Les petits nichons de la jeunette

Par Vincent, 37 ans

Ma compagne et moi, nous avons débuté dans le libertinage très tôt, à l’âge de 25 ans, à une époque – il y a de ça une douzaine d’années – où les jeunes couples, dans les clubs échangistes, n’étaient vraiment pas nombreux. A cette période, un couple de 40 ou même 45 ans passait facilement pour débutant.

Nous avons donc très souvent partouzé avec des gens plus âgés, n’ayant aucun tabou à ce niveau là. Peu importait l’âge de nos partenaires d’un soir, pour peu qu’ils nous plaisaient… Mais les années ont passé, et nous avons vieilli. D’autant plus que, dans le même temps, des couples de plus en plus jeunes ont fait leur apparition dans les clubs libertins et les saunas mixtes.

Laissez-moi vous présenter ma compagne, Anne, une superbe femme aux formes généreuses et au sourire coquin. Elle et moi étions en train de chatter sur un site échangiste quand un couple nous y a abordé. Il s’agissait d’Eva et Mickaël, qui affichaient sur leur profil les âges canoniques de, respectivement, 19 et 21 ans. Je ne vous explique pas le coup de vieux.

Nous leur avons répondu cordialement, mais nous n’avions pas vraiment l’intention de passer à l’acte avec eux : ils étaient définitivement trop jeunes pour nous. De fil en aiguille, la conversation s’emballant et devenant de plus en plus intéressante, ils nous ont proposé de se retrouver, le samedi soir suivant, dans un sauna échangiste que nous fréquentions tous les quatre (mais où nous ne nous étions jamais croisés).

Nous avons tout de même accepté. Après tout, nous ne forcions personne, c’était même eux, les jeunes, qui nous avaient abordés, puis invités. Anne et moi nous sommes retrouvés donc entièrement nus dans le jacuzzi de l’établissement libertin, attendant l’arrivée d’Eva et de Mickaël. Ces deux-là se sont fait attendre une bonne demi-heure, par rapport à l’horaire prévu.

Quand ils ont finalement débarqué, ils nous ont repéré tout de suite. Et ont enlevé leurs serviettes avant de nos rejoindre dans l’eau. Là, j’ai littéralement halluciné. Eva était très mignonne, certes, mais toute petite, toute menue, avec un tout petit cul et deux gougouttes à la place des seins.

Petits nichons pour une vraie chaudasse

Des allures de fillette, certes, mais, pardon, niveau tempérament, c’était autre chose. Après m’avoir laissé serrer la main à son homme, la coquine m’a salué d’un baiser sur la bouche, et s’est assise sur mes genoux, là, dans l’eau du jacuzzi. Le contact de sa peau, de ses petits nichons tout durs, j’ai eu immédiatement la gaule. Et elle l’a senti. Elle a posé sa main sur mon membre raide et a commencé une chaude caresse, dont la sensualité était relevée par le contact des bulles.

J’ai posé une main sur sa poitrine toute menue, une autre entre ses cuisses, qu’elle avait grandes ouvertes. De leur côté, Anne et Mickaël se roulaient déjà des pelles libidineuses. J’étais chaud comme la braise, mais pas autant que ma libertine de 19 ans : elle a eu un premier orgasme sous mes caresses, là, dans le jacuzzi !

« Toute relation sexuelle est interdite dans les bassins » nous rappelait un écriteau. Nous sommes donc sorti de l’eau, qui pourtant me permettait de dissimuler une érection déjà très prononcée. Nous avons filé tous les quatre dans le hammam. Là, de nombreux couples s’observaient tant bien que mal dans la demi-pénombre, n’osant rien faire.

C’est Eva qui nous a fait une petite place pour tous les quatre sur un des bancs. Tous les trois devrais-je dire, car elle s’est agenouillée devant moi et a commencé à me sucer. A ma droite, ma chérie et son chéri se chauffaient allègrement. A ma gauche, une dame de la quarantaine, assez ronde, avec d’énormes seins, attendait avec son mari.

D’un coup, Eva a abandonné ma bite pour aller se réfugier entre les épaisses cuisses de la libertine plus mûre et, sans demander son avis, lui a léché la chatte. La dame, qui s’est laissée faire avec délice, a pris le relais sur ma bite, pendant que je pelotais ses énormes nibards.

Eva avait lancé les choses. De proche en proche, l’atmosphère de partouze s’était répandue dans tout le hammam. Elle était ravie. Elle est revenue vers moi, m’a déroulé une capote sur la hampe puis s’est mise par terre, me tendant son petit cul prodigieux. Dans une chaleur écrasante, je l’ai baisée en levrette pendant de longues minutes.

Après cette première baise, nous avons rejoint les coins-câlins où, fidèle à ses habitudes, Eva est parvenue à entraîner de nombreux autres dans une orgie sexuelle insensée. Mais je devais lui plaire, car c’est moi qui ai pu, le plus, joué avec ses tétons aussi petits que sensibles.

Nous les avons revus plusieurs fois. A chaque fois, je culpabilise un peu sur son âge, d’autant qu’elle fait plus jeune que ses 19 ans. Mais, à chaque fois, je succombe aux charmes de cette gamine libérée et libertine à souhait et… à ses petits nichons bien fermes !!

Une maman très protectrice

Par Ahmed, 30 ans

A l’époque de l’histoire que je vais vous raconter ici, j’avais tout juste 19 ans. Ma petite copine du moment en avait 18, et elle était vierge. Il faut dire qu’elle était issue d’une famille assez catholique, mais qui ne voyait pas d’un trop mauvais œil que la petite dernière de la famille sorte avec un rebeu. Ses parents avaient respectivement 49 ans, pour monsieur, et 42 ans, pour madame.

Vous savez comment sont les jeunes 18-20 ans ?On ne pense qu’à ça. Et moi, j’avais envie d’un peu plus que des roulages de pelles, des pelotages en tout genre et des séances de frotti-frotta. Normal. Mais cette situation ne lassait pas d’inquiéter la maman, Irène, de ma petite copine, France.

Il faut bien avouer que je me montrais assez insistant envers France, que je sentais toute proche de céder à mes avances, autant à cause de son désir de sexe que de celui de faire plaisir à son petit copain. En plus, France, tout comme sa mère d’ailleurs, avait une poitrine qui faisait se retourner tous les hommes sur son passage. Deux magnifiques obus dont l’indécence tranchait avec l’ambiance très puritaine de cette famille.

Tout a commencé un après-midi, alors que je devais rendre visite à ma chérie, comme nous y autorisait ses parents, dans sa chambre, porte grande ouverte. Dans ses conditions, peu de chances pour moi d’arriver à mes fins.

C’est Irène qui ouvre, elle est en peignoir de bain. Femme au foyer, elle ne sort de chez elle que pour prendre le thé avec ses amies, des dames du même cercle social qu’elle. « Tiens, Ahmed ! France n’est pas là, elle ne t’a pas prévenu qu’elle restait à la bibliothèque toute la journée ? ». Non, elle ne m’avait pas prévenu. Je tourne les talons, mais la maman me retient par la manche.

« Viens, j’ai quelques mots à te dire… ». Aïe ! Voilà qui n’annonce rien de bon pour moi. Irène me parle de mes envies, de sa volonté de voir sa fille rester vierge jusqu’au mariage, puis elle conclut : « Mais je comprends bien qu’un jeune de ton âge éprouve de légitimes envies ». Sur ce, elle se lève. Sa robe de chambre est entrouverte. Je peux apercevoir ses deux grosses mamelles ballotter un peu.

Je vois aussi sa toison. Un beau pubis très noir et très fourni. Elle s’approche de moi, ainsi dévêtue. Elle pose sa main sur ma braguette et me sourit. Puis elle s’accroupit, là, juste face à moi. Sa robe de chambre est presque totalement ouverte. Elle sort ma bite de sa cachette et commence à me branler.

Branlé par cette maman aux gros nibards

Ma queue est raide. Et la maman vicieuse la frotte contre sa belle paire de nibards. Je n’ose rien dire, ni rien faire. Elle me branle de plus en plus vite, et me caresse les couilles avec l’autre main. Je suis en rut. Je reluque ses deux gros seins et sa branlette experte.

Ça y est, je décharge sur la grosse poitrine d’Irène qui, une fois passé mon orgasme, se relève. Elle me dit : « si ça devient trop pressant, si tu as envie de te vider les couilles, viens me voir, je préfère… ».

Je suis estomaqué d’entendre de tels mots dans la bouche d’Irène, mais comme elle est pleine de mon sperme, ça ne tranche pas vraiment avec l’ambiance générale. Je me rhabille et prend congé de la mère de ma petite amie.

Mais mon histoire ne s’arrête pas là. Car, en plus d’être bigote, Irène avait un seul autre défaut : elle était très bavarde. Et malgré sa bigoterie, elle avait tout raconter à ses fameuses copines cathos, qui, je l’apprendrai plus tard, n’étaient pas si catholiques qu’elles le prétendaient.

C’est donc, un après-midi où France avait du s’absenter suite à l’appel d’une copine que je suis tombée sur une réunion de ces dames, qui regardaient mon entrejambe plus que mes yeux. Elles m’ont posé tout un tas de questions sur moi, m’ont invité à partager une tasse de thé avec elles, puis m’ont proposé de me soulager de mes « tensions ».

Très vite, je me suis retrouvé entièrement nu, avec une demi-douzaine de femmes quadragénaires, parfois même quinquagénaires, toutes dévouées à préserver la virginité de France. Certaines d’entre elles, se sont même amusées avec des godes-ceintures, en attendant leur tour sur ma bite. J’ai joui tant et tant durant ces après-midis « thé » que je n’ai plus jamais insisté pour prendre le pucelage de ma petite amie de l’époque.

Un jour, France m’a quitté, apparemment triste du peu d’ardeur que je mettais à la convaincre de sauter le pas. Moi, je garde le souvenir de ces partouzes masturbatoires avec mes vieilles bigotes, vicieuses, en manque et bisexuelles, bref, pas si coincées que cela.

Ma cousine est une cochonne

Par Steve, 24 ans

Ah, les obligations familiales, quelle plaie ! Invité au mariage de ma cousine (pas la cochonne, une autre ;)), j’ai du quitter mes potes et mes vacances pour aller à l’autre bout de la France faire la bise à toutes les vieilles et tous les vieux de ma famille… Mais, vous savez quoi ? Je n’ai pas eu à le regretter.

Parmi les interminables présentations, les « si, souviens-toi, c’est la cousine du frère de la sœur de machin-chose », j’ai tout de même eu une bonne surprise. Parmi mes cousines se trouvait Erika, une splendide brune dont je ne me souvenais pas bien, à vrai dire.

Il faut dire qu’Erika a 9 ans de plus que moi, et que c’est une cousine issue de germain. Une grande gigue, pas loin du mètre 80, de beaux yeux noirs, une peau magnifique, de longs cheveux qui la rendent super sexy. Sans compter qu’elle porte, pour l’occasion, une superbe robe avec un décolleté plongeant qui met en valeur une poitrine opulente et rebondie.

Seule ombre au tableau : Erika est venue avec son mari. Ben oui, il y a toujours un mari dans ces cas-là. Un type sympa, ouvert, mais bon, j’aurais quand même préféré qu’il n’existe pas. On passe à la mairie, à l’église, tout le tralala, puis à table. Et là, coup de bol, je me retrouve assis à côté de ma jolie cousine.

Une fois l’apéro avalé, je m’aperçois qu’Erika se dandine bizarrement sur sa chaise. Je jette un coup d’œil rapide. Ce salaud de Thierry – c’est le prénom du mari – est en train de la peloter sous la table. De la peloter, voir même carrément de la masturber ! La vache, je bande comme un taureau en imaginant à quel point elle doit être en train de mouiller.

Merde ! Je suis repéré. Ils ont vu que je les ai vus. Et ils ne s’arrêtent pas de se tripoter, là, juste à côté de moi. L’entrée arrive : des huîtres. Putain ! Il faut la voir déguster ses coquillages, on dirait qu’elle bouffe une chatte ! J’en peux plus, j’ai la bite en feu. En plus, j’ai une vue plongeante sur ses deux grosses mamelles, à la cousine !

Je me lève. Il faut que j’aille aux toilettes, histoire de me calmer un peu. Cette salope d’Erika m’a mis dans tous mes états ! Je me demande si je ne vais pas carrément me branler, histoire de me retrouver plus serein. Je pousse la porte d’une cabine, j’entre, je ferme derrière moi. Ah ben non, quelqu’un pousse la porte à son tour, m’empêchant de fermer.

Quelqu’un, ou plutôt quelqu’une. Erika, évidemment ! Elle a un sourire pervers, des yeux brillants de cochonne en chaleur. Elle s’enferme avec moi et me met directement la main au paquet la cochonne… En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouve le nez dans ses nibards, elle a sorti ma bite tendue et me branle délicieusement.

Je veux lui rendre la pareille, je passe sous sa robe. Elle n’a pas de culotte. Attends, y a un fil qui dépasse de ta chatte, ma coquine ! Ah oui, ok, cette vicieuse a des boules de geïsha plantées dans la moule, c’est ça qui doit la transformer en chaudasse en manque !

Je fais de mon mieux pour lui faire du bien. Et ça marche, apparemment : elle se mord les lèvres pour retenir ses couinements de plaisir que, du coup, je suis le seul à pouvoir entendre. Et plus elle est proche de l’extase, plus elle me branle !

Je vais décharger, c’est sûr ! Pourvu que je ne salisse pas sa jolie robe. Non, la coquine a de l’expérience. Au moment où elle sent que je vais jouir, elle se fout à genoux, prend ma teub en bouche et avale tout, avec une gourmandise non dissimulée.

Erika se relève et quitte la cabine. Je tente de reprendre mes esprits. Je me lave un coup au lavabo puis je repars vers ma place à table. Merde ! Thierry a forcément du se rendre compte de quelque chose. Je vais me faire péter la gueule, c’est sûr.

Non, il est là, peinard, en train de boire du vin. Bien sûr, qu’il a tout compris. Pire ! C’est lui qui a manigancé tout ça, je le sens à l’air ravi qu’il prend quand il m’adresse la parole. Sur ce, la mère de la mariée vient nous voir. Elle est désolée, il y a eu un problème dans les réservations de chambres, à l’hôtel.

On va devoir, Erika, Thierry et moi, partager la même chambre pour la nuit. « Mais ça ne devrait pas poser de problèmes, entre cousins » lui répond du tac au tac Erika, avec son petit air habituel de Sainte-Nitouche, le joli masque de ma cousine cochonne préférée !

Je suis obsédée par les vieux

Je fantasme sur les vieux. Je suis même obsédée par les vieux. Les mecs de 60 ans, parfois plus, me font mouiller ma culotte. Je suis pourtant mariée, et fidèle depuis plus de dix ans. Mais, depuis quelques temps, je joue à un jeu que je trouve très érotique, et dont mon mari ignore bien entendu tout.

La journée, quand il est au travail (je suis salariée à mi-temps), je drague sur internet des messieurs de plus de 60 ans, et je les invite à me rejoindre chez moi. Mais attention, ils n’ont pas le droit de me prendre. Ce que j’aime, c’est les recevoir, nue, chez moi, et ils me surprennent en pleine masturbation avec un gros gode que je me suis acheté en cachette de mon homme.

Je suis nue sur le canapé, offerte, mon sextoy planté entre mes cuisses quand ils entrent chez moi. Je tripote mes gros seins, et j’aime quand ils se débraguettent et qu’ils se branlent à leur tout devant moi. Ils me regardent, je les regarde.

Parfois, quand l’un d’entre eux m’excite plus que les autres – je les aime poilus, un peu bedonnants, avec un regard vicieux, voire malsain – je le branle moi-même. Il m’est même arrivé d’en sucer un ou deux.

Je me fais jouir comme ça, les yeux rivés sur leur sexe, le plus souvent petit, et un peu mou. Eux ne me lâchent pas du regard, et quand ils sont sur le point d’éjaculer, je leur fais comprendre que j’aimerais recevoir leur sperme sur mes gros seins.

La sensation du sperme chaud de ces vieux salauds sur ma peau me procure une joie, un sentiment de plénitude que je n’avais jamais connu avant, même quand je fais l’amour avec mon mari qui, je dois le dire, un très bon coup au lit, comme on dit.

Une fois, j’ai reçu un monsieur qui devait avoir au moins 70 ans. Il avait un sexe énorme, très raide, très dur ! La vue de cet énorme membre m’a donné des envies encore plus perverses que d’habitude. Je me suis face à lui, et je l’ai branlé entre mes seins.

Ça a duré comme ça un long moment, moi plantée sur mon gode, lui se faisant plaisir en coulissant sa verge entre mes deux mamelles. Il grognait, me traitait de tous les noms, et ça m’a fait jouir. Puis il s’est répandu sur ma poitrine, et la giclée de son sperme a atteint mon menton.

J’ai récolté sa semence avec le bout de on doigt, et je l’ai portée à ma bouche. J’avais l’impression d’être une pute et ça m’excitait terriblement. Et voilà que, il y a une semaine, j’ai de nouveau croisé sa route dans la rue. Je l’ai reconnu, je suis certaine que lui aussi. J’ai cru jouir rien que de l’apercevoir, surtout que j’étais accompagnée de mon mari.

Bien sûr, j’ai eu peur qu’il ne vienne me parler de notre aventure, là, devant mon homme, mais cette peur a été plus excitante qu’autre chose. Bien entendu, il a passé son chemin, sans mot dire. De toute façon, je sais quel site il fréquente, je sais comment le retrouver.

Je crois que, très bientôt, je vais l’inviter à nouveau chez moi. Mais cette fois, il aura le droit de faire tout ce qu’il voudra de moi et de mon corps. Je rêve de sa longue bite presque toutes les nuits, je n’y tiens plus !

Comme d’habitude, je l’accueillerai chez moi, je serai totalement à poil. Mais, cette fois, je voudrais qu’il me baise, qu’il me fasse sentir sa longue verge au fond de mon vagin, au fond de ma gorge et – pourquoi pas ? – au fond de mon anus. Ce monsieur m’obsède, je veux être à lui, je veux qu’il me traite comme une salope en chaleur.

Mais, j’y pense, à me comporter ainsi, à m’exhiber devant tous ses vieux cochons, ne serais-je pas déjà devenue une salope en chaleur ? Oui, c’est vrai, j’ai honte de mon comportement. Mais dès que des envies salaces envahissent mon ventre, picotent mon entrejambe, remontent le long de mes cuisses, je ne suis plus tout à fait la même, je ne me contrôle plus.

Je ne sais pas si je dois voir un psy. Ou simplement tenter d’arrêter tout ça par mes propres moyens. Parfois, je me dis que, tout simplement, c’est ma nature de faire des choses semblables, et que je ne peux pas lutter contre mes instincts les plus bas.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

Par Andréa, 39 ans

Exhibée à la webcam par mon mari

Je suis prête à tout pour garder l’amour de mon mari. Richard est beaucoup plus âgé que moi et il me comble à tous les niveaux, matériellement, intellectuellement, sexuellement. J’ai 24 ans, c’est vrai que je pourrais être sa fille. Blonde, les cheveux mi-longs, je prends soin de mon corps pour pouvoir le satisfaire encore longtemps. Mais surtout, quand il est question de sexe je cède à tous ses caprices de mâle pervers.

C’est pour ça que je suis devant cette webcam ce soir. C’est plus qu’une webcam d’ailleurs. Richard a un ordinateur dernier cri équipé du meilleur matériel. La qualité obtenue est bluffante. Ce doit être un vrai régal pour les voyeurs qui m’observent depuis leur salon, la bite à la main.

Sur les conseils de Richard, sur son ordre devrais-je dire, j’ai quitté mes vêtements. Je porte une simple combinaison de nylon trouée aux fesses et  à la chatte. Deux autres petits orifices laissent passer les tétines de mes seins, percées chacune d’un anneau, une autre concession aux exigences de mon homme.

 Ca fait déjà une demi-heure que je suis devant la caméra à me tripoter pour des gens que je ne vois pas. Richard me l’a interdit. Il dit que comme ça c’est plus excitant. J’ai juste le droit d’entendre les remarques des hommes, mais aussi des femmes qui me matent.

« Vas-y suce le bout de tes seins, tire dessus avec tes lèvres, mords-les un peu ! » me lance une voix plus toute jeune.

Je m’exécute alors qu’une autre m’ordonne de me caresser la chatte. Je dois me lever, mettre un pied sur la table où est posé l’ordinateur et écarter mes lèvres vulvaires  pour que le gars puisse « voir à l’intérieur ». Puis je dois y mettre un doigt, deux, trois, presque la main entière.

Une femme me demande de me tourner, de faire voir au public « mon gros popotin ». C’est vrai que mes fesses sont amples et que ma taille fine les fait bien ressortir. Je me tourne, exhibe mon cul.

Vidéo porno du récit Exhibée à la webcam par mon mari

« Maintenant, mets-un doigt dedans ! » me lance la même voix féminine. J’entends des hommes qui ricanent. « Oui, oui, doigte-toi le cul ! »

C’est facile, ma main vient juste de sortir de ma chatte, elle est toute trempée et, pour être honnête, mon cul a l’habitude de ce genre de visite, et même de bien d’autres calibres. Pour faire plaisir à mes voyeurs et voyeuses, je tire sur une de mes fesses avec ma main restée libre, je m’ouvre du mieux que je peux pour qu’ils puissent voir mon trou. Mon doigt tourne d’abord autour de ma rondelle, je reprends du jus à la source de ma chatte, m’en oint l’anus. Mon doigt entre, je fais du zèle, j’en mets deux ; ils entrent, ils sortent, ils entrent, ils sortent… Ca me fait jouir, c’est la première fois de la soirée mais sans doute pas la dernière. Richard me l’a dit, ce soir il a donné rendez-vous à tout son carnet d’adresse pour voir « Sa petite salope qui se touche gratuitement sur le web. »

Une étudiante bien vicieuse

Je me prénomme Laura et je suis une jeune étudiante de 19 ans, en première année de fac de droit. Je dois vous avouer que les études ne sont pas ma préoccupation principale dans la vie. Personnellement, ce que j’apprécie plus que tout, c’est le sexe. Déjà bien plus jeune je matais des films pornos sur l’ordinateur familial en cachette, quand mes parents n’étaient pas là. Le soir, dans ma chambre, il m’arrivait de regarder des DVD cochons pour m’exciter et je me masturbais parfois pendant des heures dans mon petit lit avant de finir par trouver le sommeil.

L’époque où je me faisais jouir toute seule est terminée, maintenant  je ne manque pas de partenaires sexuels. Je fais l’amour avec des hommes, avec des femmes, parfois même avec les deux en même temps. Si vous êtes d’accord, je vais vous raconter quelques-uns de mes souvenirs de baise les plus inoubliables. Je reviendrai de temps à autres pour vous tenir au courant de mes aventures sexuelles. Il m’en arrive tant et de tellement variées. Quand elles ne se produisent pas toutes seules, je m’arrange pour les susciter.

Avant d’être majeure, je baisais déjà avec des petits copains, mais pas si tôt que ça quand même. J’ai été déviergée juste avant mes 17 printemps par un copain de mon frère du même âge que moi. Si ça n’avait tenu qu’à moi, j’aurais vraiment eu envie de multiplier les aventures avec des hommes plus âgés que moi mais j’avais décidé, à contrecœur d’être raisonnable car j’avais un peu peur de les embarrasser si leurs relations avec une fille mineure venaient à être connues dans leur entourage.

Alors, je laissais libre cours à mes fantasmes en m’imaginant faire l’amour avec des amis de mon père ou des professeurs et je me masturbais toute seule en imaginant la grosse bite qu’ils cachaient sous leur pantalon. Ca me faisait toujours beaucoup mouiller de m’imaginer agenouillée devant l’un d’eux, occupée à téter leur gros bout tout en leur flattant les couilles comme je l’avais vu si souvent faire par des actrices pornos dans les vidéos  que je matais dans le secret de ma chambre comme une étudiante bien vicieuse…

Vidéo porno du récit Une étudiante bien vicieuse

Ma défloration s’est déroulée le plus naturellement du monde et dans les meilleures conditions. En fait, pour être honnête, je n’étais déjà plus réellement pucelle, le beau godemichet que je m’étais fait livrer par correspondance en profitant des congés de mes parents pour le recevoir discrètement avait déjà fait le travail depuis un bon moment.  J’adorais me l’enfourner dans la chatte, le faire glisser longuement entre mes lèvres jusqu’à ce qu’il me fasse jouir. Je le mettais moins souvent dans mon cul, mais c’était toujours en feuilletant une revue pornographique cachée sous les draps. Je le faisais coulisser longtemps  dans mes orifices jusqu’à ce qu’il me fasse enfin jouir dans un long feulement de bonheur.

Antoine, le garçon qui m’a niquée pour la toute première fois était loin d’être un amant exceptionnel, mais c’est une chose que j’ai réalisée seulement bien plus tard, en baisant avec des hommes d’expérience, ceux-là même qui nourrissaient mes fantasmes de lycéenne puis d’étudiante depuis plusieurs années.  Je lui suis tout de même reconnaissante de m’avoir fait l’amour en y mettant autant de sensualité que de conviction et. Et oui, vous verrez, il m’arrive parfois d’être plus romantique qu’on ne pourrait le croire au premier abord.

Après le passage de ce cap nécessaire, j’ai encore fait l’amour quelque fois avec Antoine mais ce n’était décidement pas mon type d’homme et notre histoire s’est arrêtée assez vite.

Ensuite, j’ai  connu deux autres jeunes camarades de lycée, tous mineurs comme moi. J’avais hâte de ne plus être limitée dans le choix de mes partenaires. Dès que mes 18 ans ont été là, je me suis mise à rechercher des partenaires plus mûrs, plus disposés à assouvir avec passion mes fantasmes et mes désirs les plus inavouables de jeune fille. Ca a été le début d’une période faste pour moi, période qui se prolonge encore aujourd’hui et dont je viendrai vous conter les péripéties à l’occasion si vous le voulez bien.

Masturbée par mon oncle

J’ai un peu honte de vous raconter cette histoire mais je ne peux plus me taire. Il faut que j’en fasse part à quelqu’un. Comme je ne peux décemment pas me confier à une personne de ma famille ou de mon entourage sans passer pour une traînée, j’ai décidé de l’écrire et de vous la livrer à vous, lecteurs anonymes et compréhensifs.
C’est arrivé la semaine dernière et depuis je ne dors plus. J’espère que cette confession me permettra de retrouver la quiétude et le sommeil.
Le mari de ma tante, la sœur de ma mère, m’a masturbée. J’ai 18 ans et il pourrait être mon père. Ce n’est pas un homme très beau, il est même plutôt grassouillet et légèrement chauve. J’avoue qu’il a cependant un petit charme, sans doute car il est toujours très à l’aise en société.
Ça s’est passé dans les WC de notre maison de campagne. J’étais assise sur la cuvette pour faire un petit pipi et me caresser comme je le fais souvent mais j’avais oublié de tirer le loquet de la porte. Mon oncle a ouvert et s’est trouvé face à moi, qui n’en menais pas large, la main passée entre mes cuisses, les doigts dans la chatte.
Il a tout de suite compris ce qui se passait et au lieu de faire demi-tour, il est entré et à fermé la porte. Je ne savais pas comment réagir mais de toute manière il ne m’a guère laissé de temps. En souriant, il s’est avancé et a pris mon poignet dans sa main. Il a lentement commencé à le faire bouger.
J’étais toujours incapable de la moindre réaction et je me suis laissé faire. C’était un peu comme dans un rêve mais comme j’avais honte j’ai fermé les yeux tout le long de la branlette de mon oncle.
Il faisait maintenant aller et venir mes doigts dans ma chattoune. J’entendais le clapotis que ça faisait et lui aussi devait l’entendre. Je sentais mes joues qui rougissaient et j’ai encore eu plus honte quand de mes lèvres est sorti un petit gémissement que je n’ai pas pu retenir.
Vidéo porno du récit Masturbée par mon oncle
La tête légèrement renversée en arrière, les cuisses ouvertes, j’ai senti passer l’autre main de mon oncle entre mes jambes. Elle est venue se joindre à la mienne et peu à peu investir mon intimité. Mon oncle a commencé à écarter mes petites lèvres et son gros pouce s’est posé sur mon clitoris qui était extrêmement sensible. Il s’est mis à le frotter doucement puis a introduit son index et son majeur dans ma fente. J’avais quatre doigts dans mon trou, les deux siens et deux des miens. C’était plus que je n’en avais jamais fourré dedans en me masturbant.
J’ai mis quelques dizaines de secondes pour jouir, pas plus. C’était bien trop excitant pour que je puisse me retenir. Je me suis mordu les lèvres pour ne pas crier, de peur d’alerter le reste de ma famille qui ne se trouvait pas très loin.
Mon oncle est sorti sans un mot mais avec un sourire que je ne parviens pas à oublier depuis, celui-là même qui m’empêche de dormir. Je n’ose imaginer le moment où je me retrouverai de nouveau face à lui.

Branlée en public

Hier après-midi, j’étais de sortie avec mon mari. Ça nous arrive de temps en temps, pendant que les enfants sont à l’école. Nous aimons bien nous promener tous les deux, comme aux premiers temps de notre amour. Le printemps vient de commencer et je me sens d’humeur bucolique mais aussi très câline. C’est sans doute pour cela que les choses ont rapidement tourné au sexe avec mon époux.

Toi aussi tu veux voir des nanas se branler pour toi ?

Il y a dans notre petite ville un jardin public particulièrement fréquenté par les gardiennes de jeunes enfants dès que les premiers beaux jours sont de retour. Après avoir pris un verre sur une terrasse, nous nous y sommes rendus avec Paul, mon mari. C’est à chaque fois une sorte de pèlerinage pour nous car nous avons beaucoup fréquenté ce parc avant de nous marier et de fonder une famille.

Nous nous sommes assis sur un banc. Paul s’est tout de suite montré très tendre avec moi. Je crois que lui aussi ressentait les premiers effets du printemps. Il me tenait par l’épaule d’une main, l’autre étant posée sur ma cuisse. J’ai tourné la tête vers lui et nous nous sommes embrassés fougueusement. Autour de nous, des femmes plus ou moins jeunes papotaient en jetant de temps à autre un œil sur les enfants dont elles avaient la garde.

Notre baiser a duré longtemps. J’étais un peu gênée de faire ça devant les gens qui se trouvaient là mais en même temps j’avais terriblement besoin de l’affection de mon époux. Nos langues s’emmêlaient comme si elles avaient été trop longtemps séparées l’une de l’autre. Ça commençait à me faire de l’effet entre les cuisses, d’autant plus que les doigts de Paul couraient le long de mes jambes, s’aventurant de plus en plus haut vers mon ventre.

Branlée dans le jardin public

A un moment, mon mari se saisit de la veste qu’il avait posée à côté de lui et la jeta discrètement sur mes genoux. Il remit presque aussitôt sa main en place et recommença à jouer sur ma peau. Je portais une jupe assez courte qu’il avait maintenant presque remontée entièrement sur mon ventre. Je faillis laisser échapper un petit cri quand il posa ses doigts sur mon slip. J’avais aussi un peu honte car j’étais certaine qu’il sentait l’auréole de mouille qui avait commencé de se former sur ma culotte.

La pression de ses doigts se fit plus intense sur ma chatte. Il se mit à les faire tourner puis passa carrément ses phalanges sous l’élastique de mon slip. Nous ne nous embrassions plus et j’avais du mal à retenir les gémissements qui ne demandaient qu’à sortir de ma bouche, fort humide elle aussi. Pour ne pas prendre de risque, je collai à nouveau mes lèvres contre les siennes.

En 5mn, rentre en contact avec des salopes bien trempées…

Paul me fouillait maintenant la fente. Ses doigts devaient être trempés. Il en avait introduit trois dans mon trou et me pistonnait le plus discrètement possible. Malgré cela, sa veste avait tendance à bouger sur mes cuisses. J’étais très excitée à l’idée qu’une des gardiennes ou des jeunes mamans présentes sur les bancs d’à côté pourraient soupçonner ce qui était en train de se passer en moi.

La main de mon mari me fouilla ainsi pendant quelques minutes. J’étais habituée à ce genre de caresses, mais pas dans ces conditions là. Quand le pouce de Paul se mit à glisser sur mon clitoris, il ne me fallut pas plus de quelques secondes avant qu’un orgasme ravageur me submerge. Mon cri de plaisir s’étouffa heureusement dans la bouche de mon branleur.

Quand nous quittâmes le jardin public, il me sembla que tous les regards étaient braqués sur nous. C’était sans doute une fausse impression due à la culpabilité que j’éprouvais alors. Mais le clin d’œil d’un jeune rousse assise juste en face de notre banc, lui, était bien réel. En rentrant  à la maison nous avons fait l’amour comme des fous.