Je suis devenue une chienne servile

Je n’ai jamais été portée sur les choses du sexe. Pour tout dire, il y a peu, j’étais même franchement coincée et je crois que, d’une certaine manière, je le suis toujours, à ma façon. Mais depuis que j’ai rencontré Thomas, les choses ont tout de même bien changé.

D’abord la rencontre. Improbable. J’étais tranquillement assise dans le métro, où je lisais un livre sans trop prêter attention à ce qui se passait à côté de moi. Tout à coup, j’ai senti une main se poser sur ma cuisse. Au début, j’ai cru à une maladresse, mais la pression des doigts de l’inconnu se faisait de plus en plus franche.

Je me suis tournée vers l’importun : un jeune homme noir, ou plutôt métis, d’au moins quinze ans mon cadet. Non seulement il me pelotait, mais il ne faisait aucun effort pour dissimuler sa manœuvre. Tout au contraire…

Quand j’ai voulu, d’un air sévère, retirer sa main de ma cuisse, il m’a souri. Tout simplement. Puis il a reposé sa main d’autorité sur ma cuisse, un peu plus haut, presque à hauteur de mes parties intimes. Je ne saurais dire pourquoi, mais je l’ai laissé faire. Pendant tout le voyage, il m’a peloté la cuisse, aux vues et aux sus de tous les autres passagers de la rame.

Tout cela aurait pu en rester là. Mais voilà : à mon retour à la maison, j’ai trouvé dans une de mes poches un mot, avec un numéro de téléphone dessus. Et plutôt que de raconter ma mésaventure à mon mari, j’ai choisi de ne rien lui dire.

Le lendemain, à la première occasion, j’ai rappelé l’inconnu.

« Allô, ici Thomas, j’écoute ». J’ai bredouillé quelque chose d’incompréhensible. Mais il a tout de suite saisi : « ah ! C’est toi la salope qui se fait peloter dans le métro ! ». J’ai raccroché… Puis j’ai rappelé. Thomas m’a fixé un rendez-vous, en fin de journée, près du dernier métro de La Courneuve.

Là non plus, je ne saurais dire pourquoi, mais j’y suis allée. J’ai prétexté une réunion de dernière minute pour m’excuser auprès de mon mari, et je me suis rendue à l’adresse que Thomas m’avait indiquée. Et il m’y attendait de pied ferme.

A peine entrée, il a exigé de moi que je me déshabille entièrement. J’avais très honte de moi, de mon corps de quadragénaire face à ce jeune homme bien bâti et assez séduisant. Puis il m’a fait m’installer sur ses genoux à plat ventre. La fessée a commencé.

Il me transforme en vraie chienne…

J’ai hurlé de douleur à chaque claque que ses grandes mains comme des battoirs m’infligeaient. Mais je n’avais encore rien vu. Il a saisi un ustensile (j’ai su plus tard qu’il s’agissait d’un < hraf="http://sexshop.sexe-extreme-sexe.com/sex-shop/categories/7050/fouets_cravaches.html" target="_blank">paddle, un jouet SM que Thomas collectionne) percé de trou dont il s’est servi pour me faire encore plus mal. Et moi, je suis restée là, les fesses rouges, à encaisser les coups de ce sadique.

Il a porté ensuite ses doigts vers mon sexe. « Tu as la chatte toute mouillée, chienne, qui t’a permis de te faire plaisir comme ça. Tu es ma chose et rien d’autre ». Et il a recommencé à me fesser. Après une demi-heure – autant dire une éternité – de ce traitement, il m’a fait me mettre à genoux devant lui.

Il a sorti son sexe de sa braguette. J’ignorais qu’il existait des pénis aussi énormes : large autant que long, parcouru de centaines de veine qui lui donnaient une allure de monstre. Il a pincé mon mot, de sorte que je sois contrainte d’ouvrir la bouche, et s’est insinué en moi, de plus en plus profond, jusqu’à ce que ma gorge soit saisie d’un réflexe de vomissement.

Je n’ai pas vomi (heureusement, j’aurais sans doute été un peu plus punie), mais la main droite de Thomas s’est abattue sur ma joue : « pompe, salope, tu es là pour ça ». Il m’a littéralement, pour reprendre ses mots, baisé la gorge. Tout en maltraitant mes seins, cela va de soi. A aucun moment il ne s’est préoccupé de mon plaisir, et j’ai aimé ça comme une vraie chienne…

Quand il a fini par jouir, je ne me suis pas posée de questions, j’ai tout avalé. Puis je me suis redressée, j’ai essuyé les larmes qui coulaient de mes yeux et je me suis rhabillée. Puis, au moment où je franchissais sa porte, Thomas m’a dit : « maintenant, je sais où te joindre, chienne, tu viendras me servir quand j’en aurai envie ».

Je l’avais appelé sans prendre le temps d’anonymiser mon numéro. Je me sentais prisonnière. Et pour tout dire, plutôt heureuse de l’être. Thomas, mon amant et maître, avait su me donner les prétextes de ma propre soumission, la capacité psychologique d’accepter ma propre dépravation.

Il me somme de le rejoindre désormais plusieurs fois par mois et j’accours comme un véritable chienne servile…

Ma femme est masochiste !

En recherchant une page web que j’avais consultée la veille sur mon moteur de recherche, j’ai découvert, via l’historique de navigation, une longue liste de vidéos porno à caractère masochiste. La plus récente avait été regardée une heure plutôt. J’entrepris alors de remonter plus loin dans l’historique. Quel ne fut pas ma surprise de voir ces vidéos porno, précisément masochiste, se succéder par centaines.

Le secret intime de ma femme…

La personne qui les avait regardées avait visiblement un penchant pour le sexe SM. Je n’avais aucun doute sur son identité. Ma femme était toute désignée car nous n’étions que deux à partager cet ordinateur, qui en plus était verrouillé par un mot de passe dont nous étions les seuls à connaître.
Cette découverte me permit de mieux comprendre les petits changements de ma femme quand nous faisions l’amour. D’abord, elle aimait qu’on fasse l’amour plus souvent d’une manière pour le moins vigoureuse. Ensuite, elle avait pris l’habitude de me demander de lui donner des fessées, de la tenir fermement par le cou, jusqu’à frôler l’étranglement, et de la niquer avec frénésie.

Rencontre des femmes soumises à dominer…
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Après avoir découvert le penchant maso d’Eliane, c’est ainsi que s’appelle mon épouse, je n’allais pas rester sans rien faire. J’allais lui offrir l’opportunité de vivre cette expérience. Je me suis renseigné sur internet pour trouver une sorte de guide masochiste pour débutant. J’avais à présent une idée précise de ce qu’il fallait faire pour réussir cette première expérience fétichiste. En gros, il me fallait quelques accessoires, que j’achetais via internet à savoir : une paire de menottes en cuir, un fouet, une corde de bondage et un bâillon.

Ma femme ? Une salope masochiste !

Je reçus les articles que j’avais commandés sur internet deux jours plus tard. Je pouvais maintenant mettre mon plan pervers à exécution. Il était prévu pour le soir même. Mais, il restait encore un détail à peaufiner : le scénario. Je décidais de m’inspirer du scénario d’une des vidéos maso que j’avais regardée. En gros le scénario consistait à créer un faux problème, piquer une crise de colère et la châtier ensuite à l’aide de mon artillerie fraîchement acquis. Ce soir, Eliane rentra une heure plus tard qu’à son habitude, c’était là un bon motif pour causer mon faux problème.

– D’où sors-tu à pareille heure ?
– J’étais chez Carine (son amie).
– Pourquoi ne m’as-tu pas informé que tu irais chez elle.
– Quoi ça te pose un problème ?
– Oui ! Je n’aime pas que tu te pavanes. D’ailleurs qu’est ce qui me prouve que tu étais vraiment avec Carine. Tu pourrais très bien revenir de chez ton amant.
– Pardon !? Es-tu en train d’insinuer que je te trompe ? ça fait 20 ans que nous sommes mariés et tu doutes encore de ma fidélité pour toi.
– J’ai des raisons de douter de toi, depuis un moment tu as des allures de putes au lit.
Parle-moi sur un autre ton !
– Je te parle comme je veux salope !
– Je m’en vais, je ne peux pas accepter que tu me traites comme une moins que rien. Tu n’es qu’un sale con !
– Tu n’iras nul part, lui dis-je en empoignant fermement sa bouche à l’aide de ma main droite tout en lui jetant un regard colérique.
Elle se débattait en vain et hurlait que je la laisse tranquille. Pas question, tu mérites une punition pétasse ! Et là, je déchirais de mes mains la robe qu’elle portait. Je la traînais ensuite par les cheveux jusqu’à notre chambre. Elle pleurait à chaudes larmes, et je m’empressais de la bâillonner pour ne plus avoir à entendre ces cris. Puis, je pris une paire de ciseaux pour déchiqueter sa petite culotte et le soutient-gorge qui lui collait les nibards. Lasse de se défendre, elle se laissa faire. C’est à ce moment que je la menottai avant de l’attacher par les pieds, tout juste à la hauteur des tibias.

Je la transforme en chose sexuelle

Une fois immobilisée, je l’orientai sur le rebord du lit, sur le ventre, pour avoir libre accès à ses fesses qui devaient subir une bonne série de fessées et de coups de fouets.
J’enlevais ensuite son bâillon et le remplaça par ma bite. Ne pouvant se servir de ses mains, c’était à moi de contrôler la pénétration, j’avais choisis de lui en faire baver un max. Je poussais sans retenu ma queue au fond de sa gorge, la salive dégoulinait en grande quantité, elle coulait des larmes et transpirait à grosses gouttes.
Après la bouche, je me rabattais sur sa chatte que je défonçais tout en claquant ses fesses déjà bien rougies par la fessée qu’elle avait précédemment reçue. Ma manière de la pénétrer lui faisait visiblement très mal puisqu’elle criait et pleurait. C’était le but recherché ! J’allais m’empresser de vider mon foutre sur son visage et dans ses cheveux, chose que je n’avais jamais fait !
C’était une belle expérience, ma femme l’a bien prise après que je lui aie expliqué mes motivations. Depuis on pratique le bondage régulièrement.

Soirée BDSM en club libertin

Par Katia, 29 ans.

Nous avions été engagés par un site de rencontres échangistes pour réaliser des reportages incognitos dans des clubs libertins à travers la France. Nous devions repéré des soirées hors-du-commun et les raconter à nos lecteurs. Seulement, le récit de cette soirée spécifique a été censuré par la direction du site, parce que trop hard : une soirée BDSM en club libertin…

La scène se passe dans un club-sauna du département du Jura, dans une petite ville de Franche-Comté. Là, se tient une fois par mois une soirée à thème BDSM. L’un comme l’autre, nous avions déjà assisté à ce genre de soirées : pas de quoi fouetter un chat, sans mauvais jeux de mots.

Nous sommes venus en respectant le dress-code : tenue vinyle provocante pour moi, vêtements noirs pour lui. Nous avons l’habitude, pour ce genre de missions, d’arriver très tôt, histoire de voir les convives s’installer les uns après les autres. Nous papotons un instant avec la barmaid, une belle plante brune aux formes généreuses, aussi joviale que sexy.

Et le défilé a commencé : là, un homme vêtu d’un superbe T-shirt au milieu duquel étaient floquées les initiales SM, là, une femme qui tenait son mari en laisse, quelques hommes seuls, puis à nouveau des couples, comme on en voit dans tous les clubs échangistes.

Il a fallu attendre un moment avant que les « hostilités » ne démarrent vraiment. Mais quel choc ça a été ! Avant même que nous ayons eu le temps de réaliser, la jolie barmaid avait été remplacée à son poste et était en train de torturer un homme attaché à la croix de Saint-André, tandis qu’un autre des célibataires, entièrement nu, lui servait, selon ses humeurs, de tabouret ou carrément de marche-pied (attention aux talons aiguilles!).

Au bar, justement, un homme avait mis sa compagne cul nu. Il lui avait retiré le rosebud qu’elle portait, planté dans son anus, et il offrait sa soumise à tout ceux qui voulaient la sodomiser. Dans une petite pièce isolée, une maîtresse domina, avait fait s’allonger une femme sur le dos, et deux hommes sur le ventre, sur un lit habituellement utilisé par les couples échangistes pour partouzer.

La dame, une maîtresse-femme de la cinquantaine, jouait comme une diablesse de la cravache sur le dos et les fesses des messieurs ainsi que sur les seins de la soumise, le tout sous le regard incrédule des curieux dont nous faisions parti.

C’est alors qu’un couple nous a approchés. Une belle petite meuf, 1m60 maximum, blonde comme les blés, nous offrait les services « linguistiques » de son soumis. Autrement dit, elle me proposait de me mettre à l’aise pour qu’il me lèche à volonté. Amusée, j’ai accepté. Et l’esclave sexuel savait y faire, je vous prie de me croire. Il m’a fait jouir très vite, sous les insultes et les menaces de sa dominatrice. Puis il est allé s’occuper d’une autre libertine.

J’étais chaude, mon chéri aussi. Quand nous avons remarqué un couple que nous avons déjà croisé dans un autre club coquin, lors d’une soirée plus traditionnelle. Ce soir là, elle était sa chose. Il nous l’a offerte.

Il l’a d’abord attachée à une autre croix de St-André, nue, offerte. Nous avons joué longuement avec ses gros seins. Mon mec était plus timide que moi, puisque je me suis surprise à pincer fortement ses tétons, scrutant son regard pour y déceler les traces de sa douleur. Je n’étais plus moi-même.

Envoutée par le démon du BDSM

La barmaid, voyant la scène, m’a proposé un gode-ceinture, dont elle a ensuite harnaché ma taille nue. Elle y a placé un préservatif et on a fait se mettre à quatre pattes la soumise. C’était la première fois que je baisais une autre femme. Je l’ai tringlée en levrette, tandis que mon homme lui plantait sa tige en fond de gorge.

Prise de je ne sais quelle pulsion sadique, je me suis mise, tout en la baisant, à lui envoyer une volée de claques sur les fesses. Elle hurlait, je ne sais si c’était de douleur, de honte, ou de plaisir tout simplement. Des dizaines de voyeurs, hommes et femmes, regardaient sa déchéance, alors que son homme lui cinglait le dos de coups de martinet aussi précis que cruels.

Rarement, dans ma vie de libertine, je n’ai autant pris mon pied que ce soir-là. Un drôle de sentiment, une étrange sensation. C’était comme si quelque chose remontait en moi, quelque chose d’assez malsain, mais de terriblement jouissif. Je possédais cette femme et je la faisais jouir de ma cruauté. Un démon BDSM s’était emparé de moi.