de m’interdire de prendre du plaisir avec lui.

Et je me souviens toujours avec émotion de ce moment où, branlé par Alain et sucé par Olivia, j’ai joui à en perdre connaissance, sous les caresses de ce couple trioliste qui m’avait découvrir tant de belles choses lors de ce trio sexe…

Trio en club échangiste – 1ère partie

Je suis allé pour la première fois dans un club échangiste quelques jours après l’anniversaire de mes vingt ans. Ce soit-là, c’était soirée « pluralité » comme ils disent et les hommes seuls y étaient acceptés. Bien sûr, le tarif de 90 euros aurait eu habituellement de quoi m’étrangler, mais les chèques que ma famille m’avait faits pour ce grand passage à l’âge adulte me permettait de m’offrir ce petit extra.

Il faut dire qu’à l’époque, bien que plutôt mignon, je n’avais connu qu’une fille, la nana avec qui j’étais sorti depuis le lycée, et qui m’avait plaqué six mois auparavant. Très timide, je n’osais pas abordé mes camarades de classe féminines et, sans être puceau, je me sentais très en retard quant à ma sexualité.

L’idée d’aller dans un lieu où tout le monde était libéré par rapport au sexe m’excitait terriblement. Après avoir franchi, angoissé, le pas de la porte et le vestiaire du club, je me suis assis dans un coin, observant ce qui allait se passer.

Une multitude de couples fit son entrée ce soir là, de tous les âges, de toutes les conditions. Certains cherchaient d’autres couples, d’autres partaient à l’étage suivis d’une ribambelle de mecs seuls, d’autres encore semblaient indécis.

Ce sont eux qui m’ont abordé. Heureusement, car jamais je n’aurais eu le courage d’en faire autant. Elle, Olivia, devait avoir 35 ans, c’était une jolie brune aux yeux noirs, très gracieuse, fine, malgré de jolies formes rondes. Lui, Alain, semblait avoir atteint la quarantaine. Tempes grisonnantes, port de tête altier, physique de déménageur qui aurait fait de longues études.

C’est elle qui m’a adressé la parole :
– tu as l’air tout timide, c’est la première fois que tu viens ici ?
– oui, c’est la première fois
– que dirais-tu qu’on s’isole un peu tous les trois pour discuter un peu plus ?

Evidemment, j’ai suivi le couple à l’étage. Là, ça partouzait sévère. Une vieille libertine se faisait culbuter par un trentenaire tout en suçant la bite raide de son mari. Mais le couple m’a emmené plus loin, jusqu’à une alcôve minuscule, où trônait une espèce de petit lit. Nous nous sommes assis, Olivia placée entre nous deux.

Expérience trioliste en club échangiste…

Pour la première fois, Alain a pris la parole :
– ce que nous recherchons, c’est un mec doux pour nous amuser, ensemble, à trois. Tu vois ce que je veux dire ?
En fait, je ne voyais pas bien mais je hochais la tête. Alain caressait les cuisses nues de sa femme tout en me parlant. J’étais comme invité à faire de même, alors j’ai posé ma main sur la peau douce de la jeune femme.

Là, tout s’est précipité. Le couple a échangé un long baiser, puis Olivia a tourné la tête vers moi et m’a roulé une pelle sensuelle et excitante. Ma main est remontée de sa cuisse à sa poitrine et le pan de tissu qui cachait jusqu’alors ses seins est tombé, me dévoilant une jolie paire de pigeons blancs, très fermes et très doux.

Très vite, j’ai senti une main se poser au niveau de mon sexe. Quand j’ai baissé la tête pour voir, je me suis aperçu que c’était la main d’Alain.

La stagiaire, ma femme et moi, 3ème partie

Le lendemain matin – on était un samedi – je me suis senti morveux. Bien entendu, ma femme a gobé sans mot dire mon histoire de travail de dernière minute, pour expliquer mon arrivée tardive, la veille. Pas une seconde elle n’aurait pu s’imaginer que j’avais couché avec la jeune stagiaire gironde de 20 ans et demi qui hantait mon lieu de travail.

Ce samedi là, j’ai trouvé mon épouse encore plus belle qu’avant. La grande brune, fine, mature, contrastait tant avec la volupté de Lydie. Elle était élégance là où la bimbo respirait le vice.

Pour la soirée, Patricia m’avait promis un dîner en amoureux, qu’elle allait confectionner elle-même. J’étais ravi. Elle avait même ajouté, en me demandant d’aller acheter un magnum de champagne, qu’elle me réservait une surprise, ce soir même. Ma curiosité était piquée au vif.


Le soir venu, donc, elle me demanda de nous servir une coupe à chacun, quand la sonnette de l’entrée retentit. Mince, un gêneur, ce n’était pas le moment de venir nous importuner. Patricia avait revêtu sa longue robe noire, fendue jusqu’en haut de la cuisse et je m’étais déjà promis un dessert coquin à la hauteur de la beauté de mon épouse.

Quand elle fit rentrer notre visiteuse impromptue, je crus que mon cœur allait me lâcher. C’était Lydie, en tenue élégante et sexy, un large sourire aux lèvres. « Je crois que vous vous connaissez » me lança ma femme dans un petit rire. J’étais éberlué, interdit. « Voilà la surprise, mon chéri ».

Les souvenirs me sont revenus, en flash. Le pot de départ d’un collègue, la longue conversation entre ma femme et la stagiaire, qui semblaient s’être entendues comme larronne en foire, ce jour-là. J’ignorais tout du piège dans lequel j’étais tombé, manifestement, à pieds joints.

Patricia sortit du vaisselier une troisième coupe, la remplit de champagne et la tendit à la jeune stagiaire. Elle me donna la mienne et leva la dernière au ciel en criant : « à l’amour ! ». Je n’avais pas prononcé un mot depuis l’arrivée de Lydie dans notre maison, alors, Patricia m’expliqua de quoi il retournait.

Mon épouse s’était inquiétée de me voir aussi fidèle, même en pensées et avait mijoté ce scénario pervers avec la bimbo blonde. Elle était heureuse de savoir que j’avais cédé à ses avances, elle trouvait qu’une nouvelle page de notre histoire d’amour venait de s’ouvrir.

Joignant le geste à la parole, Patricia s’approcha de Lydie et déposa un baiser doux sur ses lèvres. Les deux femmes s’enlacèrent, et mon épouse tendit la main vers moi, me faisant signe de les rejoindre. Après de longues caresses à trois, elle posa une règle : la pénétration lui était réservée.

Quand j’en aurai le temps, je vous raconterai peut-être cette première nuit de sexe à trois, entre un couple de quadragénaires amoureux et une jeune bimbo de vingt ans, douée pour l’amour comme d’autres sont douées pour les mathématiques ou la littérature.

Je vous raconterai cette nuit là, et peut-être même aussi les nombreuses nuits qui ont suivi, avec Lydie, bien sûr, mais aussi avec des tas de jeunes femmes de moins de trente ans que ma chérie prend tant de plaisir à débaucher avec moi.

La stagiaire, ma femme et moi, 2ème partie

Je ne vous explique pas à quel point ce fut chaud, dans le tout petit appartement de la stagiaire. Ou plutôt si, bien sûr, je vais vous l’expliquer : Lydie m’a donc roulé une pelle langoureuse sur son palier, puis m’a attiré chez elle et a refermé violemment la porte derrière nous.

En moins de temps qu’il n’a fallu pour le dire – et pour moi de me rendre compte de ce qui m’arrivait – elle s’est retrouvée les seins nus, collés à mon torse, nos bouches encore lovées l’une contre l’autre. Puis, la bimbo s’est reculée et j’ai pu admirer sa formidable poitrine, ferme, gigantesque, avec de très gros bouts roses et fermes, qui pointaient comme des menaces sur mon mariage, vers moi.

Après une courte hésitation, je me suis précipité vers la jeune femme et, comme un adolescent en rut, je me suis mis à téter et à suçoter les mamelons de la stagiaire, qui couinait de plaisir sous mes coups de langue.

Nous avions beau être dans son entrée, son lit était à deux pas et, après en avoir retiré quelques peluches qui trainaient là, Lydie m’y fit basculer et, les seins luisants de ma salive, elle entreprit de me déshabiller.

Sucé par la stagiaire !

Moi-même, je ne me souvenais pas d’être capable de bander aussi dur. Alors, imaginez un peu, quand ma bite toute entière disparut entre les lèvres gourmandes de Lydie ! J’ai cru que je n’allais pas pouvoir me retenir, et que j’allais inonder séance tenante la gorge de la blondinette.

J’ai finalement réussi à me calmer et, tandis qu’elle me pompait avec une science qui n’était pas de son âge, je me suis mis à peloter ses gros seins, puis son gros cul, qu’elle avait libéré prestement de sa petite jupe et de son mini-string. Je regardais autour de moi, tout en appréciant la turlutte magique que me prodiguait le stagiaire.

C’était là une chambre de post-ado : des posters sur tous les murs, des peluches sur tous les meubles et des CDs qui trainaient un peu partout sur le sol. J’eus un mouvement de recul. Intriguée, Lydie lâcha un instant ma bite enflée et comprit ce qui se jouait dans ma tête de quadragénaire coupable. Elle vint étaler tout son corps sur le mien, et se fit plus douce, plus tendre et moins salope.

Après tout, c’est elle qui m’avait sauté dessus, et si je lui faisais du bien, je n’avais pas à me poser de questions vis-à-vis d’elle. Nous avons recommencé à nous embrasser comme deux lycéens, pendant qu’elle frottait sur mon érection sa vulve épilée intégralement.

Nous avons fait l’amour comme ça pendant près d’une heure, sans pénétration, jusqu’à ce qu’elle ait raison de moi grâce à une cravate de notaire aussi savante que sa pipe. Mon gland coulissait entre ses deux formidables globes, et se trouvait titillé à chaque passage par le bout de sa langue.

J’ai joui à grands jets sur le visage de Lydie, qui ne chercha même pas à éviter mes éjaculations sur elle. Il fallait que je rentre, vite, ma femme m’attendait à la maison.

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La stagiaire, ma femme et moi, 1ère partie

Lydie la stagiaire promenait ses grosses fesses rondes et sa lourde poitrine dans tout le bureau depuis déjà un mois, et tous mes collègues continuaient à se retourner sur son passage comme si elle venait d’arriver. Moi, en mec marié, amoureux et fidèle, je m’efforçais de ne pas (trop) remarquer la jupe courte et le décolleté plongeant de notre stagiaire.

Je n’avais absolument pas à rougir devant ma femme. Je me tenais à l’écart de toutes les conversations scabreuses et souvent salaces de mes collègues à propos de la bimbo de service qui, de toute façon, avait sans doute 25 ans de moins que moi, normal pour une stagiaire… Dire qu’elle me laissait de marbre aurait été exagéré, c’est certain, mais je résistais dignement et fermement à la tentation.

Ce que je ne pouvais pas savoir, c’est que Lydie allait me harceler sexuellement. Pourquoi moi ? Je l’ignore. Toujours est-il qu’un soir, dans le parking de la boite, ma vie sexuelle allait basculer du tout au tout.

J’étais en train de rentrer, quand une petite voix m’interpella : « Serge, attends-moi s’il te plait ». C’était Lydie. Je ne pus m’empêcher de remarquer, sous la boucle blonde qui descendait jusqu’à sa poitrine que ses tétons pointaient. « Les bus sont en grève, tu pourrais me ramener chez moi, s’il te plait ? ».

 

Comment refuser ce petit service à une collègue, à une jeune femme en détresse et de surcroît, à une telle charmeuse ? Je lui fis signe de s’installer à droite et je pris la direction de la sortie. Après m’avoir indiqué le chemin à emprunter, la jeune blonde s’ouvrit à moi des commentaires qu’elle avait surpris à son sujet, alors qu’elle était aux toilettes.

Elle semblait vraiment peinée par le fait que tous nos collègues rêvaient de la baiser. Je lui dis la vérité : que si elle ne voulait pas faire bander tout le monde, il lui fallait adopter une tenue, si ce n’est plus stricte, en tout cas plus classique. Là, la conversation prit un tour nouveau : « mais toi, je ne vois bien que tu ne me regardes pas comme un morceau de viande, tu n’es pas gay pourtant ? ».

La stagiaire me brancherait-elle ?!?

Non, je n’étais pas gay. Et sa main gauche, qui venait de se poser sur ma cuisse, tout prêt de ma queue, pouvait s’en apercevoir. Je venais d’avoir une érection automatique, le genre de bandaison incontrôlable qui survient sans crier gare. J’ai retiré sa main, gentiment mais fermement.

Lydie n’osa plus rien dire pendant le reste du trajet. Mais, une fois arrivés en bas de chez elle, elle tenta quand même de me proposer de monter boire un verre. Fou que j’étais. J’ai accepté. J’ai garé ma voiture devant chez elle et j’ai emboîté le pas de ma stagiaire dans les longs escaliers qui conduisaient à sa chambrette du septième étage.

Comme hypnotisé par son cul rebondi, mais pas trop large, qui balançait devant moi à chaque marche d’escalier, j’ai suivi la stagiaire jusque devant sa porte. Je ne m’obéissais plus à moi-même. Pourtant, dans un dernier sursaut, juste sur son palier, je lui dis : « non, c’est pas une bonne idée, je vais rentrer ».

La bimbo-stagiaire m’a alors retenu par la main et m’attiré tout contre son corps et a posé ses lèvres sur les miennes…

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Expérience lesbienne à la salle de sport

En un éclair, c’est comme si toute ma vie basculait et que je vive ma première expérience lesbienne. Miranda tend sa main humide vers ma joue, et en balaie une mèche de cheveux qui s’y était collée. Et moi, je reste là, tremblante, l’eau qui continue de ruisseler sur ma peau, comme paralysée.

Elle a bien sûr senti mon trouble, alors elle en profite la garce. Ses doigts descendent de ma joue à mon épaule, frôlent mon sein. Elle sourit encore. Elle a un air doux que je ne lui imaginais pas.

Miranda laisse couler une flaque de gel douche sur sa main et me l’applique sur les épaules. La voilà qui se met à me masser et moi, je reste là, comme la dernière des gourdasses, ne sachant ni que dire, ni que faire, novice en matière de relation lesbienne…

De toute façon, il est trop tard pour reculer, car la belle athlète me savonne maintenant la poitrine. Je vois ses yeux s’embuer. Elle est belle, finalement. Je la scrute longuement, tandis qu’elle fait d’amples mouvements circulaires sur mes seins : au niveau de son mont de Vénus, j’aperçois un joli ticket de métro brun, et je me dis que, à bien y penser, Miranda est toute aussi féminine que moi.

Volupté de l’expérience lesbienne…

Toute à mes pensées, je la laisse se plaquer contre moi. Elle savonne maintenant mes fesses, et nos deux poitrines sont collées l’une contre l’autre. Elle a la peau douce. Et les lèvres aussi. Oui, Miranda m’embrasse. Mon premier baiser lesbien.

Elle continue à me malaxer les fesses. Je décide de faire de même. Son cul est ferme, presque dur, mais sa peau n’est pas du tout rêche, comme je l’aurais penser. Au contraire, elle est veloutée et soyeuse.

Miranda m’embrasse bientôt dans le cou. Je frémis. Je ne m’étais même pas aperçue que les douches s’étaient arrêtées. « Tu as envie ? » me demande-t-elle. Tout à coup, ce n’est plus la femme forte et puissante que j’ai devant moi, mais un corps tremblant de désir, dans l’expectative de ma réponse.

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Oui, j’ai envie. Je veux aller plus loin. Mais pas ici. Je la prends par la main et nous nous dirigeons ensemble vers les vestiaires. Je me rhabille. Elle aussi. Et nous partons chez moi. Là, un tourbillon nous prend. A peine franchie la porte d’entrée que nous nous retrouvons l’une contre l’autre. Nos vêtements volent en tout sens.

Miranda n’a pas ce côté autoritaire que je lui soupçonnais. Tout au contraire : elle est tendre là où je suis lubrique, attentive là où je suis perverse. Mon premier cunnilingus. Je veux dire : le premier que je donne à une autre femme, mon premier de cette expérience lesbienne… Je dévore le bel abricot de ma brunette, tandis qu’elle caresse doucement mes cheveux blonds.

Je ne vais pas vous raconter cette longue nuit d’amour lesbienne dans les détails. Trop de choses nouvelles, trop de sensations inimaginables avant. Ce que je peux dire, c’est que c’est grâce à Miranda que je me suis découverte bisexuelle.

Et même si je n’ai jamais couché de nouveau avec la magnifique culturiste, je lui dois d’avoir éveiller mes sens aux belles femmes androgynes.