Il m’est arrivé un truc de fou la dernière fois que je dois vous raconter. Il n’y a qu’ici que je peux me livrer, c’est tellement chaud et interdit que je ne peux pas parler de ça avec mes potes ou quelqu’un de ma famille. J’ai fait des cochonneries avec ma propre cousine. Oui, vous avez bien lu, ma couze ! Je vous jure, je ne suis pas un mytho !
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En fait, je regarde beaucoup de porno comme tous les mecs de 18 ans. J’ai vu la scène d’un gars qui comme moi bande pour sa cousine. Bien entendu, il finit par se la taper. Je sais que c’est du fake, mais ça m’a donné des idées. Ma couz est grave bonne, blonde, fine, petit cul, gros nichons, tatouée et sapée comme une salope avec des leggings qui lui rentre dans la fente. L’autre jour, je lui demande si elle peut me déposer chez un pote. Je n’ai pas le permis, et il arrive qu’elle me rende service vu qu’elle habite à 5 minutes de chez moi. Elle me récupère donc chez moi et nous prenons la route. En chemin, alors qu’elle est concentrée sur la route, je sors mon téléphone pour filmer mon exploit. Je déballe ma queue et commence à me branler sur elle, juste à côté sur le siège passager. Je ne sais pas à quoi j’ai pensé en espérant qu’elle ne me capte pas, mais au bout de deux minutes, elle tourne forcément la tête et me grille en live avec la teube en main. Je débande sur le coup et deviens aussi rouge que mon gland ! Je vois alors qu’elle ne prend plus la route convenue, mais m’emmène sans dire un mot dans un petit chemin forestier puis se gare. Elle me regarde. J’ai toujours la queue en main.
Elle m’ordonne de continuer à me branler, et me dit qu’elle sait très bien que je fantasme sur elle. Je ne comprends pas trop ce qu’il m’arrive, mais j’exécute les ordres de ma tendre cousine et me branle le nœud de ma main forte. Elle me regarde tout en se léchant les babines puis sort ses nichons et se les pressent l’un contre l’autre. En voyant les seins de ma cousine, la fille de mon oncle, un afflux violent de sang se pointe dans ma hampe pour me filer une érection encore plus intense. Je n’y crois toujours pas. Elle baisse son legging et tire son string sur le côté. Je découvre sa petite chatte toute rasée. Je n’en peux plus et me jette dessus. Je lui bouffe complètement le minou. Ma langue la pénètre, j’adore son petit goût musqué.
Je me branle et doigte ma couze !
Je me branle toujours en même temps et j’en profite pour lui glisser un doigt dans le cul. Je l’enfonce jusqu’au bout. Son fion est chaud et serré. Je sens les muscles qui se resserrent dessus à mesure que j’intensifie mes va-et-vient. Je lui baise complètement le cul avec mon doigt. Je lui demande alors si je peux la baiser, car je n’en peux vraiment plus. « Non, tu ne me niqueras pas aujourd’hui cousin, je veux que tu te finisses juste sur mes fesses! ». La salope… J’ai trop les nerfs, mais je ne vais pas la violer non plus. Elle se met à genoux sur le siège conducteur, les jambes collées l’une à l’autre, puis se tourne et me présente son derrière lisse et bombé. J’ai les crises de ne pas pouvoir y foutre mon chibre, mais que voulez-vous, elle fait exprès, c’est sa manière de me punir. Je prends ma queue à angle droit et me branle avec frénésie sur ce magnifique boule tendu. Ça ne dure pas deux minutes que je gicle comme un porc et recouvre les grosses fesses de ma couze. Elle m’a promis de ne rien dire si je faisais de même. J’ai hâte qu’elle me dépanne à nouveau…