La meilleure amie de ma fille

Par François, 49 ans – Non, je ne suis pas un vieux pervers. Je ne regarde pas de porno sur internet, je ne trompe jamais ma femme… Tout juste si je reluque un peu les belles femmes dans la rue. Et pourtant, il m’est arrivé une drôle d’aventure récemment, à propos d’une copine de fac de ma fille aînée. Sa meilleure amie donc, une certaine Lætitia, est une belle blonde qui s’est révélée assez allumeuse à mon égard, mais pas seulement.
Je suis donc le père de deux enfants : une fille, qui a 20 ans et qui fait des études de médecine et un fils de 17 ans qui est encore au lycée. Ce dernier, quand Lætitia est arrivée à la maison a senti les yeux qui lui sortaient de la tête. Quelle belle plante !

Jolie, sans plus, mais surtout gaulée comme une star du X : gros seins ronds, peau bronzée, blonde comme les blés, taille fine, fesses rebondies… Tout pour faire tourner la tête à un ado de 17 ans… Et, du même coup, à un vieux croulant comme moi. D’autant que la belle blonde, la meilleure amie de ma fille, donc, portait une tenue digne des robes des libertines.

Ma fille avait invité sa condisciple pour le week-end, histoire de réviser ensemble leurs examens, tranquilles, à la campagne. Et dès le premier dîner, j’ai senti que quelque chose d’incroyable allait m’arriver. Déjà, je dois bien avouer que j’étais troublé par la présence de la bimbo, d’autant plus que celle-ci, en plus d’être bandante au possible, se montrait intelligente et drôle, avec un sacré sens de la répartie.

Nous avons donc dîné tranquillement, il est vrai en arrosant bien de plusieurs bouteilles de vin le poulet rôti qu’avait préparé ma femme. Et quand le dessert est arrivé, j’ai senti un pied me toucher, sous la table. Pas de doutes possibles, c’était le pied de Lætitia, assise en face de moi. J’ai cru d’abord à une fausse manœuvre, puis, devant l’obstination de son pied à se promener le long de ma jambe, j’ai du me dire qu’elle draguait mon fils.

J’ai regardé la jeune femme. Elle a plongé son regard dans le mien. C’était certain désormais : elle était en train de m’allumer, discrètement, en présence de ma femme et de mes deux enfants. J’ai voulu lui faire arrêter son petit jeu, mais comment faire, sans la mettre dans un embarras indescriptible.

Puis nous sommes partis tous nous coucher, sauf les filles qui devaient plancher sur une question médicale à laquelle je ne comprenais rien. Avec ce que nous avions bu, je leur souhaitais bon courage. Le lendemain encore, un samedi, elles se sont consacrées à leurs chères études, avec, pour perspective de sortir, le soir venu, dans une boite de jeunes de la région.

La meilleure amie de ma fille est une bombe

Vers 18h, alors que ma fille était partie faire quelques courses avec mon épouse, Lætitia débarquait mon atelier. J’en ai fait tombé le marteau que je tenais à la main, qui a atterri directement sur mon pied. « Oh pardon, » me dit-elle, « je ne voulais pas vous effrayer ! ». Elle porte une superbe tenue de simili cuir, du genre sexshop, qui moule à merveille son corps de rêve, sans compter le décolleté impressionnant qu’elle arbore.

Tu parles que j’ai eu peur… Elle est surtout absolument sexy dans cette tenue. Et là voici qui se jette à mes pieds dans l’entreprise incroyable de me soulager de la chute du marteau. Je suis affreusement gêné, mais je laisse mes yeux traîner quand même un peu du côté de la vue plongeante que j’ai sur ses seins, que je peux reluquer presque comme si elle était topless.

En se relevant, l’amie de ma fille s’appuie à ma jambe et, comme par hasard, sa main frôle ma braguette. Elle est maintenant face à moi. Elle a vu la détresse dans mes yeux. Elle est la prédatrice, je suis la proie. Elle pose ses lèvres sur les miennes, sa poitrine opulente se colle à la mienne. Dans un long baiser, elle parvient à m’enlever ma chemise.

Pourvu que mon fils ne débarque pas maintenant. Je suis entièrement nu maintenant. Les gros seins de Lætitia sont sortis, comme deux diables de leur boite, de la robe en faux-cuir. Je relève la fausse jupe, elle n’a pas de culotte. Je découvre une chatte épilée de près, un véritable petit abricot, tendu vers moi.

Tout à coup, elle me paraît bien jeune, bien innocente, mais j’ai trop envie d’elle. Je vais la baiser là, sur l’établi, dans les cris d’extase qu’elle retient pour ne pas alerter le fiston. Elle sait y faire. Elle mord mon oreille et agite son bassin en tout sens pour profiter au mieux de la pénétration.

Je suis en train de baiser la meilleure amie de ma fille. Elle a trente ans de moins que moi, mais c’est elle qui mène la danse.

Je me gouine avec ma meilleure amie

Jamais je n’aurais pu imaginer que c’était aussi doux, une chatte. Louison est avachie sur moi, ses deux cuisses collées à mes oreilles, offrant son minou velouté à mes caresses inexpérimentées. Pendant ce temps, elle a plongé le visage entre les miennes, de cuisses, et goûte mon clito avec une gourmandise que je ne lui soupçonnais pas. Je me gouine avec ma meilleure amie, et j’adore ça.

Il faut dire que depuis que Franck m’a quittée, il y a six mois, je n’ai eu strictement aucune relation sexuelle. Je cherche le mec parfait, le mec fidèle, le gars stable avec qui faire des enfants. J’ai bientôt trente-cinq ans, il faut que je m’y mette, c’est comme ça.

Mais pour l’heure, je ne pense pas du tout à ça. Je pense au plaisir qui m’envahit, à la chaleur sourde qui grandit dans mon bas-ventre sous les coups de langue de Louison. Je sens contre ma peau tout son corps de femme collé contre moi, et je trouve cette sensation douce, aussi douce qu’il est possible.

Je ne suis pas gouine, non, et pourtant je baise avec ma meilleure amie, comme ça, sur son lit, après une longue discussion où elle a tenté de me consoler de mon chagrin d’amour. Elle a, à un moment donné, porté sa main sur mon épaule et, dans un geste qui m’a paru durer une éternité, a approché ses lèvres des miennes. Je n’ai pas refusé son baiser, tendre, déposé timidement dans un sourire.

Elle s’est ensuite redressée, m’a dit à quel point elle me trouvait belle et j’ai adoré entendre ses mots. C’est à mon tour que je l’ai embrassée, bien plus fougueusement, caressant sa langue de la mienne, respirant son parfum de femme. Et, je ne sais comment, nous nous retrouvées toutes deux entièrement nues sur ce lit.

Très tôt, sa main a filé vers ma chatte, qu’elle a caressé avec vigueur, me démontrant, s’il en était besoin, que ce n’était sans doute pas une première pour elle. Puis elle m’a léché le con, me faisant jouir une première fois. C’est moi qui ai pris l’initiative de ce 69 entre femmes, elle dessus, moi dessous, désirant plus que tout au monde lui rendre la pareille.

Maintenant, j’ai son joli cul potelé au dessus de mes yeux, tandis que ma langue s’enfonce de plus en plus profondément dans sa chatte, trempée de ma salive et de sa mouille. J’admire ce cul, tellement plus beau, tellement plus sensuel qu’aucun cul masculin et je prends tout mon plaisir à le voir s’agiter de spasmes de plaisir, ce plaisir que je lui procure en lui dévorant le minou.

Je me gouine avec ma meilleure amie, oui, mais je n’en conçois aucune honte. J’ai plutôt honte de celle que j’ai été, autrefois : il y a quelque minutes, après tout. Celle qui ne voulait rien essayer de nouveau, qui se contentait de l’amour à la papa, des galipettes hétérosexuelles bien classiques. Comment ais-je pu rater ça ?

La caresse buccale de Louison s’interrompt un moment. Elle se redresse et je sens tout son poids venir m’étouffer. J’aime ça. Elle me dit, dans un soupir fébrile : « viens, je t’en prie, ma chérie, je vais jouir ». Ses mots sont tellement tendres, tellement agréables, sa faiblesse passagère tellement excitante que je redouble d’effort à fouiller chaque recoin de son vagin du bout de ma langue. Je la fais pointer vers le haut, vers les petits picots qui ornent son point G et je tourne, de plus en plus vite. J’attrape les deux globes de son cul à pleine main et les malaxe.

Elle gueule : « wow, je pars, oui ». Elle hurle :  » oui, c’est bon, je t’aime ». Elle jouit et des jets de cyprine entrent dans ma bouche. Je les avale comme, avant, j’avalais le foutre de mon compagnon.