Je devais organiser, comme c’est le cas tous les deux mois, un casting pour recruter des mannequins amateurs pour le compte de mes clients évoluant dans le milieu de la mode.
Le casting du jour portait sur des hommes. Nous recherchions précisément des hommes ayant un physique hors du commun ; particulièrement des gars musclés faisant en moyenne 1m80 et âgés de moins de 28 ans. Pour ce faire, nous soumettions les candidats à un petit défilé disséqué en trois passages : un en tenue d’hiver, un autre en tenue d’été et un dernier en sous-vêtements. C’est ce dernier passage que je préférais, principalement parce qu’il nous permettait d’apprécier en toute objectivité le critère de sélection le plus important, le physique !
Le profil des candidats était moyennement intéressant, mais aucun de ceux qui étaient déjà passés n’avait suscité le déclic en moi. Près de deux heures s’étaient écoulées au moment du passage du 17ème candidat. C’était un jeune homme âgé de 23 ans, d’origine africaine, faisant 1m87 ; il affichait une telle force et dégageait un charisme qui ne me laissait pas indifférente. Il portait un tee-shirt body qui serrait tellement ses bras musclés qu’on eu l’impression qu’il allait se déchirer. Il me fit intuitivement bonne impression, je n’attendais plus que le dernier passage, celui en sous-vêtements, pour définitivement être conquise.
Je n’allais pas être déçue de voir le corps athlétique de ce mâle dominant. Il avait des pectoraux parfaits, une tablette de huit carrés de chocolats, qui me faisait fondre d’envie. Ses cuisses musclées soutenaient un gros pénis, il n’était évidemment pas à poil, mais on pouvait clairement distinguer la forme de son engin à travers le dessous qu’il portait à l’occasion. Moi, j’aime les gros pénis, quand j’en vois un je perds mes moyens et ma chatte ne tardait pas à me le faire savoir. Je sentais bien que je mouillais, j’étais excitée et, au plus profond de moi, j’avais envie que cet étalon me prenne pour sa jument. Mais il fallait malheureusement que je me contienne pour demeurer professionnelle.
J’attendis patiemment la fin du casting pour le rencontrer et lui annoncer personnellement qu’il était retenu. Je vis son visage s’illuminer par un joli sourire. Profitant de cet instant de joie, je l’invitais à dîner le soir même, histoire d’en savoir un peu plus sur lui et lui expliquer deux ou trois choses importantes qu’il devrait savoir de notre boite. Il l’accepta. Je lui remettais alors ma carte de visite avant de m’en aller en lui indiquant le lieu du restaurant.
JH noir rien que pour moi…
Le soir venu, le jeune homme noir se présentait au lieu de notre rencontre, vêtu d’une tenue très élégante. Durant notre conversation, une question indiscrète me taraudait l’esprit, et je n’allais pas me gêner de la lui poser.
– » Durant le casting tout à l’heure je n’ai pas pu m’empêcher de constater que tu en as dans le caleçon. Alors dit moi combien mesure ta bite ? »
– Il me répond fièrement : » Elle mesure 29 cm sur 7. Tu la veux n’est ce pas ? »
Bien sûr que je la veux ! Nous partîmes dans un hôtel qui était situé à deux pas du restaurant pour terminer la soirée en beauté. D’entrée de jeu, le gaillard dirigea sa langue vers mon fruit défendu pour m’offrir un cunnilingus. Quand il eut fini de me mettre bien, il me brandissait son énorme phallus noir pour que je le polisse.
Il enfonça sa queue au fond de ma gorge, elle était si grosse que je failli m’étouffer. Lorsqu’il l’a retira je repris mon souffle à plein poumon, qu’aussitôt il recommença la manœuvre. Il alla jusqu’à me la foutre si profondément dans le gosier que je gerbais tout ce que j’avais mangé plutôt. Pareille chose ne m’était jamais arrivée. J’avais honte de moi et croyais que mon étalon serait déçu. Quelle ne fut pas ma surprise de voir qu’il était le moins du monde dégoûté par la situation. Il me prit violemment par les cheveux, me mit à genoux face à la merde que je venais de gerber, le temps que je réalise ce qu’il voulait faire, ma figure baignait déjà dans mon vomi. Il posa ensuite son pied gauche sur la base de ma nuque et me plaqua brusquement la tête dans cette vomissure, de sorte que je ne puisse pas me dégager, puis, il me pénétra de toute la longueur de sa queue.
Il me baisait si fort que je me confondais en douleur et en plaisir. Ce gaillard noir était infatigable, il enchaînait les positions toutes les deux minutes. L’une d’elle me fit particulièrement de l’effet. Il me souleva avec ces gros bras et se mit à me culbuter, frénétiquement, debout. C’était tellement vigoureux que je criais à gorge déployée.
A la fin de notre ébat, j’avais le sentiment que ce lascar m’avait baisé comme une chienne, je me sentais humiliée mais ce plan baise laissa en moi un souvenir intarissable qui me fait encore beaucoup de bien aujourd’hui.