Travesti par ma femme

J’aime ma femme et je ne lui refuse rien. Quand ce jour là elle m’a demandé si j’étais près à tout pour lui offrir une belle journée, j’ai dit oui, comme d’habitude. Je n’ai pas eu à le regretter, même si, par biens des aspects, la journée a été parfois éprouvante.

Marianne m’a transformé en travesti. Elle avait tout prévu, une tenue excitante et un programme bien défini. D’abord elle m’a habillé et maquillé, dans notre chambre. Pour mieux m’humilier, elle l’a fait devant le miroir du grand placard qui meuble la pièce. Elle m’a enfilé des habits de cochonne ; comme si ça ne lui suffisait pas de me voir en femme, elle a tout fait pour que je ressemble à une traînée, presque à une pute.

En sortant de la maison, je marchais tant bien que mal sur les talons déjà hauts qu’elle avait choisis pour moi. Je portais une robe assez courte qui laissait voir mes jambes bien au-dessus des genoux. La robe était fendue sur le côté si bien que, lorsque je m’asseyais, le haut de mes cuisses apparaissait et les curieux pouvaient voir le début de mon slip de femme. En haut, un décolleté plongeant du plus bel effet complétait le tableau. Un chemisier cachait mes bras mais son col était suffisamment ouvert pour que l’on puisse voir la naissance de mes seins, des postiches  fixés sur un soutien-gorge dont on pouvait deviner le liseré de dentelle.

Nous sommes allés faire des courses ensemble dans un supermarché d’un quartier populaire. J’avais honte de me sentir observé à chaque instant, dévisagé, scruté de la tête aux pieds. Dans la lumière crue des néons, nul ne pouvait ignorer ma condition de travesti. J’ai trouvé ce moment de la journée tellement humiliant.

Vidéo porno du récit Travesti par ma femme

A midi nous avons mangé au restaurant, sur une terrasse. C’est là que des hommes mataient mes cuisses. Je tirais de temps à autre sur ma robe pour cacher ce qui pouvait l’être, mais aussitôt que je lâchais le tissu, mes cuisses réapparaissaient. Je crois que j’ai troublé plus d’un voyeur au cours du repas et que certains ont dû passer une bonne soirée avec leur femme.

L’après-midi nous avons fait du shopping. Le pire moment pour moi a été celui où ma femme m’a entraîné dans une boutique pour y acheter de la lingerie. La vendeuse n’a rien osé dire et nous a laissé nous amuser dans la cabine d’essayage. J’ai essayé des sous-vêtements terriblement sexy et ça m’a excité énormément. A un moment Marianne a appelé la jeune femme pour qu’elle nous conseille. A sa demande la fille s’est hasardée à passer ses doigts le long de la culotte de dentelle que je portais. Ce n’est pas allé plus loin mais j’ai trouvé ça si troublant que je bandais comme un cerf dans le petit slip.

En début de soirée, nous nous sommes arrêtés dans un bar à cocktails. Là, dans la pénombre, je me suis fait draguer par deux jeunes hommes qui pensaient sincèrement avoir à faire à deux cochonnes en manque de sexe. Marianne a finalement mis fin à ce jeu qui devenait risqué en leur dévoilant la supercherie. Ils se sont enfuis presque en courant.

En sortant du bar, ma femme avait encore une idée derrière la tête. Pour ma part, je n’avais qu’une seule envie : rentrer chez nous et la baiser comme jamais. Ca ne s’est pas passé comme ça. Je vous raconterai ma nuit de travesti avec Marianne prochainement.

Prise au gode-ceinture en public

Ma maîtresse a enfilé son engin. Elle s’est mise devant moi pour bien me montrer ce qui m’attendait. Il faut dire que c’est une première pour moi. Jamais encore je n’ai été prise au gode-ceinture et encore moins en public. Il y a 6 femmes en chaleur autour de nous, toutes lesbiennes comme moi et ma maîtresse Jasmine. J’ai confiance en cette dernière et je sais que j’ai tout à gagner à me montrer coopérative.

Je suis à quatre pattes comme elle me l’a ordonné. Devant moi, elle se harnache avec le sexe factice; celui-ci est fixé sur une culotte en latex. Jasmine m’a montré l’intérieur, il y a aussi une petite bite qu’elle s’enfilera dans la chatte. Ainsi elle pourra jouir en me fourrant. Je suis contente pour elle.

Une fois équipée, ma maîtresse vient se placer derrière moi. Avant, elle a demandé à l’une des femmes du public de venir me caresser un peu l’entrecuisse jusqu’à la chatte. Je suis déjà mouillée. La femme, une petite rousse gironde, est une vicieuse car elle a profité de la situation pour me tripoter aussi le trou du cul.

Jasmine est en place. Elle vérifie que je suis bien lubrifiée. Satisfaite par la quantité de jus qui s’écoule de mon sexe,  elle passe le bout du gland de plastique entre mes cuisses et vient le frotter contre ma vulve. Les mouvements involontaires de mon bassin trahissent mon désir. Je me mets en position d’être fourrée. Mes lèvres vaginales s’entrouvrent et laissent passer le gros membre qui met quelques secondes à entrer totalement en moi. Ma maîtresse fait durer le plaisir de l’intromission, comme pour mieux solliciter mes sens.

Je finis par m’enfiler moi-même sur le pal qui vient buter au fond de ma caverne d’amour. Puis j’entame un va-et-vient lent mais déterminé, aidé par Jasmine qui me tient les hanches.

Vidéo porno du récit Prise au gode-ceinture en public

Les femmes se sont levées puis se sont approchées de nous. Je peux presque sentir leur souffle sur ma peau. Leurs mains se posent sur mon corps, partout. Elles caressent mon dos et mon ventre, mes cuisses. Les plus vicieuses s’aventurent sur mes seins, tirent sur mes tétons, laissent filer leurs doigts sur mon cul, jusque dans la raie de mes fesses.

L’une d’elles, la plus déterminée ou la plus excitée, se poste devant mon visage et m’offre sa fente à laper. J’y mets la langue avec délectation car je suis une grande amatrice de mouille féminine. Et puis je mordille ses grandes lèvres, écarte les petites pour dénicher son clito. Je suis surprise par sa taille et l’enfourne entre mes lèvres pour mieux le sucer.

Maîtresse Jasmine me claque le cul et me dit des insanités en me baisant. A sa voix, j’entends qu’elle prend elle aussi beaucoup de plaisir en me pinant. La petite queue qui lui remplit le vagin doit faire son redoutable effet. Je gigote de plus en plus sur le gode qui me comble de bonheur et quand une des lesbiennes se colle sous moi pour me sucer le bourgeon à son tour, j’explose en vol. Pourtant, je ne suis pas au bout de mes peines, au début de la soirée, ma maîtresse m’a dit qu’elle se réjouissait de prendre aussi mon cul avec son jouet.

Branlée en public

Hier après-midi, j’étais de sortie avec mon mari. Ça nous arrive de temps en temps, pendant que les enfants sont à l’école. Nous aimons bien nous promener tous les deux, comme aux premiers temps de notre amour. Le printemps vient de commencer et je me sens d’humeur bucolique mais aussi très câline. C’est sans doute pour cela que les choses ont rapidement tourné au sexe avec mon époux.

Toi aussi tu veux voir des nanas se branler pour toi ?

Il y a dans notre petite ville un jardin public particulièrement fréquenté par les gardiennes de jeunes enfants dès que les premiers beaux jours sont de retour. Après avoir pris un verre sur une terrasse, nous nous y sommes rendus avec Paul, mon mari. C’est à chaque fois une sorte de pèlerinage pour nous car nous avons beaucoup fréquenté ce parc avant de nous marier et de fonder une famille.

Nous nous sommes assis sur un banc. Paul s’est tout de suite montré très tendre avec moi. Je crois que lui aussi ressentait les premiers effets du printemps. Il me tenait par l’épaule d’une main, l’autre étant posée sur ma cuisse. J’ai tourné la tête vers lui et nous nous sommes embrassés fougueusement. Autour de nous, des femmes plus ou moins jeunes papotaient en jetant de temps à autre un œil sur les enfants dont elles avaient la garde.

Notre baiser a duré longtemps. J’étais un peu gênée de faire ça devant les gens qui se trouvaient là mais en même temps j’avais terriblement besoin de l’affection de mon époux. Nos langues s’emmêlaient comme si elles avaient été trop longtemps séparées l’une de l’autre. Ça commençait à me faire de l’effet entre les cuisses, d’autant plus que les doigts de Paul couraient le long de mes jambes, s’aventurant de plus en plus haut vers mon ventre.

Branlée dans le jardin public

A un moment, mon mari se saisit de la veste qu’il avait posée à côté de lui et la jeta discrètement sur mes genoux. Il remit presque aussitôt sa main en place et recommença à jouer sur ma peau. Je portais une jupe assez courte qu’il avait maintenant presque remontée entièrement sur mon ventre. Je faillis laisser échapper un petit cri quand il posa ses doigts sur mon slip. J’avais aussi un peu honte car j’étais certaine qu’il sentait l’auréole de mouille qui avait commencé de se former sur ma culotte.

La pression de ses doigts se fit plus intense sur ma chatte. Il se mit à les faire tourner puis passa carrément ses phalanges sous l’élastique de mon slip. Nous ne nous embrassions plus et j’avais du mal à retenir les gémissements qui ne demandaient qu’à sortir de ma bouche, fort humide elle aussi. Pour ne pas prendre de risque, je collai à nouveau mes lèvres contre les siennes.

En 5mn, rentre en contact avec des salopes bien trempées…

Paul me fouillait maintenant la fente. Ses doigts devaient être trempés. Il en avait introduit trois dans mon trou et me pistonnait le plus discrètement possible. Malgré cela, sa veste avait tendance à bouger sur mes cuisses. J’étais très excitée à l’idée qu’une des gardiennes ou des jeunes mamans présentes sur les bancs d’à côté pourraient soupçonner ce qui était en train de se passer en moi.

La main de mon mari me fouilla ainsi pendant quelques minutes. J’étais habituée à ce genre de caresses, mais pas dans ces conditions là. Quand le pouce de Paul se mit à glisser sur mon clitoris, il ne me fallut pas plus de quelques secondes avant qu’un orgasme ravageur me submerge. Mon cri de plaisir s’étouffa heureusement dans la bouche de mon branleur.

Quand nous quittâmes le jardin public, il me sembla que tous les regards étaient braqués sur nous. C’était sans doute une fausse impression due à la culpabilité que j’éprouvais alors. Mais le clin d’œil d’un jeune rousse assise juste en face de notre banc, lui, était bien réel. En rentrant  à la maison nous avons fait l’amour comme des fous.