Vendeuse de soutifs

Dès ma puberté, je me suis passionnée pour le mode et les accessoires féminins. Avec, d’aussi loin que je me souvienne, une prédilection pour la lingerie fine, que j’ai toujours tenue pour le comble de la féminité. Les jolies dentelles, les formes de soutien-gorges, les différentes façons d’échancrer une culotte m’ont toujours fascinée.

C’est donc tout naturellement que, vendeuse, j’ai essayé d’obtenir des places dans des boutiques spécialisées en lingerie affriolante. Aujourd’hui, j’y suis arrivée : je suis assistante de la directrice d’une boutique dans un des plus beaux quartiers de Paris, boutique de ma marque de dessous féminins préférée.

A la recherche d’un plan cul mateur/voyeur ?

Je suis donc la seconde dans le magasin. La seule haut dessus de moi, c’est Nadège, une super bourgeoise de la quarantaine qui en impose. Port de tête haut, visage rayonnant malgré les premières rides qui commencent à apparaître, phrasé clair et charmant, la belle Nadège a également un atout que je lui envie particulièrement : un magnifique 95D de tour de poitrine.

Car oui, c’est bien là mon drame : passionnée que je suis par les soutifs, je ne fais qu’un pauvre 85A, de tout petits nichons qui n’atteignent que difficilement le bonnet B quand je prends un peu de poids. Bien entendu, j’ai accès à tous les soutien-gorges pigeonnants et autres push-up qui me permettent de faire illusion, mais tout de même : je complexe sur ma petite poitrine.

Des complexes, Nadège n’en a aucun : une vie professionnelle au top, une féminité assumée et joyeuse, un mari canon, friqué et cultivé, ma directrice a tout pour elle. Jamais, d’ailleurs je n’ai rêvé de prendre sa place, tant elle assure, professionnellement parlant. Voilà trois ans que je bosse pour elle, jamais je ne l’ai vue faire la moindre erreur.

Moins aussi je suis une bonne professionnelle, je crois. A part un petit vice caché : il m’arrive très souvent de regarder derrière le rideau quand une belle cliente vient essayer nos dessous. N’y voyez pas malice : j’adore voir une belle lingerie sur un beau corps de femme. Mais, c’est ce que je croyais en tout cas il y a encore une semaine, je suis totalement hétéro.

Il y a une semaine, donc, Nadège me convoque dans son bureau. S’y trouve la directrice, donc, et une amie à elle, cliente régulière du magasin. Toutes les deux me font les gros yeux. « Madame Martin est venue se plaindre de vous, ma petite Jeanne, et je lui en sais gré ». Elle laisse passer un temps, pour profiter de ma déconfiture. « Elle vous accuse de reluquer les clientes dans les cabines d’essayage. Cela est parfaitement inacceptable. Vous êtes un excellent élément, alors expliquez-vous ».

Morte de honte, je bredouille. J’essaie d’expliquer que ça n’a rien de libidineux, juste de l’admiration pour les modèles de la marque et pour les femmes mieux roulées que moi. Pascale, la jeune et svelte cliente, en rougit d’aise. Nadège, quant à elle, semble toujours furibarde. « Alors, vous ne pensez pas à mal ? Et si on vous faisait la même chose ? ». Je reste interdite.

Exhibée devant deux belles femmes

Nadège et Pascale me fixent toutes les deux. Puis, un sourire sadique se dessine sur le visage de ma patronne. « Très bien, alors, essayons ! ». Elle se retourne vers son bureau et trouve un ensemble soutien-gorge string, comme par hasard à ma taille. « Et bien, tenez, essayez, ici et maintenant ».

Terrorisée, je m’exécute et me retrouve en petite tenue devant les deux bourgeoises. Je m’apprête à enfiler le string au dessus de ma culotte, comme c’est l’usage. Mais Nadège voit les choses autrement : « enlevez tout, ça sera plus probant » m’ordonne t-elle. Me voici entièrement nue, avec mes petits seins ridicules, devant ces deux belles plantes qui se rincent l’œil d’un air moqueur.

« Vois-tu, Pascale, c’est le nouveau tissu dont je te parlais, hier, au sauna ». Nadège s’approche de moi et effleure de la paume de la main le soutien-gorge que je viens d’enfiler. Pascale l’imite sans aucune gêne, caressant même mon mont de vénus par dessus le string. Je sens leurs mains partout sur moi, sans que, bientôt, il n’y ait plus besoin de l’alibi du « tissu ».

Et voilà qu’elles m’embrassent un peu partout sur le corps, me pelotent et, finalement, me déshabillent à nouveau. Bientôt, nous sommes toutes les trois nues à nous rouler sur la moquette du bureau. Non seulement je me laisse faire, mais je prends un plaisir insoupçonné à faire l’amour à ces deux femmes. J’aime leur odeur, le satiné de leur peau, leurs formes !

Depuis cet épisode, toutes mes idées sur moi-même se sont envolées. Je ne sais plus très bien qui je suis. J’ai juste envie qu’elles recommencent à abuser de moi, la petite employée modèle, toutes les deux, et le plus tôt possible. Et, désormais, je sais que je m’intéresse autant aux dessous féminins qu’à ce qu’ils renferment de trésors de volupté.

Une étudiante africaine très sensuelle…

Ca fait tout juste trois mois que Sonia Dembélé, une étudiante africaine, est venue en France pour des raisons d’études. C’est une ivoirienne de 25 ans, elle a tout ce qu’il faut à la place qu’il faut. Des gros seins et un postérieur à l’africaine. En plus, sa peau complètement noire dégage quelque chose de sensuel qui tape dans l’oeil. À son passage dans la rue, 90% des mecs se retournent pour la mater, c’est une bombe et elle le sait.

À l’université où elle s’est inscrite, elle suit les courts du soir. Son intelligence et son assiduté ne sont pas passés inaperçus aux yeux de certains profs qui, en plus d’admirer son physique, respectent ses aptitudes intellectuelles. Elle a vite fait l’unanimité aussi bien au sein du corps professoral que chez ses condisciplines. Après les cours, elle est toujours la dernière à partir.

Tu cherches une rencontre hard avec une JF black de ta région ?

Le troisième mois annonce un nouveau module avec un nouveau prof.
Nous sommes le premier du jour et les étudiants l’attendent avec impatience. Ce prof de comptabilité analytique ne les fait pas languir, il accuse juste un retard de cinq minutes. A son entrée, toutes les étudiantes ont craqué. Les unes le trouvent sexy, d’autres le trouvent charmant et bien sûr, Sonia D n’est pas en reste.
Le premier cours commence et, le silence se fait. En prélude, il se présente,  » Joel « , il est âgé de 32 ans, homme marié et deux fois père, il a pas mal voyagé.
Ceci dit, il se met tout de suite au boulot, déclinant le programme qui les attend durant les prochains mois.

L’étudiante africain veut se taper le prof ?

Devenu moins intéressant à cause de sa situation matrimoniale, toutes les filles ont décidé d’oublier toutes les idées folles et coquines, tous les projets vis à vis de ce prof marié.
Sonia elle, ressentait déjà une attirance qui ne pouvait pas passer sans qu’elle n’ait eu au moins un flirt avec Joel.
À la fin du cours, notre étudiante africaine décide de passer à l’attaque, d’autant plus qu’elle n’avait pas fait l’amour depuis son arrivée dans l’hexagone.
Alors que le prof classait ses affaires, Sonia s’avançait à pas de caméléon. Puis, se tenant debout, devant la table, elle dit au prof tout son intéret pour la comptabilité analytique avant de lui avouer qu’elle était assez faible dans cette matière, mais souhaitait s’améliorer.  » Et si je faisais des cours particuliers ? « , lui suggera-t-elle ? « Pas de souci », rétorqua le prof, « dès que vous vous êtes prête, appelez-moi, voici ma carte « .
Cette carte allait lui permettait d’aller plus vite en besogne et, dès le même soir, elle appela Joel.

Sonia D : Allô, c’est Joel ? Sonia, votre étudiante à l’appareil.

Malheureusement, la coquine ivoirienne est tombée sur la femme du prof qui avait l’air plutôt sympa. Sans se gêner, Sonia s’est mise à discuter avec elle, en parlant de ses origines, d’où elle vient et comment elle a été accuillie en France.

La dame l’a trouvé tellement sympa qu’elle n’a pas hésité à l’inviter dans son appartement, sans même consulter son époux.
Les plans de Sonia D était peut être à l’eau car, ce n’est pas trop son genre de coucher avec un homme quand elle a sympatisé avec l’épouse de ce dernier.
À chaque sortie des cours, elle récevait désormais un coup de fil de Lilianne, la femme de son prof de compta.
Le weekend qui a suivi, Lilianne a préparé un petit dîner et a invité Sonia.
Toujours aussi sexy, elle a porté une robe moulante sous sa doudoune.
Nous sommes à Lyon, au Sud, dans un super appartement confortable et bien décoré. Sonia entre, trouve l’épouse et son prof qui lui ont préparé un petit apéro alcoolisé d’entrée de jeu.
La dame, trentenaire et super jolie, portait une nuisette tandis que son époux montrait ses muscles saillants dans une tenue tout aussi légère. Le chauffage était à bloc et, ils ont proposé à l’invitée de retirer son manteau. Les yeux de Lilianne scintillaient et ne quittaient pas la poitrine de Sonia.
Laissant les dames causer entre elles, Joel fit un tour à la cuisine avant de revenir quelques minutes plus tard avec des petits fours en main.
Joel : Tu vois Lilianne ? Je t’avais dit que c’était une bombe et tu allais l’adorer !
Lilianne : C’est la meilleure !

Sur le coup, Sonia D ne comprennait absolument pas ce qu’il se passait.
Dans une ambiance assez chaude où les tabous étaient tombés, Lilianne lui souffla à l’oreille qu’elle a envie de la voir coucher avec son mari.
Tout devint clair dans la tête de la petite afro, qui n’avait jamais vécue pareille situation.
Hésitante, elle sera motivée par les caresses vicieuses de Lilianne qui avait des mains si baladeuses qu’elles ont fini sous la robe de Sonia.
Joel vint ensuite les rejoindre et, prise dans son propre piège, Sonia se laissa baiser par le couple.

Une beauté indienne en appel une autre !

Tu cherches un plan cul avec une beauté de l’Inde ?

Priyanka 24 ans, était une beauté indienne, brune, à la chevelure soyeuse et aux yeux bleus troublants. Dès l’instant où je posais le regard sur elle, je sentis une alchimie se produire, je crois que ce fut un coup de foudre. Il y avait cette petite étincelle dans ces yeux qui traduisait autant qu’à moi un désir profond.

En quelques deux jours seulement, nous allions avoir notre premier rapport sexuel, chez moi. Ce fût la première fois que je fourrais ma queue dans un minou indien. C’était magique, d’autant plus que sa façon de niquer était au-delà de mes espérances. Comme elle était très calme, je m’attendais à découvrir une partenaire timide au lit, à la place j’eus droit à un cours d’illustration du Kamasoutra, des positions dont je ne soupçonnais pas l’existence m’ont été révélées avec des explications à l’appui. Sérieux, qui mieux des indiens peux maîtriser l’art du Kamasoutra. Toujours est-il que nous avions pris notre pied, moi en particulier.
Le lendemain de cette partie de jambes en l’air merveilleuse, Pry souhaitait me présenter à sa meilleure amie, une certaine Fanny qu’elle connaissait depuis l’Inde puisqu’elle était la fille du plus proche collaborateur de son père. Bref, cette rencontre s’organisait chez moi dans une ambiance très amicale. Fanny était une nana super sympa et surtout aussi belle que Pry sauf qu’elle était du genre très chaude. Peu avant la fin de l’aprèm Pry, prise d’un coup de fatigue alla faire une sieste en chambre et me laissais avec Fanny au salon.
Cette nana culottée me demandait sans gêne les détails du rapport sexuel que j’avais eu avec son amie. C’était complètement déplacé, je me refusais tout commentaire, lorsqu’elle commença à me balancer tout ce que Pry lui avait dit à ce sujet, y compris ma manière de gémir. Elle me confia que Pry, ma beauté indienne, avait kiffé mon pénis et qu’elle aussi voulait goûter à mon nectar. La salope me draguais direct, j’étais mal à l’aise et excité en même temps, elle était bonne et moi j’aimais bien les plans cul risqués. C’est ainsi qu’elle m’empoigna la bite pour la sucer sur le canapé. C’est tout ce que nous fîmes, je n’avais pas assez de courage pour la niquer sous le nez de Pry, alors on se fixait rendez vous pour plus tard dans la soirée aux alentours de 23 H à son appartement.

Pas au bout de mes surprises avec cette beauté indienne !

A 23H tapante, je me retrouvais à malaxer le cul de Fanny dans sa chambre. Je lui dérouillais un cunnilingus bien pimentée qui la fit trépigner de plaisir comme un serpent. Elle me propose qu’on se lèche mutuellement en 69, chose qui me plaît fort bien. Les préliminaires allaient bon train et nous étions sur le point de passer à la vitesse supérieure quand on entendit sonner. Fanny pris un peignoir, me dit alors de rester calme et de ne pas faire de bruit avant de m’inviter à me cacher derrière la porte de sa chambre. Sur le coup, j’ai commencé à imaginer le pire des scénarios… ma pression s’accentua quand j’entendis une voix féminine qui me semblait familière… c’était Pry.
Si elle me voyait là, entre nous c’est serait mort ! Pendant que je réfléchissais à trouver un moyen de me tirer de ce pétrin, je les entendis marcher en direction de la chambre, elles y entrèrent… Pry s’allongea sur le lit, et Fanny monta sur elle pour lui rouler une pelle de malade. Je n’en croyais pas yeux, ces deux là baisaient ensemble ! J’assistais caché à toute la scène lesbienne torride que ces deux indiennes me soumettaient. En plus Pry n’avait rien d’une douce cocotte, elle était active et très salope.
Pendant qu’elle s’éclatait comme des malades, Fanny me fit signe de les rejoindre. Pry ne fut même pas surprise de ma présence, elle et sa perverse de copine me firent une fellation démentielle. Mon excitation n’allait pas tarder à atteindre son apogée, je n’avais plus qu’une seule envie, les enfourner comme si c’était la dernière baise de ma vie. J’allais commencer par Pry, je lui assénais des va-et-vient sauvages pour la sanctionner d’avoir bien cachée son petit jeu de salope. Puis vint le tour de Fanny. Ces deux coquines m’épuisèrent à me faire enchaîner des positions du kamasoutra, j’avais l’impression que le kamasoutra intégrale était imprimé dans leur ADN. Je compris à la fin que ces deux gouinasses ne se cachaient rien, notre triolisme était l’aboutissement d’un plan commun.

La secrétaire scandinave est une lesbienne

Tu veux aussi une expérience une lesbienne ?

Monika est une jolie femme, elle a tout ce qu’il faut pour plaire, les portes lui sont ouvertes grâce à sa beauté et elle ne l’ignore pas.
De corpulence svelte, cheveux blonds et épais, yeux bleus et lèvres pulpeuses, c’est une scandinave qui habite à Monaco depuis quelques mois seulement et, qui y a trouvé un travail comme assistante dans une agence de publicité appartenant à une richissime femme d’affaire.

À 27 ans, elle est très ambitieuse et, tous les moyens, selon elle, sont bons pour parvenir à ses fins. Non seulement elle a le physique parfait, mais elle sait jouer avec les circonstances et les situations.

Son bureau voit fréquemment la visite de la patronne : deux à trois fois par semaine. Cette bourgeoise quadragénaire est très pointilleuse, elle demande toujours des comptes à tous ses collaborateurs.

Ayant menée une enquête, Monika a appris qu’elle était célibataire et lesbienne. Le libertinage, elle en connait un rayon ! C’est peut être ce qui va lui offrir des opportunités.

Un mercredi, comme d’habitude, on annonce l’arrivée de la baronne Kelly qui ne manquera pas de faire un tour dans le bureau de Monika.

Sachant jouer avec ses atouts physiques et son côté un peu débridé, notre scandinave lesbienne décide de jouer le grand jeu. Sexy et plus séduisante que jamais, voilà comment elle se présente. Irrésistible, elle ne pourra pas passer inaperçue aux yeux de sa patronne.

Il est midi et, on frappe à sa porte. Monika se lève, elle courre ouvrir pour ensuite inviter Miss Kelly à prendre place. Femme de caractère qui ne marche pas ses mots, la patronne demande tout de suite à rentrer dans le vif du sujet. Monika sort les derniers dossiers et, se lève pour expliquer leurs avancés. Sa jupe est extrêmement courte, on aperçoit ses bas quasi transparents et, elle a déboutonné sa chemise pour exhiber sa belle poitrine naturelle.

Quelques papiers en mains, elle jette des regards séducteurs à la patronne en lui expliquant, en détail, le travail qu’elle a abattu durant les derniers jours, elle est super brillante cette scandinave ! D’habitude, Miss Kelly ne faisait pas plus de 30 minutes dans le bureau de Monika, mais cette fois, ça fait 45 minutes que les deux coquines discutent. La conversation, au bout du compte, est devenue plus amicale que professionnelle.

En regardant sa montre, Miss Kelly remarque que le temps avait lourdement filé, alors, elle a donné rendez-vous à Monika pour la prochaine visite en lui notant qu’elle avait aimé la discussion. Avant de sortir, notre assistante a eu droit à un bisou très proche des lèvres. Le premier coup est marqué !

Lesbienne scandinave prête à baiser…

La deuxième et dernière visite de la semaine se déroule le vendredi. Notre allumeuse a mis les bouchées doubles. Plus sexy que jamais, elle a préparé un speech de bienvenu à la baronne qui entre dans le bureau vêtue d’une robe moulante exposant ses petits tétons.

Monika : toujours aussi radieuse, je ne résiste pas au charme d’une si jolie femme, désolée…
Miss Kelly : tu sais Monika, moi aussi je ne résiste pas à ton charme, j’ai beaucoup pensé à la dernière fois, ta compagnie était si agréable que j’en suis restée séduite.

Joignant la parole à l’acte, la baronne attrape Monika par les cheveux et l’embrasse langoureusement. Bien évidemment, la réponse à son flirt se fait avec la même hardiesse. Comme elles sont sauvages nos deux coquines !
Dominatrice, Miss Kelly projette son assistante sur le canapé du bureau, elle retire son string avant de la déshabiller complètement. Monika se laisse lécher les nibards, puis la foufoune, elle est complètement épilée cette cochonne !

La baronne fouille dans sa sacoche et retire un gode-ceinture avant de retourner l’assistante. Après une longue séance de pénétration, la baronne détache son sextoy et l’enfile à Monika qui va s’en servir majestueusement.
La patronne adore la levrette, surtout la sodomie alors, c’est à quatre pattes qu’elle demande à son assistante de la prendre comme une chienne.
Une heure vient de passer, le corps nu et radieux de Monika est allongé pendant que la baronne la regarde toujours avec la même envie. Elle lui avoue être tombée sous son charme depuis la première fois.

Les petites coquines vont continuer dans l’appartement luxueux de la baronne : une victoire pour cette scandinave ?

Ma petite amie m’initie au triolisme !

Amanda est ma petite amie depuis bientôt six mois, avec elle je suis épanoui, surtout sexuellement ! Je l’ai rencontrée à la suite d’une déception amoureuse qui m’avait complètement anéantie et fais perdre toute considération en l’amour. Mais elle m’a permis d’y croire à nouveau et je ne le regrette aucunement car, je découvre le meilleur du sexe dans ces bras. Oh putain qu’est-ce qu’elle baise bien ! En plus de ça, elle aime les jeux de rôle où elle incarne très souvent celui de la femme soumise à la perfection. J’adore particulièrement ce moment de docilité.
Entre Amanda et moi il n’existe aucun tabou. On s’encourage à exprimer nos désirs et à ne pas les juger. J’avoue que c’est elle qui en a eu l’idée. En plus, elle ne se contente pas que de m’écouter, elle se donne la peine de réaliser les fantasmes que je lui exprime dans la mesure du possible (le triolisme en fait partie !). Moi j’en fais autant pour elle.

Le jour de mon anniversaire, je fis une virée en boite de nuit avec Amanda et des amis. Au beau milieu de la soirée, Amanda me fit part d’un malaise. Elle ne se sentait pas bien du tout et souhaitait rentrer. Je me proposais de rentrer avec elle, mais elle refusa catégoriquement car ne voulant pas que je mette prématurément fin à cette belle fête réalisée en mon honneur. C’est contre mon gré que je la laissais partir…
Deux heures plus tard, la fête pris fin, j’avais hâte de retrouver ma chérie dont je me faisais tellement de soucis. Je rentre à la maison, tout est calme, je pense qu’elle dort. Alors, je monte en chambre, j’ouvre la porte et je trouve Amanda enlacée dans les bras d’une nana. Je n’en crois pas mes yeux ! C’est donc pour se farcir cette salope qu’elle avait feint d’être malade. Amanda, sans dire mot, s’approche de moi et m’embrasse, me défringue et m’installe sur le canapé. Puis, elle invite sa copine nous rejoindre. Je suis subjugué par le physique de cette parfaite inconnue, elle a une paire de nichons volumineuse et un cul rebondi qui me perturbent l’esprit. Je la regarde me pomper la queue de concert avec ma groupie de meuf. C’est divin ! Je ne rate pas une seule miette de ce tandem de feu.
Peu de temps après le début des hostilités, notre invité au regard de tigresse prend le contrôle des opérations et botte Amanda en touche. Elle vint me servir ses lolos en pleine gueule comme pour me faire comprendre qu’ils sont naturels. Je les prends en bouche avant de me mettre à les peloter. Puis, elle redescend sur ma bite et m’offre une merveilleuse branlette espagnole.
Après cette entrée en matière très chaude, les deux gouinasses me laissent en plan sur le canapé en me demandant de profiter sagement du spectacle. Je les regarde galocher tout en se servant de leurs mains baladeuses pour se caresser. Amanda est très entreprenante, elle glisse sensuellement son index dans le trou de balle de sa partenaire, tout en lui broutant l’abricot, puis elle empoigne un plug anal qui était dissimulé sous les draps, y répand de la salive, et l’enfonce dans le cul de cette greluche aux gros nibards.
Affalé sur mon siège, je bande comme un étalon en rut, le spectacle est trop intense, et l’attente m’est insupportable. Je me lève alors pour investir la chatte d’Amanda qui se dressait droit devant moi, en levrette. J’enclenche des coups de bites avec agressivité qui la font immédiatement hurler de jouissance. Je m’assure de bien engloutir ma bite dans les profondeurs de sa chatte, et je sais combien elle adore ça.

1ère expérience de triolisme, wouahh !

Au bout d’un moment, Amanda retire le plug anal du fion de notre invité et m’invite à l’assaillir. Je prends mon gourdin, marque la cible et m’encastre brutalement dans son fion. Ma réputation étant en jeu, je ne m’autorise aucune douceur avec cette coquine, elle n’a droit qu’à mon côté hardcore. Après de longues minutes passées à l’enculer dans tous les sens, Amanda m’interrompt pour me demander sa part de défonce anal. Je change de trou de balle mais la sensation est toujours la même.
Mes deux coquines se mettent en position de levrette sur le canapé, j’ai une belle vue sur leurs chattes et fions. Je m’attelle à passer une à deux minutes dans la touffe de chacune pour les contenter jusqu’à éjaculation.
Je leur distribue mon foutre sur la poire. Elle se le partage goulûment, en s’embrassant avant de s’envoyer à nouveau en l’air. Moi je suis ému d’avoir été initié au triolisme, je suis aussi épuisé et je ne tarde pas à m’endormir. Au réveil, la nana était déjà partie. Je n’ai même pas eu le temps de faire sa connaissance. Amanda me rassura qu’on se ferait une autre partouze bientôt. Quel beau cadeau d’anniversaire et vive le triolisme !

L’ex de mon mec

Avez-vous déjà léché un cul ? Je veux dire lécher vraiment un cul, un anus, pas seulement embrasser vaguement une paire de fesses ? Ça vous dégoûte ? Moi aussi, ça me faisait cet effet là, jusqu’à ce que je rencontre Sophie, l’ex de mon mec, une nana vraiment pas les comme les autres.

Je vis depuis deux ans avec Evan, avec qui je m’entends super bien, sur tous les plans, y compris sexuels. Nous sommes très complices, nous parlons de tout, nous ne sommes jaloux, ni l’un ni l’autre. Enfin moi, si, un peu : de Sophie, son ancienne petite copine qui, apparemment, était encore plus dévergondée que moi. Elle avait surtout un avantage que bien des gars enviaient à Evan : Sophie était bisexuelle, et partageuse !

Combien de fois Evan m’a t-il raconté comment cette vicieuse ramenait ses conquêtes féminines à la maison ? Parfois, il devait rester voyeur. Il m’a souvent parlé d’un double-dong qu’elle utilisait avec ces nanas. D’autres fois, il avait le droit de participer, si l’autre fille était bisexuelle elle aussi. Je veux bien comprendre que ça laisse des souvenirs impérissables chez un gars.


Toujours est-il qu’un soir, alors que je rentrais du taf, voilà qu’Evan m’annonce, tout sourire, que Sophie va nous rendre visite, le lendemain. Il l’a invitée à dîner. Je suis contente, mais aussi un peu méfiante. Comment réagir, cette nana m’impressionne quand même un peu. Je sais, je vais prendre les devants. Evan rêve d’un plan à trois, je vais lui donner ce qu’il veut.

Et voilà comment je me suis retrouvée à quatre pattes sur le lit, la bite de mon mec au fond de la gorge, et la langue de Sophie qui fouille mon anus. Evan est aux anges, Sophie un peu surprise que j’ai été à l’initiative de ce plan cul. N’empêche que sa bouche sur mon cul, ça me procure des sensations assez inespérées.

Evan n’en perd pas une miette. Sa meuf et son ex sont en train de se gouiner pendant que lui se fait pomper la teub. Vous parlez d’un panard ! Mais voici que Sophie entreprend de reprendre les choses en main. Elle me fait m’allonger sur le dos et… mais qu’est-ce qu’elle fout ? Elle vient carrément s’asseoir sur mon visage !

Et moi gentiment, je tire la langue et je lui lèche l’anus à mon tour. Sauf que cette salope tortille du cul comme une dingue, elle m’étouffe à moitié. Et surtout, je ne vois pas ce qu’elle fait avec mon mec ! J’ai l’impression que ces deux-là se roulent des pelles pendant que je suis à l’ouvrage, en train d’offrir une feuille de rose à l’ex de mon mec.

N’empêche que j’aime ça. Je croyais que ça allait être dégueu, mais pas du tout. Son petit trou palpitant est un vrai régal. Ça m’excite même carrément de bouffer le cul d’une fille. Mais qu’est-ce qui se passe ? La voici qui m’écarte les cuisses. Elle se baisse et plonge la tête jusqu’à ma chatte.

Je jouis, le nez dans le cul de l’ex de mon mec !

Waouh ! Mais elle lèche trop bien, cette petite cochonne, elle va me faire grimper aux rideaux en moins de temps qu’il ne faut pour le dire ! C’est incroyable ! Je vais jouir avec son cul au niveau de mon nez ! Oh, putain, l’orgasme part, je ne me contrôle plus, je jouis comme une dingue !

Quand je reprends mes esprits, Sophie s’est à nouveau assise sur ma bouche et moi, je tourne ma langue dans tous les sens pour lui rendre la pareille. Les deux, au dessus de moi, rigolent de la puissance de ma jouissance.

On m’ouvre à nouveau les cuisses. C’est Evan qui se fait sa place. Il me pénètre brutalement, sa longue tige se carre au fond de moi et commence à me limer. Et moi, je continue à bouffer le cul de Sophie, qui, en bougeant un peu, parvient à me donner aussi sa fente à lécher. Et Evan qui lime, qui lime et qui lime encore !

Je devine qu’il lui bouffe les seins tout en me niquant. Rien que l’image que je me fais dans la tête me la fait perdre, la tête. Je jouis encore, puis c’est autour de Sophie qui, prise de spasmes, manque de me péter le nez ! Pour une première fois bisexuelle, je déguste, dans tous les sens du terme.

Je sens Evan prêt à gicler à son tour, je le connais bien ce petit salaud. Il me baise de plus en plus fort, de plus en plus loin, et de plus en plus vite. Un véritable athlète olympique ! Ça y est, cette fois, il jouit. Mais il sort de ma chatte et balance tout son jus sur mon ventre, et sur les nibards de Sophie.

Cette dernière me libère. Elle a du sperme partout sur la poitrine. Ah la salope ! Cette éjaculation était pour moi, je n’ai jamais dit que j’étais prête à la partager avec elle !

Mon mari m’offre une expérience lesbienne

Cela faisait trois semaines maintenant qu’il me promettait une surprise pour mon anniversaire. j’avais tout imaginé, sauf cela : un voyage à Venise, un beau bijou, ou encore une très belle robe. Mais là, vraiment, j’étais sur le cul. Pour mon anniversaire, mon mari m’offre une expérience lesbienne.

Elle est exactement comme je l’ai toujours fantasmée : petite, plutôt gironde, une jolie blonde aux yeux clairs dont les seins sont moulés dans un petit haut trop serré pour elle, deux belles grosse ogives appétissantes à souhait. Gilles me connaît bien. Il sait que j’ai eu quelques expériences lesbiennes au lycée, puis à la fac, et que j’ai toujours eu un faible pour ce genre de nana, moi la grande gigue brune, plate, sans formes.

Elle se tient devant moi, un sourire légèrement gêné aux lèvres. Elle me dit :  » il paraît que je suis ton cadeau d’anniversaire ». Elle n’est pas très sûre d’elle. Elle se demande encore si tout cela n’est pas qu’une mauvaise plaisanterie. Un mari qui offre une expérience lesbienne à sa femme, ça ressemble tout de même beaucoup à un plan drague à deux ronds.

Gilles nous touche l’épaule, à chacune d’entre nous, et me dépose un baiser tendre sur les lèvres : « je vous laisse ». Il prend son manteau, et quitte l’appartement. Me voilà seule avec ma jolie blonde lesbienne, qui doit avoir cinq ou six ans de moins que moi. Et pourtant, c’est elle qui prend l’initiative. Il faut dire que je suis comme plantée, là, debout devant elle.

Elle s’approche, passe la main dans mes cheveux, puis sur ma joue. Elle tend les lèvres vers moi. Je lui rends son baiser. J’adore embrasser une autre femme. C’est tellement doux, tellement sensuel. Nos langues de filles se caressent. Un parfum d’interdit flotte dans la pièce. Un parfum qui m’enivre. Je prends maintenant la bouche de la jeune gouine à pleine bouche, et elle me le rend bien.

Elle me prend finalement par la main, et m’attire vers notre chambre à coucher. Elle me fait assoir sur le lit conjugal et, devant moi, entame un strip-tease dont je peux vous garantir que je me souviendrai longtemps. Elle dévoile ses seins insolents qui pointent vers moi, puis son cul ferme, haut et rebondi. Elle vient se coller à moi. Je reste comme interdite.

Alors c’est elle qui me déshabille, elle qui agace doucement mes tétons de sa langue inquisitrice, elle qui retire ma jupe, puis mon string. Nous sommes maintenant toutes les deux, allongées l’une contre l’autre, elle me grimpe dessus. Quel plaisir de sentir ses gros seins glisser contre ma poitrine plus androgyne, de prendre à pleines mains les deux beaux globes de ses fesses tandis qu’elle me roule des pelles.

La voici qui descend le long de mon corps de femme, qui embrasse mon cou, mes épaules, à nouveau mes petits nichons puis mon ventre. Je sais qu’elle va vouloir me lécher. J’ai un peu peur, mais j’en ai très envie. Ça y est, ses lèvres se posent sur mon mont de Vénus, qu’elle embrasse tendrement.

Ma première expérience lesbienne…

Sa langue vient s’insinuer en haut de ma chatte, pour y trouver mon clito. Elle sait y faire, c’est une vraie lesbienne, qui a l’habitude de faire plaisir à une autre femme. Sa langue vicieuse va de mon bouton à ma chatte puis revient à nouveau. Je vais défaillir, vite. Un orgasme puissant me monte du ventre jusqu’à toutes les terminaisons nerveuses de mon corps. Je me cambre, puis je n’arrive plus à me contrôler.

A peine remise, je veux lui rendre la pareille. Mais d’abord goûter à ses beaux seins fermes et ronds. J’ai envie de les téter pendant des heures. Je pose la tête entre ses deux belles doudounes. Il ne me reste plus qu’à me laisser aller, et à profiter de mon cadeau.

La toubib lesbienne aux petits nichons

Par Claire, 32 ans.

A chacun – et chacune – son fétichisme. Moi je fantasme sur les docteurs. Tous les docteurs. Le seul cabinet médical où mon imagination ne me joue jamais des tours, c’est chez le gynéco. Là, la situation est trop glauque pour émoustiller ma libido. Mais sinon, n’importe quel toubib qui me drague a ses chances.

Ce que j’ignorais, c’est que je mouillais aussi pour les doctoresses. Je suis pourtant libertine depuis une dizaine d’années et, en dehors de quelques papouilles entre nanas, je n’ai jamais rien fait avec une autre femme. Jusqu’à ce jour étrange où j’avais rendez-vous avec mon médecin généraliste. Rien de grave, juste une visite de routine et quelques petits bobos.

J’y vais donc, le cœur plein d’entrain et la foufoune en délire. Attention, je n’ai jamais rien fait avec lui, ni avec aucun médecin dans l’exercice de ses fonctions, mais rien que l’idée, le fantasme, suffisent à me mettre en joie. Sauf que là, patatra ! La secrétaire médicale m’annonce que le docteur est en congés et qu’il sera remplacé par son ancienne interne,  » une jeune femme très bien  » m’assure-t-elle.

Contre mauvaise fortune bon cœur, je m’installe dans la salle d’attente, pleine à craquer. J’essaie de tromper l’ennui avec une pile de magazine, mais rien n’y fait. D’autant que je suis très déçue de ne pas voir mon médecin préféré.

Au bout de plus d’une heure, c’est à mon tour. La secrétaire me conduit jusqu’au cabinet où m’attend une grande meuf brune, très élancée, plutôt timide, mais assez belle tout de même. Elle n’a pas trente ans. Elle m’invite à m’asseoir.

Après quelques minutes d’entretien, elle me dit :  » déshabillez-vous, s’il vous plaît « . Habituellement, cette simple phrase me fait mouiller. Là, attendez voir… Oui, ça fonctionne toujours ! Je me mets en petite tenue et elle m’ausculte. Elle a les mains très douces, elle est très délicate. Mais c’est qu’elle m’exciterait, la coquine ! Surtout quand elle se penche vers moi : sa blouse baille et me laisse voir ses petits nichons, car elle n’a pas de soutien-gorge.

Je suis en feu. Je suis encore plus excitée qu’avec lui. Moi qui n’aime pas vraiment les femmes, ça me fait bizarre. Et pourtant, j’ai envie d’elle. Je décide de jouer mon va-tout. Je me plains de douleurs aux seins, ce qui est vrai. Elle prend un air sérieux, presque grave.

 » Vous pourriez retirer votre soutien-gorge, si ça ne vous dérange pas ? « . Tu parles, que ça ne me dérange pas ! C’est parti, elle me palpe les nichons, à la recherche d’une quelconque anomalie. Au bout de cinq minutes, qui m’ont fait pointer les tétons, elle semble rassurée.  » Non, je ne constate rien d’anormal. Je peux vous prescrire une mammographie, mais je n’en vois pas l’utilité, sincèrement… « .

Elle me demande si j’ai ses douleurs depuis longtemps. Depuis toujours, en fait, par périodes.  » Ça arrive souvent chez les femmes qui ont une belle poitrine comme la vôtre ! « . Je la remercie du compliment. Elle ajoute, en baissant la tête vers sa blouse :  » moi, je n’ai pas ce genre de problèmes, malheureusement… « . Elle rigole.

La bonne blague ! Si elle savait à quel point, à cet instant précis, j’ai envie de lui téter, ses petits bonbons. Et elle, il me semble qu’elle reluque mes tétons tout pointus. Puis elle me fait signe de me rhabiller. Elle me prescrit deux-trois broutilles homéopathiques, une pommade pour mes seins et on se quitte bonnes amies, si je puis dire.

Toute la semaine suivante, je n’ai cessé de penser à cette visite médicale, aux petits seins de la doctoresse, à sa blagounette sexy en diable. J’en ai même parlé à une amie libertine, qui m’a posé tout un tas de questions sur la fameuse toubib. Comment elle était physiquement, son âge, la couleur de ses yeux… Au bout de l’interrogatoire, elle s’exclame :  » ah ! Mais oui ! C’est Anna ! « . Je regarde ma copine avec des yeux de merlan frit.

Elle m’explique qu’elle la connaît bien, que c’est une gouine, une de ces filles un peu déjantées qui traînent les clubs échangistes à la recherche de couple dont le mari est candauliste et qui veut voir sa chérie baiser avec une autre femme.

Je n’en crois pas mes oreilles. Alors, ces allusions, sa blague, sa douceur à caresser mes seins ? D’urgence, il faut que je reprenne rendez-vous, non pas avec mon médecin habituel, mais avec elle ! Je vais appeler le cabinet, expliquer que mes énormes nibards me font horriblement souffrir, que je veux voir une femme-docteur, que c’est intime et tout ça.

Et là, c’est certain, on va s’envoyer en l’air entre femmes sur la table d’auscultation !







Epouse modèle pour mari infidèle

Ma meilleur amie m’a avoué que mon mari n’arrêtait pas, en soirée, de lui faire du plat, moi, son épouse modèle… Pire ! Elle m’a dit aussi, les yeux dans les yeux, qu’elle lui avait fixé un rendez-vous chez elle, pour le vendredi suivant, à 18h, à l’heure où je vais à ma séance de yoga. Mon sang n’a fait qu’un tour. Mais elle m’a vite rassurée : c’était pour tendre un piège au coquin, qui, décidément, a bien du mal à garder son pénis dans sa braguette !

Le jour dit, j’ai donc annulé le prof de yoga, et je suis allée, vers 17h, chez elle, pour préparer le guet-apens en sa compagnie. Il faut dire, à ce stade, que Danièle est une bombe sexuelle. Belle brune, grande, élancée, mais avec des formes généreuses, alors que je suis plutôt jolie, blonde, fine, mais pas très « sexe ». Comment cela allait-il se dérouler ? Danièle avait un plan : « je le reçois, je le laisse me draguer, je l’entraine jusque dans ma chambre, où tu attendras tranquillement sur le lit ».

Je tenais ma revanche, même si j’espérais, en mon for intérieur, qu’il ne vienne pas. Mais à 18h pétantes, la sonnette de l’appartement de mon amie a retenti. Je me suis dissimulée dans la chambre. C’était bien lui. J’entendais sa voix, mais je ne parvenais pas à savoir ce qu’ils se disaient. Quand ils ont fait irruption dans la pièce, ils se roulaient des pelles à pleine bouche, tant et si bien qu’il a mis bien du temps à s’apercevoir de ma présence sur le lit.

Danièle était déjà seins nus. J’étais fascinée par l’opulence de sa poitrine, lourde, brune, appétissante. J’en oubliais presque la raison de ma présence. Au détour d’un baiser dans le cou de ma meilleure amie, mon homme m’a vue. Il s’est figé instantanément. Danièle est partie dans un fou-rire : « tu verrais ta tête, petit cochon ! Tu ne croyais quand même pas que j’allais faire cocu ma meilleure amie avec toi ? ».

Là, j’ai eu presque pitié de lui. Il était livide, ses genoux tremblaient. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je me suis levée du lit, j’ai adressé un tendre sourire à mon mari et je me suis blottie dans les bras de Danièle. Au début, elle a du croire que j’étais morte de tristesse, qu’il fallait me consoler. Mais je me suis mise à caresser son dos nu, puis à embrasser ses épaules.

Moi l’épouse modèle, je deviens complètemement sexe…

Mon mari a regardé la scène, incrédule. Danièle, elle aussi, a eu bien du mal à comprendre de quoi il retournait, jusqu’à ce que je l’embrasse à mon tour à pleine bouche. Je me suis retournée vers lui : « la prochaine fois que tu as envie d’une femme, préviens-moi… et on partage ! ». Mon mari est resté coit, comme s’il n’était pas certain d’avoir bien entendu. Danièle, elle, est devenue comme folle. Elle m’a embrassée à nouveau, sensuellement, fougueusement, et avant d’avoir eu le temps de réagir, je me suis retrouvée à mon tour seins nus.

Nous étions là, poitrine contre poitrine, à nous gouiner devant lui. Il ne bougeait pas. Quand il a voulu nous rejoindre, Danièle l’a arrêté d’un simple geste de la main, plein d’autorité : « non, aujourd’hui, tu ne fais que regarder. Ça t’apprendra à vouloir être infidèle. La prochaine fois, tu joueras avec nous, si tu es très sage ».

Danièle a retiré ma jupe, puis ma culotte, et m’a fait m’allonger sur lit. Elle a embrassé l’intérieur de mes cuisses, puis m’a léché carrément le sexe. J’ai joui en moins d’une minute. J’ai alors tété ses beaux gros seins, puis je lui ai rendu la pareille. Sans expérience, j’ai été longue à obtenir son orgasme, mais, quand il est venu, quel festival ça a été !

Mon mari est resté là, sagement, à nous regarder. Je le devinais ivre de désir pour chacune d’entre nous. J’étais ravie. La vengeance ne pouvait être plus douce. Depuis, nous nous sommes revus tous les trois. Parfois, un amant de passage de Danièle nous rejoint pour une partie à quatre, et ma meilleure amie adore me voir me faire pénétrer par un autre homme devant mon mari infidèle. Il serait bien mal placé pour protester.

Ce jour-là, nos relations ont changé du tout au tout. Avec ma meilleure amie, bien sûr, qui est devenue mon amante, mais surtout avec mon mari. Il me fait partager tous ses plans cul. Quant à lui, il préfère ignorer mes amants, puisque maintenant, je m’autorise quelques extras. Mais tout de même, ne suis-je pas une épouse exemplaire mais d’un nouveau modèle ?







Expérience lesbienne à la salle de sport

En un éclair, c’est comme si toute ma vie basculait et que je vive ma première expérience lesbienne. Miranda tend sa main humide vers ma joue, et en balaie une mèche de cheveux qui s’y était collée. Et moi, je reste là, tremblante, l’eau qui continue de ruisseler sur ma peau, comme paralysée.

Elle a bien sûr senti mon trouble, alors elle en profite la garce. Ses doigts descendent de ma joue à mon épaule, frôlent mon sein. Elle sourit encore. Elle a un air doux que je ne lui imaginais pas.

Miranda laisse couler une flaque de gel douche sur sa main et me l’applique sur les épaules. La voilà qui se met à me masser et moi, je reste là, comme la dernière des gourdasses, ne sachant ni que dire, ni que faire, novice en matière de relation lesbienne…

De toute façon, il est trop tard pour reculer, car la belle athlète me savonne maintenant la poitrine. Je vois ses yeux s’embuer. Elle est belle, finalement. Je la scrute longuement, tandis qu’elle fait d’amples mouvements circulaires sur mes seins : au niveau de son mont de Vénus, j’aperçois un joli ticket de métro brun, et je me dis que, à bien y penser, Miranda est toute aussi féminine que moi.

Volupté de l’expérience lesbienne…

Toute à mes pensées, je la laisse se plaquer contre moi. Elle savonne maintenant mes fesses, et nos deux poitrines sont collées l’une contre l’autre. Elle a la peau douce. Et les lèvres aussi. Oui, Miranda m’embrasse. Mon premier baiser lesbien.

Elle continue à me malaxer les fesses. Je décide de faire de même. Son cul est ferme, presque dur, mais sa peau n’est pas du tout rêche, comme je l’aurais penser. Au contraire, elle est veloutée et soyeuse.

Miranda m’embrasse bientôt dans le cou. Je frémis. Je ne m’étais même pas aperçue que les douches s’étaient arrêtées. « Tu as envie ? » me demande-t-elle. Tout à coup, ce n’est plus la femme forte et puissante que j’ai devant moi, mais un corps tremblant de désir, dans l’expectative de ma réponse.

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Oui, j’ai envie. Je veux aller plus loin. Mais pas ici. Je la prends par la main et nous nous dirigeons ensemble vers les vestiaires. Je me rhabille. Elle aussi. Et nous partons chez moi. Là, un tourbillon nous prend. A peine franchie la porte d’entrée que nous nous retrouvons l’une contre l’autre. Nos vêtements volent en tout sens.

Miranda n’a pas ce côté autoritaire que je lui soupçonnais. Tout au contraire : elle est tendre là où je suis lubrique, attentive là où je suis perverse. Mon premier cunnilingus. Je veux dire : le premier que je donne à une autre femme, mon premier de cette expérience lesbienne… Je dévore le bel abricot de ma brunette, tandis qu’elle caresse doucement mes cheveux blonds.

Je ne vais pas vous raconter cette longue nuit d’amour lesbienne dans les détails. Trop de choses nouvelles, trop de sensations inimaginables avant. Ce que je peux dire, c’est que c’est grâce à Miranda que je me suis découverte bisexuelle.

Et même si je n’ai jamais couché de nouveau avec la magnifique culturiste, je lui dois d’avoir éveiller mes sens aux belles femmes androgynes.