Vendeuse de soutifs

Dès ma puberté, je me suis passionnée pour le mode et les accessoires féminins. Avec, d’aussi loin que je me souvienne, une prédilection pour la lingerie fine, que j’ai toujours tenue pour le comble de la féminité. Les jolies dentelles, les formes de soutien-gorges, les différentes façons d’échancrer une culotte m’ont toujours fascinée.

C’est donc tout naturellement que, vendeuse, j’ai essayé d’obtenir des places dans des boutiques spécialisées en lingerie affriolante. Aujourd’hui, j’y suis arrivée : je suis assistante de la directrice d’une boutique dans un des plus beaux quartiers de Paris, boutique de ma marque de dessous féminins préférée.

A la recherche d’un plan cul mateur/voyeur ?

Je suis donc la seconde dans le magasin. La seule haut dessus de moi, c’est Nadège, une super bourgeoise de la quarantaine qui en impose. Port de tête haut, visage rayonnant malgré les premières rides qui commencent à apparaître, phrasé clair et charmant, la belle Nadège a également un atout que je lui envie particulièrement : un magnifique 95D de tour de poitrine.

Car oui, c’est bien là mon drame : passionnée que je suis par les soutifs, je ne fais qu’un pauvre 85A, de tout petits nichons qui n’atteignent que difficilement le bonnet B quand je prends un peu de poids. Bien entendu, j’ai accès à tous les soutien-gorges pigeonnants et autres push-up qui me permettent de faire illusion, mais tout de même : je complexe sur ma petite poitrine.

Des complexes, Nadège n’en a aucun : une vie professionnelle au top, une féminité assumée et joyeuse, un mari canon, friqué et cultivé, ma directrice a tout pour elle. Jamais, d’ailleurs je n’ai rêvé de prendre sa place, tant elle assure, professionnellement parlant. Voilà trois ans que je bosse pour elle, jamais je ne l’ai vue faire la moindre erreur.

Moins aussi je suis une bonne professionnelle, je crois. A part un petit vice caché : il m’arrive très souvent de regarder derrière le rideau quand une belle cliente vient essayer nos dessous. N’y voyez pas malice : j’adore voir une belle lingerie sur un beau corps de femme. Mais, c’est ce que je croyais en tout cas il y a encore une semaine, je suis totalement hétéro.

Il y a une semaine, donc, Nadège me convoque dans son bureau. S’y trouve la directrice, donc, et une amie à elle, cliente régulière du magasin. Toutes les deux me font les gros yeux. « Madame Martin est venue se plaindre de vous, ma petite Jeanne, et je lui en sais gré ». Elle laisse passer un temps, pour profiter de ma déconfiture. « Elle vous accuse de reluquer les clientes dans les cabines d’essayage. Cela est parfaitement inacceptable. Vous êtes un excellent élément, alors expliquez-vous ».

Morte de honte, je bredouille. J’essaie d’expliquer que ça n’a rien de libidineux, juste de l’admiration pour les modèles de la marque et pour les femmes mieux roulées que moi. Pascale, la jeune et svelte cliente, en rougit d’aise. Nadège, quant à elle, semble toujours furibarde. « Alors, vous ne pensez pas à mal ? Et si on vous faisait la même chose ? ». Je reste interdite.

Exhibée devant deux belles femmes

Nadège et Pascale me fixent toutes les deux. Puis, un sourire sadique se dessine sur le visage de ma patronne. « Très bien, alors, essayons ! ». Elle se retourne vers son bureau et trouve un ensemble soutien-gorge string, comme par hasard à ma taille. « Et bien, tenez, essayez, ici et maintenant ».

Terrorisée, je m’exécute et me retrouve en petite tenue devant les deux bourgeoises. Je m’apprête à enfiler le string au dessus de ma culotte, comme c’est l’usage. Mais Nadège voit les choses autrement : « enlevez tout, ça sera plus probant » m’ordonne t-elle. Me voici entièrement nue, avec mes petits seins ridicules, devant ces deux belles plantes qui se rincent l’œil d’un air moqueur.

« Vois-tu, Pascale, c’est le nouveau tissu dont je te parlais, hier, au sauna ». Nadège s’approche de moi et effleure de la paume de la main le soutien-gorge que je viens d’enfiler. Pascale l’imite sans aucune gêne, caressant même mon mont de vénus par dessus le string. Je sens leurs mains partout sur moi, sans que, bientôt, il n’y ait plus besoin de l’alibi du « tissu ».

Et voilà qu’elles m’embrassent un peu partout sur le corps, me pelotent et, finalement, me déshabillent à nouveau. Bientôt, nous sommes toutes les trois nues à nous rouler sur la moquette du bureau. Non seulement je me laisse faire, mais je prends un plaisir insoupçonné à faire l’amour à ces deux femmes. J’aime leur odeur, le satiné de leur peau, leurs formes !

Depuis cet épisode, toutes mes idées sur moi-même se sont envolées. Je ne sais plus très bien qui je suis. J’ai juste envie qu’elles recommencent à abuser de moi, la petite employée modèle, toutes les deux, et le plus tôt possible. Et, désormais, je sais que je m’intéresse autant aux dessous féminins qu’à ce qu’ils renferment de trésors de volupté.

Voyeur mis sur le fait accompli

Un dimanche d’été, un camion de déménagement stationnait devant la maison voisine à la nôtre, inhabitée depuis plusieurs semaines. Sa nouvelle occupante était une mère célibataire de la quarantaine, s’appelant Monique. Je me proposais de mobiliser ma force de jeune homme de 26 ans pour lui donner un coup de main et en profiter pour faire sa connaissance. Plus tard elle me confia qu’elle sortait fraîchement d’un divorce.
Environ deux à trois semaines plus tard, je me rendais chez Monique pour je ne sais plus quelle raison, lorsque je l’aperçu à travers une fenêtre mal couverte par un rideau se promener complètement nue dans le salon. Elle était bien moulée pour une quarantenaire, je me rinçais les yeux ainsi pendant une vingtaine de minutes. En rentrant chez moi, j’avais encore l’image de son corps nue à l’esprit, j’en étais si excité que je dû me branler.
Le jour suivant, à la même heure approximativement, je fis encore le voyeur et par chance, elle était à poil. C’était visiblement une habitude pour elle. Mais cette fois, je voulais voir les choses de plus près, alors je décidais de m’introduire en douce par une fenêtre entrouverte. De l’intérieur, je la matais et c’était dément.

Voyeur ? C’était quasiment devenue un passe temps favori, jusqu’au jour où elle me convoqua chez elle sur un ton impératif. Ça n’augurait rien de bon ! Je sentais bien qu’il y avait un truc qui clochait. Elle m’installa sur un canapé situé en face de celui sur lequel elle était assise, une tablette nous séparait et dessus était posé un ordinateur.
– Mathieu, ça fait combien de temps que tu m’espionne ?
A l’écoute de cette question, je tremblais de peur. En me demandant comment elle a pu le savoir, moi qui prenais toujours soin de n’être vu par personne quand j’accomplissais ma basse besogne.
– Moi, vous espionner, jamais ! Je ne vois pas de quoi vous parlez.
– T’en es sûr ?!
– Oui
– Si tu me dis la vérité, je ne dirais rien à tes parents.
Malgré cela, je décidais de nier tout en bloc. C’est alors qu’elle prit son ordinateur, et me montra plusieurs vidéos de moi en œuvre, filmé par ces caméras de surveillance. Le con, je m’étais fait avoir comme un rat ! Et dire que je n’avais même pas remarqué la présence des caméras. Ces preuves étaient irréfutables, il ne me restait plus qu’à tout avouer et à la supplier de ne le dire à personne.
– Je vous demande pardon de vous avoir reluqué, je ferai tout ce que vous voudrez mais je vous en supplie, ne le dites à personne.
– Tu as bien dit tout ce que je veux ?
– Oui, tout.
– D’abord, j’exige que tu te mettes à poil.

Voyeur pris au piège…

Je m’exécutais sans dire mot, et puis j’estimais que c’était légitime, j’étais le voyeur pris au piège.

– Hum bel engin ! Maintenant, je veux que tu foutes ce sextoy dans le cul.
– Quoi, je trouve que c’est exagéré pour un simple voyeurisme.
– Ok dans ce cas, il ne me reste plus qu’allez montrer les vidéos à tes parents et à quelques voisins.
– D’accord, je vais le faire.

Oh putain, ce gode était énorme et me faisait flipper. Je ne savais pas par où commencer. Mon cul était si petit qu’il n’arrivait pas à se prendre ne fut-ce que le gland. Pendant ce temps, la bonne dame rigolait à pleine dent avant de me dire qu’elle me faisait marcher. Quel soulagement, par contre, elle ôta la robe qu’elle porte, enleva sa petite culotte et m’invita à lui lécher la chatte.
Je me précipitais de lui brouter son minou truffé de poil ; elle en jouissait et hurlait de plaisir. Ces gémissements étaient si audibles que je craignais qu’une personne vienne s’en plaindre. Après cette mise en bouche, je la dézinguais exactement comme je me l’étais imaginé quand je fantasmais sur elle, en la renversant dans tous les sens. Ma queue explorait tous ces orifices sauf son cul, et c’est sur ces mamelles que mon jus de couille finissait sa course.
Depuis cette expérience coquine, Monique et moi sommes ensemble officieusement. C’est ma cougar !