Ma baise avec une superbe black

Salut à tous, je suis François, un mec de 35 ans. Je suis assez à l’aise avec les femmes, mais j’ai toujours eu peur de m’engager, du coup je préfère enchaîner les plans culs. Le soir, je vais souvent rôder sur un site de rencontre, et c’est là que j’ai rencontré Yamina, une superbe black un peu plus jeune que moi. Elle ressemblait vraiment à l’africaine typique, black de chez black, avec des gros nichons et un cul super rebondi.

Tu cherches une rencontre hard avec une JF black de ta région ?

Le soir même, elle était devant ma porte. J’ai eu du mal à voir son visage dans la pénombre du palier, tellement elle était black, et je l’ai invité à entrer pour se mettre à l’aise. Elle était mignonne comme tout. Sa bouche pulpeuse me donnait déjà des idées cochonnes. Nous nous sommes installés sur le canapé pour boire un coup tout en discutant. Avant même que je ne finisse mon verre, la black salope était à genoux entre mes jambes. Elle me baissa le jeans et le slip sans aucun ménagement, dévoilant ainsi ma queue à moitié bandée.

Pompé par cette superbe black !

Elle me saisit la hampe fermement pour commencer à me branler lentement. Je voyais son visage juste derrière mon engin, je n’avais qu’une envie: que mon chibre disparaîsse dans sa grosse bouche d’africaine. Elle a commencé à me faire des bisous sur la tige, de plus en plus baveux. Elle ouvrit les lèvres et avala entièrement mon noeud jusqu’à la garde. Yamina était assurément une experte en pipe, car elle me pompa comme une déesse pendant près d’une heure.
Je me retenais de toutes mes forces pour ne pas gicler. C’était trop bon d’avoir cette black faire l’aspirateur sur mon sexe. Je voulais maintenant moi aussi lui donner du plaisir, mais Yamina ne voulait pas me lâcher la pine. Je lui ai donc proposé un petit 69 pour faire plus ample connaissance. Elle se positionna avec son gros fion sur mon visage. Sa chatte était black à l’extérieur et rose à l’intérieur, quel délice. Ça sentait un peu l’africaine mais je suis allé au charbon sans me poser de questions et je l’ai enculée et baisée avec ma langue.

Je voulais la niquer, je ne tenais plus. Je me suis mis sur le dos, et la superbe black en manque, super chienne à présent, est venue se ficher sur mon drapeau. Elle a commencé à dandiner du cul sur ma grosse torpille, relâchant le rythme de temps à autre pour repartir de plus belle. Elle coulissait bien sur mon chibre et commençait déjà à pousser des cris comme une hystérique en pleine crise. C’est le moment que j’ai choisi pour la foutre sur le ventre et venir lui péter la chatte par-derrière. Son gros fion me faisait bander encore plus fort, et cette levrette à plat fut un véritable plaisir. Je la tamponnais comme jamais. J’étais essoufflé, mais je continuais d’y aller encore plus fort, plus vite et plus loin. Sans pouvoir me contrôler, j’ai chopé un orgasme de dingue à m’en tordre les orteils. Je n’ai même pas eu le temps de me retirer pour lui inonder les fesses, et j’ai tout lâché à l’intérieur de sa petite chatte exotique. Je ne portais pas de capote et c’était encore meilleur de sentir sa vulve vibrer sous mes lampées de foutre. Nous avons encore baisé deux ou trois fois cette nuit-là, puis Yamina, ma première superbe black, est rentrée chez elle.

Une panthère noire attaque !

Ses yeux noisette, son sourire parfait, ses lèvres séduisantes, son teint noir laquée sur une peau douce… Une vraie panthère noire… Tout chez cette jeunette de 25 ans était attirant, même sa voix était si sexy. De ma vie, j’avais rarement vu une femme aussi exotique et excitante. Son sex appeal était incroyable et à mesure que je lui prenais des clichés dans des positions subversives, mon pénis n’arrêtait pas de prendre des coups de sang et je faisais de mon mieux pour dissimuler son agitation à travers le bermuda que je portais. J’allais définitivement perdre le contrôle lorsqu’elle se mît en levrette pour que je prenne des images en gros plan de son cul rebondissant mis en valeur par un string magnifique assorti d’un soutif. Puis, elle se changea pour la huitième fois et se vêtit d’une autre lingerie coquine. Je pris encore des clichés pendant une demi-heure environ.

La séance terminé, Roseline, c’est ainsi que s’appelait ma « panthère », vint voir, en lingerie de charme, toutes les photos que j’avais prises et ensemble nous sélectionnions les meilleurs. Pendant que nous accomplissions le tri, elle posa, de manière anodine sa main par-dessus mon épaule gauche, moi étant assis et elle debout. Ce touché me donna un frisson qui me traversa le corps de la tête au pied avant de se focaliser sur mon sexe qui allait définitivement se mettre à tanguer comme une perche.

Mon hôte avait bien remarqué la bosse au niveau de la braguette, je l’entendis sourire. J’avais honte de moi, honte de ne pas pouvoir me contrôler. Mais, il faut dire que c’était bien la première fois que je faisais des photos aussi sexy avec une bombe sexuelle.
En fait, Roseline, consciente de son corps de rêve et de son postérieur irrésistible, s’était monté un business, à la demande d’un blogueur de site de charme, consistant à lui fournir des photos coquines pour animer son site. Elle envisageait aussi de monter un booking pour poser pour des marques de lingeries fines.

Le fait de me faire démasquer par Roseline, fit tomber toute l’excitation qui m’ébranlais. Je n’osais même pas la regarder dans les yeux. Lorsque nous finîmes le tri, je l’entendis me dire qu’elle était prête pour la suite.

– La suite ? Quelle suite ?
– J’avais aussi besoin de prendre des photos nu, à refiler à un client qui paie gros. Ça m’étonne que tu aies cet air étonné, pourtant je crois te l’avoir dit.
– Visiblement tu as omis de me le dire.
– Allez s’il te plaît Louis, fais pas ton ronchon.
– Ok, c’est bon on le fait.

Évidemment que j’avais envie de la voir à poil, mais en même temps, j’aurais aimé éviter car je sentais bien que je n’allais pas être indifférent à la vue de son corps dans le plus simple appareil.
Elle opta pour une photo de son vagin en gros plan, en premier. Elle prit ensuite son index et se l’enfila dans la vulve, là encore j’en pris une image, puis une autre aussi excitante que la première. Je gaulais si fort que j’en avais mal.

Je baise ma panthère

– Tu ferais mieux d’enlever ton short et te mettre à poil comme moi, tu transpireras moins et je crois que ton pénis aurait besoin de prendre l’air.
Je me mis en effet à poil, et j’avoue que j’en étais soulagé car je n’avais plus à me dissimuler. Nous reprîmes la séance et mon phallus était au garde à vous permanent.
– C’est flattant de voir que je fais autant d’effet à un homme. Approche mon beau…

Je m’avance et elle me chope le pénis pour me tailler une pipe emblématique en gorge profonde. A la suite, je m’en vais m’engouffrer entre ces cuisses pour lui lécher la crémouille à pleine langue et voyant qu’elle en hurle de plaisir, je fourre deux doigts dans son minou tout en continuant de jouer avec son clito. Elle se tortille de plaisir en couinant et bientôt elle allait m’inviter à lui servir mon popol. Chose que je fis avec joie. Je la pénétrais d’abord en douceur, mais ce n’était pas à son goût, elle me demanda d’y mettre de l’intensité, alors je la culbutais sans lui faire de cadeau. A sa réaction, c’était bien ce qu’elle aimait. Elle a aussi aimé se prendre mon éjaculation dans la poire.
Juste après cette baise, cette coquine me réclama un rabais de 30 % sur mes prestations… Quelle malign, ma panthère noire !