Mon nouveau soumis

Tu es soumis, tu cherches ta maîtresse ?

Je suis ce compte appelle communément une fille libérée. Autant, quand je suis en couple, je suis fidèle et j’en attends autant de mon mec, autant quand je suis célibataire, il m’arrive souvent de draguer et de me laisser draguer dans les bars. Cette histoire m’est arrivée alors que j’étais encore étudiante, l’année dernière.

J’étais dans un bar de nuit avec quelques copines, quand un mec pas très beau s’est approché de moi et à commencer à discuter. Au cours de la soirée, certaines de mes copines m’ont dit que je pouvais quand même dégoter mieux, vu mon physique. Attention, je suis très loin d’être un mannequin : je suis petite, plutôt bien foutue malgré quelques rondeurs, blonde et je dois bien dire que je plais aux garçons.

D’autres de mes amies m’ont convaincue de me laisser tenter par les avances du jeune homme. Après tout, il n’était pas moche non plus, et très sympa, très cultivé, drôle aussi. Tant et si bien qu’à la fin de la soirée, il m’a emmenée chez lui. C’était une chambre d’étudiant, avec un confort spartiate. Un peu saoule, je lui ai demandé s’il pouvait nous faire un café, histoire de nous remettre d’aplomb.

Pendant qu’il s’affairait dans sa kitchenette, je me suis assise sur son lit. Avec mes pieds, j’ai senti une boite à chaussures qui dépassait de dessous. Curieuse, j’ai ouvert et là, j’ai eu une surprise : toute une collection de jeux et d’objets BDSM soft. Attention, rien de glauque : une cravache avec un cœur au bout, un bandeau noir, un plumeau et des tas de trucs dans le même genre.

Je ne me suis pas défilée et quand il est revenu avec les tasses, je lui ai posé des questions sur son attirail. Il a piqué un fard et m’a expliqué qu’il venait de rompre avec sa copine, et qu’elle était fan du fameux bouquin de SM soft qui a fait fureur il y a quelques années. J’en ai rigolé et je lui ai demandé, tout en buvant le café, comment utiliser chacun des objets. En rigolant, on a exploré sa boite à joujoux.

Une boite pleine de sextoys !

Je lui ai avoué que cela m’émoustillait un peu. Il a de nouveau piqué un fard pour me dire que de discuter avec moi l’avait carrément fait bander. Je lui ai dit que je ne le croyais pas. D’un air de défi, il a pris le bandeau noir et l’a mis sur mes yeux. Il s’est levé du lit. Au bout d’un moment, il a pris ma main et l’a posé sur un objet dur et droit, comme un barreau de chaise. J’ai retiré le bandeau : je tenais entre mes doigts sa queue.

Oui, mais quelle queue ! Un membre magnifique, long, épais et droit comme la justice ! J’étais tombée sur un mec qui soutenait ce qu’il avançait. Je l’ai branlé un peu, en souriant et je lui ai dit : « alors monsieur, on bande ? ». Il n’a pas répondu. J’ai poursuivi : « mais c’est interdit de bander aussi dur dès le premier soir ! ».

J’ai pris la petite cravache et j’ai commencé à lui tapoter la queue avec. Puis je suis descendue vers ses couilles que j’ai prises à pleines mains pour les agacer avec le petit cœur. Il a commencé à grogner. « Pardon, maîtresse, je bande sans votre permission » a t-il lancé d’un ton badin.

J’ai fait allongé mon soumis sur son lit, puis j’ai pris le plumeau et j’ai parcouru sa peau avec. Il fut pris d’un fou rire, mais ne débanda pas. Je lui ai passé les menottes et j’ai continué mon petit jeu, en insistant sur son membre fabuleux. J’avais envie de le prendre à pleine bouche, de le sucer, puis de m’empaler dessus.

Soumis mais bon baiseur…

Quand il fut à point, je lui ai mis à son tour le bandeau. Je me suis déshabillée entièrement puis je suis venue poser mon entrecuisse sur sa bouche. My god ! Non seulement il était membré comme un taureau, mais, en plus, il léchait comme personne. J’ai eu l’orgasme le plus rapide de ma vie, l’un des plus profonds aussi. J’ai perdu tout contrôle de moi, au point de manquer de l’étouffer ! Je l’ai laissé comme ça un instant, après avoir repris mes esprits.

Sans rien dire, je suis allée chercher une capote, que j’ai déroulé difficilement sur son énorme engin. J’aurais du penser à la taille XXL ! Puis je suis venue me poser sur sa queue. Je me suis enfilée, centimètre par centimètre, et j’ai failli jouir tout de suite une seconde fois.

J’ai chevauché mon soumis toute la nuit, lui pinçant les tétons, lui donnant des petites gifles, sans jamais lui retirer son bandeau. Maintenant, quand j’ai envie de sa belle bite, je lui laisse un texto et il doit m’attendre comme ça, sur son lit, son bandeau sur le visage.