L’exhibitionnisme, c’est risqué !

Mon copain et moi sommes exhibitionnistes. Nous pratiquons notre vice -l’exhibitionnisme, donc- dans une forêt, pas très loin de chez nous, où se retrouvent les couples comme nous et les voyeurs, en général des paysans du coin, de 20 ans à 60 ans passés. C’est dans la clairière de cette forêt que tout se joue. Certains couples se livrent à la partouze entre eux, d’autres laissent les voyeurs participer.

Pas nous. Nous sommes juste exhibes, et nous nous contentons de baiser devant ces messieurs, qui, en général, se branlent en nous regardant nous envoyer en l’air. Pour l’occasion, je mets souvent une tenue sexy, genre libertine, achetée sur le net.

Ce jour-là, la clairière était déserte. Pas un couple, pas un voyeur, pour troubler la tranquillité sereine de cette forêt où personne, mis à part les coquins de tout poil, ne passe jamais. Pas grave ! Nous avons trop envie de baiser. Très vite, je me retrouve topless, et mon chéri me suce les tétons, une caresse que j’adore.

Puis, c’est le bas qui tombe. Il s’agenouille dans les feuilles mortes et commence à me lécher le clito. J’adore ça ! Je suis déjà très chaude. Mon mec se redresse : à mon tour de lui faire du bien. Son pantalon et son caleçon tombent sur ses chevilles, il est déjà bien dur. Je prends sa belle queue entre mes lèvres, je creuse les joues, je mouille son gland de ma salive tout en jouant de la langue sur son frein.

De fil en aiguille, nous voici entièrement nus : il me nique en levrette. J’aime sentir sa queue bien au fond de moi. Il a beau me claquer les fesses pour faire un peu de bruit, pas un voyeur à l’horizon. Dommage… mais surtout tant pis pour eux : nous sommes particulièrement en forme aujourd’hui, le spectacle vaut le coup d’œil !

Maintenant, il s’allonge dans les feuilles mortes et je viens m’empaler sur lui. Il caresse mes seins pendant que je tortille du cul et des hanches pour lui procurer un maximum de plaisir, ainsi qu’à moi. Je m’entends couiner un peu. Si un gars passe dans les parages, il va m’entendre, c’est sûr.

Nouveau changement de position : je m’appuie contre un arbre, debout, et il me ramone en levrette. Ah, j’entends du bruit dans le chemin qui conduit jusqu’ici. J’encourage les voyeurs à nous rendre visite : « oui, baise-moi chéri, c’est trop bon ! » que je gueule comme une possédée.

Les pas se rapprochent et, d’un coup, me cœur se soulève en attendant une voix, avec un fort accent, s’adresser à nous : «  madame, monsieur, l’article 222 alinéa 32 du Code Pénal réprime l’exhibition sexuelle. Je me vois dans l’obligation de vous arrêter ». Un court instant, je crois à une blague. Je me retourne : un gendarme nous fait fasse.

Je me dégage de l’étreinte de mon copain et me précipite sur mes fringues. J’arrive à prendre mon haut et à en recouvrir mes seins et ma chatte, tant bien que mal. « Monsieur l’Agent, je vais vous expliquer, ce n’est pas dans nos habitudes, c’est juste que… ». Il ne me laisse pas finir ma phrase : « allons, mademoiselle, je sais bien ce que c’est que la jeunesse, j’ai une fille de votre âge. Vous serez quittes pour une bonne frayeur et une amende ».

Je suis morte de honte. Le pire, c’est que nous n’avons pas un rond pour payer une amende. Et si ça se savait, en plus ? Je lève tomber mon haut au sol, dévoilant à la vue du militaire mes petits seins et ma chatte rasée et encore humide. Je m’approche de lui. Mon mec ne dit rien, n’esquisse pas un geste pour me retenir.

C’est le gendarme qui me coupe dans mon élan. « N’aggravez pas votre cas, mademoiselle, la corruption de fonctionnaire, alliée à l’exhibitionnisme, ça coûte cher ». J’hésite encore un peu. Le flic a le regard perdu. Je m’approche encore un peu, me colle contre lui. Il essaie de bredouiller quelque chose. Peine perdue. J’ai défait son ceinturon, il a la bite à l’air. Il est raide comme la justice. Je commence à le branler, en défaisant, de l’autre main, sa chemise. Je colle mes petits seins pointus à sa peau.

Ça n’est pas suffisant, il semble prêt à se rebeller. Alors je me penche et je prends son gourdin dans ma bouche. Une bite très grosse. Pas très longue, mais épaisse. Mon copain ne dit toujours rien, il reste là, à poil, passif.

Je m’applique à bien sucer le gendarme. S’il gicle, c’est gagné, il repartira la queue entre les jambes, si j’ose dire. Je fais montre de tout mon art de la turlutte. Le vieux grogne son plaisir. Dans moins de trois minutes, il va éjaculer au fond de ma gorge, c’est certain.

Il faudra juste que je change de mec, et m’en trouver un plus courageux que celui-ci qui regarde, béat, sa meuf en train de pomper la bite d’un vieux gendarme.