Intello sodomisée au musée…

Je ne pensais pas pouvoir un jour raconter un truc du genre. Et pourtant, ça m’est bien arrivée, à moi, la grosse intello de service. Je me vois comme intelligente, mais je pense que j’ai mon charme. Je n’ai pas eu beaucoup d’hommes dans ma vie, autant dire que mon expérience sexuelle est très basique, et que je n’ai jamais rien fait dans un lieu autre que mon lit.

> Tu veux te faire une intello ? <

Je suis une femme de 31 ans tout à fait classique qui adore passer son temps dans les expositions d’art. J’adore la peinture, la sculpture et tout ce qui touche aux arts de la Renaissance. Une intello on va dire ! Il y avait une exposition ce jour-là dans un musée pas très loin de mon travail. En sortant du bureau, je me suis rendue sur les lieux. J’ai pas mal tourné pour trouver une place de parking, puis je me suis garée, j’ai remis un peu de rouge à lèvres, et je me suis dirigée vers l’entrée. Un gardien type agent de sécurité black et bien musclé était posté là. Il fouillait les sacs des visiteurs, vigipirate oblige. En croisant son regard, j’ai tout de suite senti un frisson me remonter le long des cuisses et des petits papillons dans le bas-ventre. Je ne sais pas pourquoi. A vrai dire, je fantasmais sur les blacks depuis pas mal de temps, mais une fille dans mon genre n’ose jamais faire le premier pas, encore moins dans un lieu public et avec un agent de sécurité en poste. J’ai lâché un petit sourire niais en lui présentant mon sac à main. Il n’a bien entendu rien trouvé de suspect, et je suis rentrée. C’est à ce moment que j’ai cru sentir une main épaisse me frôler les fesses. Je n’avais pas rêvé, le vigile venait de me toucher le cul. Quel pervers.
Il devait avoir une sacrée queue, aussi imposante que sa musculature, eh oui tout de suite, le fantasme et les stéréotypes ! Je me plaisais à m’imaginer des ébats avec lui tout en flânant dans les galeries pour observer les tableaux. Ma fesse était encore chaude tellement cette main m’avait serré le cul. Je sentais bien que ça me faisait mouiller. A force de penser à ça et d’essayer de cacher mon excitation, je me suis complètement égarée dans les nombreux couloirs du musée. J’étais maintenant dans une section du bâtiment assez sombre, loin de l’exposition ouverte aux visiteurs. Je commençais à flipper, car j’étais vraiment perdu, quand tout à coup, je me suis retrouvée plaquée contre le mur par une force puissante.

Intello enculée au musée !

Mon coeur a démarré à fond à cause de la peur, mais en tournant légèrement la tête, je me suis rendue compte que c’était le vigile qui m’avait tout simplement suivi et qui allait maintenant faire de moi sa petite chose. Personne ne pouvait nous surprendre dans cet endroit reculé. C’était une sorte d’agression sexuelle, car il ne m’a rien demandé, mais j’ai décidé de me laisser totalement faire, parce que c’est ce dont j’avais envie tout au fond de moi: me faire bourriner par un black à grosse bite. Il a vite fait de me baisser le pantalon et le tanga pour que je me retrouve cul nu contre ce mur. J’ai senti un gros machin se faufiler dans ma raie. Ça devait être son gourdin. Il était chaud et large. Il n’a même pas pris le temps de me chauffer un peu qu’il enfonça sa torpille dans mon fondement. Ouch! Quel enfoiré, il est là à m’enculer contre un mur comme si je n’étais qu’une petite pute. Il commence des va-et-vient longs et puissants. Il m’encule comme un sagouin et moi je prends mon pied. Je sens ses lourdes burnes pleines de sperme me claquer sur les fesses à chaque coup de reins. Mais j’ai le fion si serré que le grand black forceur ne peut pas tenir très longtemps avant de cracher sa semence. Je sens rapidement mon trou du cul se remplir de jus chaud et collant. Il sort son sexe de mes entrailles et disparaît aussitôt, me laissant là, le cul plein de foutre et le froc baissé jusqu’aux chevilles.
Quel goujat !

Mature baisée par son jardinier…

Qui a dit qu’à 60 ans, mature comme on dit on ne pouvait plus prendre son pied ? Pour moi c’est tout le contraire, je me prénomme Elisabeth, je suis une veuve de 60 ans, j’ai perdu mon mari il y a 8 ans. Je m’étais armée d’une arme contre la solitude et mon compagnon fidèle est devenu mon godemichet. J’habite une très grande maison et à mon âge, il me faut des gens pour entretenir ma maison et le jardin. Je ne parlerai pas de tous les « domestiques », mais d’un en particulier : c’est Patrick mon jardinier.

> Branché par une rencontre avec une femme mûre ? <

Un jeune costaud, la vingtaine à peine, brun, j’avoue qu’il est beau à voir, il finissait plus tard que les autres et venait souvent me dire au revoir quand il s’en allait des lieux. Ce jour-là, j’étais perdu, je voulais ravoir la sensation que me fait mon godemichet comme d’habitude.
Je décidais alors de me masturber, je me déshabillais, allongée dans mon lit. Je pris un peu de lubrifiant et versa sur mes seins, je commençais à les caresser avant d’introduire mon godemichet dans mon sexe, je me masturbais en pensant à mon défunt mari, de tous ces beaux moments que nous passâmes. J’avais les yeux fermés, je rêvais des mains qui me caressaient, d’un sexe qui me pénétrait. Quand soudain, je sentis les mains d’un homme qui commençaient à me caresser, je ne voulais pas ouvrir les yeux, j’avais un peu honte parce que mon secret était à nu.Ça y est c’était Patrick mon jardinier ! Je compris que je n’avais pas fermé la porte. Bref ! Il commença par me sucer les seins, doucettement, en me donnant des petites tapettes sur la joue.
J’avais le corps qui frémissait, j’étais à découvert, mature offerte… Il commença par m’embrasser sur mon cou, l’excitation augmentait en intensité. Il descendit vers mon entrejambe, et commença à me sucer le sexe petit à petit, en stimulant mon clitoris, je suis clitoridienne, et vous savez ce que ça peut procurer comme sensation, j’étais perdu… Il me dit d’un ton autoritaire retourne toi, je suis perdu, dans mon lit en levrette. Il prit mon godemichet me le fit pénétrer dans mon anus, il le martelait en moi comme s’il m’infligeait une punition c’était une douleur mais aussi un plaisir immense. Ces deux sensations réunies ont laissé gicler en moi un orgasme si fort, j’étais électrisée. Il laissa le godemichet enfoui en moi, il sortit sa bite et enserra mon sexe.

Une queue énorme dans ma chatte mature

Bon dieu ! Quelle énormité ! Je sentais maintenant qu’un homme me baisait, il partait tellement vite en moi, s’occupant aussi de mon anus avec mon godemichet, une double pénétration, c’était la première fois. Je m’affolais, je n’arrivais plus, il me donnait des claques aux fesses, je devenais sa chose, un second orgasme envahit mon être, j’avais l’impression de voler. Il retira le godemichet de mon anus, il m’enculât .Je ne vous dis pas, je rajeunis d’un coup, je devins une fontaine. Il me baisa comme si j’étais plus jeune, mon petit trou, tout trempé, mon vagin de même, j’ai un tourbillon de plaisir. Puis, il me remit en levrette avança sa bite de ma bouche. Malgré que j’avais le double de son âge ou presque, ce jeune vicieux me traitait comme une pute et j’aimais bien ça, des  » Suce moi salope  » n’arrêtaient pas de fuser.
Telle une esclave mature j’obéis à mon maitre, je le suçais longuement le gland, ses couilles. Il se retira, revint vers moi pour me pénétrer de nouveau. Il était dans tous ses états, il me baisa, partant, revenant avec des mouvements dignes d’un dieu. Oh ! Je me sens presqu’évanouie, j’ai envie de mourir en lui, il m’émerveille. Je suis au septième ciel, je jouis, je jouis, je jouis !
Je me lâche, j’ai plus envie qu’il me quitte, il me baise. Il me fait des cochonneries, il me retourne à nouveau, enfonce sa bite dans mon petit trou, va et vient puis verse son liquide gluant dans mon anus après un grand cri rauque.

Dominée par un inconnu

Je suis du genre toujours hésitant quand il faut se lancer dans une aventure un peu hasardeuse. Mais pour la première fois de ma vie, j’avais accepté de me rendre à un rdv coquin avec un mec rencontré sur le net qui dès le départ avait écrit tout en majuscule sur son profil qu’il était un vrai dominateur. Pas le genre qui joue un rôle, lui il l’était vraiment et franchement, tout ça m’excitait vraiment, après tout, j’étais sur ce site de rencontre pour vivre des trucs hors du commun non, ben je pouvais donc pas manquer l’occasion qui se présentait à moi.

> Une expérience SM avec une coquine ? <

Tout était réuni, le mec était beau, costaud, sexy et chacun de ses messages me faisait frémir de plaisir. Il ne me restait plus qu’à me rendre au lieu de rendez-vous, pour pouvoir matérialiser toutes ses phrases excitantes et bandantes qu’il me balançait dans ses messages ou même lors de notre dial coquin par chatcam.
Le samedi, jour et heure du rendez-vous, je m’étais retrouvé guidé par mes envies et ma curiosité sur la rue des Bouchers, devant un resto dont j’ai oublie le nom, à Lille. C’était là le lieu du rendez-vous. Il était là, debout, me regardant déjà avec des yeux gourmands, comme un lion ou presque. Alors que je croyais qu’on allait se diriger dans ce beau resto, il me saisit direct par le bras et me dit  » on y va « . On aurait dit qu’à la minute ou il me disait ces quatre petits mots, j’avais moi-même choisi d’être soumise à lui, motivée pour faire tout ce qu’il désirait. C’est clair, Ce mec avait carrément de l’emprise sur moi, pas seulement moi, sans doute avec pas mal de meufs qui se sont surement succédées chez lui.

Après 10 minutes de marche rapide, on était enfin dans les escaliers qui menaient chez lui. Il s’arrêta brusquement et me somma de me mettre à poil. Sans dire un mot, j’exécutais nonchalamment à son ordre, mais lui ne l’entendait pas de cette oreille. Il se dépêchait de me déchirer mon string, puis en quelques seconde, ouvrait sa porte et me poussait brusquement dedans tandis qu’il s’enfonçait dans une autre pièce. Incroyable, j’étais dans la maison d’un parfait inconnu, totalement à poil. Quelques minutes plus tard, il ressortait avec une laisse pour chien qu’il me mit au cou. Puis d’un air autorité, me tirait comme une vulgaire chienne dans sa chambre. Le décor était incroyable, une lumière rouge, des sextoys et bâillon sur le lit. C’est comme si un mélange de peur et de plaisir se bousculait dans mon ventre. J’étais moi-même impatiente de découvrir la suite.

Il me dilate les trous à fond !

Tout ce que le peux dire, c’est que la suite ne se raconte pas, mais ça se vit. Ce mec m’a dilaté la chatte et l’anus comme jamais auparavant. Ce jour là, je me suis laissé introduire dans la chatte et dans l’anus des objets longs et gros, des tailles que je n’avais jamais imaginer pouvoir supporter dans mes orifices. Le double dong m’a particulièrement marqué… Ces deux extrémités enfoncés dans mes deux trous bien dilatés, hmmmm…
Tout me plaisait : la douleur, les insultes, l’extrême et même la sensation que produisait ce collier qui m’étranglait légèrement quand il tirait sur la corde. Et que je n’en pouvais pouvais plus, il me demanda de le supplier de me baiser. Je m’accrochais à ses jambes, lui lançant des  » Julien baise moi, Julien baise « , mais il ne le fit pas. Tout ça me rendait encore plus fou. J’avais envie de voir et de toucher sa bite, mais il me dit que je ne le méritais pas encore, que c’était pour la prochaine fois, le samedi prochain. Bizarrement, sur le coup tout ça me semble correct, j’actais toute  » oui  » à l’idée de revenir le samedi prochain vivre un plaisir aussi un intense avec cette fois la récompense de voir Julien toute nue, peut être même plus, le plaisir se faire péter la chatte par ce mec peu bavard et dominateur dans tous les sens des termes.
J’ai vraiment adoré le premier week-end passé avec Julien, mais le samedi qui a suivi était encore meilleur, mais c’est notre toute première rencontre que j’aime bien raconter. Je ne me fatigue jamais de raconter cette histoire à toutes mes copines…

Baise avec mon prof dans un bureau

J’aime Marc, mon prof. Il m’attire et c’est plus fort que moi, même s’il est mon prof ! Tout de lui me plait, nous avons 17 ans de différence d’âge. Si vous plongez dans ses beaux yeux bleus et sa charpente charnelle digne des vieux géants d’antan, vous comprendrez tout le désir qu’il puisse susciter. Un weekend pendant le printemps, je lui demandais de m’expliquer une partie du cours dont je n’avais pas la maitrise, et il acquiesça.

> Rencontre des bonnes salopes infidèles <

Nous nous retrouvions seuls un après-midi dans une salle isolée, afin qu’il m’explique ce fameux chapitre sur la comptabilité analytique dont j’avais peine à comprendre. J’avais une petite jupe qui mettait en valeur mes belles jambes, imaginez par vous-même, en dessous, je ne portais pas de culotte, sur moi j’avais à peine un tee-shirt sans soutien-gorge, car dans ma tête je m’attendais à avoir une vraie partie de sexe. C’était déjà ça dans mon for intérieur. Je vous épargne les détails de ses caractéristiques sensuelles, mais pendant qu’il m’expliquait ce cours, à vrai dire ma tête rêvait de sa bite. Je feins de ne pas trop comprendre ce qu’il me disait en m’approchant de plus bel vers lui, je sentis la douceur de sa senteur, m’enivrer comme une drogue, j’étais obnubilée par lui et perdu dans ce qu’il me disait.

D’un geste incongru, je plaçais ma main sur sa joue et très doucement, je me mettais à le caresser, ce qui ne le choquât pas, il me laissa faire. Je pris courage et je continuais à accentuer ma caresse sur ses deux belles joues.

– Que veux-tu me dit-il ?
– Je te veux toi depuis toujours tu m’obsèdes lui dis-je.
– Hum, seras tu assez discrète et moins jalouse ma petite Katie ?
– Laisses moi juste te croquer et la suite on verra rétorquais-je.

C’était dans un bureau de permanence, il n’y avait quasiment personne à cette heure, en dépit des agents de sécurité qui se trouvaient en bas. Je déboutonnais sa chemise avec désinvolture, un par un, il me laissa faire. Je découvris alors sa poitrine lisse, je commençais par sucer ses seins lentement, je sentais qu’il gémissait mais n’était pas assez expressif à ce sujet, je descendis sur son nombril avec calme, j’ouvris son jean et découvris sa grosse bite qui se raidissait. Il me la fallait dans ma bouche, je l’avalais avec peine tellement qu’elle était longue et grosse. Je la voulais en moi, après cette pipe, il faut préciser qu’il était assis sur une chaise. Je m’assis dessus cette bite qui avait un peu de peine à trouver la profondeur de ma chatte, avec un peu d’effort quoi que douloureux, elle s’enfouit en moi toute entière. Imaginez ma joie !

Mon prof me fait jouir…

J’allais et revenais doucement pour prendre du rythme, avec des mouvements saccadés que j’entamais, vint un orgasme qui boucha mes oreilles, je me sentais toute trempée. Quelle sensation !

– Enlèves moi ça petite salope me dit mon prof !
– J’ai envie de te sucer tout le corps.
J’obéis telle une petite fille à qui on donnait un ordre solennel, je laissais ainsi apparaitre mon corps nu dans cette petite salle un peu sombre. Il me souleva et me plaça avec adresse sur le petit bureau qui s’y trouvait, écarta mes jambes, enfonça ses deux gros doigts qui commencèrent à explorer ma chatte avec des va et viens rapides, tout de moi était en chaleur. Après, il retira ses doigts et posa sa langue sur mon clitoris en le léchant doucement, comme s’il était en train de m’infliger une punition extrême. Oh mon Dieu ! Là j’étais perdue, inondée par un océan de plaisir, je perds la vague, j’étais au ciel, des gémissements sans fin sortaient de moi, j’avais des mains immobiles. Je ne pouvais pas le toucher, et ce qui augmentait mon excitation, je ressentis des crampes partout, je le suppliais de me pénétrer, je le voulais plus encore moi. Et sur ce bureau, il souleva mes pieds, enfonça sa grosse bite que je reçu avec joie au fond de mes entrailles. Il partait et revenais en moi à la vitesse d’un train, je n’étais plus moi, j’étais ailleurs, puis survint un orgasme comme jamais, avant de le sentir jouir en moi fortement. Il se cloua sur moi, un petit baiser à la bouche. Nous restions immobiles. Le désir assouvi, l’amour dans le cœur.

Baise à l’hôpital

J’aime le sexe d’une façon maladive, j’ai 27 ans un physique attrayant, 1,68 m pour 60 kilos. Je travaille dans un hôpital à Lyon comme anesthésiste. Richard c’est mon boss, car il est le chef de département de chirurgie, je passe presque mes heures de services avec lui, selon notre planning. Richard est un homme attirant, intelligent et riche en plus célibataire à 40 ans. Un soir où on prenait notre garde, la salle de permanence était assez calme car elle est sous un angle un peu isolée. Autour d’un café nous causions de tout et de rien.

> Rencontre des bonnes salopes <

Arriva le déclic. Je ne compris comment je fis attirée vers lui, un baiser sur ses lèvres ; je me mis à le caresser directement sa bite.
Ma réponse fut des caresses encore plus accentuées sur sa verge cachée sous son pantalon, il se laissait faire et je menais la partie. Je descendis son froc et lui administra une bonne dose de branlette pour mettre en alerte sa bite qui se raidissait au fil du temps que je la suçais. C’était formidable de la ressentir au fond de ma gorge. Sa bite se faisait saliver pour faciliter la pénétration. Je me déshabillais rapidement et là toute nue, je lui demandais de commencer par m’enculer. Sans hésiter, je lui donnais mon derrière en levrette sur la moquette de la salle, il commença par m’enserrer l’anus.

Son sexe fini par trouver son chemin, et il commença à se mettre en action. J’avais comme l’impression qu’un train marchait sur mes entrailles, tellement que Richard devenait de plus en plus électrique. Ma jouissance était à son apogée, de plus en plus mon anus s’ouvrait à cause de l’orgasme que j’atteignais. Il sorti sa bite de mon anus, doucement posa sa langue sur mon clitoris, et commença à la titiller pour augmenter mon excitation.
Après quelques minutes acharnées sur mon clitoris qui se raidissait. Il s’allongea et me demanda de m’assoir sur sa grosse verge bien raide, je l’enserrais dans ma chatte toute mouillée, je montais et descendais sur elle, avec une technique dont j’ai seule le secret, ses mains appuyant mes fesses, se promenant partout, je jouissais à nouveau sous la pression du plaisir qui envahissait mon corps. J’avais l’impression de voler, d’être sur un autre monde. D’un coup, il me renversa, me prit en missionnaire les jambes en l’air, je subissais la pression de son sexe si viril qui cognait mon col d’utérus. J’aime bien cette sensation que cela me fait, il suçait mon cou, pinçait mes tétons, me donnait des claques sur mes joues, je ne pouvais plus, je devenais folle de plaisir. Je gémissais comme une chienne, je jouissais encore et encore. Je ne comprenais pas comment il trouvait assez d’énergie, pour tenir assez longtemps sur moi comme il le faisait, c’était sensationnel.

Orgasme à l’hôpital

Ma chatte en feu et mon anus déjà ouvert ne demandaient qu’une chose qu’il éjacule son sperme entre mes deux trous à son choix. Ma respiration devenait de plus en plus rapide, je criais de bonheur, j’avais envie d’arracher son dos, je le serrais fort, car je ne voulais plus qu’il me quitte. Il immobilisa mes mains, mon excitation devint encore plus forte. Je suis perdu dans cette posture de soumission, il partait et revenait en moi encore plus rapidement, c’était le feu en moi, une chaleur étrange mon cerveau ressentait des crampes, mon corps tremblait de joie, c’était à la limite divin, plus que magique, je jouissais de toutes mes forces. Il retira sa queue de ma chatte et me demanda de la sucer. J’avalais ses couilles, je suçais avec gourmandise sa bite, des allers retours dans ma bouche, il se crampa, je pinçais ses seins, je le suçais davantage jusqu’à ce qu’il put jouir dans ma bouche, un liquide chaud et salé que j’avalais avec plaisir. Il me rhabillait avec joie. A la fin, j’ai eu droit à un « t’es fantastique ma Ketty, j’aurais besoin d’une bonne dose de toi chaque jour comme calmant » lol. Je souris et pris la direction des vestiaires pour prendre une douche. Ce fut une soirée mémorable.

Mon oncle m’a enculé et j’ai kiffé !

Je m’appelle Laura, j’ai 21 ans mon corps c’est mon plus grand problème car il est tellement beau. Je fais 1, 75 m sur 65 kilos ; il faudrait voir mon derrière, ma poitrine avec des seins en forme d’essaims. Je suis en un mot un pêché ambulant, une femme sexuellement admissible, une croque moi. Et je savais que je faisais effet à mon oncle policier Raymond qui est le cousin consanguin de ma mère. Quel bel homme ! Surtout en le voyant en uniforme. Un jour, pendant l’été, j’étais seule à la maison, ma mère rentrait toujours tard, j’entendis la sonnette. Je savais que c’était Oncle Raymond, j’ouvris la pour le laisser rentrer.

> Toi aussi tu veux baiser une jeune salope ? <

– Ça va Laura ?
– Oui ça va, tu me permets de prendre une douche.
– Oui vas-y
Il s’installa. J’avais une idée en tête, c’était de me faire baiser, je le rejoignis au salon en sous vêtement.
– Eh ! Laura tu vas devoir aller te rhabiller.
– Pourquoi le ferai-je, il fait chaud ?

Un silence total envahit la pièce de séjour, et je le regardais fixement, je marchais droit vers la porte pour la verrouiller.

– Qu’est ce qui ne va pas Laura ?
– Je veux que tu me baises répondis-je en m’approchant de lui.
– Non Laura ! Je ne peux pas le faire. Rhabilles toi de suite.
– Si tu ne me baises pas alors tu vas devoir considérer cela comme une tentative de viol, je vais crier.

Il resta immobile, j’ouvris son pantalon, sortis une belle bite au repos, que j’engloutis dans ma bouche chaude. Peu à Peu, elle commençait à durcir, prenant sa forme érectile, elle devint dure comme une barre de fer, je le déshabillais.

– Ici c’est moi qui commande lui dis-je !

Je commençais à sucer ses seins, je remarquais qu’il se laissait maintenant aller, promenant ma bouche partout sur lui, mes mains de même. Brusquement, il me souleva et me fit allonger sur le canapé, déchira mon string. Et entama un vrai rituel de caresses, mes orteils étaient dans sa bouche, il les suçait avec tendresse, j’étais aux anges, il poursuivit le long de mes cuisses avec des câlins, jusqu’à ce qu’il écarta mes pieds pour me faire le plus beau des cunnilingus, ma chatte mouillée n’attendait que sa bite raide.

Enculée par mon oncle

Il la fit entrer en moi, sa réception fut sans problème, il prit un rythme très doux, soudainement, il devint méchant, comme les vagues de la mer, il partait, revenait en moi avec une force majestueuse. Le plaisir atteignit son paroxysme, je le serrais fort au point de griffer son dos, parce que là mon orgasme était d’une force incroyable. Il se retira, sortit ses menottes, retourna mes mains, les mis sur elles. Il m’enculât avec violence, je criais dans tous les sens, j’avais mal, c’était le prix à payer.
Il me baisa avec une violence intrépide, mon petit trou n’en pouvait plus, il devenait de plus en plus humide, de la tête au pied, je sentais une décharge électrique. Je me sentais plusieurs en moi-même, il continuait à chevaucher mon anus, qui finit par se dilater encore plus. Je gémissais, je le suppliais, il était décidé à m’achever, il tapait sur mes fesses, il mordillait mes oreilles, mes épaules. Le désir s’attisait jusqu’à ce que je jouissais d’une façon tellement intense que je tremblais de plaisir. Oncle Raymond prenait son pied, l’anus doit être son truc, il me baisa encore et encore jusqu’à ce qu’il jouit en moi, il me serra tellement fort, prit une minute de silence avant de se retirer tout fatigué. Waouh ! C’était tellement beau, que je recommencerai.

Baise insolite dans une voiture

Un soir après le travail, mon collègue Christian prit la résolution de m’accompagner chez moi. Il me proposa d’abord de boire un verre, ce qui ne me déplu point. Nous trouvions alors un petit cabaret pour assaisonner un peu la discussion afin de mieux connaitre nos aspirations communes, car depuis un certain moment il ne cessait de me faire des avances au bureau et je jouais un peu vieux jeu.

Un plan cul avec une bonne baiseuse ?

Il faut dire que Christian c’est 1,95 mètres, un homme assez athlétique, brun avec des cheveux noirs et des merveilleux yeux verts, la trentaine à peine. Moi de taille moyenne, à mes 24 ans, mince et raffinée, Celui-ci paraissait géant face à moi. Le bistrot était un endroit très calme pour une conversation assez détendue, il commandât un verre de jack sans glaçons et moi un verre de scotch Ecossais Jura. Nous entamâmes une conversation pour mettre les choses au clair entre nous, car la discrétion oblige dans le milieu professionnel. Après une longue conversation, l’alcool prenait un peu le dessus sur moi. Je me sentais déjà excitée à l’idée de me retrouver seule avec lui loin du monde.
Il ne cessait de me regarder droit dans les yeux tout en caressant ma main, je sentis un fort courant m’envahir avec une seule idée : n’être qu’avec lui. Comme il se faisait tard, je lui demandais de me raccompagner. Ce qui fut fait, nous embarquâmes dans sa voiture, puis chemin faisant, advint une crevaison sur une voie quasi déserte à 50 kilomètres de chez moi.

La voiture garée près des bois et non loin de la chaussée, je sentis qu’une chose allait se passer d’aussitôt. Seule dans un coin insolite avec Christian c’était pour la première fois, la pression en moi ne faisait que s’accroître, puis il commença par m’embrasser dans sa voiture doucettement, je n’avais qu’une jupette avec un string sous moi un bustier qui ressortait mes seins en essaim.  » Il me dit c’est parfait, c’est une chance pour nous Anna de nous retrouver seuls ici loin des gens tant mieux en profiter « 
Je restais béate, puis il accentua ses caresses en suçant le lobe de mes oreilles, mon cou, mes seins, je mouillais déjà comme une jeune fille inexpérimentée. Il me demanda d’aller sur la banquette arrière en arrachant mon string, je subissais une vraie humiliation, car je découvrais à présent que Christian est macho. Après un cunnilingus bien appliqué, il descendit son jean pour laisser apparaître sa longue queue raide, il m’intima l’ordre de la sucer, et je lui administrais une pipe bien faite pour humecter sa bite afin de faciliter sa pénétration, puis par un mouvement brutal , il enfouit sa bite en moi, et commença par me chevaucher.

Baise dans la voiture, j’adore !

Il partait, revenait en moi avec des mouvements rapides et très rythmiques, j’avais l’impression que mon minou allait exploser, je jouissais comme une fontaine, sa bite me mettait en feu, mes seins se durcissaient de plus bel et mon clitoris était proche de l’explosion, je le serrais, je criais de joie, et lui sans pitié ne faisait que me baiser avec brutalité comme s’il voulait perforer mes entrailles comme un bon foreur. Sa chaleur avec toutes ses caresses qui gouvernaient mon désir, s’accentuaient avec encore plus de précisions, il ressortait sa bite de ma chatte toute trempée en me disant :  » Retournes toi me dit-il avec autorité, je vais te prendre par le derrière. « 
Sans contester, je fis ce qu’il me dit, je me retournais. D’un coup, je sentis des claques sur mes fesses, ce qui m’excitait encore plus, je me sentais comme électrocutée de plaisir, il introduisit un doigt dans mon anus et le retira en suçant avec gourmandise mon petit trou. Je suis en levrette le feu encre mon minou et mon anus, sans m’aviser il me pénétra avec force, entre douleur et plaisir, mon excitation prit un second tournant dans son intensité. Il m’enserra avec une expertise hors de commun en me baisant comme une vraie salope, ce qui me donna un orgasme tellement fort que j’étais sur le point de m’évanouir, avant de le sentir jouir en moi. Je fus comblée et toute inondée de plaisir, tout de moi tremblait pour cette prestation hors pair. Nous nous rhabillâmes, et commencèrent à changer la roue qui fit défaut. Ce fut une nuit mémorable et depuis Christian et moi baisons toujours avec beaucoup plus d’intensité chaque jour que nous pouvons le faire. Il est devenu pour moi pire qu’une drogue, le seul qui sait combler mes désirs sexuels.

Via rencontrer de bonnes baiseuses

La vengeance de ma femme

J’ai trompé ma femme, pour la première fois en plus. On était à une soirée entre potes, et une meuf est venue me draguer. Elle n’était pas spécialement belle, en tout cas loin du niveau de ma femme, mais je ne sais pas ce qu’il m’a pris, j’ai cédé à sa demande de la ramener chez elle. Puis je suis monté. Je n’aurai jamais dû, car ce qui devait arriver arriva, nous avons niqué comme des bêtes. Je l’ai revue au moins pendant quatre mois, à raison d’une fois par semaine. Mais je n’ai pas fait assez gaffe, et un soir, ma chérie a décidé de fouiller mon téléphone.

> Plan sexe avec une bonne chaudasse <

Elle est tout de suite tombée sur un sms cochon de la part de l’autre salope. Nous avons beaucoup discuté, et elle a décidé de me pardonner. J’ai vraiment eu de la chance. Enfin, c’est ce que je pensais, car tout ceci n’était qu’une grosse mascarade. En effet, ma petite femme adorée était beaucoup plus maligne que je ne le pensais. Mais je ne le savais pas encore, et je faisais tout pour la reconquérir. Je pensais que ça marchait bien, car elle paraissait si heureuse des attentions que je lui apportais tous les jours. Des fleurs, des restaurants, des bijoux, des robes… J’étais presque ruiné, mais au moins j’avais récupéré ma petite chérie que j’aimais tant. Sauf qu’un soir, alors que je rentrais du travail comme d’hab, Nathalie n’était pas à la maison.
Il y avait un mot sur la table: « Je ne suis pas là ce soir, monte dans la chambre, il y a une surprise pour toi sur le lit ». Interloqué mais pas trop inquiet, je monte donc dans la chambre pour voir ce qui m’attend. Je rentre dans la pièce, et rien de particulier ne me saute aux yeux. Sur le lit a-t-elle dit? Ah oui, effectivement, il y a une cassette posée sur la couette. Sur le flanc, il y a une étiquette « pour mon chéri ». Je rigole, pensant à un vieux film de vacances et je mets la bande dans la magnéto. Je clique sur play et le film commence. Je peux voir ma femme devant l’objectif, dans une tenue vraiment indécente.

Elle se trémousse devant la cam et s’effeuille progressivement pour finir sur le lit, les cuisses écartées et la chatte bien visible. Je commence à bander doucement, quelle belle salope de me faire une surprise comme ça. Elle aussi commence à se masturber, un doigt, deux doigts puis trois finissent au fond de sa vulve charnue et juteuse. Je sors mon sexe et me branle amplement en fixant l’écran et voyant ma femme se faire du bien sur notre lit conjugal. Mais tout à coup, un mec apparaît à l’écran. Quoi? Mais? Je ne comprends pas, enfin si, je comprends maintenant. C’est sa vengeance pour ma tromperie d’il y a quelques semaines. Le mec en question est un collègue de taf à ma femme que je déteste particulièrement. C’est un arabe de la trentaine qui me soule à chaque repas d’entreprise. Je suis fou en voyant ça car le gars a son chibre dehors, et il possède un étron gros comme un lampadaire. Ma femme se tourne vers l’objectif: « C’est pour toi mon chéri, pour le mal que tu m’as fait, pour m’avoir prise pour une conne, maintenant c’est lui qui va me prendre et bien comme il faut! ». Elle fait ensuite un clin d’oeil puis se tourne vers le service trois pièces de son partenaire pour commencer à lui prodiguer une fellation dantesque.

Sa vengeance ? Se filmer en train de me tromper !

Elle lui tient fermement la hampe puis lui aspire le bout, passant et repassant encore et toujours sa petite langue infidèle tout le long de cette énorme verge, et jusqu’aux couilles. Elle l’avale en entier, et son visage angélique devient rouge sous le manque d’oxygène. Elle se fait ensuite enculer sauvagement puis prendre la chatte dans toutes sortes de poses vraiment osées. Les burnes du rebeu claquent fort sur la raie de ma femme. J’ai les yeux remplis de larmes, et ma queue est devenue toute molle. Le pire, c’est que cette salope prend vraiment son pied et joui plusieurs fois sous les assauts pervers de son collègue de travail. En plus, il n’arrête pas de lui manquer de respect en lui pinçant les nibards, en lui crachant dessus et en lui claquant le cul avec violence. Au lieu de lui intimer d’arrêter, elle lui demande de la sodomiser et de la frapper encore plus fort, puis ce queutard lui recouvre le visage de son sperme gluant. Elle vient ensuite devant la cam avec la tronche pleine de foutre et fait un bisou sur l’objectif. L’enregistrement s’arrête là. Faites attention, les femmes sont d’un machiavélisme implacable…

Séance de dilatation chez mon gynéco

Comme toutes les femmes, je n’aime pas particulièrement aller chez le médecin, et encore moins chez le gynéco. Mais bon, parfois, nous sommes bien obligés de nous y rendre lorsque les conditions l’imposent. J’essaie d’avoir un enfant avec mon chéri depuis plusieurs mois, sans y arriver. Nous avons donc fait des tests pour voir d’où pouvait venir le problème. Il en ressort que mon homme n’est pas en cause, et que ça viendrait plutôt de moi. J’ai donc dû commencer un suivi assez régulier avec mon gynécologue de famille.

> Un plan cul n peu… particulier ? <

Je me suis rendue à son cabinet pour le premier rendez-vous, mais le titulaire était absent, et c’est un jeune remplaçant tout droit sorti de l’école de médecine qui a pris sa place. J’étais un peu dérangée par ce changement soudain, mais le toubib était assez délicat et doux avec moi, je le trouvais même beau gosse. Je n’ai rien dit à mon mari, je ne voulais pas qu’il vienne avec moi aux rendez-vous. Au fur et à mesure, nous avons commencé à discuter ensemble, au début de médecin à patiente, puis comme deux amis. C’était étrange de parler de choses intimes avec un inconnu, pendant que lui était en train de me fouiller la chatte avec toutes sortes d’ustensiles. Il m’enfonçait des trucs toujours plus gros, et je commençais à me demander si tout ça était normal. Assurément non, un gynéco n’est pas censé me mettre un truc gros comme une aubergine dans l’anus. Je n’osais pas lui demander ce qu’il faisait, et j’encaissais sans rien dire. Mais à force de me sentir pleine comme ça, j’ai commencé à mouiller, et il l’a remarqué. « Je vois que vous aimez être dilatée Justine, ça tombe bien, j’aime ça aussi, et si vous êtes d’accord, nous pouvons essayer d’aller plus loin ». J’étais choquée mais très curieuse aussi, une sensation vraiment étrange et troublante.

Il me promettait qu’au prochain rendez-vous, nous allions voir jusqu’où je pouvais me faire étendre les orifices. J’étais très excitée par cette perspective, et j’ai demandé à mon mari de me baiser longuement, surtout de m’enculer. J’aime sentir un truc dans mes fesses, et j’avais hâte que le gynéco explore encore plus ma grotte privée. Comme convenu, je me suis pointée à son cabinet, et l’auscultation a démarré comme d’habitude. J’ai enlevé tout le bas et je me suis allongée sur le fauteuil en plaçant mes jambes sur les étriers. Il se posa sur son tabouret et dirigea sa lampe sur ma fente. Je sentais la chaleur du rayon lumineux en plein sur ma vulve. J’avais juste un ticket de métro. Le gynéco enfonça d’abord un spéculum dans mon vagin, mais c’était un modèle pour les sexes bien larges, alors que ma chatoune est toute serrée. Il l’enfonça jusqu’au fond et commença à l’écarter au maximum. Je sentais mes lèvres se tendre comme des élastiques. Elles étaient prêtes à rompre sous l’écartement extrême de l’outil en métal, mais je serrais les dents.

Dilatée par mon gynéco

En même temps qu’il s’occupait de m’étendre le sexe à fond, il m’enfonça un doigt dans le cul avec son gant en latex. C’est la première fois qu’il entrait directement en moi sans utiliser un outil, et la sensation de l’avoir enfin dans mon cul me fit mouiller abondement. Je sentais le jus couler le long de mon abricot. Mes babines luisaient sous sa lampe. Je sentais son doigt dans mon troufion, je le fixais dans les yeux, et il continuait de me masturber l’anneau, sortant et rentrant son doigt, tournant dans mon rectum comme un pervers. Il ouvrit ensuite un tiroir et sorti des trucs que je n’avais jamais vus. C’était des godes énormes qu’il devait garder pour ses patientes les plus dociles. Il en prit un, le plus gros, et me le ficha dans le bénitier, puis saisi un autre, de même taille, pour le visser dans mon fiacre. Ils étaient si larges qu’ils se pressaient l’un contre l’autre à travers la paroi séparant ma brèche et mon arrière-boutique. Il aurait pu les laisser comme ça, c’était déjà suffisant pour me contenter, mais il commença à me niquer les charnières avec les deux poteaux. Malgré la douleur de la dilatation extrême, j’ai fini par jouir. Je dois le revoir la semaine prochaine…

Des inconnus se branlent sur moi…

Mon mari est vraiment un sale petit pervers. Thomas et moi sommes mariés depuis bientôt 15 ans. Notre vie sexuelle était devenue lassante, mais mon homme a commencé à m’initier à l’exhibition. J’aimais de plus en plus montrer mes seins et ma chatte poilue dans des lieux publics devant des inconnus pendant que mon chéri se branlait la tige dans le pantalon.

> Une vraie nana pour plans exhibs <

Nous rentrions ensuite à la maison pour baiser toute la nuit comme deux animaux en chaleur. Ce petit jeu me plaisait bien, mais Thomas voulait que j’en fasse encore plus. Un soir, après le travail, il me demande d’enfiler une tenue de petite salope pour sortir boire un verre. Je m’exécute aussitôt et nous prenons la route en voiture. Je me rends bien compte que nous ne nous dirigeons pas vers le centre-ville. Nous prenons l’autoroute pendant plusieurs kilomètres. Je lui demande ce qu’il se passe, et en guise de réponse, il fourre sa main entre mes cuisses et commence à me baiser avec ses gros doigts d’ouvrier. Le stress disparaît lorsque je sens la main de mon homme me fouiller la vulve de cette façon, comme si je n’étais que son objet.

Je mouillais assez fort lorsque nous nous sommes arrêtés sur une aire d’autoroute pour camion. Il gare la voiture dans un coin du parking, et avant même que le moteur ne soit coupé, quatre ou cinq bonhommes surgissent de derrière les buissons. Je prends un peu peur, mais Thomas me rassure en me doigtant avec encore plus de fermeté. Ma fente mature dégouline et je tâche le siège passager.
Je ne l’ai pas vu tout de suite, mais ces inconnus ont tous la queue en main. Ils sont venus là pour se branler sur moi, et je crois que je vais recevoir une sacrée dose de sperme. Mon mari ouvre les fenêtres en grand et m’ordonne de lui pomper le dard. Je me jette sur sa saucisse et commence à le piper comme je sais si bien le faire.

Des inconnus se branlent sur moi !

J’essaie de gober son machin jusqu’au fond mais j’ai des hauts le coeur. Les inconnus pervers sont là, tout autour, et je peux les entendre se branler avec frénésie, comme des bêtes. Je ne sais pas ce qu’ils me feraient si mon mari n’était pas présent… Cette idée que tous ces chauffeurs en manque me violent et abusent de mes trous me donne une soudaine envie de monter sur la queue de mon homme. Je m’assois donc sur lui et m’enfile sur sa tige jusqu’aux fondations. J’adore toujours autant les premiers allers-retours, lorsque ma vulve est encore légèrement serrée. Mais ça ne dure pas très longtemps, car Thomas est un vrai bourrin, et il me détruit rapidement la chatte avec ses puissants coups de bite. Je suis là, sur ce parking glauque. Il fait nuit noire, et je suis en train de me faire bombarder la foufoune par mon homme sur la banquette arrière alors que des inconnus totalement dingues et flippants se branlent la nouille sur moi. Je devrais avoir peur, mais je suis tellement salope que je me sens comme un poisson dans l’eau. Plusieurs mecs se mettent à me jouir dessus, surtout sur les fesses, et mon mari ne tarde pas lui aussi à me remplir le sexe de sa semence crémeuse. Je me lance et décide de finir les trois derniers à la bouche, comme une vulgaire pute de quartier. Une fois satisfait, tout ce petit monde disparaît dans la pénombre. Je ne sais pas ce que mon homme me réserve pour la prochaine sortie, mais ça risque de mal tourner…