La bimbo a le feu au cul !

Je voulais vous raconter cette histoire, juste pour donner un conseil aux gars qui, un peu comme moi, manquent d’assurance au niveau drague. Et n’allez pas croire que je suis un mytho, j’étais, ce soir-là, avec quatre gars qui peuvent tous témoigner de ce qui m’est arrivé. Mais même moi, j’ai encore du mal à me dire que c’est à moi que c’est arrivé.

Alors, déjà, pour un rebeu, c’est pas toujours facile d’approcher une nana. Je ne vais pas vous faire le couplet sur le racisme, mais franchement, il y a des meufs qui se méfient des gars comme moi. En plus, j’avoue, je suis pas hyper beau, je suis plutôt petit, voilà quoi.

Mais quand j’ai vu cette meuf dans le café où je traînais avec des potes, j’ai flashé tout de suite. La jupe ras la foufe, des longues jambes fines et blanches, un cul à tomber et des nichons comme des pastèques ! La blonde parfaite, la bimbo absolu ! En plus, avec de jolis bleus, un joli minou.

Bref, la meuf trop bien pour moi. N’empêche, je suis allé lui proposer un verre, alors que les potes se foutaient de ma gueule. Elle a hésité un moment, m’a regardé dans les yeux. J’essayais tant bien que mal de ne pas loucher dans son décolleté. Elle a dit oui. Je lui ai payé un whisky-coca et on a commencé à discuter.

En fait, on avait trop de points communs : on avait fait les mêmes études, on écoutait la même zik, on kiffait les mêmes films. On s’est tellement marré ensemble que j’en ai presque oublié que je voulais me la faire. Et, vers deux heures du mat’, elle m’a dit qu’elle était fatiguée, qu’elle bossait tôt le lendemain.

Là, je lui demande son 06. Elle me répond qu’elle a oublié son portable chez elle et qu’elle ne sait plus le numéro. Je me dis : « mon gars, c’est mort, mais au moins, t’auras essayé ! ». Elle, toute tranquille, toute belle, elle me dit : « c’est pas grave, raccompagne-moi chez moi, de toute façon, j’ai peur à cette heure-ci, y a trop de racailles dans le coin ». Mort de rire !

Bilan, je me retrouve chez elle, un peu timide, un peu coincé, sans trop savoir comment m’y prendre. J’ai un peu envie que l’espoir dure le plus longtemps possible, quitte à me prendre un râteau en plein pif. Du coup, c’est elle qui prend les devants. Hallucinant la meuf ! Pourtant, elle a l’air de ne pas avoir si confiance en elle que ça. Mais la voilà qui me fait un strip-tease, jusqu’à se retrouver en string soutif devant moi !

Une bimbo en rut pour moi tout seule !

La vache, elle est gaulée comme une déesse. Genre les meufs que tu vois dans les films de cul. Elle se rapproche de moi. Putain, faut que j’assure ! Elle est sur mes joues, face à moi, et elle me roule des pelles. Elle m’allume comme une diablesse. Je suis maintenant le nez dans son soutif, presque étouffé par ses énormes nibards. Je lui enlève quasiment le soutien-gorge avec les dents.

N’empêche, ses seins, ils tiennent tout seuls. Un vrai miracle de la nature, surtout que c’est même pas du silicone. Elle me déshabille, et elle se fout complètement à poil. Elle me taille une pipe de rêve, j’ai même failli craquer une ou deux fois. Alors, je l’emmène sur le lit et je me mets à la lécher. Sa foufe est toute lisse, toute épilée, elle sent même vachement bon.

Je la lèche un bon moment, autant pour lui rendre la politesse que pour faire baisser la pression chez moi. Au bout d’un moment, elle gueule : « oh oui, c’est bon, fais-moi du bien mon petit rebeu ! Vas-y, Kader, lèche-moi ». Bon, moi c’est Hakim, mais c’est pas grave mademoiselle, je t’en veux pas du tout.

Une fois qu’elle a bien joui, elle m’embrasse encore, puis s’allonge de nouveau sur son pieu. Et là, elle me sort la phrase qui tue : « fais-moi l’amour Hakim, j’ai trop envie de toi ». Moi, je suis comme un ouf, je ne sais même plus par où commencer, tellement tout me met en appétit chez elle. Je lui bouffe les seins et je commence à la pénétrer. La vache, c’est qu’elle aime ça, en plus !

En missionnaire, en levrette, en amazone, je crois qu’on a fait une bonne moitié des positions du kamasutra cette nuit-là ! J’étais trop bien, trop chaud, trop love ! Jusqu’à ce qu’elle me tende son boule, en écartant les fesses. Sans déconner, d’habitude, j’aime pas la sodomie, je trouve ça un peu crade. Mais là, franchement, j’y suis allé. Son cul me faisait trop envie. En plus, je ne pouvais quand même pas lui refuser, à ma bimbo !

Dépucelé par une pute

Jusqu’à mes 25 ans, je n’avais pas encore goûté au nirvana, trempé la saucisse dans la sauce, coller la banane, mangé le fruit défendu, exploré la vallée sacrée, autant d’expression pour vous dire que je n’avais pas encore été dépucelé !
Mon vrai problème était la timidité, j’avais peur de parler aux femmes, surtout quand elles étaient très belles. Mes deux meilleurs amis, qui n’éprouvaient pas du tout cette difficulté avec la gente féminine me coachaient à la drague, aux techniques de domination, du stress, etc… Mais, le résultat était toujours le même. Je désespérais vraiment !

Un samedi soir, mes amis et moi allions en discothèque. Comme à leur habitude, ils abordaient des meufs facilement, dansaient avec elles et très souvent, finissaient la soirée ensemble. Moi, je restais cloué sur mon siège à me soûler et à regarder les gens s’amuser. A force de boire ce jour là, j’avais la vessie pleine, une vidange s’imposait. Au moment où je sortais des toilettes, j’ai brusquement été heurté par une meuf. Je soupçonnais qu’elle l’avait fait exprès. Elle était ravissante, portait une mini robe très ajustée à son corps et on pouvait voir ses jambes lisses s’élancer sur une paire de talons aiguille.
Elle s’excusa poliment et nous fîmes brièvement connaissance avant qu’elle ne me propose de danser pour se faire pardonner de sa maladresse. J’étais nul en danse et je flippais grave de me taper la honte devant tout le monde. Elle me rassura en disant :  » t’inquiète pas, danser n’est pas difficile, tu n’as qu’à suivre mon rythme « .
Après cette petite danse agréable, elle me demanda gentiment si je pouvais l’accompagner à sa voiture pour y prendre un paquet de cigarette qu’elle avait laissé. N’y voyant pas d’inconvénient, je le suivis naïvement. De toutes les façons j’étais incapable de refuser quoique ce soit à une femme.
Arrivé à sa voiture, on s’y installa le temps pour elle de fumer une clope. Elle était assise sur le siège du chauffeur et moi sur le siège passager. Ses jambes étaient tellement hautes que sa robe remontait vers son bassin, en y jetant un coup d’œil, je constatais qu’elle ne portait pas de culotte. Je pouvais clairement voir sa chatte rasée, c’était la première fois que j’en voyais une de si près. J’étais excité et en même temps très nerveux. J’avais des sueurs froides, mes mains étaient moites et aussi étonnant que cela puisse paraître j’avais envie de disparaître.
Elle me surprit en train de mater son minou, au lieu de me réprimer, ce à quoi je m’attendais, elle prit ma main gauche et la posa sur sa chatte en me demandant de caresser son clitoris. Je m’exécutais timidement en me servant de mon index. Elle me demanda ensuite de lui foutre trois doigts dans la chatte. Apparemment, je lui faisais du bien à entendre ces gémissements, et moi ça me détendait. Par la suite, elle recula son siège à fond, posa ses pieds sur le tableau de bord et m’invita à me mettre entre ses jambes pour lui lécher le clito. Ma langue sillonna ce petit bouton magique qui ne cessait de lui faire hurler de bonheur. Des contractions et spasmes l’envahirent et ses gémissements se faisaient plus fort, elle avait eu un orgasme.
Maintenant qu’elle avait pris son pied, j’espérais prendre aussi le mien, je sortis alors ma queue toute dure de mon pantalon, et, à ma grande surprise, elle me recala net en me sortant tout un baratin comme quoi je devrais être patient. Puis, elle m’exhortait à retourner à l’intérieur de la boite car nos amis respectifs devraient certainement être à notre recherche.

Dépucelé par une pute !

Je n’étais pas content du tout qu’elle se foute de ma gueule mais, je me sentais néanmoins satisfait d’avoir pu lui donner un orgasme.
Je suis allé retrouver mes amis et elle s’est évanouit dans la foule, avant de refaire surface plus tard dans la soirée. Elle vint me dire qu’elle rentrait et elle aimerait bien qu’on finisse la soirée ensemble. J’ai foncé sans réfléchir après avoir dit au revoir à mes potes.
Nous sommes allés chez moi. Sans perdre de temps, elle déclencha les préliminaires en me tétant le phallus lentement. Puis, elle m’enfila une capote avant de m’ouvrir enfin le chemin du paradis que j’avais tant espérer depuis des années. Sa chatte était toute chaude et tellement douce que j’ai juté trop vite, moins de 10 minutes après le début de la pénétration.
Pour contenter son plaisir je lui fis un cunnilingus. Nous reprîmes un second round plus tard. Cette fois, la partie dura un peu plus longtemps.
Quand vint le moment pour elle de partir, je lui demandais son numéro, elle me le refusa gentiment en me disant que c’était une pute qui avait été payé par mes potes pour me dépuceler !
Je n’en croyais pas mes oreilles, moi le fraîchement dépucelé et dire que j’avais hâte de leur raconter cette aventure.