J’ai un peu honte de vous raconter cette histoire mais je ne peux plus me taire. Il faut que j’en fasse part à quelqu’un. Comme je ne peux décemment pas me confier à une personne de ma famille ou de mon entourage sans passer pour une traînée, j’ai décidé de l’écrire et de vous la livrer à vous, lecteurs anonymes et compréhensifs.
C’est arrivé la semaine dernière et depuis je ne dors plus. J’espère que cette confession me permettra de retrouver la quiétude et le sommeil.
Le mari de ma tante, la sœur de ma mère, m’a masturbée. J’ai 18 ans et il pourrait être mon père. Ce n’est pas un homme très beau, il est même plutôt grassouillet et légèrement chauve. J’avoue qu’il a cependant un petit charme, sans doute car il est toujours très à l’aise en société.
Ça s’est passé dans les WC de notre maison de campagne. J’étais assise sur la cuvette pour faire un petit pipi et me caresser comme je le fais souvent mais j’avais oublié de tirer le loquet de la porte. Mon oncle a ouvert et s’est trouvé face à moi, qui n’en menais pas large, la main passée entre mes cuisses, les doigts dans la chatte.
Il a tout de suite compris ce qui se passait et au lieu de faire demi-tour, il est entré et à fermé la porte. Je ne savais pas comment réagir mais de toute manière il ne m’a guère laissé de temps. En souriant, il s’est avancé et a pris mon poignet dans sa main. Il a lentement commencé à le faire bouger.
J’étais toujours incapable de la moindre réaction et je me suis laissé faire. C’était un peu comme dans un rêve mais comme j’avais honte j’ai fermé les yeux tout le long de la branlette de mon oncle.
Il faisait maintenant aller et venir mes doigts dans ma chattoune. J’entendais le clapotis que ça faisait et lui aussi devait l’entendre. Je sentais mes joues qui rougissaient et j’ai encore eu plus honte quand de mes lèvres est sorti un petit gémissement que je n’ai pas pu retenir.
La tête légèrement renversée en arrière, les cuisses ouvertes, j’ai senti passer l’autre main de mon oncle entre mes jambes. Elle est venue se joindre à la mienne et peu à peu investir mon intimité. Mon oncle a commencé à écarter mes petites lèvres et son gros pouce s’est posé sur mon clitoris qui était extrêmement sensible. Il s’est mis à le frotter doucement puis a introduit son index et son majeur dans ma fente. J’avais quatre doigts dans mon trou, les deux siens et deux des miens. C’était plus que je n’en avais jamais fourré dedans en me masturbant.
J’ai mis quelques dizaines de secondes pour jouir, pas plus. C’était bien trop excitant pour que je puisse me retenir. Je me suis mordu les lèvres pour ne pas crier, de peur d’alerter le reste de ma famille qui ne se trouvait pas très loin.
Mon oncle est sorti sans un mot mais avec un sourire que je ne parviens pas à oublier depuis, celui-là même qui m’empêche de dormir. Je n’ose imaginer le moment où je me retrouverai de nouveau face à lui.
Auteur/autrice : Anne-Sophie
Il s’est trompé de trou
C’est la première fois que ça lui arrive et pour moi aussi ça a été une première. Hier soir, mon mari s’est trompé de trou et je l’ai laissé faire.
Nous étions au lit depuis quelques minutes. Mon mari, Thibaut, est venu se serrer contre moi comme il le fait presque chaque soir. Je dors sur le côté, tournée vers l’extérieur du lit. Thibaut s’est collé contre mon dos et m’a prise dans ses bras. J’aime sentir son large torse derrière moi et ses bras qui me protègent. Nous nous endormons souvent dans cette position. Ce soir là les choses se sont passées un peu différemment.
Thibaut ne tenait pas en place. Ses mains posées sur ma poitrine jouaient négligemment avec mes seins mais ça suffisait à me faire de l’effet. Peu à peu, j’ai commencé à sentir des frissons courir sous ma peau. J’ai posé ma main sur sa cuisse et je me suis mise à la caresser, d’abord sur le dessus, puis à l’intérieur. Imperceptiblement, il a écarté ses jambes. En même temps, je sentais sa queue qui durcissait contre mes fesses.
Il jouait maintenant ostensiblement avec mes nichons. Je n’ai pas de très gros seins mais de belles pointes qui raidissent bien quand on les tripote. Thibaut passait aussi ses doigts sur mon ventre et descendait de plus en plus bas vers ma fourche. De mon côté, je lui caressais les couilles. Je sais qu’il adore ça.
Nous commencions à haleter tous les deux. La bite de mon mari s’était logée entre mes fesses. Je passai alors la main entre mes cuisses pour la guider vers mon entrejambe. C’est là que tout a basculé. Notre position ne devait pas être idéale pour une baise classique et Thibaut se trompa de trou.
Au début, je fus surprise de sentir son gland appuyer sur mon petit anus. S’il nous arrivait à tous les deux de pratiquer des caresses anales sur le trou du cul de l’autre, jamais nous n’avions abordé la question de la sodomie et il ne me semblait pas que mon mari était tenté par cette pratique.
Pourtant, il fallait que je me rende à l’évidence, Thibaut était en train d’entrer dans mes fesses. Il poussait, poussait et peu à peu son gland perforait ma rondelle. J’étais trop excitée pour le détromper et, d’ailleurs, je ne trouvais pas ça désagréable. Le pauvre devait penser que ma position, couchée contre lui, rendait ma petite chatte plus serrée que jamais.
Il me prit comme un fou et je crois qu’il ne réalisa être dans mon cul que lorsque je me redressai et me mit à quatre pattes sur le lit. En fait, je ne suis même pas sûre qu’il s’en est rendu compte car il n’en parla pas, ni pendant ni après notre cavalcade. Pour ma part, je connus l’un des orgasmes les plus violents de ma vie sexuelle. Je fus même traversée d’une seconde série de spasmes lorsque Thibaut décula lentement.
Aujourd’hui je ne sais que penser. Dois-je aborder le sujet avec mon mari ou, au contraire, me taire à tout jamais ? J’avoue avoir pris beaucoup de plaisir à cette expérience et j’aimerais la renouveler, mais je n’ose le lui dire ouvertement. Dans notre couple, il est des discussions encore largement taboues.
Prise par un trio de vicieux
« Oh les gars, ce que vous me faites jouir ! Allez-y, prenez-moi, tous les trois, maintenant ! »
Je ne sais plus ce que je dis, je ne me retiens plus, je n’ai plus aucune pudeur. Depuis que j’ai rencontré ces trois salopards dans cette soirée, je ne suis plus moi-même. Ou plutôt, je suis celle que j’ai toujours rêvé d’être, une bonne cochonne qui se donne sans limite et sans tabou.
Peut-être bien que j’ai pris un ou deux verres de trop mais je ne suis pas saoule, juste complètement désinhibée. Les trois mecs s’en rendent compte. Mes mains touchent leurs bites, soupèsent leurs couilles, caressent leurs culs. Ils m’excitent grave. Ils sont jeunes, plus jeunes que moi et qu’est-ce qu’ils sont bien montés. Ma main a du mal à faire le tour de la queue que je branle. Ma bouche est complètement distendue par celle que je suce et je n’ose imaginer comment mon cul va bientôt être rempli.
Je suis à quatre pattes maintenant. Je pompe toujours le dard qui me fouille la gueule. Je m’arrête seulement pour laper les couilles bien rondes du gars qui me fait face. Il en profite pour me matraquer le visage avec son gourdin. Les deux autres types ont répondu à mon appel.
L’un des deux est passé sous moi. J’ai écarté les genoux pour le laisser s’installer. Il m’a saisie par les hanches et m’a fait descendre sur sa verge où ma petite chatte est venue s’empaler vicieusement. J’ai tout de suite commencé à onduler dans tous les sens pour bien le sentir.
L’autre mec, un solide gaillard d’une vingtaine d’années s’est glissé derrière moi. Derrière mon cul plus précisément. Je le sens qui écarte mes fesses. Il crache sur mon trou puis le prépare avec ses doigts sans délicatesse excessive ni brutalité exagérée. Il a déjà de l’expérience, tant mieux. Quand il pose son gland sur mon œillet brun, c’est moi qui pousse mes fesses en arrière pour le prendre. Sa bite est longue et forte, elle met un peu de temps à passer entièrement. Je ne m’étais pas trompée en m’imaginant être enculée peu auparavant.
Nous bougeons en cadence, nous ne faisons plus qu’un tous les quatre. Je suis la chose des trois queutards et ça me plaît, leur objet sexuel, leur petite pute docile et perverse. Ils me laminent, me bourrent bien à fond, me tringlent la vulve, me ramonent le cul. C’est bon, terriblement bon.
Quand le premier sort de ma bouche pour me juter sur la figure, c’en est trop pour moi. Je jouis en gueulant comme une traînée. Je n’ai pas besoin de simuler, tant mon orgasme est intense. Mes genoux se dérobent sous mon corps mais heureusement les deux obsédés qui me remplissent sont là pour me retenir, je ne touche plus le sol, au propre comme au figuré. Lorsque je pense avoir fini de jouir, une deuxième salve se déclenche car les grosses bites qui me prennent se contractent pour lâcher deux flots de sperme dans mes entrailles de femelle en chaleur.
Ivre, nue et partouzée
Je savais que ne devais pas boire autant, ça finit toujours par me jouer des tours. Mais c’est plus fort que moi, je me laisse aller et je dois ensuite en supporter les conséquences. Allez savoir, au fond, c’est peut-être que je les apprécie ?
Par exemple, là, je suis en train de baiser avec tout un groupe de personnes. La soirée était sympa jusque là, et plutôt clean. Je crois que ça va rester sympa mais bien moins clean. En fait j’en suis sûre, malgré les vapeurs d’alcool qui embrument un peu mon cerveau et qui ne m’empêchent pas de prendre du plaisir, au contraire.
>> Plan X avec salope bien chaudasse <<
Une femme est sous moi et me mange la chatte en me caressant le cul. Sa langue est douce et ses lèvres avides de mon sexe. Elle boit ma mouille qui s’écoule lentement dans sa bouche. C’est une petite blonde un peu boulotte d’environ 45 ans. Ca doit lui paraître bizarre et excitant de faire un cuni à une jeune étudiante comme moi.
Devant moi, deux queues se présentent. Deux belles queues vraiment surdimensionnées, bien noueuses et le gland tendu à l’extrême. Je les lèche comme des boules de glace, c’est un peu amusant et l’alcool me fait rire à cette idée. Je reprends mes esprits quand les deux beaux nœuds forcent le passage de mes lèvres en même temps. Je dois ouvrir la bouche en grand mais j’arrive finalement à prendre les deux engins ensemble. Leurs propriétaires respectifs se mettent à me limer. Ils doivent être un peu bisexuels car ils semblent apprécier de frotter ainsi leurs membres l’un contre l’autre. Moi, je me contente de servir de réceptacle à leurs envies et de passer la langue sur leurs bouts.
Un autre homme s’est placé sous moi et me suce les seins comme un enfant tèterait les nichons de sa mère. On m’a rarement fait ça aussi bien. Il tire avec ses lèvres sur mes belles tétines brunes et longues qui pendent un peu dans cette position. Sa langue agace mes pointes. En tournant la tête, je peux voir une grosse femme aux fesses mafflues qui monte et descend sur sa bite, prise par le cul, tout en suçant la queue d’un gars bien plus jeune qu’elle, lui-même sodomisé par un vieux type. Je crois me souvenir qu’il s’agit du mari de la grosse femme.
>> Plan X avec salope bien chaudasse <<
Subitement, je sens qu’on essaye de s’introduire dans mon cul. Ce n’est ni la langue ni la main de ma suceuse de chatte. Je lâche un moment les deux queues que je pompais pour jeter un œil en arrière. Un black viril avec un énorme membre s’apprête à m’enculer. Excitée comme une puce, je lui tends mon cul, je lui offre ma raie et il s’enfonce en moi comme dans une motte de beurre. Il faut dire que j’ai été bien préparée par les caresses de la gouine qui s’est occupée de moi.
Râles et gémissements remplissent la grande pièce qui respire le sexe et la baise. Je suis bien, ivre, complètement nue et partouzée comme une chienne. J’adore !
Branlée en public
Hier après-midi, j’étais de sortie avec mon mari. Ça nous arrive de temps en temps, pendant que les enfants sont à l’école. Nous aimons bien nous promener tous les deux, comme aux premiers temps de notre amour. Le printemps vient de commencer et je me sens d’humeur bucolique mais aussi très câline. C’est sans doute pour cela que les choses ont rapidement tourné au sexe avec mon époux.
Toi aussi tu veux voir des nanas se branler pour toi ?
Il y a dans notre petite ville un jardin public particulièrement fréquenté par les gardiennes de jeunes enfants dès que les premiers beaux jours sont de retour. Après avoir pris un verre sur une terrasse, nous nous y sommes rendus avec Paul, mon mari. C’est à chaque fois une sorte de pèlerinage pour nous car nous avons beaucoup fréquenté ce parc avant de nous marier et de fonder une famille.
Nous nous sommes assis sur un banc. Paul s’est tout de suite montré très tendre avec moi. Je crois que lui aussi ressentait les premiers effets du printemps. Il me tenait par l’épaule d’une main, l’autre étant posée sur ma cuisse. J’ai tourné la tête vers lui et nous nous sommes embrassés fougueusement. Autour de nous, des femmes plus ou moins jeunes papotaient en jetant de temps à autre un œil sur les enfants dont elles avaient la garde.
Notre baiser a duré longtemps. J’étais un peu gênée de faire ça devant les gens qui se trouvaient là mais en même temps j’avais terriblement besoin de l’affection de mon époux. Nos langues s’emmêlaient comme si elles avaient été trop longtemps séparées l’une de l’autre. Ça commençait à me faire de l’effet entre les cuisses, d’autant plus que les doigts de Paul couraient le long de mes jambes, s’aventurant de plus en plus haut vers mon ventre.
Branlée dans le jardin public
A un moment, mon mari se saisit de la veste qu’il avait posée à côté de lui et la jeta discrètement sur mes genoux. Il remit presque aussitôt sa main en place et recommença à jouer sur ma peau. Je portais une jupe assez courte qu’il avait maintenant presque remontée entièrement sur mon ventre. Je faillis laisser échapper un petit cri quand il posa ses doigts sur mon slip. J’avais aussi un peu honte car j’étais certaine qu’il sentait l’auréole de mouille qui avait commencé de se former sur ma culotte.
La pression de ses doigts se fit plus intense sur ma chatte. Il se mit à les faire tourner puis passa carrément ses phalanges sous l’élastique de mon slip. Nous ne nous embrassions plus et j’avais du mal à retenir les gémissements qui ne demandaient qu’à sortir de ma bouche, fort humide elle aussi. Pour ne pas prendre de risque, je collai à nouveau mes lèvres contre les siennes.
En 5mn, rentre en contact avec des salopes bien trempées…
Paul me fouillait maintenant la fente. Ses doigts devaient être trempés. Il en avait introduit trois dans mon trou et me pistonnait le plus discrètement possible. Malgré cela, sa veste avait tendance à bouger sur mes cuisses. J’étais très excitée à l’idée qu’une des gardiennes ou des jeunes mamans présentes sur les bancs d’à côté pourraient soupçonner ce qui était en train de se passer en moi.
La main de mon mari me fouilla ainsi pendant quelques minutes. J’étais habituée à ce genre de caresses, mais pas dans ces conditions là. Quand le pouce de Paul se mit à glisser sur mon clitoris, il ne me fallut pas plus de quelques secondes avant qu’un orgasme ravageur me submerge. Mon cri de plaisir s’étouffa heureusement dans la bouche de mon branleur.
Quand nous quittâmes le jardin public, il me sembla que tous les regards étaient braqués sur nous. C’était sans doute une fausse impression due à la culpabilité que j’éprouvais alors. Mais le clin d’œil d’un jeune rousse assise juste en face de notre banc, lui, était bien réel. En rentrant à la maison nous avons fait l’amour comme des fous.