Le gode-ceinture de ma femme…

J’ai une femme plus jeune que moi. Elle vient à peine de fêter ses 40 ans, et elle en paraît 10 de moins. Autant vous dire que je fais des jaloux au boulot, à mon club de foot et parmi mes amis. S’ils savaient, tous, ce qu’elle me fait endurer. Oh, je ne suis pas cocu, non. Enfin, je ne crois pas. Pas vraiment. En fait, ma femme a une maîtresse, depuis quelques temps. Et cette maîtresse s’appelle Christine, c’est le petit surnom qu’elle m’a donné.

Depuis le temps que je la tannais pour qu’elle accepte la sodomie, ça devait bien arriver. Ma femme n’est pas le genre qui se laisse faire, et encore moins à se laisser imposer quoi que ce soit. Un soir que nous faisions l’amour, j’ai de nouveau insister pour qu’elle me laisse essayer de l’enculer. Elle s’est levée droite comme un I et a quitté le lit conjugal.

Nouvelle partenaire pour nouvelles expériences ? Clique ici…

J’ai eu peur qu’elle veuille me quitter. Mais je l’ai retrouvée en face de l’ordinateur, ma carte bancaire à la main. Elle était sur un site de ventes d’articles coquins, style sexshop. En train de commander du lubrifiant. Quand j’ai vu ça, ma gaule est remontée. Puis elle a ajouté au panier une poire à lavements. C’était parfait. C’est quand elle s’est décidé pour un gode-ceinture de taille moyenne que j’ai commencé à m’inquiéter.

Moins de trois jours plus tard, sa commande est arrivée. Elle m’a tendu la poire et m’a envoyé me laver dans la salle de bains. C’est tout juste si je savais comment m’en servir. Je me suis retrouvé dans la baignoire, le tube dans le cul, à faire de mon mieux pour enlever ce qu’il y avait à enlever. Tout un poème, je préfère ne pas vous raconter les détails.

Quand je suis revenu, tout nu et tout propre, dans notre chambre, ma femme m’attendait en petite tenue sur le lit. Elle était hyper sexy. Sauf sur un point : elle s’était harnachée du gode-ceinture, ce qui lui donnait un air terrible à mes yeux. « Alors, comme ça, tu veux essayer la sodomie ? OK, pas de problème, on va essayer la sodomie ! ». Le gode devait avoir sensiblement les mêmes mensurations que ma bite. Pas énorme, donc, mais inquiétant tout de même.

J’ai souri. Mais je savais bien qu’elle ne plaisantait pas. Pas le genre à claquer du blé pour une simple blague. Elle m’a fait signe de sucer son gode-ceinture. Je me suis exécuté. J’ai trouvé ça terriblement humiliant. Mais je bandais quand même. Ensuite, manifestement très excitée, elle m’a fait me mettre à quatre pattes. Elle a mis du lubrifiant sur mon trou du cul et a posé l’engin entre mes fesses.

« Respire un grand coup, chérie ! » m’a t-elle lancé, l’air de rien. Et elle m’a défoncé. J’ai hurlé de douleur. D’une traite, le gode était entré entièrement en moi. J’avais tellement mal que je n’arrivais plus à contrôler mes forces. Elle m’a saisi par la taille et a commencé à me limer doucement avec son gode-ceinture. Dans cette position, elle était plus forte que moi, car mes forces m’avaient littéralement abandonné.

Quand j’ai finalement repris le dessus, j’avais l’anus en feu. J’ai réussi à m’extraire de son étreinte. Elle rigolait : « alors, cochonne, on a eu mal à son petit cul ? ». J’ai passé un doigt entre mes fesses. Elle m’avait effectivement déchiré. Je saignais même un peu. « Allez, mets-toi sur le dos, on y retourne ! ». Elle croyait vraiment que j’allais me laisser faire encore une fois ?

Défoncé par le gode-ceinture

Elle avait raison. Mu par une force que je ne maîtrisais pas, j’ai pris la position. Elle est venue sur moi, je sentais ses seins sur ma poitrine. Elle a dirigé le sextoy entre mes fesses et a poussé une nouvelle fois. Tout le gode s’est enfoncé en moi, je n’arrivais plus à respirer.

Et elle m’a enculé, de plus en plus vite, de plus en plus fort, et de plus en plus profondément. J’ai failli tomber dans les pommes. A un mouvement, les secousses étaient si fortes et ma bite tellement tendue, que j’ai éjaculé. Et à ce moment là que ma femme a joui, presque comme l’aurait fait un homme, en grognant de contentement.

Et s’est dégagée et est retombée sur le dos, l’air satisfait. Mon cul me brûlait horriblement. Mais ça m’avait plu, je devais bien l’avouer. Elle m’avait baisé, et avait pris son pied à me sauter. On en discuté seulement le lendemain. Nous étions tous les deux satisfaits de l’expérience et nous avons recommencé, là, dans le salon.

Depuis cette première fois, ma femme a commandé d’autres godes-ceintures, tous plus gros les uns que les autres. Parfois je l’encule. Mais le plus souvent, c’est elle qui s’amuse à, comme elle dit, « me péter la rondelle ». J’ai gagné sur les deux tableaux.

La secrétaire scandinave est une lesbienne

Tu veux aussi une expérience une lesbienne ?

Monika est une jolie femme, elle a tout ce qu’il faut pour plaire, les portes lui sont ouvertes grâce à sa beauté et elle ne l’ignore pas.
De corpulence svelte, cheveux blonds et épais, yeux bleus et lèvres pulpeuses, c’est une scandinave qui habite à Monaco depuis quelques mois seulement et, qui y a trouvé un travail comme assistante dans une agence de publicité appartenant à une richissime femme d’affaire.

À 27 ans, elle est très ambitieuse et, tous les moyens, selon elle, sont bons pour parvenir à ses fins. Non seulement elle a le physique parfait, mais elle sait jouer avec les circonstances et les situations.

Son bureau voit fréquemment la visite de la patronne : deux à trois fois par semaine. Cette bourgeoise quadragénaire est très pointilleuse, elle demande toujours des comptes à tous ses collaborateurs.

Ayant menée une enquête, Monika a appris qu’elle était célibataire et lesbienne. Le libertinage, elle en connait un rayon ! C’est peut être ce qui va lui offrir des opportunités.

Un mercredi, comme d’habitude, on annonce l’arrivée de la baronne Kelly qui ne manquera pas de faire un tour dans le bureau de Monika.

Sachant jouer avec ses atouts physiques et son côté un peu débridé, notre scandinave lesbienne décide de jouer le grand jeu. Sexy et plus séduisante que jamais, voilà comment elle se présente. Irrésistible, elle ne pourra pas passer inaperçue aux yeux de sa patronne.

Il est midi et, on frappe à sa porte. Monika se lève, elle courre ouvrir pour ensuite inviter Miss Kelly à prendre place. Femme de caractère qui ne marche pas ses mots, la patronne demande tout de suite à rentrer dans le vif du sujet. Monika sort les derniers dossiers et, se lève pour expliquer leurs avancés. Sa jupe est extrêmement courte, on aperçoit ses bas quasi transparents et, elle a déboutonné sa chemise pour exhiber sa belle poitrine naturelle.

Quelques papiers en mains, elle jette des regards séducteurs à la patronne en lui expliquant, en détail, le travail qu’elle a abattu durant les derniers jours, elle est super brillante cette scandinave ! D’habitude, Miss Kelly ne faisait pas plus de 30 minutes dans le bureau de Monika, mais cette fois, ça fait 45 minutes que les deux coquines discutent. La conversation, au bout du compte, est devenue plus amicale que professionnelle.

En regardant sa montre, Miss Kelly remarque que le temps avait lourdement filé, alors, elle a donné rendez-vous à Monika pour la prochaine visite en lui notant qu’elle avait aimé la discussion. Avant de sortir, notre assistante a eu droit à un bisou très proche des lèvres. Le premier coup est marqué !

Lesbienne scandinave prête à baiser…

La deuxième et dernière visite de la semaine se déroule le vendredi. Notre allumeuse a mis les bouchées doubles. Plus sexy que jamais, elle a préparé un speech de bienvenu à la baronne qui entre dans le bureau vêtue d’une robe moulante exposant ses petits tétons.

Monika : toujours aussi radieuse, je ne résiste pas au charme d’une si jolie femme, désolée…
Miss Kelly : tu sais Monika, moi aussi je ne résiste pas à ton charme, j’ai beaucoup pensé à la dernière fois, ta compagnie était si agréable que j’en suis restée séduite.

Joignant la parole à l’acte, la baronne attrape Monika par les cheveux et l’embrasse langoureusement. Bien évidemment, la réponse à son flirt se fait avec la même hardiesse. Comme elles sont sauvages nos deux coquines !
Dominatrice, Miss Kelly projette son assistante sur le canapé du bureau, elle retire son string avant de la déshabiller complètement. Monika se laisse lécher les nibards, puis la foufoune, elle est complètement épilée cette cochonne !

La baronne fouille dans sa sacoche et retire un gode-ceinture avant de retourner l’assistante. Après une longue séance de pénétration, la baronne détache son sextoy et l’enfile à Monika qui va s’en servir majestueusement.
La patronne adore la levrette, surtout la sodomie alors, c’est à quatre pattes qu’elle demande à son assistante de la prendre comme une chienne.
Une heure vient de passer, le corps nu et radieux de Monika est allongé pendant que la baronne la regarde toujours avec la même envie. Elle lui avoue être tombée sous son charme depuis la première fois.

Les petites coquines vont continuer dans l’appartement luxueux de la baronne : une victoire pour cette scandinave ?

Amoureuse de mon gode réaliste

Oui, je l’avoue, je fais partie de ces femmes totalement accroc à leurs godes, à leurs sextoys. Mais qu’on se rassure : j’ai, par ailleurs, une vie sexuelle tout à fait équilibrée, avec un petit copain régulier et quelques amants de passage. A vrai dire, j’avais toujours trouvé cette passion de certaines filles pour les jouets coquins parfaitement ridicule.

Non mais franchement : quel genre de femmes mouille pour un canard ou pour un petit vibro tout rose et tout mimi ? Pas moi, en tout cas. Et puis, un soir de beuveries entre copines, nous nous sommes décidées à rentrer dans un sexshop. Pas un lieu mal famé, un truc un peu hype, où on trouve des femmes seules, des couples… mais nous avions la sensation de nous encanailler comme des dingues.

Là, je suis tombé nez-à-nez avec lui, au rayons godes. Je vais l’appeler Johnny, rapport à un acteur américain que vous reconnaîtrez et qui m’a toujours fait fantasmer. Lui, et son gland énorme, lui et ses belles veines bien dessinées… Lui, le pénis parfait. Je ne savais même pas que ça existait. Une vendeuse, voyant mon désarroi m’a tout expliqué, très simplement et très gentiment : « c’est ce qu’on appelle un gode réaliste, il y en a de toutes les tailles et de toutes les couleurs, si vous voyez ce que je veux dire… ».

Je voyais bien, oui, mais je pris mon air le plus sceptique, tout en reluquant du coin de l’œil la bite parfaite en PVC. C’est là que je l’ai remarquée : au pied de Johnny, si j’ose dire, le fabricant avait ajouté une ventouse, qui me donna tout à coup un maximum d’idées toutes plus salaces les unes que les autres. Mes copines m’ont extirpée du sexshop, pour aller boire un coup, et j’ai laissé mon Johnny tout seul, avec sa trique.

Mais dès le lendemain, je suis allée sur un sexstore en ligne. Et j’ai acheté Johnny. Je lui devais bien ça : j’avais rêvé de sa fantastique bite toute la nuit, et j’avais déjà pris un pied monstrueux à l’imaginer en moi.

48 heures. J’ai du attendre 48 heures avant qu’on ne vienne me livrer Johnny. Une longue absence que j’ai ressentie au creux de mes cuisses et que j’ai compensé avec un premier amant le premier soir, avec mon petit ami la seconde nuit. Sans grands résultats. Mon amant est donc arrivé un soir, par livreur. Trempée jusqu’aux cuisses, j’ai ouvert compulsivement le paquet.

Il était là, mon gode… Gros, épais, long et bien veiné, il n’y avait plus qu’à. Je me suis retrouvée nue au milieu de mon appartement en moins d’une minute. Mince ! J’avais oublié de commander le lubrifiant ! J’ai passé une main sur ma chatte… pas besoin de lubrifiant.

Je me suis allongée sur mon canapé et j’ai commencé à jouer avec mon clitoris, tout en admirant la forme parfaite de mon nouveau gode. Rien que cette caresse et cette vue ont suffit à me faire jouir une première fois. C’était déjà une de plus que mes deux nuits précédentes.

Un gros gode très réaliste !

Et là, j’ai saisi Johnny et je l’ai invité à me baiser. J’ai introduit chaque centimètre de mon gode en moi, pour bien sentir ses belles veines qui me caressaient les grandes lèvres, les petites, et l’intérieur du vagin. Le monstre s’est finalement logé contre mon col, et je l’ai retiré.

Pour mieux pouvoir me l’enfoncer d’un coup, presque jusqu’à la garde. Je me baisais moi-même et pourtant, je gueulais comme si un mec en rut était en train de me laminer la moule ! Quelle incroyable sensation ! C’était vraiment autre chose que les petits canards vibrants et autres joyeusetés du genre.

J’ai passé la nuit à me défoncer avec mon beau Johnny. Et même aujourd’hui, alors que je dispose d’une collection assez extravagante de godes réalistes, des moyens, des gros et des énormes, des noirs, des blancs et des asiatiques, Johnny reste le préféré de mes godes.

Le plus souvent, je le colle par sa ventouse à la grande vitre de mon armoire et il me baise en levrette, là, à même le sol. Maintenant, j’arrive à prendre ses 22 centimètres jusqu’au fond, c’est ça me défonce toujours autant.

Côté mec, je recherche désespérément un gars avec une aussi belle bite que Johnny. Il pourra être moche, obèse, vieux, je m’en fous. Je veux une vraie bite qui soit à la hauteur de celle de Johnny : belle, bien dessinée, épaisse et longue et surtout toujours disposée à me niquer, quand j’en ai envie, c’est-à-dire souvent.

S’il se trouve quelqu’un qui lit ces lignes et qui se reconnaît dans le portrait de cette bite magique, sachez que j’ai 31 ans, que je suis plutôt jolie, assez bien gaulée et que je suis devenue en quelques années une vraie bête de sexe, grâce à Johnny !

Je suis obsédée par les vieux

Je fantasme sur les vieux. Je suis même obsédée par les vieux. Les mecs de 60 ans, parfois plus, me font mouiller ma culotte. Je suis pourtant mariée, et fidèle depuis plus de dix ans. Mais, depuis quelques temps, je joue à un jeu que je trouve très érotique, et dont mon mari ignore bien entendu tout.

La journée, quand il est au travail (je suis salariée à mi-temps), je drague sur internet des messieurs de plus de 60 ans, et je les invite à me rejoindre chez moi. Mais attention, ils n’ont pas le droit de me prendre. Ce que j’aime, c’est les recevoir, nue, chez moi, et ils me surprennent en pleine masturbation avec un gros gode que je me suis acheté en cachette de mon homme.

Je suis nue sur le canapé, offerte, mon sextoy planté entre mes cuisses quand ils entrent chez moi. Je tripote mes gros seins, et j’aime quand ils se débraguettent et qu’ils se branlent à leur tout devant moi. Ils me regardent, je les regarde.

Parfois, quand l’un d’entre eux m’excite plus que les autres – je les aime poilus, un peu bedonnants, avec un regard vicieux, voire malsain – je le branle moi-même. Il m’est même arrivé d’en sucer un ou deux.

Je me fais jouir comme ça, les yeux rivés sur leur sexe, le plus souvent petit, et un peu mou. Eux ne me lâchent pas du regard, et quand ils sont sur le point d’éjaculer, je leur fais comprendre que j’aimerais recevoir leur sperme sur mes gros seins.

La sensation du sperme chaud de ces vieux salauds sur ma peau me procure une joie, un sentiment de plénitude que je n’avais jamais connu avant, même quand je fais l’amour avec mon mari qui, je dois le dire, un très bon coup au lit, comme on dit.

Une fois, j’ai reçu un monsieur qui devait avoir au moins 70 ans. Il avait un sexe énorme, très raide, très dur ! La vue de cet énorme membre m’a donné des envies encore plus perverses que d’habitude. Je me suis face à lui, et je l’ai branlé entre mes seins.

Ça a duré comme ça un long moment, moi plantée sur mon gode, lui se faisant plaisir en coulissant sa verge entre mes deux mamelles. Il grognait, me traitait de tous les noms, et ça m’a fait jouir. Puis il s’est répandu sur ma poitrine, et la giclée de son sperme a atteint mon menton.

J’ai récolté sa semence avec le bout de on doigt, et je l’ai portée à ma bouche. J’avais l’impression d’être une pute et ça m’excitait terriblement. Et voilà que, il y a une semaine, j’ai de nouveau croisé sa route dans la rue. Je l’ai reconnu, je suis certaine que lui aussi. J’ai cru jouir rien que de l’apercevoir, surtout que j’étais accompagnée de mon mari.

Bien sûr, j’ai eu peur qu’il ne vienne me parler de notre aventure, là, devant mon homme, mais cette peur a été plus excitante qu’autre chose. Bien entendu, il a passé son chemin, sans mot dire. De toute façon, je sais quel site il fréquente, je sais comment le retrouver.

Je crois que, très bientôt, je vais l’inviter à nouveau chez moi. Mais cette fois, il aura le droit de faire tout ce qu’il voudra de moi et de mon corps. Je rêve de sa longue bite presque toutes les nuits, je n’y tiens plus !

Comme d’habitude, je l’accueillerai chez moi, je serai totalement à poil. Mais, cette fois, je voudrais qu’il me baise, qu’il me fasse sentir sa longue verge au fond de mon vagin, au fond de ma gorge et – pourquoi pas ? – au fond de mon anus. Ce monsieur m’obsède, je veux être à lui, je veux qu’il me traite comme une salope en chaleur.

Mais, j’y pense, à me comporter ainsi, à m’exhiber devant tous ses vieux cochons, ne serais-je pas déjà devenue une salope en chaleur ? Oui, c’est vrai, j’ai honte de mon comportement. Mais dès que des envies salaces envahissent mon ventre, picotent mon entrejambe, remontent le long de mes cuisses, je ne suis plus tout à fait la même, je ne me contrôle plus.

Je ne sais pas si je dois voir un psy. Ou simplement tenter d’arrêter tout ça par mes propres moyens. Parfois, je me dis que, tout simplement, c’est ma nature de faire des choses semblables, et que je ne peux pas lutter contre mes instincts les plus bas.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

Par Andréa, 39 ans