La stagiaire, ma femme et moi, 1ère partie

Lydie la stagiaire promenait ses grosses fesses rondes et sa lourde poitrine dans tout le bureau depuis déjà un mois, et tous mes collègues continuaient à se retourner sur son passage comme si elle venait d’arriver. Moi, en mec marié, amoureux et fidèle, je m’efforçais de ne pas (trop) remarquer la jupe courte et le décolleté plongeant de notre stagiaire.

Je n’avais absolument pas à rougir devant ma femme. Je me tenais à l’écart de toutes les conversations scabreuses et souvent salaces de mes collègues à propos de la bimbo de service qui, de toute façon, avait sans doute 25 ans de moins que moi, normal pour une stagiaire… Dire qu’elle me laissait de marbre aurait été exagéré, c’est certain, mais je résistais dignement et fermement à la tentation.

Ce que je ne pouvais pas savoir, c’est que Lydie allait me harceler sexuellement. Pourquoi moi ? Je l’ignore. Toujours est-il qu’un soir, dans le parking de la boite, ma vie sexuelle allait basculer du tout au tout.

J’étais en train de rentrer, quand une petite voix m’interpella : « Serge, attends-moi s’il te plait ». C’était Lydie. Je ne pus m’empêcher de remarquer, sous la boucle blonde qui descendait jusqu’à sa poitrine que ses tétons pointaient. « Les bus sont en grève, tu pourrais me ramener chez moi, s’il te plait ? ».

 

Comment refuser ce petit service à une collègue, à une jeune femme en détresse et de surcroît, à une telle charmeuse ? Je lui fis signe de s’installer à droite et je pris la direction de la sortie. Après m’avoir indiqué le chemin à emprunter, la jeune blonde s’ouvrit à moi des commentaires qu’elle avait surpris à son sujet, alors qu’elle était aux toilettes.

Elle semblait vraiment peinée par le fait que tous nos collègues rêvaient de la baiser. Je lui dis la vérité : que si elle ne voulait pas faire bander tout le monde, il lui fallait adopter une tenue, si ce n’est plus stricte, en tout cas plus classique. Là, la conversation prit un tour nouveau : « mais toi, je ne vois bien que tu ne me regardes pas comme un morceau de viande, tu n’es pas gay pourtant ? ».

La stagiaire me brancherait-elle ?!?

Non, je n’étais pas gay. Et sa main gauche, qui venait de se poser sur ma cuisse, tout prêt de ma queue, pouvait s’en apercevoir. Je venais d’avoir une érection automatique, le genre de bandaison incontrôlable qui survient sans crier gare. J’ai retiré sa main, gentiment mais fermement.

Lydie n’osa plus rien dire pendant le reste du trajet. Mais, une fois arrivés en bas de chez elle, elle tenta quand même de me proposer de monter boire un verre. Fou que j’étais. J’ai accepté. J’ai garé ma voiture devant chez elle et j’ai emboîté le pas de ma stagiaire dans les longs escaliers qui conduisaient à sa chambrette du septième étage.

Comme hypnotisé par son cul rebondi, mais pas trop large, qui balançait devant moi à chaque marche d’escalier, j’ai suivi la stagiaire jusque devant sa porte. Je ne m’obéissais plus à moi-même. Pourtant, dans un dernier sursaut, juste sur son palier, je lui dis : « non, c’est pas une bonne idée, je vais rentrer ».

La bimbo-stagiaire m’a alors retenu par la main et m’attiré tout contre son corps et a posé ses lèvres sur les miennes…

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