Je me prénomme Henri, j’ai 55 balais, je vis à Paris et je ne suis ni moche, ni beau. Disons que l’âge m’a fait pousser une bonne bedaine et ne m’a pas aidé à bander plus dur, si vous voyez ce que je veux dire. J’ai pourtant eu la chance de baiser une vedette de la télévision, une jeune et belle journaliste/animatrice dont je tairai ici le nom mais que vous reconnaîtrez peut-être.
Tout juste ce que je peux vous dire est que cette coquine, sous des faux-airs de sainte-nitouche, s’est faite prendre une fois à jouer plus que de coutume, pour une journaliste, de ses charmes. Bref, maintenant, elle est chroniqueuse dans une émission très regardée, qui bat régulièrement les scores d’audimat.
Donc, à l’époque où ma journaliste officiait sur une grande chaîne d’information, j’avais été invité pour commenter un sujet que je connais, de par ma vie professionnelle. J’ai été très agréablement d’être surpris par L. – appelons-la comme ça – pour préparer l’interview.
Quand je suis arrivé, L. était en train de sa faire maquiller. Elle était très séduisante, d’autant qu’elle portait un petit haut qui lui faisait, dès qu’elle se penchait, un magnifique décolleté. Elle n’a pas pu ne pas voir que je louchais comme un pervers dedans, et je crois même qu’elle m’a souri à ce propos.
Après le maquillage, quelques minutes avant la prise d’antenne, elle m’a donc posé quelques questions sur mon boulot, et sur le fait divers dont il était question. Elle se tenait assise, face à moi et ne cessait de croiser et de décroiser les jambes, me laissant voir subrepticement son entrecuisse. Je me demandais si elle avait une culotte, ce qui ne me paraissait pas certain.
Puis, nous sommes allés en plateau. La journaliste s’est montrée très sérieuse, très à l’écoute, bien que peu informée de la réalité de ce dont elle parlait. Ainsi, elle m’a ensuite demandé de rester un peu après le direct, pour l’éclaircir sur quelques points.
J’ai donc attendu une heure dans sa loge, jusqu’à ce qu’elle rende l’antenne. Elle m’a rejoint dans ce lieu confiné, et pourtant très bien équipé. Elle était en sueur, sa peau brune brillait de transpiration. J’ai même aperçu une goutte qui s’échappait, coulant entre ses deux seins ronds. J’étais toute ouïe et tout disposé à répondre à toutes ses questions.
Elle s’est d’abord plainte d’avoir à animer un débat sur les nouvelles formes de sexualité : « ces salauds, ils me donnent ça à traiter depuis qu’ils savent que je suis un peu cochonne ! ». Je n’en croyais pas mes oreilles. « Un peu cochonne » ! Elle était en train de m’allumer ou quoi ?
Comme si ça ne suffisait pas, elle s’est levée de sa chaise, après s’être déshabillée. « Je n’en peux plus de ces spotlights, regardez-moi ça, je suis en nage… ». Tu parles que je voyais ! Son petit haut, sous l’effet de la transpiration, était tout collé à sa peau, moulant les deux pommes qui lui servaient de seins d’une manière tout à fait indécente.
Et ni une, ni deux, voilà L. qui retire carrément son haut. L’animatrice se retrouve en soutif, là, devant moi ! « Où en étions-nous ? » me demande t-elle, plongeant son regard sombre dans le mien, qui avait bien du mal à ne pas descendre sous la ligne d’épaules. « Ah oui ! » et elle a repris la conversation là où nous l’avions laissée, sans même penser à remettre une tenue plus correcte.
Mon sang n’a fait qu’un tour ! Je me suis précipité sur elle : c’était sûr, elle m’allumait, elle allait voir ce qu’elle allait voir. Loin d’être choquée, la petite salope s’est mise à me susurrer dans l’oreille : « oui, tu vas me baiser vieux salaud, mais ne fais pas trop de bruit, j’ai peur qu’on nous surprenne ». S’il n’y avait que ça pour lui faire plaisir…
L’animatrice est toute chaude !
Son soutien-gorge a volé, découvrant deux jolis nibards tout ronds, assez mats, avec un joli grain de beauté tout en haut. Je les ai pris un par un dans ma bouche, depuis le temps que sa poitrine me faisait bander, tant à la télé que dans la réalité.
Elle s’est posée sur ma bite, qu’elle avait sortie de sa braguette, et l’a enfoncée en elle. Elle n’avait effectivement pas de culotte. C’est ainsi qu’elle s’est mise à bouger en tout sens, jouant avec ma queue au fond de sa chatte, tandis que je tétais avec plaisir et délectation ses deux nibards.
Et elle qui ne voulait pas que je fasse trop de bruit s’est mise à brailler comme une chienne, en tortillant furieusement du cul sur ma bite dressée comme jamais. Bilan, quand je suis ressorti de sa loge, après m’être maladroitement rhabillé, toute la rédaction me regardait avec un drôle de sourire aux lèvres. Tout le monde avait compris que j’avais sauté l’animatrice vedette.