La maîtresse de mon fils

Mon fiston vient d’avoir 6 ans. L’âge de tous les possibles. Il apprend à compter, à lire, à écrire, il se fait de nouveaux copains et de nouvelles copines à l’école. Mais surtout, il a une maîtresse très gentille, très douée pour l’enseignement et, surtout, très canon… A mes yeux en tout cas.

Madame Martineau doit avoir la trentaine – ou quelque chose comme ça – et elle enseigne au CP depuis ses débuts (c’est elle qui me l’a dit) dans l’Education Nationale (on comprendra ici que j’ai changé son nom, pour préserver son anonymat). Estelle, c’est son prénom, est une petite rousse aux yeux verts, qui ne se dépare jamais d’un chemisier blanc et d’une jupe noire que tous les papas, comme moi, ont bien du mal à quitter des yeux.

Il faut dire que la maîtresse a des jambes splendides, malgré sa relative petite taille. Quant à sa poitrine, je n’en parle pas ! Ou plutôt si : deux magnifiques obus qui tirent sur le tissu de son chemisier blanc et qui, on le verra plus tard, ont même un peu tendance à faire sauter un bouton ou deux à l’endroit même où c’est intéressant, si vous voyez ce que je veux dire.

C’est à la première réunion parents / professeurs que je me suis rendu compte de la beauté de l’institutrice. J’étais placé légèrement en biais face à elle, et ma femme m’a trouvé incroyablement concentré sur ce qui se disait. En réalité, je n’ai pas retenu un traître mot de la réunion. J’étais fasciné par le petit trou, formé par un bouton défectueux, dans le chemisier de madame Martineau, et qui me laissait contempler le haut de sa poitrine, rehaussée par un soutien-gorge blanc.

Quand la question s’est posée d’élire les représentants de parents d’élèves, je me suis vu lever la main, à la grande surprise de mon épouse, et de moi-même. J’ai été élu (les volontaires ne se bousculent pas au portillon), ce qui me permet de passer du temps avec la belle rousse.

Depuis quelques temps, nous nous rapprochions, réunion après réunion. Et que je te bouscule dans l’embrasure d’une porte, et que je te frôle dans les couloirs de l’école, etc… Mais ce qui est arrivé mardi dernier, alors que nous étions tous les deux dans sa classe, avec mon rejeton, m’a laissé sans voix.

Oui, la prof de mon gosse me faisait des avances, à peine dissimulées !
C’est rare de voir un papa si impliqué dans la vie de l’école. Pour tout dire, je trouve ça très séduisant, chez un homme. Dommage que mon mari ne soit pas aussi impliqué que ça dans l’éducation de nos enfants.
J’ai tenté de bredouiller quelque chose. Il en est ressorti, bien malgré moi, que, avec une institutrice aussi belle, on ne pouvait que se sentir impliqué.

Madame Martineau a embrayé, alors même qu’elle rougissait de mes compliments :
Si vous voulez des précisions sur mes méthodes d’apprentissage de la lecture, je serais ravie de vous voir en tête-à-tête, peut-être chez vous, quand votre enfant est au centre de loisirs ?
Que vouliez-vous que je réponde ? J’ai accepté, étant libre le mercredi après-midi.

Rendez-vous coquin avec la maîtresse de classe

Le lendemain donc, Estelle s’est pointée à la maison. Elle n’était pas en tenue de travail. Elle avait troqué son chemisier et sa jupe contre un jean et t-shirt. Je me suis vite aperçu qu’il n’y avait pas de soutif en dessous, car ses tétons pointaient.

De but en blanc, elle a attaqué. Affirmant qu’elle était une épouse fidèle, qu’il n’était pas dans ses habitudes de coucher avec les parents de ses élèves… Ses intentions étaient claires. Les miennes aussi. Et pourtant, nous avons eu bien du mal à nous lancer. C’est là qu’elle a proposé un jeu. Elle m’a donné des exercices de maths à faire, à l’oral. Pour chaque bonne réponse, elle retirait un vêtement, pour chaque mauvaise, c’était à moi de me déshabiller.

Les exercices étaient du niveau CM2, autant vous dire qu’elle s’est retrouvée à poil avant moi. J’ai pu regarder à loisir le pubis poilu, et roux, de l’institutrice. Une beauté. Puis, je me suis lancé à l’assaut, dévorant son con odorant et humide.

Elle a fini de me déshabiller et nous avons baisé toute l’après-midi. J’ai adoré ce moment. J’avais envie de la revoir. Mais la belle maîtresse n’avait pas les mêmes intentions que moi. Elle m’a donné une photo d’elle entièrement nue, dans une position salace et m’a dit ceci :
Je préfère que nous en restions là. C’était super, je ne veux rien gâcher avec de la routine. Je te demande de rester discret sur ce qui s’est passé, et de ne plus chercher à me voir seul à seule.
J’étais tout penaud.

Ce week-end, un papa de CE2 m’a dit qu’il possédait une photo de la maîtresse de CP qui ne me laisserait pas de marbre. Elle m’avait menti, et utilisé.