La belle bite de mon gendre

Je suis une femme de 56 ans divorcée depuis longtemps. J’ai une fille unique, en couple avec mon gendre, un jeune homme très attirant. Je lorgne sur lui depuis des mois sans oser faire le premier pas, sans doute retenue par la morale. Mais un jour, je lui ai demandé de passer à la maison pour m’aider à déplacer un meuble. J’ai décidé de tenter le coup et de me lâcher. Il sonna à la porte. J’étais stressée mais je suis allée lui ouvrir en tenue légère.

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Nous étions enfin seuls tous les deux, sans ma fille. Je me trouvais en face de lui. J’ai commencé à le fixer en glissant mon doigt dans l’ouverture de mon peignoir, pour finir par l’ouvrir complètement. Il n’en revenait pas que la mère de sa femme s’offre à lui de la sorte. J’avais honte de faire ça à ma progéniture, mais j’en avais si envie que je ne pouvais pas me retenir. « Dis moi que je te fais bander, s’il te plaît ».

Un gros engin rien que pour moi !

Il ne dit pas un mot et se rapprocha de moi pour me rouler une grosse pelle. Il plongea sa langue au fond de ma bouche et je fis de même. J’ai tout de suite senti sa grosse queue durcir contre moi. j’ai posé ma main dessus pour la masser. Je n’avais pas tâté un tel engin depuis des lustres. J’ai ouvert la braguette pour en déloger le monstre que j’ai tout de suite commencé à branler avec engouement.

Sa hampe pleine de veine était si épaisse que j’avais du mal à en faire le tour avec mes petits doigts. Je continuais de rouler des pelles à mon beau-fils lorsqu’il a enfin décidé de me démonter. Il m’a posé sur la table comme une vulgaire chose, de telle manière que ma raie complète et mes orifices se trouvaient à sa merci. Il a tout de choisi entre mon cul et ma chatte, car j’ai senti son gros gland se frayer un chemin dans mon derrière. Comme un soldat plantant un drapeau sur une motte de terre, il enfourna son glaive dans ma grotte jusqu’au fondement et commença à me labourer l’arrière-train avec force et vigueur.

Enculée par la bite de mon gendre !

Il me tenait par le coup, fermement, mais son étreinte me permettait encore de respirer convenablement. Je retenais mes cris. La bite de mon gendre dans mon fion était si bonne, l’interdit me rend folle. Il m’encula ainsi sans fioriture, alternant les périodes douces et les moments de bourrinage intensif. Je n’en pouvais plus. je l’ai supplié d’en finir. J’avais joui plusieurs fois déjà, et je n’attendais qu’une chose, qu’il se vide en moi, qu’il répande son sperme dans le petit cul mature et timide de sa belle maman. Il le fit, avec force et volume. Mon rectum était plein du foutre de mon gendre. Il se retira et des paquets de sa semence coulèrent le long de mes cuisses pour se répandre sur le sol. Voilà, c’était fait, je venais de me faire enculer par mon beau-fils. Je venais de tromper ma propre fille. Quelle honte, mais quel bonheur en même temps…

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L’ex-compagne de mon père

D’aussi loin que je me souvienne, mon père a toujours été un homme à femmes. Depuis sa séparation d’avec ma mère, quand j’étais petit, il a enchaîné les maîtresses et les compagnes, les quittant compulsivement, comme si elles avaient atteint une sorte de date de péremption, pour s’en trouver une nouvelle, plus jeune. Malgré cet exemple pas vraiment respectueux des femmes, j’ai été fidèle, toute mon adolescence, à la même petite amie, évitant cette litanie d’ex-compagne.

Mais, à 18 ans, le bac en poche, j’ai du partir pour Bordeaux pour y suivre mes études. Là-bas, j’avais bien l’intention de retrouver celle qui avait été ma préférée parmi mes multiples et successives «  belles-mères  »  : Anna, avec qui mon père avait tout de même passé trois ans, un record pour lui  !

Quand j’étais enfant, j’étais un peu amoureux d’elle, et de ses longs cheveux blonds bouclés, ses yeux bleus, son teint diaphane et son sourire enjôleur. Elle s’était toujours montrée, contrairement à d’autres, très gentille avec moi. Aujourd’hui, elle devait avoir pas loin de 45 ans, un âge canonique aux yeux de mon père.

Une fois à Bordeaux, la rentrée universitaire passée, je me suis mis en quête de l’adresse d’Anna, sans intentions précises, juste une envie un peu floue de reprendre le contact. Je l’ai trouvée assez facilement. Elle vivait dans une petite rue, pas très loin de l’université.

J’y suis allé un matin, avant de prendre les cours. J’ai sonné. Elle a mis un certain temps à ouvrir. Elle était en nuisette, radieuse comme dans mes souvenirs. Elle resta un instant immobile devant moi, le temps que je puisse la contempler de la tête aux pieds. Elle avait un peu forci, mais ça lui allait plutôt bien. Son visage s’était arrondi, et sa nuisette ne dissimulait rien des formes généreuses qui étaient désormais les siennes. Mon père, qui n’aimait que les tailles mannequins, ne se serait sans doute même pas retourné sur elle.

«  Pardon, jeune homme, vous désirez  ?  ». Elle ne m’avait pas reconnu. Pas tout de suite en tout cas. Puis, tout à coup, son visage s’illumina  : «  Jean-Baptiste, c’est toi  ?  ». Avant d’avoir obtenu une réponse, elle me sauta au cou, plaquant son corps presque nu contre le mien. Elle était ravie des retrouvailles.

Les cours m’attendaient, le travail d’Anna aussi. On reprit rendez-vous pour le soir même, chez elle. Après une longue journée de TD et de cours magistraux, je suis donc arrivé chez elle, tout impatient de savoir où elle en était de sa vie.

Elle ouvrit, vêtue d’une tenue plutôt sexy «  d’executive woman  », me fit m’installer sur son canapé et m’offrit quelque chose à boire. Après avoir trinqué, elle s’en retournait à ses fourneaux, pour me préparer un bon repas, «  comme quand j’étais petit  ». J’ai décidé de la suivre, pour discuter avec elle pendant qu’elle cuisinait.

Elle s’affairait sur son plan de travail, et je reluquais ses hanches larges, serrées dans un pantalon trop moulant. Je la trouvais belle. Plusieurs fois, elle dut s’apercevoir de mon émoi, en se retournant. Moi qui étais plutôt timide avec les filles, j’ai décidé, mu par je ne sais quelle étrange force, de m’approcher d’elle, par derrière.

Je l’ai saisie par la taille, pour un câlin qui n’avait plus rien à voir avec des rapports belle-mère, beau-fils, ex-compagne ou quoique ce soit… Elle s’est laissée faire. J’ai commencé à l’embrasser dans le cou, puis a passé mes mains sur sa poitrine, devenue lourde et ronde. Elle ronronnait littéralement de volupté.

Je craque pour la croupe de l’ex-compagne de mon père…

En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, nous nous sommes retrouvés tous les deux nus au milieu de la cuisine d’Anna. J’essayais de ralentir le mouvement, pour pouvoir mieux contempler son superbe corps de femme, le second seulement que je voyais de ma vie. Ses seins tombaient à peine, un tout petit ventre de femme s’était formé, ses hanches étaient belles et pleines.

Sans que je sache vraiment comment, elle s’est retrouvée les mains sur son plan de travail, le postérieur tendu vers moi. Je me suis accroupi pour goûter à sa chatte ainsi offerte. Ses ronronnements de désir s’étaient transformés en râles de plaisir. Elle a joui.

Elle s’est alors retournée vers moi et m’a susurré à l’oreille  : «  prends-moi  !  ». Je l’ai fait basculer sur la table de la cuisine, et je l’ai baisée. Pendant que je la limais comme un forcené, Anna me criait des mots d’amour. Je tringlais ma belle mère et ex-compagne du paternel. Je bandais comme jamais je n’avais bandé avec ma petite amie.

Ma belle-mère me tripote la bite

Ma belle-mère est une vieille cochonne. Je m’en doutais depuis longtemps mais j’en ai maintenant acquis la certitude.  Déjà quand elle avait un petit coup dans le nez et qu’elle se laissait aller en paroles je soupçonnais ses penchants pour le sexe, mais aujourd’hui, après le comportement qu’elle a eu envers moi, le doute n’est plus permis, c’est une bonne salope.

C’était il y a une semaine environ. La famille était réunie pour la communion de ma nièce, la filleule de ma femme. Nous étions à table et le repas était déjà bien avancé. Nous nous apprêtions à prendre le fromage. J’étais assis à côté de ma belle-mère, face à ma femme.

Avant de continuer, un petit mot tout de même pour vous présenter Laurette, la fameuse belle-mère en question. C’est une femme de 55 ans (j’en ai 42), encore très bien conservée. Ce qui frappe tout de suite chez elle, c’est sa poitrine opulente et son joli cul perché sur de longues jambes bien dessinées. C’est une femme élégante, une petite bourgeoise mais qui s’entretient.

Une fois le fromage servi, j’ai senti une main se poser sur ma cuisse droite. De la façon dont ça se passait, ce ne pouvait qu’être celle de Laurette. Je n’y ai pas porté particulièrement attention sur le moment, mettant ce geste sur le compte d’une marque d’affection, alors qu’elle continuait à parler avec mon beau-frère, comme si de rien n’était.

Pourtant, au fil des minutes, la main de ma belle-mère se faisait de plus en plus insistante. Et puis, elle frottait aussi son pied contre le bas de ma jambe. Ca commençait à faire beaucoup. J’étais un peu gêné mais je me voyais mal lui faire une remarque devant tout le monde. Alors j’ai pris son poignet et j’ai posé sa main vers sa propre cuisse. Quelques instants plus tard, elle était de retour.

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Cette fois-ci Laurette ne se contenta pas de simplement laisser reposer ses doigts sur ma cuisse, ces derniers frottaient ma peau à travers le pantalon et se rapprochaient dangereusement de la bosse qui, dans mon slip, s’était peu à peu formée malgré moi. Je fus stupéfait lorsque la main de Laurette se fit enveloppante autour de mon membre et me le serra délicatement mais tout de même avec une certaine fermeté. Inutile de préciser que pendant ce temps, son pied continuait son manège sous la table.

Je bandais maintenant sans retenue. C’était impossible de me retenir d’ailleurs. Ma belle-mère avait ouvert la braguette de mon pantalon de costume et flattait ma queue à travers le tissu de mon slip. Elle me branlait littéralement, faisant glisser ses doigts le long de la hampe puis revenant jouer avec son puce sur mon gland. J’avais mouillé l’étoffe de mon slip à ce niveau et c’était délicieux de sentir le gras du doigt qui me massait le bout.

Vous comprendrez que, dans ces conditions, j’ai fini par éjaculer sous la table du repas familial. A aucun moment mes yeux n’ont croisé le regard de Laurette. Au moment de se dire au revoir, en fin de journée, celle-ci à cependant insisté plus que de coutume en me disant « A bientôt ! ».