Nounou prise pour cible par un papa sadomaso

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A l’époque où j’étais étudiante, j’arrondissais mes fins de mois en faisant du nounou et l’escorte girl quand cela était nécessaire, parfois les deux.
Un soir, je reçus une proposition de nounou d’un père célibataire dans le 16ème arrondissement qui devait s’absenter pour la nuit.
Je prenais mon service de nounou à 20 h et nous avions à peine échangé car il semblait en retard à sa soirée.

En rentrant vers deux heures du matin, son rejeton était endormi, lui était sous l’effet de l’alcool mais conscient de ses actes. Au lieu de rentrer chez moi de suite, je fis le choix de rester pour le séduire histoire de faire d’une pierre deux coups. Je fis exprès d’entamer une discussion sur le sexe qui me révéla qu’il n’avait pas touché de femme depuis au moins quatre mois. Ce qui me laissait penser qu’il devait être en manque.
Telle une fauve à l’affût de sa proie, je m’approchais de lui de sorte à ce qu’il n’y ait plus de distance, je créais ensuite un contact physique avant de l’embrasser.
Ce baiser nous poussa à aller loin, très loin, en moins de cinq minutes, j’avais son pénis au fond de la gorge. Il me demanda réellement si j’avais envie de faire l’amour avec lui avant de m’intimer de le suivre à sa chambre.

De nounou à esclave sexuel

Il sortit d’un placard, un sac de sport dans lequel il y avait un nombre incalculable d’accessoires sadomaso. Et me dit :
– Maintenant nous allons faire les choses à ma façon petite chienne.
Je ne vous cache pas que je flippais un max car si je n’avais que peu d’expériences comme nounou, j’en avais encore moins dans le sexe SM, et l’air autoritaire qu’il arborait me foutait les jetons. Mais ce fût le prix à payer pour ma provocation, il fallait que je l’assume.
Il me fit asseoir sur une chaise, m’attachais les mains dans le dos, et les pieds aux pieds de la chaise. Je ne pouvais pas bouger. Au visage il me porta une sorte de masque qui avait pour but de maintenir ma bouche grande ouverte. Dès qu’il eut terminé, il se branlait la teub pour la faire durcir et quand elle atteignit sa taille maximale, il se mit à me désarçonner la bouche. Son sexe arrivait au fond de ma gorge et je perdais mon souffle à chaque coup de bites violent qu’il me portait. Malgré mes agitations pour lui faire comprendre qu’il allait trop fort, ce gros matons, n’en faisait pas cas, il me mettait bien profond et avec une violence incroyable. A ces yeux, je n’étais désormais qu’une esclave !

La nounou s’en prend plein les trous

Après avoir morflé un max à la pipe sauvage, j’allais ensuite avoir droit à la pluie de cire de bougie sur le torse, c’était une sensation agréable. A la suite de cela, il m’attacha à nouveau d’une manière si compliqué que je ne pourrais correctement la décrire, mais je sais juste que je me suis retrouvé les avant-bras attaché aux cuisses avec les jambes ouvertes de sorte à ne pas pouvoir se fermer même si je le voulais.
Dans cette position de soumission, j’allais encaisser une série de cravache sur le popotin, elle était plus ou moins douloureuse, heureusement qu’il avait pris soin de me bâillonner, car mes hurlements se seraient fait entendre à des kilomètres.
Il m’enfila un plug anal dans le cul et se mit à me l’enfoncer à sa guise. Des minutes plus tard, il me défonçait la chatte avec un vibromasseur, avant de le remplacer par sa bite qui allait me fourrer brutalement au point de m’en laisser des lésions vaginales importantes.
Le traitement infligé par ce bourreau me fit couler des larmes à certain moment, néanmoins j’en éprouvais un plaisir intense. Il me fit ensuite avaler tout son sperme jusqu’à la dernière goutte.
Il me paya généreusement…le corps tout endolori, je me tapais un petit roupillon chez lui avant de m’en aller en douce comme une nounou bien obéissante…

Ma femme est masochiste !

En recherchant une page web que j’avais consultée la veille sur mon moteur de recherche, j’ai découvert, via l’historique de navigation, une longue liste de vidéos porno à caractère masochiste. La plus récente avait été regardée une heure plutôt. J’entrepris alors de remonter plus loin dans l’historique. Quel ne fut pas ma surprise de voir ces vidéos porno, précisément masochiste, se succéder par centaines.

Le secret intime de ma femme…

La personne qui les avait regardées avait visiblement un penchant pour le sexe SM. Je n’avais aucun doute sur son identité. Ma femme était toute désignée car nous n’étions que deux à partager cet ordinateur, qui en plus était verrouillé par un mot de passe dont nous étions les seuls à connaître.
Cette découverte me permit de mieux comprendre les petits changements de ma femme quand nous faisions l’amour. D’abord, elle aimait qu’on fasse l’amour plus souvent d’une manière pour le moins vigoureuse. Ensuite, elle avait pris l’habitude de me demander de lui donner des fessées, de la tenir fermement par le cou, jusqu’à frôler l’étranglement, et de la niquer avec frénésie.

Rencontre des femmes soumises à dominer…
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Après avoir découvert le penchant maso d’Eliane, c’est ainsi que s’appelle mon épouse, je n’allais pas rester sans rien faire. J’allais lui offrir l’opportunité de vivre cette expérience. Je me suis renseigné sur internet pour trouver une sorte de guide masochiste pour débutant. J’avais à présent une idée précise de ce qu’il fallait faire pour réussir cette première expérience fétichiste. En gros, il me fallait quelques accessoires, que j’achetais via internet à savoir : une paire de menottes en cuir, un fouet, une corde de bondage et un bâillon.

Ma femme ? Une salope masochiste !

Je reçus les articles que j’avais commandés sur internet deux jours plus tard. Je pouvais maintenant mettre mon plan pervers à exécution. Il était prévu pour le soir même. Mais, il restait encore un détail à peaufiner : le scénario. Je décidais de m’inspirer du scénario d’une des vidéos maso que j’avais regardée. En gros le scénario consistait à créer un faux problème, piquer une crise de colère et la châtier ensuite à l’aide de mon artillerie fraîchement acquis. Ce soir, Eliane rentra une heure plus tard qu’à son habitude, c’était là un bon motif pour causer mon faux problème.

– D’où sors-tu à pareille heure ?
– J’étais chez Carine (son amie).
– Pourquoi ne m’as-tu pas informé que tu irais chez elle.
– Quoi ça te pose un problème ?
– Oui ! Je n’aime pas que tu te pavanes. D’ailleurs qu’est ce qui me prouve que tu étais vraiment avec Carine. Tu pourrais très bien revenir de chez ton amant.
– Pardon !? Es-tu en train d’insinuer que je te trompe ? ça fait 20 ans que nous sommes mariés et tu doutes encore de ma fidélité pour toi.
– J’ai des raisons de douter de toi, depuis un moment tu as des allures de putes au lit.
Parle-moi sur un autre ton !
– Je te parle comme je veux salope !
– Je m’en vais, je ne peux pas accepter que tu me traites comme une moins que rien. Tu n’es qu’un sale con !
– Tu n’iras nul part, lui dis-je en empoignant fermement sa bouche à l’aide de ma main droite tout en lui jetant un regard colérique.
Elle se débattait en vain et hurlait que je la laisse tranquille. Pas question, tu mérites une punition pétasse ! Et là, je déchirais de mes mains la robe qu’elle portait. Je la traînais ensuite par les cheveux jusqu’à notre chambre. Elle pleurait à chaudes larmes, et je m’empressais de la bâillonner pour ne plus avoir à entendre ces cris. Puis, je pris une paire de ciseaux pour déchiqueter sa petite culotte et le soutient-gorge qui lui collait les nibards. Lasse de se défendre, elle se laissa faire. C’est à ce moment que je la menottai avant de l’attacher par les pieds, tout juste à la hauteur des tibias.

Je la transforme en chose sexuelle

Une fois immobilisée, je l’orientai sur le rebord du lit, sur le ventre, pour avoir libre accès à ses fesses qui devaient subir une bonne série de fessées et de coups de fouets.
J’enlevais ensuite son bâillon et le remplaça par ma bite. Ne pouvant se servir de ses mains, c’était à moi de contrôler la pénétration, j’avais choisis de lui en faire baver un max. Je poussais sans retenu ma queue au fond de sa gorge, la salive dégoulinait en grande quantité, elle coulait des larmes et transpirait à grosses gouttes.
Après la bouche, je me rabattais sur sa chatte que je défonçais tout en claquant ses fesses déjà bien rougies par la fessée qu’elle avait précédemment reçue. Ma manière de la pénétrer lui faisait visiblement très mal puisqu’elle criait et pleurait. C’était le but recherché ! J’allais m’empresser de vider mon foutre sur son visage et dans ses cheveux, chose que je n’avais jamais fait !
C’était une belle expérience, ma femme l’a bien prise après que je lui aie expliqué mes motivations. Depuis on pratique le bondage régulièrement.

Soirée BDSM en club libertin

Par Katia, 29 ans.

Nous avions été engagés par un site de rencontres échangistes pour réaliser des reportages incognitos dans des clubs libertins à travers la France. Nous devions repéré des soirées hors-du-commun et les raconter à nos lecteurs. Seulement, le récit de cette soirée spécifique a été censuré par la direction du site, parce que trop hard : une soirée BDSM en club libertin…

La scène se passe dans un club-sauna du département du Jura, dans une petite ville de Franche-Comté. Là, se tient une fois par mois une soirée à thème BDSM. L’un comme l’autre, nous avions déjà assisté à ce genre de soirées : pas de quoi fouetter un chat, sans mauvais jeux de mots.

Nous sommes venus en respectant le dress-code : tenue vinyle provocante pour moi, vêtements noirs pour lui. Nous avons l’habitude, pour ce genre de missions, d’arriver très tôt, histoire de voir les convives s’installer les uns après les autres. Nous papotons un instant avec la barmaid, une belle plante brune aux formes généreuses, aussi joviale que sexy.

Et le défilé a commencé : là, un homme vêtu d’un superbe T-shirt au milieu duquel étaient floquées les initiales SM, là, une femme qui tenait son mari en laisse, quelques hommes seuls, puis à nouveau des couples, comme on en voit dans tous les clubs échangistes.

Il a fallu attendre un moment avant que les « hostilités » ne démarrent vraiment. Mais quel choc ça a été ! Avant même que nous ayons eu le temps de réaliser, la jolie barmaid avait été remplacée à son poste et était en train de torturer un homme attaché à la croix de Saint-André, tandis qu’un autre des célibataires, entièrement nu, lui servait, selon ses humeurs, de tabouret ou carrément de marche-pied (attention aux talons aiguilles!).

Au bar, justement, un homme avait mis sa compagne cul nu. Il lui avait retiré le rosebud qu’elle portait, planté dans son anus, et il offrait sa soumise à tout ceux qui voulaient la sodomiser. Dans une petite pièce isolée, une maîtresse domina, avait fait s’allonger une femme sur le dos, et deux hommes sur le ventre, sur un lit habituellement utilisé par les couples échangistes pour partouzer.

La dame, une maîtresse-femme de la cinquantaine, jouait comme une diablesse de la cravache sur le dos et les fesses des messieurs ainsi que sur les seins de la soumise, le tout sous le regard incrédule des curieux dont nous faisions parti.

C’est alors qu’un couple nous a approchés. Une belle petite meuf, 1m60 maximum, blonde comme les blés, nous offrait les services « linguistiques » de son soumis. Autrement dit, elle me proposait de me mettre à l’aise pour qu’il me lèche à volonté. Amusée, j’ai accepté. Et l’esclave sexuel savait y faire, je vous prie de me croire. Il m’a fait jouir très vite, sous les insultes et les menaces de sa dominatrice. Puis il est allé s’occuper d’une autre libertine.

J’étais chaude, mon chéri aussi. Quand nous avons remarqué un couple que nous avons déjà croisé dans un autre club coquin, lors d’une soirée plus traditionnelle. Ce soir là, elle était sa chose. Il nous l’a offerte.

Il l’a d’abord attachée à une autre croix de St-André, nue, offerte. Nous avons joué longuement avec ses gros seins. Mon mec était plus timide que moi, puisque je me suis surprise à pincer fortement ses tétons, scrutant son regard pour y déceler les traces de sa douleur. Je n’étais plus moi-même.

Envoutée par le démon du BDSM

La barmaid, voyant la scène, m’a proposé un gode-ceinture, dont elle a ensuite harnaché ma taille nue. Elle y a placé un préservatif et on a fait se mettre à quatre pattes la soumise. C’était la première fois que je baisais une autre femme. Je l’ai tringlée en levrette, tandis que mon homme lui plantait sa tige en fond de gorge.

Prise de je ne sais quelle pulsion sadique, je me suis mise, tout en la baisant, à lui envoyer une volée de claques sur les fesses. Elle hurlait, je ne sais si c’était de douleur, de honte, ou de plaisir tout simplement. Des dizaines de voyeurs, hommes et femmes, regardaient sa déchéance, alors que son homme lui cinglait le dos de coups de martinet aussi précis que cruels.

Rarement, dans ma vie de libertine, je n’ai autant pris mon pied que ce soir-là. Un drôle de sentiment, une étrange sensation. C’était comme si quelque chose remontait en moi, quelque chose d’assez malsain, mais de terriblement jouissif. Je possédais cette femme et je la faisais jouir de ma cruauté. Un démon BDSM s’était emparé de moi.