Mon patron est un gros cochon

Mon patron est un salaud, un cochon de la pire espèce. Je m’en doutais depuis un bon moment et j’avais été prévenue par plusieurs de mes collègues, mais là, j’en suis certaine. Et l’aventure qui m’est arrivée avec lui il y a quelques jours n’est pas pour rien dans mes certitudes !

Au départ quand j’ai été engagée dans cette société de ventes par correspondance, en tant qu’assistance, j’ai cru que la réputation du bonhomme était plus liée à une attitude générale qu’à de réelles pratiques. Ce n’est qu’à la fin de ma période d’essai que j’ai compris ce qu’il en était.

Je vous présente d’abord le personnage. Richard, c’est son prénom, est un petit bonhomme à la quarantaine bedonnante. Moche, pour ne pas dire pire, il transpire constamment. Au moindre effort, sans doute en raison de sa masse adipeuse, il sue comme un bœuf. Vous voyez un peu le tableau, un gros cochon…

Ajoutez à cela qu’il reluque toutes les femmes avec un air libidineux, la plaisanterie graveleuse au bord des lèvres, vous comprendrez qu’il n’a rien, mais alors rien du tout d’un Don Juan. Pire ! Ce gros porc a sur son bureau toute une collection d’articles qui nous sont revenus, tous dans le genre porno. Le pire d’entre eux est un énorme fleshlight que tout le monde le soupçonne d’utiliser régulièrement, là, sur son lieu de travail.

Il y a quelques jours, donc, j’ai été convoquée dans le bureau de Richard. Ma période d’essai prenait fin, et je craignais pour mon job. Je m’étais habillée un peu sexy, ce matin là, histoire de mettre toutes les chances de mon côté.

J’arrive donc dans le bureau du boss. Il est en sueur. Il touche du bout du doigt son sextoy. J’ai un haut le cœur en le voyant faire et en imaginant sa bite dedans, et tout ce qu’il a pu y laisser. Berk ! Richard me salue rapidement, le nez dans ce qui doit être mes fiches d’évaluation. Je sais qu’elles sont bonnes, c’est ma tutrice d’entreprise qui me l’a dit.

« Voilà qui n’est pas exceptionnel, mademoiselle, vos évaluations sont mitigées » affirme t-il pourtant. Je suis estomaquée de son culot. Mais il continue : « à ce stade, je ne sais pas si je peux vous garder avec nous ». Il agite ses doigts sur le fleshlight. C’est écœurant.

Je ne sais pas quoi lui répondre. Il ne se décourage pas pour autant. Je le vois pianoter sur son ordinateur. Tout à coup, des bruits de baise en surgissent. Il est en train de regarder un porno, là, devant moi, ce salopard ! Richard saisit son fleshlight et le laisse disparaître sous son bureau.

Il me fixe droit dans les yeux et, l’air de rien, commence à se branler devant moi. Je n’en reviens pas. Je suis dégoûtée, mais, en même temps, j’admire son cran. « Peut-être pourriez-vous me prouver que vous pouvez vous rendre vraiment utile ici ? ». Il me met au défi.

Non seulement j’ai vraiment besoin de ce taf, mais en plus je dois dire que la situation me met dans un état assez particulier. Je m’approche de lui, fais le tour du bureau et arrive à portée de ses grosses paluches. Il passe sa main moite sous ma jupe et saisis mes fesses. Il se masturbe toujours. Je me laisse faire.

Sa main vient vers ma chatte. Elle doit déjà être un peu humide, elle aussi. Mais cela ne l’intéresse pas plus que cela. « C’est bien, maintenant, mets-toi à genoux, ma petite » me dit le cochon. Je m’exécute. J’ai le nez quasiment collé à son masturbateur. Il en sort sa pine.

Un énorme gland, une hampe large, très droite, asse courte mais épaisse, se dressent devant moi. Sans hésiter, je l’entoure de mes lèvres et lui, vicieux, m’enfonce sa queue jusqu’au fond de la gorge. Il sent bien meilleur que ce que j’aurais pensé. Et me voici en train de creuser les joues et de jouer de la langue autour de cette bite à l’odeur de vanille. J’aime plutôt ça. Il a glissé ses mains sous mon haut, dans mon soutif, et me pelote les seins pendant que je le pompe.

Je pompe la queue de ce gros cochon

Au bout de longues minutes à me limer la bouche en me pinçant les tétons, Richard se met à grogner. Il décharge au fond de ma gorge, en m’ordonnant de tout avaler. Je me réajuste un peu puis je prends la direction de la sortie, en m’entendant dire que, bien entendu, mon contrat d’embauche sera validé par ses soins.

Étrangement, je ne me sens même pas mal d’avoir accepté cette pipe en échange d’un job. Au contraire, je suis même un peu excitée. Que les petits patrons qui lisent mes lignes ne se sentent pas encouragés à agir ainsi, mais je crois que, même si mes jours dans la boite sont désormais assurés pour un bout de temps, je retournerai bientôt sucer la bite épaisse du patron.

Le vieux cochon du métro

Je ne sais pas ce qui m’a pris, ni pourquoi j’ai eu envie d’aller au bout du jeu, ce jour-là avec ce vieux cochon dans le métro… Je vous explique : je m’appelle Nathalie, j’ai 21 ans et je suis étudiante à Paris, même si je suis originaire d’une petite ville de province que je ne citerai pas. Comme toutes les filles, il m’arrive de me faire bousculer dans le métro, aux heures de pointes.

Quand je dis  » bousculer « , c’est pour ne pas dire plus. En fait, de nombreux mecs profitent de la situation, des corps serrés dans la rame, pour vous peloter un peu, ou pire ! Il faut dire que j’ai une poitrine assez énorme, qui me complexe beaucoup, mais qui a plutôt tendance à attirer les pervers. Comme ce monsieur noir, d’une soixantaine d’années, qui, un matin, s’est retrouvé collé à moi sur la ligne 7.

Au début, j’ai cru que ça n’était pas volontaire. Mais, très vite, je me suis fait une raison : il plaquait sa poitrine contre la mienne à la moindre occasion et louchait sur mes seins, alors que, pourtant, je n’étais vraiment pas en décolleté. J’ai fait comme à mon habitude : je l’ai fixé dans les yeux. En général, ça suffit. Le pervers baisse les yeux et se met à regarder ses chaussettes, tout en s’éloignant de moi.

Mais là, pas du tout ! Le vieux black a même du prendre ça pour une invitation, puisqu’il s’est mis à soutenir mon regard avec un large sourire aux lèvres. Le comble, c’est qu’il y a eu un mouvement de foule juste à ce moment, qui m’a amenée à me coller encore plus à lui. Il n’en fallait pas plus pour l’encourager à me mettre la main au cul.

Contrairement à d’autres vicieux du métro, il ne me pelotait pas vraiment, il me caressait plutôt les fesses, avec une certaine douceur. Pas la main au panier brutale et vulgaire, non, une espèce de caresse tendre et respectueuse, si je puis dire. J’ai de nouveau regardé mon agresseur : il m’avait l’air sympathique, tout à coup.

Nouveau mouvement de foule. Il relève sa main. Cette fois, il me touche clairement les seins. Et moi, je ne sais pourquoi, je me laisse faire. En d’autres circonstances, il se serait pris une paire de gifles et on n’en parlait plus ! Mais il avait une façon de faire ça, presque innocente. Messieurs, je vous prie de croire que je ne vous raconte pas cette histoire pour vous encourager à agir de la sorte : les peloteurs du métro devraient être envoyés quelques jours en taule, ce serait mérité !

Pour dire que je ne savais pas ce qui m’arrivait. J’avais envie de le laisser en profiter. Et même, je commençais à mouiller. De toute façon, j’approchais de la station de ma fac, j’allais bientôt descendre alors pourquoi ne pas le laisser se faire ce petit plaisir ?

Sauf qu’à la station Censier-Daubenton, il est descendu également. Et m’a suivi dans l’escalator. J’ai allongé le pas pour me réfugier dans l’université, mais je sentais qu’il était toujours là, derrière moi, à distance. Je suis entrée dans la fac par l’escalier de la bibliothèque universitaire et je suis partie directement pour les toilettes des filles.

Là, je me suis enfermée dans une cabine et j’ai attendu. Il me fallait reprendre mes esprits et mon souffle. Quand on a frappé à la porte, j’ai ouvert sans réfléchir. C’était lui. Il souriait à belles dents. Je l’ai dévisagé, j’aurais presque eu le temps de compter les rides sur son visage. Il a porté sa main à son entrejambe et m’a demandé, avec un fort accent africain :  » bonjour mademoiselle, tu as envie ? « .

Et oui, j’avais envie. Je me suis écartée pour le laisser entrer dans la cabine. Je me suis baissée et j’ai ouvert la braguette du vieux cochon. J’ai eu du mal à en sortir l’engin qui y dormait. Il était énorme. Une gigantesque bite noire, très longue, très épaisse, tendue comme un arc.

Il a caressé mes seins sous le t-shirt, et je l’ai branlé. Ça a duré comme ça de longues minutes, jusqu’à ce qu’il se débarrasse de mon haut et de mon soutif pour téter mes mamelons à pleine bouche. Je branlais son énorme queue et je me masturbais en même temps. Je voyais ses rides, son cou de vieux et ça m’excitait. J’ai eu du mal à contenir un cri lorsque l’orgasme est arrivé. Lui, il a joui de longs jets de foutre blanc qui se sont répandus sur mon jean. Il m’a déposé un baiser sur les lèvres, s’est réajusté et est parti.