Lilianne baise avec le grand-papa de son jules

Lilianne et son petit ami son voisin depuis plusieurs années, ils ont presque grandi ensemble, ils se sont connus très jeunes et ont fini par s’aimer. Carl est le premier et le dernier jules de Lili qui a 19 ans aujourd’hui. Comme de bons amoureux qui ne peuvent pas passer une seconde sans se voir, ces deux coquins sont fréquemment ensemble, ils vivent à fond leur relation et leur sexualité.

Tu veux baiser une jeune salope ?

Habitant dans le même bahut, il n’y a qu’une rue qui les sépare. Carl vit chez son grand-papa depuis que son père et sa mère se sont séparés, ça fait déjà une éternité.
Le papy lui, est un ancien général d’armée, il a 71 ans, mais toujours aussi vigoureux. Son passe-temps favori est le jardinage. Il y a d’ailleurs un magnifique jardin dans sa villa, il s’en occupe comme la prunelle de ses yeux.
Carl et son grand-père ont une relation assez normal. Tous les deux aiment bien draguer, même si Carl a une petite amie, cela ne l’empêche pas de faire d’autres conquetes, avec la complicité de papy bien sûr.
Un après-midi estival, après une pluie matinale, Gérad décide d’aller couper quelques fleurs dans son jardin. Alors qu’il cisaille, range et transporte les herbes depuis quelques minutes, il entend sonner au portail. En allant ouvrir, c’est Lilianne, la petite amie de Carl qui se présente. Pas surpris de la voir car, il en avait déjà l’habitude. Cependant, son mec avait fait un tour mais Lilianne compte l’attendre, en regardant papy jardiner.
Le vieux n’a pas été aux côtés d’une femme depuis quelques mois et ça, il n’en n’a pas l’habitude. Il entame donc une conversation peu décente avec Lilianne. Il lui suggère quelque chose de pas très respectueux mais, elle le laisse aller jusqu’au bout de son idée :

Gérard : Que dirais-tu de te faire un peu d’argent, quand je dis un peu, je suis dans les 500 euros.
Lilianne : Hé papy, qu’est ce que t’as à me proposer ? T’es pas dans ton assiette ou quoi ? T’as l’air bisard.
Gérard : viens voir que je te montre quelque chose dans la chambre.

Elle le suivit par curiosité, bien que le grand-père de son jules paraissait étrange, Lilianne entra quand même dans sa chambre. Le vieux la fit assoir sur son lit et sorti des liasses d’argent pour les lui pointer sur le nez. Il dit à Lilianne qu’il y a environ 600 euros, si elle lui fait une pipe, elles seront à elle.
Une minute s’écroula avant qu’elle ne prenne la décision d’accepter le deal.

Lilianne : Jurez moi que vous n’allez rien dire à Carl.
Gérard : Allez, je te le jure petite…

Lilianne suce grand-papa !

Papy se rapprocha de Lilianne puis, baissa son pantalon, sa bite molle n’était pas du goût de cette coquine mais tous ses billets empochés lui avaient fermés les yeux.
Elle commença par enfourner timidement le pénis de grand-père dans la bouche en suçant sans aucune conviction mais, le vieux revanchard voulait bien la sentir. Il l’a donc prise par les cheveux pour l’obliger à avaler son service à trois pièces. On pouvait entendre les bruits que ça émettait à des kilomètres. Lilianne n’avait jamais fait une gorge-profonde, elle se sentait comme une salope et pleurnichait en regardant papy qui se délectait de sa bouche pulpeuse.
Le pauvre ancêtre n’en pouvait plus, il était chaud comme une caille, il voulait désormais sentir la chatte de la petite. Il la souleva et la déposa sur le lit sans qu’elle ne lui résiste.

Gérard : écoute, je t’écoute encore de l’argent.

Ne laissant aucun temps de reflexion à Lili, il retira son string et écarta ses jambes grandement pour lécher le vagin tout poilu de la petite. Avec ses 95 kilos, il se coucha sur elle pour la fourrer pendant une bonne dizaine de minutes, sans changer de position. Les gémissements et les pleurnichements de Lilianne était comme un aphrodisiaque, comme de la motivation pour le ridé qui s’échauffait de plus belle.
À la fin, il fit des plates excuses à Lilianne en lui avouant qu’il avait consommés des aphrodisiaques et attendu une salope qui lui avait posé un lapin.  » Mais, tout ça restera entre nous, je l’emporterais dans ma tombe, t’inquiètes pas « , lui fit-il.