Nos jeux érotiques, domination ludique…

C’est un jeu que nous avons entre nous, une domination ludique mise en place dans notre couple. Un petit jeu sexuel, qui n’a l’air de rien, mais qui peut parfois nous mener très loin dans nos propres fantasmes, mon mari et moi. Le principe en est simple : un jour, c’est lui qui fait de moi son esclave, l’autre jour, c’est moi qui le domine.

Il y a un mois, j’ai donc été sa chose sexuelle pendant une journée entière, du matin au coucher, ou plus exactement depuis le matin jusqu’à ce que nous nous endormions. Car, après nos aventures coquines, il a mis un point d’honneur à me faire l’amour jusqu’à l’aube.

Tout a commencé très tôt donc, vers 6 heures du matin. Quand je suis sortie de la douche, il m’avait préparé une tenue très provocante, que je devais mettre pour lui : jupe en faux-cuir rose très courte, haut à l’avenant, avec décolleté plongeant, le genre de tenue qui vous fait passer au mieux pour une libertine, au pire pour une pute.

Direction le métro, ainsi accoutrée. Les ordres d’Anthony étaient clairs. Me laisser faire si un mec me collait d’un peu trop près. Et à l’heure de pointe, vêtue (façon de parler !) comme je l’étais, il n’a pas fallu trois stations pour qu’un vieux cochon me mette la main aux fesses. Sauf que, cette fois, je devais le laisser me peloter, voire même l’encourager.

Mon mari à portée de main, j’étais en sécurité. Alors quand un autre type est venu se coller contre ma poitrine largement dénudée, qu’il a posé ses doigts sur le top en faux-cuir, puis carrément dessous, je n’ai rien fait pour tenter de me dégager. De son côté, le vieux avait collé sa braguette contre mes fesses, et utilisait les soubresauts de la rame de métro pour frotter sa verge, que je sentais contre moi, sur mon postérieur.

Je ne sais combien de mecs ont tenté ainsi de profiter de moi et de mon allure de salope de bas-étage jusqu’à ce qu’on arrive à destination. Station Châtelet, puis une petite marche dans les rues, sous les regards crus des passants. J’avais un peu honte, mais j’étais toute émoustillée de cette situation scabreuse.

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Puis mon mari s’est arrêté, rue Saint-Denis, devant un cinéma porno. Il m’a prise par la main, et m’a tirée avec lui dans la boutique. Il a payé nos entrées, puis nous sommes descendus dans l’antre glauque. A cette heure matinale, il y avait déjà quatre ou cinq mecs qui se masturbaient, plus ou moins ostensiblement, devant un film pornographique sans grand intérêt.

Anthony s’est assis au premier rang, m’a invitée à m’asseoir à côté de lui, et a sorti son membre. Il m’a fait signe de le sucer pendant qu’il regardait le film, et j’ai obtempéré. Pendant que je lui offrais cette fellation, j’ai senti que les hommes approchaient. Mon mari a fait jaillir mes seins de mon top en faux-cuir et les a laissé me regarder le sucer, en repoussant tant bien que mal leurs mains baladeuses.

Il n’était pas encore midi, ma journée de soumission ludique commençait fort…

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