La stagiaire, ma femme et moi, 2ème partie

Je ne vous explique pas à quel point ce fut chaud, dans le tout petit appartement de la stagiaire. Ou plutôt si, bien sûr, je vais vous l’expliquer : Lydie m’a donc roulé une pelle langoureuse sur son palier, puis m’a attiré chez elle et a refermé violemment la porte derrière nous.

En moins de temps qu’il n’a fallu pour le dire – et pour moi de me rendre compte de ce qui m’arrivait – elle s’est retrouvée les seins nus, collés à mon torse, nos bouches encore lovées l’une contre l’autre. Puis, la bimbo s’est reculée et j’ai pu admirer sa formidable poitrine, ferme, gigantesque, avec de très gros bouts roses et fermes, qui pointaient comme des menaces sur mon mariage, vers moi.

Après une courte hésitation, je me suis précipité vers la jeune femme et, comme un adolescent en rut, je me suis mis à téter et à suçoter les mamelons de la stagiaire, qui couinait de plaisir sous mes coups de langue.

Nous avions beau être dans son entrée, son lit était à deux pas et, après en avoir retiré quelques peluches qui trainaient là, Lydie m’y fit basculer et, les seins luisants de ma salive, elle entreprit de me déshabiller.

Sucé par la stagiaire !

Moi-même, je ne me souvenais pas d’être capable de bander aussi dur. Alors, imaginez un peu, quand ma bite toute entière disparut entre les lèvres gourmandes de Lydie ! J’ai cru que je n’allais pas pouvoir me retenir, et que j’allais inonder séance tenante la gorge de la blondinette.

J’ai finalement réussi à me calmer et, tandis qu’elle me pompait avec une science qui n’était pas de son âge, je me suis mis à peloter ses gros seins, puis son gros cul, qu’elle avait libéré prestement de sa petite jupe et de son mini-string. Je regardais autour de moi, tout en appréciant la turlutte magique que me prodiguait le stagiaire.

C’était là une chambre de post-ado : des posters sur tous les murs, des peluches sur tous les meubles et des CDs qui trainaient un peu partout sur le sol. J’eus un mouvement de recul. Intriguée, Lydie lâcha un instant ma bite enflée et comprit ce qui se jouait dans ma tête de quadragénaire coupable. Elle vint étaler tout son corps sur le mien, et se fit plus douce, plus tendre et moins salope.

Après tout, c’est elle qui m’avait sauté dessus, et si je lui faisais du bien, je n’avais pas à me poser de questions vis-à-vis d’elle. Nous avons recommencé à nous embrasser comme deux lycéens, pendant qu’elle frottait sur mon érection sa vulve épilée intégralement.

Nous avons fait l’amour comme ça pendant près d’une heure, sans pénétration, jusqu’à ce qu’elle ait raison de moi grâce à une cravate de notaire aussi savante que sa pipe. Mon gland coulissait entre ses deux formidables globes, et se trouvait titillé à chaque passage par le bout de sa langue.

J’ai joui à grands jets sur le visage de Lydie, qui ne chercha même pas à éviter mes éjaculations sur elle. Il fallait que je rentre, vite, ma femme m’attendait à la maison.

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Prise au gode-ceinture en public

Ma maîtresse a enfilé son engin. Elle s’est mise devant moi pour bien me montrer ce qui m’attendait. Il faut dire que c’est une première pour moi. Jamais encore je n’ai été prise au gode-ceinture et encore moins en public. Il y a 6 femmes en chaleur autour de nous, toutes lesbiennes comme moi et ma maîtresse Jasmine. J’ai confiance en cette dernière et je sais que j’ai tout à gagner à me montrer coopérative.

Je suis à quatre pattes comme elle me l’a ordonné. Devant moi, elle se harnache avec le sexe factice; celui-ci est fixé sur une culotte en latex. Jasmine m’a montré l’intérieur, il y a aussi une petite bite qu’elle s’enfilera dans la chatte. Ainsi elle pourra jouir en me fourrant. Je suis contente pour elle.

Une fois équipée, ma maîtresse vient se placer derrière moi. Avant, elle a demandé à l’une des femmes du public de venir me caresser un peu l’entrecuisse jusqu’à la chatte. Je suis déjà mouillée. La femme, une petite rousse gironde, est une vicieuse car elle a profité de la situation pour me tripoter aussi le trou du cul.

Jasmine est en place. Elle vérifie que je suis bien lubrifiée. Satisfaite par la quantité de jus qui s’écoule de mon sexe,  elle passe le bout du gland de plastique entre mes cuisses et vient le frotter contre ma vulve. Les mouvements involontaires de mon bassin trahissent mon désir. Je me mets en position d’être fourrée. Mes lèvres vaginales s’entrouvrent et laissent passer le gros membre qui met quelques secondes à entrer totalement en moi. Ma maîtresse fait durer le plaisir de l’intromission, comme pour mieux solliciter mes sens.

Je finis par m’enfiler moi-même sur le pal qui vient buter au fond de ma caverne d’amour. Puis j’entame un va-et-vient lent mais déterminé, aidé par Jasmine qui me tient les hanches.

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Les femmes se sont levées puis se sont approchées de nous. Je peux presque sentir leur souffle sur ma peau. Leurs mains se posent sur mon corps, partout. Elles caressent mon dos et mon ventre, mes cuisses. Les plus vicieuses s’aventurent sur mes seins, tirent sur mes tétons, laissent filer leurs doigts sur mon cul, jusque dans la raie de mes fesses.

L’une d’elles, la plus déterminée ou la plus excitée, se poste devant mon visage et m’offre sa fente à laper. J’y mets la langue avec délectation car je suis une grande amatrice de mouille féminine. Et puis je mordille ses grandes lèvres, écarte les petites pour dénicher son clito. Je suis surprise par sa taille et l’enfourne entre mes lèvres pour mieux le sucer.

Maîtresse Jasmine me claque le cul et me dit des insanités en me baisant. A sa voix, j’entends qu’elle prend elle aussi beaucoup de plaisir en me pinant. La petite queue qui lui remplit le vagin doit faire son redoutable effet. Je gigote de plus en plus sur le gode qui me comble de bonheur et quand une des lesbiennes se colle sous moi pour me sucer le bourgeon à son tour, j’explose en vol. Pourtant, je ne suis pas au bout de mes peines, au début de la soirée, ma maîtresse m’a dit qu’elle se réjouissait de prendre aussi mon cul avec son jouet.

Ivre, nue et partouzée

Je savais que ne devais pas boire autant, ça finit toujours par me jouer des tours. Mais c’est plus fort que moi, je me laisse aller et je dois ensuite en supporter les conséquences. Allez savoir, au fond, c’est peut-être que je les apprécie ?
Par exemple, là, je suis en train de baiser avec tout un groupe de personnes. La soirée était sympa jusque là, et plutôt clean. Je crois que ça va rester sympa mais bien moins clean. En fait j’en suis sûre, malgré les vapeurs d’alcool qui embrument un peu mon cerveau et qui ne m’empêchent pas de prendre du plaisir, au contraire.

>> Plan X avec salope bien chaudasse <<

Une femme est sous moi et me mange la chatte en me caressant le cul. Sa langue est douce et ses lèvres avides de mon sexe. Elle boit ma mouille qui s’écoule lentement dans sa bouche. C’est une petite blonde un peu boulotte d’environ 45 ans. Ca doit lui paraître bizarre et excitant de faire un cuni à une jeune étudiante comme moi.
Devant moi, deux queues se présentent. Deux belles queues vraiment surdimensionnées, bien noueuses et le gland tendu à l’extrême. Je les lèche comme des boules de glace, c’est un peu amusant et l’alcool me fait rire à cette idée. Je reprends mes esprits quand les deux beaux nœuds forcent le passage de mes lèvres en même temps. Je dois ouvrir la bouche en grand mais j’arrive finalement à prendre les deux engins ensemble. Leurs propriétaires respectifs se mettent à me limer. Ils doivent être un peu bisexuels car ils semblent apprécier de frotter ainsi leurs membres l’un contre l’autre. Moi, je me contente de servir de réceptacle à leurs envies et de passer la langue sur leurs bouts.
Un autre homme s’est placé sous moi et me suce les seins comme un enfant tèterait les nichons de sa mère. On m’a rarement fait ça aussi bien. Il tire avec ses lèvres sur mes belles tétines brunes et longues qui pendent un peu dans cette position. Sa langue agace mes pointes. En tournant la tête, je peux voir une grosse femme aux fesses mafflues qui monte et descend sur sa bite, prise par le cul, tout en suçant la queue d’un gars bien plus jeune qu’elle, lui-même sodomisé par un vieux type. Je crois me souvenir qu’il s’agit du mari de la grosse femme.

>> Plan X avec salope bien chaudasse <<

Subitement, je sens qu’on essaye de s’introduire dans mon cul. Ce n’est ni la langue ni la main de ma suceuse de chatte. Je lâche un moment les deux queues que je pompais pour jeter un œil en arrière. Un black viril avec un énorme membre s’apprête à m’enculer. Excitée comme une puce, je lui tends mon cul, je lui offre ma raie et il s’enfonce en moi comme dans une motte de beurre. Il faut dire que j’ai été bien préparée par les caresses de la gouine qui s’est occupée de moi.
Râles et gémissements remplissent la grande pièce qui respire le sexe et la baise. Je suis bien, ivre, complètement nue et partouzée comme une chienne. J’adore !