Dominée par un inconnu

Je suis du genre toujours hésitant quand il faut se lancer dans une aventure un peu hasardeuse. Mais pour la première fois de ma vie, j’avais accepté de me rendre à un rdv coquin avec un mec rencontré sur le net qui dès le départ avait écrit tout en majuscule sur son profil qu’il était un vrai dominateur. Pas le genre qui joue un rôle, lui il l’était vraiment et franchement, tout ça m’excitait vraiment, après tout, j’étais sur ce site de rencontre pour vivre des trucs hors du commun non, ben je pouvais donc pas manquer l’occasion qui se présentait à moi.

> Une expérience SM avec une coquine ? <

Tout était réuni, le mec était beau, costaud, sexy et chacun de ses messages me faisait frémir de plaisir. Il ne me restait plus qu’à me rendre au lieu de rendez-vous, pour pouvoir matérialiser toutes ses phrases excitantes et bandantes qu’il me balançait dans ses messages ou même lors de notre dial coquin par chatcam.
Le samedi, jour et heure du rendez-vous, je m’étais retrouvé guidé par mes envies et ma curiosité sur la rue des Bouchers, devant un resto dont j’ai oublie le nom, à Lille. C’était là le lieu du rendez-vous. Il était là, debout, me regardant déjà avec des yeux gourmands, comme un lion ou presque. Alors que je croyais qu’on allait se diriger dans ce beau resto, il me saisit direct par le bras et me dit  » on y va « . On aurait dit qu’à la minute ou il me disait ces quatre petits mots, j’avais moi-même choisi d’être soumise à lui, motivée pour faire tout ce qu’il désirait. C’est clair, Ce mec avait carrément de l’emprise sur moi, pas seulement moi, sans doute avec pas mal de meufs qui se sont surement succédées chez lui.

Après 10 minutes de marche rapide, on était enfin dans les escaliers qui menaient chez lui. Il s’arrêta brusquement et me somma de me mettre à poil. Sans dire un mot, j’exécutais nonchalamment à son ordre, mais lui ne l’entendait pas de cette oreille. Il se dépêchait de me déchirer mon string, puis en quelques seconde, ouvrait sa porte et me poussait brusquement dedans tandis qu’il s’enfonçait dans une autre pièce. Incroyable, j’étais dans la maison d’un parfait inconnu, totalement à poil. Quelques minutes plus tard, il ressortait avec une laisse pour chien qu’il me mit au cou. Puis d’un air autorité, me tirait comme une vulgaire chienne dans sa chambre. Le décor était incroyable, une lumière rouge, des sextoys et bâillon sur le lit. C’est comme si un mélange de peur et de plaisir se bousculait dans mon ventre. J’étais moi-même impatiente de découvrir la suite.

Il me dilate les trous à fond !

Tout ce que le peux dire, c’est que la suite ne se raconte pas, mais ça se vit. Ce mec m’a dilaté la chatte et l’anus comme jamais auparavant. Ce jour là, je me suis laissé introduire dans la chatte et dans l’anus des objets longs et gros, des tailles que je n’avais jamais imaginer pouvoir supporter dans mes orifices. Le double dong m’a particulièrement marqué… Ces deux extrémités enfoncés dans mes deux trous bien dilatés, hmmmm…
Tout me plaisait : la douleur, les insultes, l’extrême et même la sensation que produisait ce collier qui m’étranglait légèrement quand il tirait sur la corde. Et que je n’en pouvais pouvais plus, il me demanda de le supplier de me baiser. Je m’accrochais à ses jambes, lui lançant des  » Julien baise moi, Julien baise « , mais il ne le fit pas. Tout ça me rendait encore plus fou. J’avais envie de voir et de toucher sa bite, mais il me dit que je ne le méritais pas encore, que c’était pour la prochaine fois, le samedi prochain. Bizarrement, sur le coup tout ça me semble correct, j’actais toute  » oui  » à l’idée de revenir le samedi prochain vivre un plaisir aussi un intense avec cette fois la récompense de voir Julien toute nue, peut être même plus, le plaisir se faire péter la chatte par ce mec peu bavard et dominateur dans tous les sens des termes.
J’ai vraiment adoré le premier week-end passé avec Julien, mais le samedi qui a suivi était encore meilleur, mais c’est notre toute première rencontre que j’aime bien raconter. Je ne me fatigue jamais de raconter cette histoire à toutes mes copines…

Nounou prise pour cible par un papa sadomaso

Tu cherches une rencontre hard avec une JF de ta région ?

A l’époque où j’étais étudiante, j’arrondissais mes fins de mois en faisant du nounou et l’escorte girl quand cela était nécessaire, parfois les deux.
Un soir, je reçus une proposition de nounou d’un père célibataire dans le 16ème arrondissement qui devait s’absenter pour la nuit.
Je prenais mon service de nounou à 20 h et nous avions à peine échangé car il semblait en retard à sa soirée.

En rentrant vers deux heures du matin, son rejeton était endormi, lui était sous l’effet de l’alcool mais conscient de ses actes. Au lieu de rentrer chez moi de suite, je fis le choix de rester pour le séduire histoire de faire d’une pierre deux coups. Je fis exprès d’entamer une discussion sur le sexe qui me révéla qu’il n’avait pas touché de femme depuis au moins quatre mois. Ce qui me laissait penser qu’il devait être en manque.
Telle une fauve à l’affût de sa proie, je m’approchais de lui de sorte à ce qu’il n’y ait plus de distance, je créais ensuite un contact physique avant de l’embrasser.
Ce baiser nous poussa à aller loin, très loin, en moins de cinq minutes, j’avais son pénis au fond de la gorge. Il me demanda réellement si j’avais envie de faire l’amour avec lui avant de m’intimer de le suivre à sa chambre.

De nounou à esclave sexuel

Il sortit d’un placard, un sac de sport dans lequel il y avait un nombre incalculable d’accessoires sadomaso. Et me dit :
– Maintenant nous allons faire les choses à ma façon petite chienne.
Je ne vous cache pas que je flippais un max car si je n’avais que peu d’expériences comme nounou, j’en avais encore moins dans le sexe SM, et l’air autoritaire qu’il arborait me foutait les jetons. Mais ce fût le prix à payer pour ma provocation, il fallait que je l’assume.
Il me fit asseoir sur une chaise, m’attachais les mains dans le dos, et les pieds aux pieds de la chaise. Je ne pouvais pas bouger. Au visage il me porta une sorte de masque qui avait pour but de maintenir ma bouche grande ouverte. Dès qu’il eut terminé, il se branlait la teub pour la faire durcir et quand elle atteignit sa taille maximale, il se mit à me désarçonner la bouche. Son sexe arrivait au fond de ma gorge et je perdais mon souffle à chaque coup de bites violent qu’il me portait. Malgré mes agitations pour lui faire comprendre qu’il allait trop fort, ce gros matons, n’en faisait pas cas, il me mettait bien profond et avec une violence incroyable. A ces yeux, je n’étais désormais qu’une esclave !

La nounou s’en prend plein les trous

Après avoir morflé un max à la pipe sauvage, j’allais ensuite avoir droit à la pluie de cire de bougie sur le torse, c’était une sensation agréable. A la suite de cela, il m’attacha à nouveau d’une manière si compliqué que je ne pourrais correctement la décrire, mais je sais juste que je me suis retrouvé les avant-bras attaché aux cuisses avec les jambes ouvertes de sorte à ne pas pouvoir se fermer même si je le voulais.
Dans cette position de soumission, j’allais encaisser une série de cravache sur le popotin, elle était plus ou moins douloureuse, heureusement qu’il avait pris soin de me bâillonner, car mes hurlements se seraient fait entendre à des kilomètres.
Il m’enfila un plug anal dans le cul et se mit à me l’enfoncer à sa guise. Des minutes plus tard, il me défonçait la chatte avec un vibromasseur, avant de le remplacer par sa bite qui allait me fourrer brutalement au point de m’en laisser des lésions vaginales importantes.
Le traitement infligé par ce bourreau me fit couler des larmes à certain moment, néanmoins j’en éprouvais un plaisir intense. Il me fit ensuite avaler tout son sperme jusqu’à la dernière goutte.
Il me paya généreusement…le corps tout endolori, je me tapais un petit roupillon chez lui avant de m’en aller en douce comme une nounou bien obéissante…