Baise insolite dans une voiture

Un soir après le travail, mon collègue Christian prit la résolution de m’accompagner chez moi. Il me proposa d’abord de boire un verre, ce qui ne me déplu point. Nous trouvions alors un petit cabaret pour assaisonner un peu la discussion afin de mieux connaitre nos aspirations communes, car depuis un certain moment il ne cessait de me faire des avances au bureau et je jouais un peu vieux jeu.

Un plan cul avec une bonne baiseuse ?

Il faut dire que Christian c’est 1,95 mètres, un homme assez athlétique, brun avec des cheveux noirs et des merveilleux yeux verts, la trentaine à peine. Moi de taille moyenne, à mes 24 ans, mince et raffinée, Celui-ci paraissait géant face à moi. Le bistrot était un endroit très calme pour une conversation assez détendue, il commandât un verre de jack sans glaçons et moi un verre de scotch Ecossais Jura. Nous entamâmes une conversation pour mettre les choses au clair entre nous, car la discrétion oblige dans le milieu professionnel. Après une longue conversation, l’alcool prenait un peu le dessus sur moi. Je me sentais déjà excitée à l’idée de me retrouver seule avec lui loin du monde.
Il ne cessait de me regarder droit dans les yeux tout en caressant ma main, je sentis un fort courant m’envahir avec une seule idée : n’être qu’avec lui. Comme il se faisait tard, je lui demandais de me raccompagner. Ce qui fut fait, nous embarquâmes dans sa voiture, puis chemin faisant, advint une crevaison sur une voie quasi déserte à 50 kilomètres de chez moi.

La voiture garée près des bois et non loin de la chaussée, je sentis qu’une chose allait se passer d’aussitôt. Seule dans un coin insolite avec Christian c’était pour la première fois, la pression en moi ne faisait que s’accroître, puis il commença par m’embrasser dans sa voiture doucettement, je n’avais qu’une jupette avec un string sous moi un bustier qui ressortait mes seins en essaim.  » Il me dit c’est parfait, c’est une chance pour nous Anna de nous retrouver seuls ici loin des gens tant mieux en profiter « 
Je restais béate, puis il accentua ses caresses en suçant le lobe de mes oreilles, mon cou, mes seins, je mouillais déjà comme une jeune fille inexpérimentée. Il me demanda d’aller sur la banquette arrière en arrachant mon string, je subissais une vraie humiliation, car je découvrais à présent que Christian est macho. Après un cunnilingus bien appliqué, il descendit son jean pour laisser apparaître sa longue queue raide, il m’intima l’ordre de la sucer, et je lui administrais une pipe bien faite pour humecter sa bite afin de faciliter sa pénétration, puis par un mouvement brutal , il enfouit sa bite en moi, et commença par me chevaucher.

Baise dans la voiture, j’adore !

Il partait, revenait en moi avec des mouvements rapides et très rythmiques, j’avais l’impression que mon minou allait exploser, je jouissais comme une fontaine, sa bite me mettait en feu, mes seins se durcissaient de plus bel et mon clitoris était proche de l’explosion, je le serrais, je criais de joie, et lui sans pitié ne faisait que me baiser avec brutalité comme s’il voulait perforer mes entrailles comme un bon foreur. Sa chaleur avec toutes ses caresses qui gouvernaient mon désir, s’accentuaient avec encore plus de précisions, il ressortait sa bite de ma chatte toute trempée en me disant :  » Retournes toi me dit-il avec autorité, je vais te prendre par le derrière. « 
Sans contester, je fis ce qu’il me dit, je me retournais. D’un coup, je sentis des claques sur mes fesses, ce qui m’excitait encore plus, je me sentais comme électrocutée de plaisir, il introduisit un doigt dans mon anus et le retira en suçant avec gourmandise mon petit trou. Je suis en levrette le feu encre mon minou et mon anus, sans m’aviser il me pénétra avec force, entre douleur et plaisir, mon excitation prit un second tournant dans son intensité. Il m’enserra avec une expertise hors de commun en me baisant comme une vraie salope, ce qui me donna un orgasme tellement fort que j’étais sur le point de m’évanouir, avant de le sentir jouir en moi. Je fus comblée et toute inondée de plaisir, tout de moi tremblait pour cette prestation hors pair. Nous nous rhabillâmes, et commencèrent à changer la roue qui fit défaut. Ce fut une nuit mémorable et depuis Christian et moi baisons toujours avec beaucoup plus d’intensité chaque jour que nous pouvons le faire. Il est devenu pour moi pire qu’une drogue, le seul qui sait combler mes désirs sexuels.

Via rencontrer de bonnes baiseuses

Dans le lit de mon cousin…

Par Chloé, 22 ans

Je vous écris par ce que je ne suis pas sûre que ce que je fais en ce moment sois  » normal « . A vrai dire, je me suis renseignée, ça n’a rien d’illégal, mais, si ce n’était pas si bon, je trouverais notre liaison complètement glauque. En fait, depuis quelques temps, je couche avec mon cousin. De fait, il n’y a pas de liens de sang, puisqu’il a été adopté par mon oncle et ma tante, mais tout de même, il reste mon cousin.

Je dis  » depuis quelques temps  » s’agissant de notre liaison, mais il faut bien avouer qu’elle a démarré après presque vingt ans de préliminaires, pour ainsi dire. Vous savez comment sont les enfants ? On joue au docteur, on apprend à se connaître et à connaître son corps. Sauf que, pour nous, ces petits jeux ne se sont jamais arrêtés.

Nous avons le même âge. Enfin, il n’a qu’un an et demi de plus que moi. Après les tripatouillages de gamins, nous avons poursuivi pendant l’adolescence : dès que nos parents avaient le dos tourné, on se pelotait, on se faisait des petits bisous, plus ou moins innocents. Mais là, à vingt ans passés, ça devrait s’arrêter, non ?

Il faut dire que je cherche les ennuis. Je suis étudiante à Lyon, lui à Paris. Et je ne trouve rien de mieux à faire que d’aller passer un week-end toute seule dans la capitale. Et de lui demander s’il peut m’héberger pendant mon séjour !

Ça n’a pas fait long feu. Après une demi-heure de tête à tête, nous sommes tombés dans les bras l’un de l’autre, nos habits ont volé aux quatre coins de la pièce et je me suis retrouvée en train de me faire faire un cunnilingus par mon propre cousin ! Le truc de dingue, comme il m’a bien bouffé la chatte. Il faut dire qu’il la connaît bien, des années qu’il la tripote par ci par là.

En plus, notre complicité très ancienne fait qu’il ose tout. Ce jour-là, il m’a fourré ses doigts dans le minou jusqu’à la garde pour aller caresser mon col de l’utérus. Je ne savais même pas que ça se faisait et j’ai pris un pied monstrueux.

Alors, quand il a déballé sa queue, un engin long, épais, bien droit et bien raide, j’ai cru que j’allais m’évanouir. Mais, au lieu de ça, je me suis placée à quatre pattes devant lui en levrette. Il m’a niquée comme personne, jamais, ne m’avait niquée. Il enfonçait son pieu bien au fond, ne bougeait plus pendant un instant, puis me balançait des coups de rein violents et secs à m’en faire péter les cordes vocales !

C’est bien simple, je n’ai rien vu de Paris, ce week-end là. Nous n’avons fait que baiser et baiser encore, sans pouvoir nous arrêter. J’ai du monter un bateau à mes parents qui voulaient savoir quels musées j’avais visités.

Baisée à fond par mon cousin

Demain, je repars pour Paris, pour un stage en entreprise, cette fois. Et devinez qui m’héberge ? Je suis déjà là, à moitié en train de me masturber en pensant à sa peau, à sa bouche et surtout à sa bite phénoménale. Comment vais-je faire pour lui résister, il me rend carrément folle de cul ?

Avec lui, pour lui, je serais prête à faire n’importe quelle cochonnerie. Et, en plus, il ne manque pas d’idées à ce sujet, ce vicieux. Il m’a promis de m’emmener dans un sexshop de Pigalle et de me troncher dans une des cabines.

Il faut dire que je me suis montrée comme une vraie chienne, pendant qu’il me défonçait en levrette. A chaque coup de queue, j’en demandais encore. Et il m’a dit que si je voulais qu’il me nique, il fallait que j’accepte une claque sur les fesses. Bilan : j’ai fini le week-end avec le cul tout rouge, et j’y ai pris plaisir !

Oui, je sais, il m’exploite, et c’est ça que j’aime. J’ai l’impression qu’il connaît mieux mes fantasmes que moi. En tout cas, mes penchants de soumise. Je vais arriver demain, il va m’embrasser, et il m’aura à son entière disposition. S’il veut m’enculer, je lui donnerai mon cul, s’il veut m’offrir à ses potes, il fera ce qu’il voudra, pourvu qu’il me baise comme la dernière fois.

Aidez-moi, s’il vous plaît, à trouver les moyens de me libérer de son emprise. Car le pire, dans tout ça, c’est que je crois que je suis en train de tomber amoureuse de mon cousin.

Baise particulière un soir de féria…

C’était un peu comme dans la chanson. Il était mince, il était beau… Encore aujourd’hui, dix ans après, le souvenir de notre étreinte, de cette baise particulière me réveille parfois la nuit. C’était en plein été, à Béziers, la feria battait son plein. J’étais en instance de divorce et ma meilleure amie m’avait proposé de descendre dans le sud pour me changer les idées.

Sangria après sangria, bodega après bodega, nous déambulions toutes les deux dans les rues biterroises, draguées ici ou là par des hommes de nos âges, la quarantaine, ou même la cinquantaine.

Et puis, je l’ai remarqué : très grand, très fin, de longs cheveux bruns, partout où nous allions, il n’était pas bien loin. Je n’ai jamais eu l’âme d’une couguar, mais là, c’était moi, la proie. Ou peut-être mon amie.

Car, pas de doute, le jeune homme nous suivait. A y regarder de plus près, c’était même sans doute moi, sa cible. Il me dévorait littéralement des yeux. Peu habituée à ce genre de comportements de la part d’un si jeune homme – il devait avoir 20 ans – je finissais même par être gênée par son attitude, et je cachais mon décolleté.

Séduite et… branlée ! C’est de la baise ?

Vers 3 heures du matin, il m’a abordée. Sans me demander mon avis, il s’est mis à danser avec moi, m’entraînant sur la piste de la bodega comme si nous nous connaissions depuis toujours. Quand il a pris ma main, j’ai remarqué immédiatement la douceur de sa peau.

Nous avons dansé tant et si bien que j’ai fini par perdre mon amie de vue. Le jeune homme m’a entraînée dans une ruelle, sous un porche. Là, il m’a embrassée fougueusement. En moins de temps qu’il n’a fallu pour le dire, je me suis retrouvée avec un sein dehors. Ou plus exactement, dans sa bouche.

Il a glissé sa main sous ma jupe. Il a du sentir la moiteur de mes cuisses, faite de transpiration et d’excitation. Contournant le tissu de ma culotte, il s’est littéralement emparé de mon clitoris et s’est mis à le branler.

Je n’avais rien demandé, rien sollicité. Je me laissais tout simplement faire, une baise manuelle terriblement excitante, et j’aimais ça. Quand l’orgasme s’est emparé de mon bassin, il a de nouveau posé ses lèvres sur les miennes. J’ai joui en mêlant ma langue à la sienne et seul notre baiser m’a empêché d’ameuter la foule qui dansait et chantait à seulement quelques mètres de nous.

Puis, j’ai repris mes esprits. Enfin, pas vraiment. Sans y réfléchir, je me suis baissée. J’ai ouvert le zip du jeune homme, pour en faire jaillir un membre fin et long, très doux, que j’ai pris en bouche.

Je l’ai sucé, passant ma langue sur son frein, sur sa hampe, jusqu’à ce qu’il se répande au fond de ma gorge. Ses jambes flageolaient, j’ai du le retenir pour qu’il ne tombe pas. Nous avons échangé un dernier baiser et je me suis enfuie dans les rues de Béziers à la recherche de mon amie.

C’est la première fois que je raconte cette aventure et, rien qu’à y repenser, je sens un fourmillement entre mes cuisses. La baise à Béziers, un soir de féria, on dirait une blague…