Mon premier plan bisexuel

Je vais vous raconter une expérience qui pour moi a constitué un tournant de ma vie : mon premier plan bisexuel, ma première pipe de bi, la révélation de ma bisexualité sans doute latente. Je suis un homme marié de 42 ans et j’aime ma femme comme au premier jour. Nous avions jusque là une vie sexuelle épanouie mais uniquement centrée sur notre couple. J’ai toujours été fidèle à mon épouse, Sylvie et je croyais jusqu’à aujourd’hui qu’il en était de même pour elle. Visiblement je me suis trompé et j’ai été trompé.

Quand je suis rentré du travail l’autre soir, un peu plus tôt que d’habitude et un bouquet de fleurs à la main, j’ai eu la désagréable surprise de trouver Sylvie dans notre chambre, avec un gars de son âge, la trentaine. Si j’avais entendu leurs gémissements un peu plus tôt qu’après avoir la porte de la chambre, j’aurais sans doute rebroussé chemin mais il était trop tard. Aujourd’hui je ne le regrette pas.

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Sylvie n’a pas eu l’air gêné de me voir sur le pas de la porte, mon bouquet ridicule tombé au sol.  Au contraire, elle s’est approchée de moi et m’a poussé vers le lit. Entre nous, c’est toujours elle qui a été la plus entreprenante, la plus directive. Je ne sais pas pourquoi, je me suis laissé faire.

Ma femme a passé sa main entre mes jambes et s’est mise à me caresser la queue à travers mon pantalon, avant de l’en extraire. Je bandais malgré l’incongruité de la situation, allongé juste à côté de l’amant de Sylvie. J’étais terriblement excité, presque entièrement soumis par les caresses de ma femme qui annihilaient toute volonté de révolte en moi.

Je n’ai même pas réagi quand d’autres mains que celles de Sylvie sont venues déboutonner ma chemise et caresser mon torse. Pas non plus lorsqu’elles se sont aventurées plus bas pour tripoter mon sexe. Ca ne pouvait être que celles de l’homme qui partageait notre couche.

De fil en aiguille, je me suis retrouvé tout près de celui-ci, entièrement nu. A un moment, J’ai senti la main de Sylvie qui appuyait sur ma tête. Elle me guidait vers le membre raide de l’homme. C’est la seule fois où j’ai manifesté une légère réticence. Mais quand Sylvie a menacé d’arrêter de me branler si je ne me montrais pas coopératif, la mince digue qui m’empêchait encore de passer à l’acte à lâché.

J’ai  entrouvert les lèvres et j’ai pris dans ma bouche le gros gland mouillé du gars. J’ai trouvé ça plutôt agréable. La troublante sensation de me sentir soumis et la chaleur du membre au fond de ma bouche se mélangeaient pour augmenter encore mon excitation. J’ai pompé ainsi le chibre du mieux que je pouvais  pendant plusieurs minutes, essayant de reproduire avec application les caresses si douces que ma femme s’était mise à prodiguer à ma propre queue.

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Nous nous sommes sucés mutuellement pendant un long moment. Je crois bien que la bouche du type était collée au sexe de ma femme. Je suis le premier à avoir joui mais l’amant de Sylvie n’a pas tardé à me suivre, puis ce fut à son tour d’avoir un orgasme comme je ne lui en avais jamais connu jusque là. Je n’ai pas pu garder le foutre chaud qui est monté très vite des couilles de l’homme pour ce premier plan bisexuel. Le premier d’une longue série ? Sans aucun doute…

Baise dans un parking

Nous sommes dans la voiture depuis 30 minutes, Marine et moi. C’est le seul endroit où nous pouvons nous retrouver. Nos parents n’apprécieraient pas que nous nous enfermions dans l’une de nos chambres. Cela ne fait pas assez longtemps que nous nous fréquentons et puis, je crois que moi aussi ça me gênerait de risquer de faire ce que nous faisons juste à côté d’une pièce où ils se trouveraient. Tout compte fait, nous sommes bien plus tranquilles dans sa voiture, dans ce parking quasiment désert en début de soirée.

Marine est une fille très chouette et très amoureuse. Nous nous connaissons seulement depuis 15 jours et nous sommes toujours collés l’un à l’autre. Nous avons besoin d’intimité.  Elle a garé son véhicule dans le coin le plus sombre qu’elle a trouvé. Il n’y a pas d’autres voitures autour de nous dans ce parking.

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Au début, nous avons commencé par nous embrasser, assez sagement en fait. Pourtant nous étions déjà très excités et j’aurais dû me douter que ça ne pouvait que dégénérer. Nos langues se sont mêlées, nos lèvres se sont scellées et j’ai très vite posé ma main sur la poitrine de ma petite amie. Elle a de bons gros seins qui m’attirent irrésistiblement et qui me font bander. Ca n’a pas manqué cette fois non plus, mon sexe s’est vite retrouvé à l’étroit dans mon slip.

Heureusement, Marine était aussi chaude que moi. Je m’en suis rendu compte quand elle a ouvert mon pantalon pour sortir ma queue et que, de mon côté, j’ai passé mes doigts dans sa culotte. Elle était déjà toute mouillée, c’était impressionnant. J’ai fourré mes doigts dans sa toison tandis qu’elle refermait les siens sur la hampe bien raide de ma verge.

Nous nous sommes branlés comme ça pendant un moment, nos bouches toujours soudées l’une à l’autre. Marine gémissait de plus en plus fort, elle haletait presque. A un moment les phares d’une voiture ont éclairé l’intérieur de l’habitacle. Nous avons cessé nos mouvements l’espace de quelques secondes mais la voiture est passée sans s’arrêter. Ça m’excitait de savoir que nous aurions pu être surpris dans ce parking et il en aurait fallu bien plus pour m’arrêter à cet instant.

Branlé dans le parking

J’étais tout dur. Marine s’agitait sur mes doigts, elle ondulait du bassin pour chercher mes caresses. Il est arrivé un moment où elle a complètement enlevé sa culotte, jusque là bloquée en bas de ses cuisses. Puis elle est venue sur moi, enjambant d’un même élan  le levier de vitesse et celui du frein à main. Elle a posé ses genoux de part et d’autre de mes jambes et, lentement, s’est laissée glisser sur ma bite. Je suis entré en elle comme dans du beurre. Elle me serrait bien et mon sexe est allé buter au fond de sa grotte.

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Ensuite, elle a démarré un mouvement lancinant d’avant en arrière, à la fois doux et ferme. Son clitoris venait frotter sur mon ventre et je sentais la raie de son cul qui glissait sur l’une de mes cuisses. Nous nous embrassions toujours et je tirais sur ses bouts de seins. Quand elle a été trop excitée, prête à jouir, Marine s’est mise à monter et descendre sur mon engin comme une furie. Elle a lâché ma bouche et j’ai dû mette ma main sur ses lèvres pour étouffer ses cris de jouissance, tout en partant moi-même, déversant mon jus de couilles dans sa chatte.

Branlée en public

Hier après-midi, j’étais de sortie avec mon mari. Ça nous arrive de temps en temps, pendant que les enfants sont à l’école. Nous aimons bien nous promener tous les deux, comme aux premiers temps de notre amour. Le printemps vient de commencer et je me sens d’humeur bucolique mais aussi très câline. C’est sans doute pour cela que les choses ont rapidement tourné au sexe avec mon époux.

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Il y a dans notre petite ville un jardin public particulièrement fréquenté par les gardiennes de jeunes enfants dès que les premiers beaux jours sont de retour. Après avoir pris un verre sur une terrasse, nous nous y sommes rendus avec Paul, mon mari. C’est à chaque fois une sorte de pèlerinage pour nous car nous avons beaucoup fréquenté ce parc avant de nous marier et de fonder une famille.

Nous nous sommes assis sur un banc. Paul s’est tout de suite montré très tendre avec moi. Je crois que lui aussi ressentait les premiers effets du printemps. Il me tenait par l’épaule d’une main, l’autre étant posée sur ma cuisse. J’ai tourné la tête vers lui et nous nous sommes embrassés fougueusement. Autour de nous, des femmes plus ou moins jeunes papotaient en jetant de temps à autre un œil sur les enfants dont elles avaient la garde.

Notre baiser a duré longtemps. J’étais un peu gênée de faire ça devant les gens qui se trouvaient là mais en même temps j’avais terriblement besoin de l’affection de mon époux. Nos langues s’emmêlaient comme si elles avaient été trop longtemps séparées l’une de l’autre. Ça commençait à me faire de l’effet entre les cuisses, d’autant plus que les doigts de Paul couraient le long de mes jambes, s’aventurant de plus en plus haut vers mon ventre.

Branlée dans le jardin public

A un moment, mon mari se saisit de la veste qu’il avait posée à côté de lui et la jeta discrètement sur mes genoux. Il remit presque aussitôt sa main en place et recommença à jouer sur ma peau. Je portais une jupe assez courte qu’il avait maintenant presque remontée entièrement sur mon ventre. Je faillis laisser échapper un petit cri quand il posa ses doigts sur mon slip. J’avais aussi un peu honte car j’étais certaine qu’il sentait l’auréole de mouille qui avait commencé de se former sur ma culotte.

La pression de ses doigts se fit plus intense sur ma chatte. Il se mit à les faire tourner puis passa carrément ses phalanges sous l’élastique de mon slip. Nous ne nous embrassions plus et j’avais du mal à retenir les gémissements qui ne demandaient qu’à sortir de ma bouche, fort humide elle aussi. Pour ne pas prendre de risque, je collai à nouveau mes lèvres contre les siennes.

En 5mn, rentre en contact avec des salopes bien trempées…

Paul me fouillait maintenant la fente. Ses doigts devaient être trempés. Il en avait introduit trois dans mon trou et me pistonnait le plus discrètement possible. Malgré cela, sa veste avait tendance à bouger sur mes cuisses. J’étais très excitée à l’idée qu’une des gardiennes ou des jeunes mamans présentes sur les bancs d’à côté pourraient soupçonner ce qui était en train de se passer en moi.

La main de mon mari me fouilla ainsi pendant quelques minutes. J’étais habituée à ce genre de caresses, mais pas dans ces conditions là. Quand le pouce de Paul se mit à glisser sur mon clitoris, il ne me fallut pas plus de quelques secondes avant qu’un orgasme ravageur me submerge. Mon cri de plaisir s’étouffa heureusement dans la bouche de mon branleur.

Quand nous quittâmes le jardin public, il me sembla que tous les regards étaient braqués sur nous. C’était sans doute une fausse impression due à la culpabilité que j’éprouvais alors. Mais le clin d’œil d’un jeune rousse assise juste en face de notre banc, lui, était bien réel. En rentrant  à la maison nous avons fait l’amour comme des fous.