Mature baisée par son jardinier…

Qui a dit qu’à 60 ans, mature comme on dit on ne pouvait plus prendre son pied ? Pour moi c’est tout le contraire, je me prénomme Elisabeth, je suis une veuve de 60 ans, j’ai perdu mon mari il y a 8 ans. Je m’étais armée d’une arme contre la solitude et mon compagnon fidèle est devenu mon godemichet. J’habite une très grande maison et à mon âge, il me faut des gens pour entretenir ma maison et le jardin. Je ne parlerai pas de tous les « domestiques », mais d’un en particulier : c’est Patrick mon jardinier.

> Branché par une rencontre avec une femme mûre ? <

Un jeune costaud, la vingtaine à peine, brun, j’avoue qu’il est beau à voir, il finissait plus tard que les autres et venait souvent me dire au revoir quand il s’en allait des lieux. Ce jour-là, j’étais perdu, je voulais ravoir la sensation que me fait mon godemichet comme d’habitude.
Je décidais alors de me masturber, je me déshabillais, allongée dans mon lit. Je pris un peu de lubrifiant et versa sur mes seins, je commençais à les caresser avant d’introduire mon godemichet dans mon sexe, je me masturbais en pensant à mon défunt mari, de tous ces beaux moments que nous passâmes. J’avais les yeux fermés, je rêvais des mains qui me caressaient, d’un sexe qui me pénétrait. Quand soudain, je sentis les mains d’un homme qui commençaient à me caresser, je ne voulais pas ouvrir les yeux, j’avais un peu honte parce que mon secret était à nu.Ça y est c’était Patrick mon jardinier ! Je compris que je n’avais pas fermé la porte. Bref ! Il commença par me sucer les seins, doucettement, en me donnant des petites tapettes sur la joue.
J’avais le corps qui frémissait, j’étais à découvert, mature offerte… Il commença par m’embrasser sur mon cou, l’excitation augmentait en intensité. Il descendit vers mon entrejambe, et commença à me sucer le sexe petit à petit, en stimulant mon clitoris, je suis clitoridienne, et vous savez ce que ça peut procurer comme sensation, j’étais perdu… Il me dit d’un ton autoritaire retourne toi, je suis perdu, dans mon lit en levrette. Il prit mon godemichet me le fit pénétrer dans mon anus, il le martelait en moi comme s’il m’infligeait une punition c’était une douleur mais aussi un plaisir immense. Ces deux sensations réunies ont laissé gicler en moi un orgasme si fort, j’étais électrisée. Il laissa le godemichet enfoui en moi, il sortit sa bite et enserra mon sexe.

Une queue énorme dans ma chatte mature

Bon dieu ! Quelle énormité ! Je sentais maintenant qu’un homme me baisait, il partait tellement vite en moi, s’occupant aussi de mon anus avec mon godemichet, une double pénétration, c’était la première fois. Je m’affolais, je n’arrivais plus, il me donnait des claques aux fesses, je devenais sa chose, un second orgasme envahit mon être, j’avais l’impression de voler. Il retira le godemichet de mon anus, il m’enculât .Je ne vous dis pas, je rajeunis d’un coup, je devins une fontaine. Il me baisa comme si j’étais plus jeune, mon petit trou, tout trempé, mon vagin de même, j’ai un tourbillon de plaisir. Puis, il me remit en levrette avança sa bite de ma bouche. Malgré que j’avais le double de son âge ou presque, ce jeune vicieux me traitait comme une pute et j’aimais bien ça, des  » Suce moi salope  » n’arrêtaient pas de fuser.
Telle une esclave mature j’obéis à mon maitre, je le suçais longuement le gland, ses couilles. Il se retira, revint vers moi pour me pénétrer de nouveau. Il était dans tous ses états, il me baisa, partant, revenant avec des mouvements dignes d’un dieu. Oh ! Je me sens presqu’évanouie, j’ai envie de mourir en lui, il m’émerveille. Je suis au septième ciel, je jouis, je jouis, je jouis !
Je me lâche, j’ai plus envie qu’il me quitte, il me baise. Il me fait des cochonneries, il me retourne à nouveau, enfonce sa bite dans mon petit trou, va et vient puis verse son liquide gluant dans mon anus après un grand cri rauque.

Décoratrice d’intérieur défoncée par un client peu loquace

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Décoratrice d’intérieur défoncée farouchement par un client peu loquace
L’envie d’être autonome financièrement et professionnellement m’emmena à démissionner de mon emploi, généreusement payée, pour me lancer à mon propre compte dans un domaine qui me passionne, la décoration d’intérieur. Hélas, quelques sept mois après avoir créée mon entreprise, j’allais vite faire face aux réalités de entrepreneuriat. En effet, les prévisions escomptées n’étaient pas au rendez vous, il me fallait absolument conquérir une plus large clientèle pour maximiser mon profit, et solder les fournisseurs qui s’impatientaient. Un matin je reçus un coup de fil un monsieur qui avait consulté une de mes annonces et souhaitait en conséquence louer les services d’un décorateur pour l’embellir. Nous prîmes rendez-vous le même jour au alentour de 16 H à son domicile. Cette offre ne pouvait pas mieux tomber, mais bon je ne m’emballais pas tout de même car rien n’était encore conclu.

J’arrive chez lui, je sonne, une domestique vient m’ouvrir et m’installe dans un salon en m’indiquant que son patron prend une douche. Quelques minutes plus tard, le monsieur, d’une cinquantaine d’années se présente en peignoir. Il me propose une tasse de thé et nous rentrons dans le vif du sujet. Je l’écoute religieusement exprimer ces attentes, puis je lui suggère des propositions, croquis à l’appui, et une liste de shopping, bien sûr tout cela après avoir procédé à la visite intégrale de la maison. Mais avant de conclure le contrat il souhaite, dit-il, me poser quelques questions.
– Dites moi, vos affaires marches bien ?
– Honnêtement pas vraiment, je suis dans une phase critique qu’il me faut absolument surmonter en redressant mon chiffre d’affaires sinon, je serai bien contrainte dans cinq mois tout au plus de déposer le bilan.
– Ne vous décourager pas, l’échec et la difficulté sont des passages obligés en matière entrepreneuriat. Moi-même j’ai connu de tels moments dans mes débuts d’entrepreneurs. Aujourd’hui, mes activités génèrent un CA de 15 millions d’euros par an. A ce propos, j’ai acheté un hôtel particulier qui mériterait bien un coup de neuf en terme de déco. Cela vous intéresse ?
– Oh bien sur !!
– En plus de l’hôtel, j’ai d’autres bien immobiliers, que je vous pourriez aussi gérer… mais qu’avez-vous à m’offrir en retour ?
– Mon expertise et un rendu suffisamment qualitatif pour contenter vos exigences…
– C’est tout ?!
– Je ne vous suis pas…
– Dans la vie pour réussir, il faut savoir faire des sacrifices.

Le deal du client vicieux

Avant même que je ne lui demande ce qu’il veut concrètement en retour, il sort son pénis du peignoir. A ce moment, tout est clair dans ma tête, c’était trop beau, trop parfait ! Je panique, sur le fait, j’ai envie de lui mettre un poing dans la figure et dégager en vitesse. Mais, il était ma voie de sortie. J’ai alors laissé l’intérêt l’emporter sur la raison.
– Maintenant que tout est clair, déshabille toi et suce moi la queue.
– Nous n’allons pas en chambre ?
– Non, ici au salon c’est parfait mais…
– Cesse de poser des questions et fais ce que je te dis !

Baise en trio dans l’hotel particulier

C’est ainsi que timidement, je me mettais à poil, m’agenouillais devant le siège sur lequel il était assis pour ensuite lui tailler une turlutte. Pendant que je m’attelais à lui pomper le manche, il fit appel à la domestique, une jeune africaine, sensiblement du même âge que moi, 25 ans, pour se joindre à nous. Elle et moi, étions alors entrain de sucer la queue et les couilles du type en tandem jusqu’à ce qu’il jouisse sur nos visages. Pensant que c’était terminé, je l’entendis dire :  » roulez vous une belle pelle « . Comme des esclaves nous nous exécutâmes. Au bout d’un moment, tout le dégoût qui m’animait au début avait fait place à l’excitation. J’étais excitée par Aline, elle embrassait comme une déesse et ses caresses étaient divines. Sa langue parcourait chaque centimètre de ma peau avant de croiser le chemin de mon clitoris. Elle me fit jouir comme jamais auparavant. C’était bon, c’était fort !
Le type ayant retrouvée son érection après l’éjaculation, vint me défoncer la chatte en levrette pendant que je léchouillais le minou d’Aline. Ces coups de bites étaient puissants et douloureux. Après m’avoir dévissée farouchement la moule, il prit Aline le trou du cul d’Aline en chaud, qu’il défonçait avec la même énergie que ma chatte. Pendant ce temps, je servais à nouveau ma chatte à Aline…
Cette expérience fut la plus improbable de ma vie, en plus à partir de là, je suis devenue bisexuelle et aujourd’hui encore je sors avec Aline ! Et grâce à ce monsieur, ma société est prospère !