Il baise la patronne de sa maman en pleine fête

Dans sa belle villa au nord de Nice, une chef d’entreprise invite son personnel et toute leur famille pour une petite fiesta, histoire de resserrer les liens.
Piscine, petits fourres, soleils, l’été, il faut profiter pour vivre des moments pareils.
Cette femme qui a plutot réussi dans sa vie est âgée de 56 ans, elle vit seule avec son unique fille de 21 ans car, s’étant séparée de son époux depuis plusieurs années déjà.
Toujours joyeuse et coquete, elle ne laisse pas le poids de l’âge l’emporter. Véronique a lutté dans la vie pour réussir alors elle fait de même pour garder la forme. Être toujours belle, jeune et attirante est son leitmotiv. Mise à part le travail, le sport est ce qui l’occupe plus. Elle peut passer des heures entières à courrir ou dans une salle de gym.

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C’est un samedi après-midi qu’elle a convié tout ce monde qui a répondu présent. Ils sont une centaine, elle les connait tous, jusqu’aux techniciens de surface de l’entreprise mais, leurs familles respectives non. C’est donc à tour de rôle que chaque employé présentera les membres de sa familles.
Julie est son assistance personnelle, elle a un fils de 23 ans qui s’appelle Harry et qui a quand même eu le temps de se déplacer, pour faire la connaissance de la collaboratrice, de très longue date, de sa maman.
Au moment des présentations, on pouvait voir combien Véronique était ravie de voir ce jeune homme. D’ailleurs, elle leur proposa une place de choix pour cette fête qui commence sous de bons auspices.

Pour la petite histoire, cela fait plus d’une decennie que Julie vend son expertise dans l’entreprise de Véronique pour qui elle est devenue une confidente. Ne se voyant le plus souvent qu’au bureau, en salle de sport ou pour aller prendre un verre le week-end, la patronne n’a jamais pris le temps d’aller rendre visite à son assistante, elle connait son époux mais pas Harry.
Au premier regard, Véronique ne manque de féciliter Julie pour le bel homme qu’elle a mise au monde et qui est si grand qu’elle en a le tourni.
Véronique n’est pas du genre à coucher avec des hommes plus jeunes mais celui-là l’impressionne particulièrement. Elle va peut-être être tentée par une aventure cougar !

La fête bat son plein quand elle invite le jeune homme à discuter avec pour parler de sa vie estudiantine, amoureuse… enfin, tout ce qu’on peut peut se raconter pour faire connaissance.

Cette femme est imposante, grande, blonde, lèvres fines, un regard profond et une forte poitrine. Du haut de ses 1m78, elle cause d’égal à égal avec Harry qui fait pratiquement la même taille.
Regard contre regard, pendant qu’ils discutent, une tension électrique se crée entre les deux quand soudain, la fille de Véronique s’interpose pour entrer dans la conversation.

Sonia : salut, moi c’est Sonia, la fille de Véronique.
Harry : enchanté Sonia, tu sais, j’ai toujours entendu parler de ta mère et, quand je me trouve comme ça devant elle, je suis fasiciné.
Sonia : ha ok ! Mais, elle n’est pas de ton âge, tu devrais redescendre de ton nuage.
Véronique : oulala, toujours toi et tes remarques désobligeantes ! D’abord, qu’est ce que tu vas t’imaginer ?
Sonia : Allez maman ! Je vous taquine, bon, c’était juste un passage éclaire, je vais enquiquiner d’autres invités, ciao !

Il se lance pour baiser sa patronne!

Après le passage de Sonia, les deux sont restés bouchés bées un moment, comme s’il y avait un brin de vérité dans sa remarque.
Le jeune homme décide donc de passer à l’attaque, de tenter le coup, un risque qu’il prend sachant que ça pourrait détériorer les relations entre sa maman et la patronne.

Harry : tu sais Véronique, depuis que nous discutons, tu me fais une impression, ça risque d’être un peu déplacé mais, tu es une femme qui me plait.
Véronique : mon âge ne te dérange pas ?
Harry : pas le moins du monde, d’ailleurs, tu es si belle qu’on te donnerait 20 ans de moins.
Véronique : Humm, en plus d’être mignon, t’es un sacré beau parleur.

Le ton était lancé, il revenait maintenant à Harry de prendre son courage à deux mains et de passer à la vitesse supérieure. Il lui propose alors de s’éclipser un moment car, tout était brouillant.
Véronique lui demanda de le suivre discrètement et, quelques minutes plus tard, il se retrouva dans la chambre de cette dernière.
Pour ne pas perdre de temps, il ferma la porte à clé, puis, projeta la patronne sur son lit avant de l’embrasser avec force. Il retira son slip et la retourna pour la prendre en levrette, comme une bonne salope. Après cinq minutes d’intense coït, elle reçoit le sperme du jeune Harry sur sa robe. Embarrassée, elle lui demande de filer… Comment fera-t-elle pour nettoyer ses vêtements et passer inaperçue ?

L’ex-compagne de mon père

D’aussi loin que je me souvienne, mon père a toujours été un homme à femmes. Depuis sa séparation d’avec ma mère, quand j’étais petit, il a enchaîné les maîtresses et les compagnes, les quittant compulsivement, comme si elles avaient atteint une sorte de date de péremption, pour s’en trouver une nouvelle, plus jeune. Malgré cet exemple pas vraiment respectueux des femmes, j’ai été fidèle, toute mon adolescence, à la même petite amie, évitant cette litanie d’ex-compagne.

Mais, à 18 ans, le bac en poche, j’ai du partir pour Bordeaux pour y suivre mes études. Là-bas, j’avais bien l’intention de retrouver celle qui avait été ma préférée parmi mes multiples et successives «  belles-mères  »  : Anna, avec qui mon père avait tout de même passé trois ans, un record pour lui  !

Quand j’étais enfant, j’étais un peu amoureux d’elle, et de ses longs cheveux blonds bouclés, ses yeux bleus, son teint diaphane et son sourire enjôleur. Elle s’était toujours montrée, contrairement à d’autres, très gentille avec moi. Aujourd’hui, elle devait avoir pas loin de 45 ans, un âge canonique aux yeux de mon père.

Une fois à Bordeaux, la rentrée universitaire passée, je me suis mis en quête de l’adresse d’Anna, sans intentions précises, juste une envie un peu floue de reprendre le contact. Je l’ai trouvée assez facilement. Elle vivait dans une petite rue, pas très loin de l’université.

J’y suis allé un matin, avant de prendre les cours. J’ai sonné. Elle a mis un certain temps à ouvrir. Elle était en nuisette, radieuse comme dans mes souvenirs. Elle resta un instant immobile devant moi, le temps que je puisse la contempler de la tête aux pieds. Elle avait un peu forci, mais ça lui allait plutôt bien. Son visage s’était arrondi, et sa nuisette ne dissimulait rien des formes généreuses qui étaient désormais les siennes. Mon père, qui n’aimait que les tailles mannequins, ne se serait sans doute même pas retourné sur elle.

«  Pardon, jeune homme, vous désirez  ?  ». Elle ne m’avait pas reconnu. Pas tout de suite en tout cas. Puis, tout à coup, son visage s’illumina  : «  Jean-Baptiste, c’est toi  ?  ». Avant d’avoir obtenu une réponse, elle me sauta au cou, plaquant son corps presque nu contre le mien. Elle était ravie des retrouvailles.

Les cours m’attendaient, le travail d’Anna aussi. On reprit rendez-vous pour le soir même, chez elle. Après une longue journée de TD et de cours magistraux, je suis donc arrivé chez elle, tout impatient de savoir où elle en était de sa vie.

Elle ouvrit, vêtue d’une tenue plutôt sexy «  d’executive woman  », me fit m’installer sur son canapé et m’offrit quelque chose à boire. Après avoir trinqué, elle s’en retournait à ses fourneaux, pour me préparer un bon repas, «  comme quand j’étais petit  ». J’ai décidé de la suivre, pour discuter avec elle pendant qu’elle cuisinait.

Elle s’affairait sur son plan de travail, et je reluquais ses hanches larges, serrées dans un pantalon trop moulant. Je la trouvais belle. Plusieurs fois, elle dut s’apercevoir de mon émoi, en se retournant. Moi qui étais plutôt timide avec les filles, j’ai décidé, mu par je ne sais quelle étrange force, de m’approcher d’elle, par derrière.

Je l’ai saisie par la taille, pour un câlin qui n’avait plus rien à voir avec des rapports belle-mère, beau-fils, ex-compagne ou quoique ce soit… Elle s’est laissée faire. J’ai commencé à l’embrasser dans le cou, puis a passé mes mains sur sa poitrine, devenue lourde et ronde. Elle ronronnait littéralement de volupté.

Je craque pour la croupe de l’ex-compagne de mon père…

En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, nous nous sommes retrouvés tous les deux nus au milieu de la cuisine d’Anna. J’essayais de ralentir le mouvement, pour pouvoir mieux contempler son superbe corps de femme, le second seulement que je voyais de ma vie. Ses seins tombaient à peine, un tout petit ventre de femme s’était formé, ses hanches étaient belles et pleines.

Sans que je sache vraiment comment, elle s’est retrouvée les mains sur son plan de travail, le postérieur tendu vers moi. Je me suis accroupi pour goûter à sa chatte ainsi offerte. Ses ronronnements de désir s’étaient transformés en râles de plaisir. Elle a joui.

Elle s’est alors retournée vers moi et m’a susurré à l’oreille  : «  prends-moi  !  ». Je l’ai fait basculer sur la table de la cuisine, et je l’ai baisée. Pendant que je la limais comme un forcené, Anna me criait des mots d’amour. Je tringlais ma belle mère et ex-compagne du paternel. Je bandais comme jamais je n’avais bandé avec ma petite amie.